Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium

Achèteriez-vous du jambon ou toutes autres charcuteries dont la couleur est grise avec quelques reflets verts ? Non bien sur et les industriels de la charcuterie le savent très bien. C’est la raison pour laquelle notre bon jambon tout rose contient un ingrédient essentiel, le Nitrite de Sodium (Additif e250) qui donne à la viande cette couleur rose si « appétissante » pour le consommateur, vous et moi.

Le problème avec cet aditif, c’est qu’il est au cœur d’un enjeu sanitaire très important. Il est suspecté de jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal, le troisième cancer le plus mortel. C’est un phénomène qui se déroule durant la digestion. En avalant un morceau de charcuterie, les molécules de nitrite vont réagir avec les protéines de la viande. Elles vont avoir tendance à se transformer en substances très dangereuses, les nitrosamines qui sont connues pour causer des dommages dans le gros intestin. Cela peut provoquer des ruptures de l’ADN ou faire muter les cellules en cellules pré-cancéreuses.

Si la viande ne contenait pas cet additif  le nitrite, cela correspondrait à plusieurs milliers de cancers en moins en Europe chaque année.

Cependant, les industriels on un argument de masse en faveur du nitrite, c’est son rôle contre le botulisme. Il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite ça existe comme au Danemark par exemple et les clients qui consomment la viande sont en pleine forme. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite et depuis, les autorités de santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle, alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

A la question du PDG de Herta France, (Filiale du groupe Nestlé), est-ce que la fabrication de charcuterie sans nitrite serait possible ?

« C’est extrêmement dangereux, je ne le ferai jamais, je ne prendrai jamais cette responsabilité si je n’ai pas 100% de certitude que je n’aurai pas de cas de botulisme. »

Si l’on compare le nombre de cas de botulisme chez les consommateurs qui mangent de la viande sans nitrite et le nombre de cancers chez ceux qui consomment de la charcuterie au sel nitrité, il n’y a pas photo.

« C’est aux consommateurs qu’il incombe de faire plier les industriels car si la viande au Nitrite de Sodium existe, c’est qu’il y a une forte demande et c’est par nos gestes de tous les jours que nous arriverons à vivre dans un monde plus propre, plus respectueux de la vie et de l’environnement ; donc meilleur pour nous. »

Où se procurer des produits sans additif en France :

Terres de Roussillon :

Nos charcuteries sèches sont fabriquées dans la plus pure tradition : Saucissons sont composés de 90% de viande maigre et 10% de gras de bardière.

Tous nos produits ne contiennent NI salpêtre, NI ferments, NI sel nitrité Ni rien d’autres que nos ingrédients 100% naturels ET Bio.

Pour un goût incomparable!!!

Ils sont emballés sous vide pour une conservation optimale de la qualité du séchage! Vous les dégustez comme à la sortie du séchoir!

Possibilité de commander en ligne.

Où se procurer des produits sans additif en Suisse :

Tous les produits sont certifiés « Bio » et sans sel de nitrite. Possibilité de commander en ligne.

Beaucoup de producteurs locaux ce sont mis au « Bio » que ce soit en France, en Suisse ou en Belgique et c’est l’occasion pour nous, consommateurs de soutenir des entreprises locales tout en contribuant à la protection et au respect de notre environnement.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

Voici un petit montage de l’émission « Cash investigation » qui vous relate tout cela en images.

Et voici l’émission dans son intégralité.

Et pour rappel :

Plus le jambon est rose, plus il faut se méfier !

La couleur naturelle du jambon c’est pas le rose ! Le jambon de Paris doit être gris-blanc. Le rose est en réalité une substance dangereuse. C’est à cause du nitrite que le jambon devient rose et c’est à cause du nitrite que cet aliment devient cancérogène.

Alors pourquoi continuer à manger du rose ?

La même question se pose pour les knacks. Il est invraisemblable de donner aujourd’hui aux enfants des saucisses Knacks traitées aux nitrites.

J’ai passé 5 ans à fouiller les archives médicales et administratives, que ce soit en France, aux Etats Unis ou en Allemagne. Ce que j’ai découvert, c’est qu’en fait le nitrate et le nitrite qui sont présentés comme des ingrédients qu’on utilise pour protéger le consommateur sont en fait des ingrédients qui sont utilisés afin d’avantager les fabricants, pour accélérer la fabrication ce qui est caché au grand public. Ce que les fabricants disent, c’est que le nitrate et le nitrite ne sont pas dangereux et même que ces ingrédients nous protègent. Ceci est un mensonge ! Et c’est un mensonge d’autant plus intolérable que maintenant, toutes les instances sanitaires reconnaissent et affirment que les charcuteries nitrées sont particulièrement cancérogènes.

Les charcuteries ont été classées, fin 2015, après 30 ans d’études épidémiologiques, en catégorie 1 des substances cancérogènes. C’est le seul aliment qui fait partie de cette catégorie.

Guillaume Coudray

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Danger ! ne laissez pas les enfants en bas âge en contact avec des écrans tactiles

Le sujet est très préoccupant, les enfants de 0 à 4 ans qui sont très exposés aux écrans peuvent développer des troubles de toutes sortes :

Des retards moteurs, motricité fine avec leurs doigts, certains n’arrivent pas à serrer leurs doigts, motricité globale, la marche, grimper, courir. Cela attaque aussi les capacités cognitives, c’est à dire que l’enfant n’élabore pas la pensée, on a des retards du langage très patents, des enfants à 4 ans qui ne parlent pas du tout ou qui parlent d’une façon inadaptée qui vont donner des mots plaqués par exemple si on leur demande à qui sont les chaussures qu’on leur montre sur une photo, ils vont répondre bleu qui est la couleur des chaussures.

On peut voir dans les cas les plus graves des cas qui ressemblent aux troubles autistiques mais qui n’en sont pas puisque les troubles régressent lorsqu’on arrête les écrans, on parle ici d’autisme virtuel. Il y a aussi parfois les gros troubles dans les interactions, l’enfant ne répond pas à son prénom, il est dans sa bulle et n’interagit pas avec les adultes.

Il faut comprendre que le développement du bébé entre 0 et 4 ans dépend essentiellement de son environnement et doit y être adapté. Il doit solliciter ses 5 sens et surtout le toucher et le bébé doit être en interaction avec ses parents et avec les adultes qui font son entourage.

On comprend bien qu’avec les écrans il n’y a d’interaction avec personne et que l’enfant captivé par les écrans ne peut pas explorer notamment avec son corps et ses mains son environnement.

 

L’étude qui va vous dissuader d’exposer vos enfants aux écrans

Enfants et adolescents vivent « immergés » dans un monde fait d’écrans en tout genre, ce qui n’est pas sans conséquence sur leur développement.

Académie américaine de pédiatrie (AAP) s’est penchée sur l’usage des appareils à écrans chez les plus jeunes, et ne cache pas son inquiétude.

En résumé :

« Les enfants d’aujourd’hui grandissent immergés dans un monde d’écrans, ce qui a des effets positifs et négatifs sur le développement. » 

L’ère des écrans

Les pédiatres rappellent d’abord les constats suivants :

La suite après cette publicité

  • Les enfants de moins de 8 ans passent de moins en moins de temps devant la télévision (de 2,24 heures quotidiennes en 2002 à 1,59 heure en 2012), concurrencée par les plateformes de streaming comme YouTube et Netflix.
  • 75% des adolescents possèdent un smartphone, qui leur permet d’accéder à internet, de regarder des vidéos, et d’interagir avec des applis. 91% d’entre eux se connectent depuis des appareils mobiles (téléphone, tablette), si bien qu’un quart des ados est décrit comme « constamment connecté » à internet.
  • 76% des adolescents utilisent au moins un réseau social, et Facebook demeure le plus populaire. Même si 70% d’entre eux disposent d’un « portefeuille de réseaux sociaux », incluant en sus Twitter et Instagram.
  • Quatre foyers sur cinq disposent d’un appareil utilisé pour jouer aux jeux vidéo. Les gamers sont surtout les garçons, 91% disant avoir une console de jeux et 84% jouer à des jeux sur leurs téléphones.

L’AAP profite de ces constats pour souligner que le temps passé sur les écrans ne cesse de croître, et ce dès le plus jeune âge.

Des effets néfastes

  • Obésité

Or, cela augmente le risque d’obésité et affecte le sommeil. L’Académie américaine recommande ainsi de limiter à 2h ou moins le temps « d’activité sédentaire devant un écran ».

« L’augmentation des calories assimilées lors de snacks devant la télévision a été pointée comme un risque important d’obésité », souligne l’AAP. « Et avoir une télé dans sa chambre continue d’être associé au risque d’obésité. »

Dépression

L’utilisation des réseaux sociaux augmente aussi les risques de dépression, en particulier chez les adolescents qui les utilisent de manière passive (c’est-à-dire qu’ils regardent les photos des autres sans interagir ou en publier eux-mêmes).

  • Troubles du sommeil

Au-delà, l’Académie pointe une augmentation des troubles du sommeil chez ceux qui dorment avec leurs téléphones. Générée par les diodes électroluminescentes (LED), la lumière de l’écran active 100 fois plus les récepteurs photosensibles de la rétine que la lumière blanche d’une lampe. Du coup, même avec une luminosité faible, l’écran du portable tient éveillé, retardant l’horloge interne et impactant la qualité du sommeil.

« L’exposition à la lumière (en particulier la lumière bleue) et l’activité sur écrans avant de dormir affectent les niveaux de mélatonine et peut retarder ou perturber le sommeil », affirme-t-elle.
  • Echec scolaire

L’Académie pointe également l’effet « négatif sur les résultats scolaires ». D’autant que les pédiatres américains ont remarqué que « de nombreux enfants et adolescents utilisent des médias de divertissement en même temps qu’ils réalisent d’autres activités, comme les devoirs ».

  • Exposition précoce à l’alcool, au tabac et au sexe

Pis, l’AAP lie cette exposition croissante aux médias à un rajeunissement des initiations à l’alcool, au tabac et au sexe. A l’appui de cet argument, une étude anglo-saxonne a montré que les principales marques d’alcool ont renforcé leurs présences sur Facebook, Twitter et YouTube ces dernières années. Et que 12% des 10-19 ans ont déjà envoyé une photo à caractère sexuel à quelqu’un d’autre.

  • Problèmes relationnels

Enfin, les parents sont également pointés du doigt sur leurs usages. L’Académie rapporte qu’un parent qui détourne son attention de son enfant pour regarder son portable aura une moins bonne qualité de relation avec sa progéniture. Si bien que ces distractions auraient des conséquences négatives sur le développement émotionnel et social.

Des temps de déconnexion

Pour aider les parents, les pédiatres américains proposent un outil en ligne (uniquement en anglais) délivrant des conseils. Voici ce qu’il faut en retenir :

  • Eviter toute utilisation d’écrans pour les enfants de moins de 18 mois, autres que les applications de tchat.
  • Préférer les programmes de haute qualité pour introduire les écrans auprès des enfants de 18 à 24 mois, toujours en les accompagnant pour leur expliquer ce qu’ils voient.
  • Imposer des limites de temps : 1 heure d’écran par jour maximum pour les enfants de 2 à 5 ans, en les accompagnant pour comprendre ce qu’ils regardent, et guère plus au-delà. S’assurer que les écrans ne réduisent pas le sommeil, l’activité physique ou les autres comportements essentiels à la santé.
  • Instaurer des moments et des lieux « sans écran », comme le temps du dîner, de la route en voiture ou la chambre à coucher.
  • Répéter les discussions sur la citoyenneté et la sécurité en ligne, aussi bien sur le respect des autres que la protection de sa vie privée.

Exit donc l’usage de la tablette pour calmer l’enfant et avoir la paix. Adieu aussi le smartphone utilisé toute la nuit par l’ado, désormais assujetti à un « couvre-feu ».

L’AAP met également en garde contre « l’écran passif », c’est-à-dire celui qui reste allumé même si personne ne le regarde. « L’enfant construit ses repères spatiaux dans les interactions avec l’environnement qui impliquent tous les sens », explique au « Monde » le docteur François-Marie Caron, pédiatre et membre de l’Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA).

« Nous n’avons jamais eu autant de demandes de consultation pour des enfants, de plus en plus jeunes, avec des difficultés attentionnelles, des retards de parole-langage, des difficultés d’apprentissage… », souligne de son côté Carole Vanhoutte, orthophoniste et cofondatrice du groupe de réflexion Joue pense parle, au quotidien.

« Ces troubles ont pour la majorité un dénominateur commun : l’exposition précoce et intensive aux écrans. »

Voir aussi : >>>Le danger des écrans tactiles<<<

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Santé : Les effets d’un soda sucré sur l’organisme

Voici les effets d’une petite bouteille de soda sur votre corps :

  • Après 10 minutes, 10 cuillères à café de sucre s’infiltrent dans votre corps ; c’est 100% de plus que les besoins journaliers recommandés.
  • Alors que cette quantité de sucre devrait vous donner la nausée, l’acide phosphorique cache cette overdose de sucre, vous empêchant ainsi de vomir.
  • Après 20 minutes, votre taux de glycémie explose. L’insuline est libérée.
  • Votre foie répond à ce mécanisme en transformant tout le sucre qu’il va trouver en graisse.
  • Après 40 minutes, vos pupilles se dilatent, votre pression artérielle augmente. En réponse, votre foie augmente votre taux de sucre dans le sang.
  • Les récepteurs d’adénosine dans votre cerveau sont maintenant bloqués, c’est la raison pour laquelle vous n’êtes plus fatigué.
  • Après 2 heures, les propriétés diurétiques de la caféine apparaissent et vous avez besoin d’aller vous soulager.
  • Tout le calcium, le magnésium et le zinc, normalement destinés à renforcer les os, sont évacués dans l’urine avec le sodium, l’électrolyte et l’eau.
  • Après plus de 2 heures d’euphorie, le taux de sucre diminue subitement. Vous devenez irritable et fatigué.
  • En buvant des sodas sucrés, vous rejetez des nutriments importants pour votre corps, vous affaiblissez profondément vos os ainsi que vos dents. Vos chances de faire du diabète sont aussi plus importantes.

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Santé : Bœuf contaminé à la tuberculose : vers un nouveau scandale sanitaire ?

Scandale dans la presse ce matin. Avec d’abord, peut-être un nouveau scandale alimentaire : du bœuf contaminé à la tuberculose en supermarché. C’est Le Canard Enchainé qui révèle ce matin l’information. « La vache qui tousse dans nos assiettes », titre le journal satyrique.
Chaque année, plus de 3.000 tonnes de viande seraient concernées – soit 8.000 vaches – et seraient ainsi vendues dans les rayons de nos magasins, en toute légalité.

Les autorités sanitaires autorisent en effet cette pratique qui peut paraître étonnante, à condition que les organes les plus infectés, le rein ou le foie par exemple, soient détruits à l’abattage. Il n’y a aucun risque, d’après un responsable de la direction générale de l’alimentation qui précise que « depuis plus de trente ans en France, personne n’a attrapé la tuberculose en mangeant du bœuf ». Vrai, reconnaît Le Canard, qui note toutefois que le consommateur pourrait avoir le droit d’être informé.

Derrière tout cela : une histoire de gros sous, dit l’hebdomadaire, qui s’est procuré des factures auprès de plusieurs élevages. Le kilo de carcasse, habituellement payé 3,5 euros, peut tomber à 1,5 euro. Le prix affiché en rayon en revanche, toujours d’après Le Canard Enchaîné, ne bouge pas.

Le scandale du glyphosate

Les États membres de l’Union européenne doivent trancher ce mercredi : prolonger ou pas l’autorisation de ce pesticide. « La bataille fait rage en Europe » titre Le Figaro. « L’Union européenne sous pression », ça, c’est la Une de La Voix du Nord. L’Europe est à la traîne en la matière, si l’on en croit Libération, qui consacre ce matin pas moins de six pages à la question. Un certain nombre de pays ont en effet déjà interdit le glyphosate, qui reste malgré tout l’herbicide le plus utilisé sur la planète.

C’est notamment le cas du Sri Lanka. Ce grand producteur de thé et de riz a été en 2015 le premier pays à interdire le glyphosate, et ce, malgré la pression de Monsanto. Une interdiction décrétée, explique Libé, par le Président lui-même face à un nombre croissant de cas de maladie rénale. Dans les régions du nord, 15% de la population en âge de travailler serait touchée, d’après Marie Monique Robin, auteur du live Le Roundup face à ses juges.

Le premier cas a été identifié en 1994. Puis, à partir des années 2000, c’est devenu une épidémie. « Là-bas, ajoute-t-elle, le glyphosate aurait fait 20.000 morts ». D’autres pays, comme l’Inde, le Nicaragua , le Salvador ou le Costa Rica, ont eux aussi interdit le pesticide pour les mêmes raisons, mais seulement dans certaines régions, là où l’on cultive notamment le riz ou la canne à sucre.

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Alimentation : L’association 60 millions de consommateurs révèle la présence de 3 métaux lourds dans des boîtes de thon (Vidéo)

Première publication : 21 avril 2016

Thon en boîte, surimis, rillettes ou poissons en sauce, de nombreux français sont friands de ces plats à base de poisson. Parfois, ils renferment autre chose que de la chair de poisson. Enquête de 60 millions de consommateurs.

“Tout n’est pas bon dans le poisson”, c’est la conclusion de l’enquête de 60 millions de consommateurs du mois de mai qui a analysé 130 produits à base de poisson. Sachant que les deux tiers du budget poisson des consommateurs est consacré aux produits transformés (conserves, rillettes, surimis, plats préparés), le magazine en a profité pour passer au crible 130 produits issus de la mer. Et, le résultat est plutôt inquiétant pour notre santé.

Blâme pour le thon

L’enquête est menée sur 15 boîtes de thon et toutes sans exception contiennent du mercure et de l’arsenic, des métaux lourds qui figurent parmi les produits chimiques les plus à risque pour la santé publique, selon l’OMS. Ingérés en excès, ils peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, notamment au niveau du système nerveux et du cerveau. Certaines contiennent même des arêtes, des fragments de coeur et d’ovocytes.

On peut mettre un bémol à l’analyse du magazine. En effet, les marques Capitaine Nat’, Odyssée (Intermarché), Reflets de France (Carrefour) et Casino sont les plus mauvais élèves mais récoltent tout de même une mention “acceptable” plutôt qu’“insuffisant” alors que leurs produits contiennent un taux de métaux supérieur à la valeur réglementaire europééenne.

Question mercure, le thon albacore est le plus gros poisson et le premier a être pointé du doigt sachant, d’autant plus, que ses stocks sont menacés d’épuisement, un paramètre omis par le magazine. Il est recommandé de privilégier le thon blanc – ou thon germon (comme les produits de la Belle-Îloise et d’Auchan) – pêchés au trolling (traîne légère) et à la canne à pêche en Atlantique ainsi qu’en Méditerranée (comme le thon de Capitaine Nat’) qui pratiquent une pêche plus durable. Le thon blanc est d’ailleurs celui qui fait le moins de kilomètres entre son lieu de pêche et notre assiette.

Le prix ne justifie pas la qualité

L’enquête de 60 millions de consommateurs le montre encore, le prix élevé ne justifie pas la qualité du produit. Saupiquet, référence la plus chère du panel, contient des arêtes aux mêmes titre que les marques distributeurs Cora, Casino ou Marque Repère (E.Leclerc). C’est la marque Carrefour et celle du hard-discount Leader Price qui remportent la palme du meilleur thon avec une qualité de poisson très satisfaisante et une faible contamination.

Des quantités de poisson qui vont du simple au double

Le plus gros effort a été fait par les fabricants de surimi. Ces petits bâtons transformés contiennent désormais au moins 50% de poissons (ce qui reste peu) et moins d’additifs. Dans le top, on trouve les bâtonnets surimi de Monoprix, Fleury Michon et Marque Repère (E.Leclerc). À l’inverse, les premiers prix (Monoprix P’tit, Pouce d’Auchan, Eco+ d’E.Leclerc) se retrouvent dans les flops. Ils contiennent « moins de 20% de poisson, de mauvaise qualité de surcroît, et de la farine, de l’huile, du sucre, du sel, des colorants et des additifs divers », soulignent les journalistes.

Terrines, rillettes, surimis et brandades contiennent trop peu de poisson au regard de la teneur en gras et en additifs. A évitez, de manière générale, donc.

Mangez des maquereaux et sardines

Connu pour son apport en protéines, le poisson est aussi une source majeure d’acides gras oméga-3 qui jouent un rôle majeur sur le développement des organes notamment du cerveau. Ils protègent le système vasculaire, ont un rôle anti-inflammatoire et préventif du cancer. Le poisson est riche en oligo-éléments, en vitamines et en phosphore. Il ne faut donc pas pour autant s’en passer.

Les poissons gras (thon, saumon) sont les plus riches en oméga-3 mais ceux qui contiennent le plus d’arsenic et de mercure. Optez plutôt pour des petits poissons au milieu de la chaîne alimentaire comme la sardine et le maquereau qui exposent moins aux métaux lourds. Une économie pour vous et votre santé.

D’autre part :

Déjà publié sur ce site, aviez-vous entendu parler de ce scandale survenu en 2007 et très peu relaté dans les médias Mainstream concernant un lot de quarante mille tonnes d’huile de vidange mélangée à des huiles destinées à la consommation ?

Non ? !

Alors sachez aussi que depuis cette même année, l’union européenne incapable de retirer tous les aliments contaminés déjà mis en vente à rehaussé l’acceptance en matière d’huile frelatée à 10%. Ce qui revient à dire que la vinaigrette que vous avez acheté dans l’hyper du coin peut contenir 10% d’huile de vidange et ce, en toute légalité.

François Asselineau nous en parle lors de l’une de ses nombreuses conférences.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La preuve :

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Monsanto et son Glyphosate : Le pire scandale sanitaire du XXlème siècle, pire encore que celui de l’amiante

L’autorisation dans l’Union européenne de l’herbicide controversé expire à la fin de l’année.
L’UE se prononcera sur le renouvellement de la licence du glyphosate le 25 octobre

Il faudra attendre le 25 octobre pour savoir si le pesticide le plus vendu au monde sera à nouveau ou non autorisé dans les pays de l’Union européenne, a-t-on appris jeudi 12 octobre d’une source à la Commission. La dangerosité du glyphosate, qui entre notamment dans la composition du Roundup de Monsanto, est au cœur d’une controverse, car le Centre international de recherche sur le cancer (créé en 1965 par l’Organisation mondiale de la santé) l’a classé « cancérogène probable » en 2015, contrairement aux agences européennes, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA – European Food Safety Authority) et l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA – European Chemicals Agency). Son autorisation dans l’UnionE expire à la fin de l’année.

L’exécutif européen prévoit de soumettre le dossier à un vote auprès des experts des Etats membres représentés au sein d’un comité technique chargé de ce type de décision, a expliqué cette même source.

En attendant : Tout ce qu’il faut savoir sur le glyphosate et passé cette date fatidique du 25 octobre 2017, savoir de quel côté penchera la balance des gouvernements européens ; du côté des intérêts des multinationales ou de celui de ceux de l’environnement et de la population.

Cet article est publié et diffusé à la veille d’un jour crucial pour notre futur.

G.S / FINALSCAPE

Il s’agit probablement d’un des plus grands scandales sanitaire de l’histoire industrielle, d’une magnitude encore plus grande que celle de l’amiante.

Le glyphosate a été commercialisé en 1964 comme un détergent capable de détartrer les chaudières et les canalisations d’eau.

Nous avons tous des résidus de glyphosate dans notre corps. Le glyphosate est partout, dans les sols, dans l’eau des rivières ou dans celle du robinet, dans les aliments, et y compris dans nos organismes. La Commission européenne a établi une liste de 358 aliments qui sont susceptibles de contenir des résidus de Glyphosate. Il y a des légumes, des fruits, des céréales comme le blé ou le maïs, mais aussi dans la viande issue du porc, de la vache ou du poulet qui sont nourris avec du soja transgénique imbibé de glyphosate.

En 2016, 800’000 tonnes de glyphosate ont été déversées dans le monde, dont 9’000, en France. Partout, les agriculteurs ou les maraîchers l’utilisent pour désherber leurs champs avant de semer leurs prochaines cultures.

La molécule est très toxique y compris à de très faibles doses. Le glyphosate a été commercialisé en 1964 comme un détergent capable de détartrer les chaudières et les canalisations d’eau.

En 2015, le Centre International de recherche sur le cancer (Circ),  qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a classé le glyphosate Cancérigène probable pour les humains.

Aujourd’hui, plus de 3’500 agriculteurs américains ont porté plainte contre Monsanto parce qu’ils sont atteints  d’un lymphome non hodgkinien, un type de leucémie, dont le lien avec l’exposition au glyphosate a été très bien établi.

De nombreuses études, et même des études de Monsanto  dont la firme a caché les résultats, montrent que le glyphosate est aussi tératogène.  C’est-à-dire qu’il provoque des malformations congénitales lors d’une exposition en tout début de grossesse ; de plus, le glyphosate est très toxique pour les reins. Au Sri Lanka, plus de 30’000 paysans producteurs de riz sont mort parce que le glyphosate s’était accumulé dans les nappes phréatiques.

Neuf ans après « le Monde selon Monsanto », Marie-Monique Robin publie une nouvelle enquête explosive sur le produit phare de la firme, le Roundup. De nombreuses études scientifiques montrent que l’herbicide, à base de glyphosate, est encore plus dangereux qu’on ne le supposait…

“Le Roundup face à ses juges” entretien avec
Marie-Monique Robin (Youtube)

“Le Roundup face à ses juges” entretien avec
Marie-Monique Robin (VK)

Le monde selon Monsanto

Implantée dans quarante-six pays, Monsanto est devenue le leader mondial des OGM, mais aussi l’une des entreprises les plus controversées de l’histoire industrielle avec la production de PCB (pyralène), d’herbicides dévastateurs (comme l’agent orange pendant la guerre du Viêt-nam) ou d’hormones de croissance bovine et laitière (interdites en Europe). Depuis sa création en 1901, la firme a accumulé les procès en raison de la toxicité de ses produits, mais se présente aujourd’hui comme une entreprise des « sciences de la vie », convertie aux vertus du développement durable.

Grâce à la commercialisation de semences transgéniques, elle prétend vouloir faire reculer les limites des écosystèmes pour le bien de l’humanité. Qu’en est-il exactement ? Quels sont les objectifs de cette entreprise, qui, après avoir longtemps négligé les impacts écologiques et humains de ses activités, s’intéresse tout à coup au problème de la faim dans le monde au point de se donner des allures d’organisation humanitaire ?

Fruit d’une enquête exceptionnelle de trois ans qui a conduit Marie-Monique Robin sur trois continents (Amérique du Nord et du Sud, Europe et Asie), ce livre retrace l’histoire fort mal connue de la compagnie de Saint-Louis (Missouri). S’appuyant sur des documents inédits, des témoignages de victimes, de scientifiques ou d’hommes politiques, le livre reconstitue la genèse d’un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de collusion avec l’administration nord-américaine, de pressions et tentatives de corruption, est devenu le premier semencier du monde. Et il révèle notamment le rôle joué par Monsanto dans le formidable tour de passe-passe qui a permis l’extension planétaire des cultures OGM sans aucun contrôle sérieux de leurs effets sur la nature et la santé humaine.

Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice, est lauréate du Prix Albert-Londres (1995).

Elle a réalisé de nombreux documentaires couronnés par une trentaine de prix internationaux et reportages tournés en Amérique latine, Afrique, Europe et Asie. Elle est aussi l’auteure de plusieurs ouvrages, dont Voleurs d’organes, enquête sur un trafic (Bayard), Les 100 photos du siècle (Le Chêne/Taschen), Le Sixième Sens, science et paranormal (Le Chêne), 100 photos du XXIe siècle (La Martinière). À La Découverte, elle a déjà publié : Escadrons de la mort, l’école française (2004, 2008), L’École du soupçon (2006) et, en coédition avec Arte-Éditions, le best-seller Le Monde selon Monsanto (2008, 2009), Notre poison quotidien (2011) et Les Moissons du futur (2013) et Sacrée Croissance ! (2015).

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Santé publique : “Le Roundup face à ses juges” : enquête sur la méthode Monsanto

Il y a un an, un tribunal international composé de citoyens jugeait Monsanto. Mais aujourd’hui, où en est-on ? Quel est l’avenir du glyphosate ? Quand la France et l’Europe en finiront-elles avec ce pesticide tant contesté ? D’ailleurs, pourquoi est-il toujours autorisé ? Toutes les réponses à ces questions sont à découvrir dans ce documentaire passionnant disponible gratuitement pendant deux mois.

Ce documentaire, c’est Le Roundup face à ses juges. Il a été réalisé par Marie-Monique Robin, celle-là même qui, en 2008, avait déjà livré une première bombe sur le sujet : Le Monde selon Monsanto.

Cette fois, on y parle de manipulations scientifiques, de nocivité, de lobbies, d’interdictions repoussées… Et les témoignages sont édifiants, accablants, comme celui qui ouvre cette vidéo de présentation publiée par Arte. Regardez :

« On utilisait toutes sortes de poisons agricoles. Mais surtout du glyphosate (…) C’est un génocide silencieux dont je ne veux plus être complice. je parlerai jusqu’à mon dernier souffle. »

Avec ce nouveau film, Marie-Monique Robin joue une nouvelle fois le rôle de lanceuse d’alerte. Un travail exemplaire, et gigantesque qui doit absolument trouver un écho. Histoire de faire plier les industriels et les politiques qui jouent avec nos vies.

>>>Film complet disponible sur Arte<<<

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Santé publique : Monsanto rémunère des scientifiques afin de sous-estimer la toxicité de leurs produits

Mensonges, lobbying et pots de vin bienvenue dans le monde merveilleux des multinationales et le cas présent, celui de la firme Monsanto.

Alors qu’un vote concernant la prolongation du Glyphosate tarde à arriver au sein de l’UE, une enquête révèle que le géant de l’agrochimie, Monsanto,  ne recule devant rien pour arriver à ses fins.

C’est tout un système de corruption et de trafic d’influence qui éclate au grand jour. On parle ici des faux avis scientifiques sur les produits de la firme. Ce qui est gravissime c’est dans le but de faire toujours plus de profits, Monsanto n’hésite pas à mettre en danger la santé de toute la planète.

Cancers, perturbations hormonales etc… qu’importe, la firme n’a qu’une seule ambition, accroitre ses profits et tant pis si cela doit briser des vies. Pour cacher les dangers de ses produits pesticides, Monsanto n’a pas hésité à rémunérer des scientifiques pour contrebalancer sa réputation de pollueur et d’empoisonneur.

La firme recourait à des auteurs fantômes, une équipe du géant américain rédige des notes de synthèse où les produits commercialisés sont présenté comme efficaces et surtout inoffensifs, les notes sont ensuite soumises à des scientifiques non affiliés officiellement à la firme pour qu’ils signent et endossent l’article publié dans des revues spécialisées.

Monsanto achète donc sa réputation afin d’obtenir les agréments nécessaires pour vendre ses produits.

Il s’agit d’une corruption générale au niveau de cette entreprise qui est Monsanto, c’est une véritable pieuvre qui est à la fois achète des experts et qui menace même des experts de procès. Monsanto menace d’attaquer en justice la commission européenne si celle-ci n’homologue pas le Glyphosate qui est la substance active la plus vendue au monde. Les multinationales ont pris le pouvoir !

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Santé publique : Les 7 péchés capitaux de Monsanto

Les 7 péchés capitaux de Monsanto

    • Le glyphosate : C’est l’une des  molécules contenues dans le « Roundop » qui est le désherbant ayant fait connaitre Monsanto et c’est également le désherbant le plus vendu dans le monde. Le problème et selon l’OMS, le glyphosate est la cause de nombreux cancers alors qu’au contraire, certaines instances de l’Union européenne déclarent que ce désherbant est totalement inoffensif pour la santé humaine et cette décision a été prise au moment ou il était question de l’interdire au sein de l’UE. Mais là où le bât blesse, c’est que les rapports de la commission européenne étaient des copiés-collés de ceux publiés par la firme Monsanto. Cela sent à plein nez le conflit d’intérêts !
    • L’Agent Orange : Monsanto qui a été fondée en 1901 était à cette époque une firme développant des produits chimiques et c’est durant la guerre du Vietnam il y a plus de 60 ans qu’elle a collaboré avec le ministère de la défense américain sur l’élaboration d’un cocktail d’herbicides connus sous le nom d’herbicides « Arc En Ciel » et bien que le nom soit au demeurant sympathique, ces produits servaient ni plus ni moins à brûler purement et simplement toute la végétation obligeant ainsi l’armée vietnamienne à se mettre à découvert. Parmi ces herbicides, le fameux « Agent Orange » dont le composant principal qui est la Dioxine est la cause d’un certain nombre de cancers et qui à haute dose peut s’avérer mortel. Des années après, ce produit continue à faire des ravages parmi la population au Vietnam ; cela se traduit par des malformations à la naissance et des mutations qui ce sont désormais inscrites dans le patrimoine génétique de certaines mères. (Voir la vidéo en fin d’article).
    • Le DDT : Molécule développée par Monsanto en 1944 afin de luter contre le Paludisme, maladie transmise par les moustiques. (La personne ayant permis la mise au point de cette molécule a obtenu le prix Nobel de la médecine en 1948). C’est dans le milieu des années 50 que ce produit a été soupçonné d’être dangereux et c’est en 1972 qu’il a été interdit. Durant cet intervalle, c’est à grands renforts de publicités médiatiques et politiques que ce produit a été plébiscité. Hors, il s’avère que le DDT est un perturbateur endocrinien, c’est un cancérogène probable d’après l’OMS et une exposition répétée peut conduire à des  cas de stérilité ou de malformations chez les nouveaux nés. Bien que ce produit ait été interdit en 1972, il est toujours utilisé en Inde où il est sensé combattre la Malaria et bien que plus de 4’000 tonnes soient expulsées dans la nature chaque année, cela reste totalement inefficace. Des dessous-de-table ont du passer par là).
    • L’Aspartame : Découvert en 1965 et mis sur le marché en 1974, l’Aspartame est notamment utilisé pour remplacer le sucre. Tous les produits « light » remplacent leur dose de sucre par l’équivalent en Aspartame. Malheureusement de très sérieuses études démontrent que ce produit est cancérogène, et cerise sur le gâteau, il favorise le diabète.
    • Les OGM : 90% des OGM produites le sont par Monsanto et on sait très bien que le but de cette firme n’est pas de produire des céréales pour nourrie la planète ; son but est de produire des bénéfices, toujours plus de bénéfices. Les OGM de Monsanto n’ont pas un meilleur rendement que les semences naturelles. Le maïs de Monsanto n’est pas génétiquement modifié pour produire plus de maïs, il est modifié afin de résister à toute une panoplie d’herbicides produits par cette même firme.
    • Semences TERMINATOR : Technologie utilisée afin de rendre les semences stériles. Dans les graines, les noyaux ou les pépins, la nature fait en sorte qu’une fois retournés à la terre, le cycle de la vie les fasse repousser ce qui assure ainsi une continuité dans la chaîne alimentaire pour nous les hommes. Monsanto a réussi le tour de force de vendre des graines qui font pousser des plantes mais dont les fruits sont stériles (qui ne repoussent pas). De cette manière, les agriculteurs qui cultivent leurs champs avec les semences Monsanto ne peuvent pas utiliser les fruits de leurs récoltes et sont donc obligés de faire appel à la firme si ils veulent continuer de travailler l’année suivante.
    • Fusion avec Bayer : Cela c’est produit en 2016. Bayer est une compagnie pharmaceutique allemande et Monsanto le plus gros producteur d’herbicides, pesticides et OGM au monde. La magie dans cette fusion consiste à faire en sorte que les produits fabriqués par Monsanto nous rendent malades et polluent l’environnement sur plusieurs générations alors que Bayer nous soigne (ou pas).  A elles seules ces deux boîtes qui ont fusionné ont formé une entité monstrueuse qui contrôle désormais toute notre chaîne alimentaire ainsi que la manière de nous soigner.

Ce qui est intéressant de savoir et qui n’est pas négligeable, c’est qu’il existe une banque internationale des semences sur l’île de Spitzberg en Norvège, que cette banque devrait permettre à l’agriculture mondiale de redémarrer en cas de catastrophe majeure et que parmi les donateurs, on retrouve des multinationales semencières telles que : Dupont / Pioneer et Syngenta  nous retrouvons également la fondation Bill-et-Melinda-Gates  et pour terminer, la fondation Rockfeller.

Ces multinationales y compris Monsanto font partie de ces entreprises qui ont créé la monoculture ainsi que leur monopole et lorsque l’on sait ce que cela donne aujourd’hui dans le monde de la paysannerie : Ce sont chaque jour des centaines de paysans qui, ne pouvant supporter les pressions qu’exercent ces géants de l’agroalimentaire sur eux, se donnent la mort et c’est sans parler de la dégradation des produits que nous mangeons.

Pour l’agent orange évoqué en début d’article, je relaye ici l’extrait d’un article que j’avais déjà publié sur ces pages :

Au Vietnam, 40 Après, l’agent Orange de Monsanto continue à faire d’horribles ravages !

40 ans après la guerre du Vietnam, l’herbicide de Monsanto « Agent Orange » qui était utilisé et largué par des avions (Chemtrails) afin de détruire la végétation servant de refuge aux ennemis américains continue à faire des ravages sur la population.

le fabricant de ce produit Monsanto continue à réfuter sa part de responsabilité sur les méfaits de ce poison hautement toxique sur tout l’écho système et la population locale. Pourtant cela ne l’empêche pas de persister et signer car son tristement célèbre herbicide Roundup contient cette fameuse substance incriminée au Vietnam par la communauté scientifique, la dioxine. 

Les mutations génétique se poursuivent génération après génération en se transmettant de la mère aux nourrissons.

Le Docteur Phuong vient en aide à ses enfants. Une vidéo de « Channel 4 Unreported World »

Attention à la dureté de certaines images !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Alimentation : Dans ses frites, McDonald’s ajoute du silicone.

Du silicone dans les frites de McDonald’s ? Voilà qui ressemble étrangement à l’une de ces nombreuses légendes urbaines dont l’enseigne est victime depuis des années. Vous savez, comme cette rumeur qui prétend que ses hamburgers contiendraient des pastilles anti-vomitives. Sauf que, cette fois, il ne s’agit pas d’un fake, mais de la réalité. Une information édifiante qui ouvre un peu plus grand encore nos yeux de consommateurs éclairés.

Pour une enquête intitulée La pomme de terre dans tous ses états, France 5 s’est intéressée de très près aux french fries du fast-food américain. Et ce que les journalistes nous confirment est à peine croyable : oui, McDonald’s met bel et bien du silicone dans l’huile servant à cuire ses frites, le même que l’on trouve dans les joints de salle de bain…

Officiellement, ce drôle de choix culinaire (tout à fait légal et considéré comme non nocif) est justifié pour des raisons de sécurité à l’égard des employés de la marque, le silicone limitant les projections d’huile. Mais, officieusement, il répondrait surtout à des considérations économiques, le silicone allongeant la durée de vie de l’huile…

Explications dans cet extrait de La pomme de terre dans tous ses états. Regardez, on a du mal à y croire tellement c’est gros et, pourtant…

Alors, pour être tout à fait juste, vu que l’usage du E 900 (huile de silicone) est autorisé, on suppose que McDonald’s n’est pas la seule entreprise de restauration à en profiter… Mais ce détail n’est pas vraiment de nature à nous rassurer.

On croit manger des pommes de terre… et on avale du silicone ! Puisqu’un consommateur éclairé en vaut deux, merci France 5 et vive les frites maison !

Tout savoir sur la pomme de terre de sa production à sa consommation et vous n’êtes pas au bout de vos surprises, bonne et mauvaises.

Le reportage complet sur Youtube

Le reportage complet sur VK

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