Manifestation anti vaccins devant le ministère de la santé car d’ici 2018, le nombre de vaccins obligatoires qui étaient de 3 passera à 11. Cette nouvelle réglementation pose questions lorsque l’on sait que ce marché représente plus de 900 milliards de dollars par année. D’autre part, les français se souviennent du scandale provoqué par le vaccin de la grippe A qui avait mis en lumière la collusion entre les grands groupes pharmaceutiques et les politiques.
Les Français doutent beaucoup et selon un récent sondage, 4 français sur 10 doutent de l’efficacité des vaccins et 56 pourcents d’entre eux regrettent la future règlementation gouvernementale.
Sur le vif, quelques réactions de la part des manifestants :
J’ai appris que quand certains laboratoires avaient été rachetés par d’autres, ils avaient d’autres adjuvants qui étaient moins dangereux que les sels d’aluminium et histoire de faire plus de rendement on a supprimé ça.
Aujourd’hui, les français sont régis par la peur, par exemple quand vous arrivez chez un pédiatre et que l’on vous dit « si vous ne donnez pas tel vaccin à votre enfant vous allez avoir tels effets sur la maladie… »
Je suis vraiment triste de voir que les français sont des gens qui croient encore dans les médias mainstream, ce sont de gros moutons. Dans les autres pays les gens se battent plus qu’ici et j’ai des amis étrangers qui hallucinent devant les français, qui ne comprennent pas pourquoi les français ne se battent pas d’avantage. A la télé c’est toujours la même chose et les gens ne se rendent pas compte. Il faut ouvrir les yeux !
Je suis maman de deux enfants de 10 et 11 ans, quand ma fille a eu des vaccins, elle c’est retrouvée avec des plaques rouges au niveau du visage, mon fils a reçu beaucoup de vaccins et il a eu beaucoup de problèmes de plaques, d’exéma il était souvent malade, on lui a administré un vaccin en juillet et en décembre 2008 et il a déclenché une anémie hémolytique auto immune très grave et j’ai failli le perdre. A la suite j’ai stoppé tous les vaccins.
Tant que cela n’arrive pas à un proche ou à notre propre enfant on se dit que ceux qui sont contre sont des illuminés mais quand cela arrive à notre propre enfant et que les médecins nient les choses, on se dit qu’il y a quand-même un problème.
Problème récurant et de plus en plus flagrant de la part de nos élites, sacrifieraient-ils la santé et la sécurité des français pour des raisons pécuniaires ?
Loin d’être suicidaire que cela soit bien dit, le Professeur Joyeux lanceur d’alertes bien connu et très controversé dans le monde médical règle ses comptes avec les politiques et l’industrie pharmaceutique.
Interviewé par Claude Corse, journaliste pour « Alternative Santé » le Professeur Joyeux en partance pour Chicago ou il se rend pour y donner une conférence nous parle de l’abus systématique des lobbies de l’industrie pharmaceutique et des pressions qu’ils exercent sur les politiques pour la mise sur le marché de leurs vaccins.
« Tout cela est une arnaque monumentale montée de toute pièces par les laboratoires pharmaceutiques français et étrangers » déclare-t-il.
Contrairement à ce que lui reprochent ses confrères, le Professeur Joyeux est favorable à la vaccination mais il s’oppose aux abus qu’il faut faire comprendre et connaître.
Révélation après révélation que ce soit dans des domaines tels que l’agroalimentaire ou la pharmaceutique, le mur jusqu’ici infranchissable des secrets bien gardés de l’industrie semble s’effriter de jour en jour.
C’est le vaccin Gardasil sensé prévenir du cancer du col de l’utérus et dont les adolescentes sont les cibles privilégiées de la « Big Pharma » qui aujourd’hui se trouve être mis sur la sellette.
En effet :
Vous verrez dans ce document des témoignages qui font halluciner et après visionnage pourrait sérieusement vous donner à réfléchir non seulement sur l’efficacité du produit mais aussi et surtout sur les dangers qu’il fait courir chez les patientes à qui il est administré.
Les lobbies de l’industrie mettraient-ils la santé de la population en danger afin d’assouvir leur appétit toujours plus grandissant de profits à tous prix ?
On est sérieusement en droit de se poser la question !
En pleine polémique, les fameux 11 vaccins imposés par Macron suscitent controverses et inquiétudes bien justifiées au sein de la population française.
Voici un article qui pourrait apporter quelques lumières supplémentaires sur l’industrie de la Pharmacom
Le dernier grand article de Sylvie Simon du 20/07/2013 pour répondre à l’article de Slate : Regardez les maladies du XXe siècle disparaître après l’introduction des vaccins, et à un commentaire
Bonjour à tous.
Je profite des vacances pour vous soumettre un texte plus long que de coutume, qui vous éclairera sur l’utilité des vaccins qui auraient « éradiqué » toutes les maladies infectieuses qui menacent encore l’humanité.
LA DISPARITION DES MALADIES INFECTIEUSESN’EST PAS DUE AUX VACCINS
Les chiffres le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies d’autant plus redoutables qu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli.
Il existe actuellement un rejet très net du principe vaccinal à cause des nombreux effets secondaires graves qu’il génère. Cependant, même les victimes de l’obligation vaccinale persistent à affirmer que, malgré les risques, les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète.
Or, dès que l’on se penche sur la question, on s’aperçoit qu’il n’en est rien et que certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins semblent ignorer. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l’on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d’autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie.
D’une manière générale, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.
Tuberculose et BCG
Un certain nombre de pays ne vaccinent pas contre la tuberculose, notamment les Etats-Unis, car le fait d’avoir reçu le BCG entraîne un test tuberculinique positif qui brouille le diagnostic de la maladie en cas de tuberculose. Le fait de vacciner contre le BCG rend plus difficile l’identification de l’infection. On ne peut donc attribuer la diminution spectaculaire des cas de tuberculose au vaccin.
En 1975, la Suède a décidé d’interrompre la vaccination systématique des nouveau-nés. L’incidence de la tuberculose a continué à décroître au même rythme.
Dans son numéro spécial de février 1997, le Bulletin Epidémiologique signalait que sur « 7 594 cas de tuberculose déclarées en France en 1996, parmi les 293 enfants de moins de 15 ans atteints, dont le statut vaccinal est connu, 70 % ont été vaccinés […]. De nombreuses études montrent que lors d’une épidémie il y a autant de personnes atteintes chez les vaccinés ou les non vaccinés. »
Et si l’on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination.
Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l’introduction du vaccin en 1955.
En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l’OMS en 2003, 1980 il y avait 29 991 cas en Allemagne et 17 199 cas en France. Or la RFA a supprimé en 1973 l’utilisation du BCG, et la RDA en 2001, il n’y a plus que 6 959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d’habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l’obligation vaccinale qui n’a été supprimée qu’en 2007, on trouve encore 96 cas par million d’habitant soit un total de 5 814 cas. D’ailleurs, contrairement aux « craintes » des services de santé, lorsque ce vaccin n’a plus été obligatoire et que l’incidence du vaccin a très fortement chuté, on n’a pu déceler le moindre signe d’augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s’est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées.
L’un des arguments avancés pour le maintien du BCG est qu’il protégeait efficacement de la méningite tuberculeuse. Or, dés 1973, le Dr F. Freerksen, directeur de l’Institut de Biologie Expérimentale, précisait : «Le dogme de l’absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés). » (cf. Le Concours médical, 20 avril 1974, t. 96 [16], p. 2 529-2 530). L’année même, la République Fédérale allemande supprimait ce vaccin. Pour sa part, le Pr. Costil, de l’hôpital Trousseau à Paris, a pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG (cf. Profil du 13 juillet 1989).
On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on « oublie » toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.
Le cas de la diphtérie
Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas.La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l’office intérieur d’hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l’OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux Etats-Unis (fig. 3).
Quant au Japon non vacciné et au Canada vacciné, l’incidence n’est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire (fig. 4). Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l’arrêta à la suite d’une quarantaine d’accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite : sou alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L’Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».
En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas. Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas. L’étude la plus complète sur l’incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression “spectaculaire” a plus ou moins coïncidé avec l’extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c’était l’anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »
Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélite directement liées à la vaccination anti-diphtérique.
Poliomyélite et tétanos
Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l’injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique (fig. 5). Pour le tétanos, la situation est différente. La maladie n’étant pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d’individu à individu, et elle n’est pas immunisante. « Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux pro- téger de la maladie ? » demandait en 1949 le Dr Robert Rendu, de la faculté de médecine de Lyon, dans La Presse médicale. Entre 1943 et 1947, cinq millions au moins d’enfants ont été vaccinés, soit plus de la moitié de la population âgée de 1 à 14 ans. « Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n’a guère varié de 1943 à 1947 (un décès en moyenne par département et par an). »
La courbe de la mortalité moyenne annuelle due au tétanos en Grande-Bretagne et au pays de Galles montre que celle-ci avait amorcé sa descente des décennies avant le début de la vaccination (fig. 6).
En résumé, ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, alors que dans ces deux pays, cette vaccination est obligatoire.
Chlorure de magnésium
L’enseignement médical nous prévient que la maladie succède à une plaie profonde, souillée de terre ou à une brûlure profonde. Mais il existe des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance. Il semblerait que le tétanos, comme la diphtérie, soit une conséquence d’un manque de magnésium.
Il faut savoir que les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu et du Pr Delbet. Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C’est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu’il révèle : «La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »
Il ressort de ce rapport que l’Académie de médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins.
Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, et concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues : ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm3 de sérum physiologique par voie intraveineuse.
Selon l’OMS, le taux d’anticorps (ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré comme protecteur. Mais la présence d’anticorps n’est pas une garantie de sécurité, aussi impose-t-on des rappels tous les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour « assurer » la restauration de l’immunité. Or, dans le journal médical Neurology (t. 42, 1992), Crone et Rider citent le cas d’un patient âgé de 29 ans atteint d’un tétanos sévère alors qu’il avait été hyper-immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. Son taux d’anticorps était de 3 300 fois le taux considéré comme protecteur.
L’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses de vaccins anti tétanos en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.
De même, en 1991 à l’hôpital de Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d’anticorps suffisants pour protéger le bébé (jusqu’à 400 fois le taux protecteur).
En août 1987, eut lieu à Leningrad la VIIIe conférence internationale sur le tétanos. Ce fut l’occasion de faire le point sur le vaccin que les représentants de l’OMS voulaient inclure dans un vaste programme de vaccination. Le Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés. D’ailleurs, l’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.
Armées vaccinées
Dans l’armée française, la plus vaccinée des armées alliées (plus de quatre millions de vaccinations d’octobre 1936 à juin 1940), le taux de morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la campagne de 1940 qu’avant ces vaccinations massives. Dans l’armée grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière guerre a été sept fois moindre que dans l’armée française.
Dans l’armée américaine, pendant la Deuxième guerre, il y eut 10 millions de mobilisés, un demi-million de blessés et 12 cas de tétanos, 6 chez les non-vaccinés et 6 chez les vaccinés.
En Belgique, le Dr Kris Gaublomme a rassemblé toute une série d’articles, publiés dans The International Vaccination Newsletter de septembre 1996, qui corroborent les observations précédentes.
On proclame volontiers que ce vaccin est le mieux toléré et le plus anodin, mais son innocuité est loin d’être démontrée. Les effets indésirables ne sont pas rares et peuvent être graves sur le court ou le long terme.
Vaccin anti-hépatite B
Il en est de même pour le vaccin anti-hépatite B. Lors de la folie vaccinale de 1994 qui a permis de vacciner la moitié de la population française, la courbe de la Courly, qui réunissait les échantillons sanguins provenant de la surveillance épidémiologique de 70 laboratoires d’analyses biologiques dans la région lyonnaise, montrait que l’on avait douze fois plus de cas d’hépatite B en 1978 qu’en 1992. Cette courbe confirmait une nette diminution des cas observés depuis cette époque, donc avant la campagne publicitaire de 1994 en faveur du vaccin.
Entre 1963 et 1979, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90 %, mais cette amélioration est évidemment attribuée aux seules vaccinations, alors que la baisse des cas correspond aux mesures prises pour éviter les transmissions par seringues chez les drogués et des contaminations par le sang chez les transfusés.
Un constat devrait nous surprendre : depuis l’obligation vaccinale pour le personnel de santé, la décroissance des cas aurait dû être deux fois plus rapide chez eux que dans la population générale, or elle est identique.
Flambée de rougeole
Aux Etats-Unis, en 1958, on répertoriait environ 800 000 cas de rougeole, mais en 1962, une année avant l’introduction du vaccin, ce chiffre était brusquement tombé à 3 000 (fig. 7). Pendant les quatre années suivantes, ce chiffre a continué à baisser alors que les vaccins administrés pendant cette période furent jugés par la suite parfaitement inutiles au point d’être abandonnés. Cependant, les vaccinations ont repris de plus belle dès 1978 et, d’après le Dr Mendelsohn, « la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales ». En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations. Et un constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins : « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. » Et en 2006, les CDC (Centers for Desease Control and Prevention) signalaient que 89 % des enfants d’âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés.
En 1986, au Canada, le nombre de cas de rougeole était sept fois plus élevé qu’en 1985. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l’Allemagne dès 1975. La France incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu’elle atteint pourtant en moyenne plus de 95 %, et des chiffres alarmistes sont avancés pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner.
Oreillons et coqueluche
Il en est de même pour les oreillons, car on a constaté que les fortes couvertures vaccinales (environ 97,6 %) n’empêchent pas l’apparition de la maladie. En avril 2006, une sérieuse épidémie d’oreillons s’est déclarée dans huit États du centre des Etats-Unis. Ce fâcheux « incident » n’a pas empêché les CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l’immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ».
Au Royaume-Uni, la mortalité par les oreillons a chuté à partir de 1915, alors que la vaccination n’est intervenue qu’à la fin des années 60 (fig. 8).
Pour ce qui est de la coqueluche, des épidémies se sont déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81 % et 91 %), notamment en Afrique du Sud en 1988-19899, ou aux États-Unis, où le nombre de cas a doublé. Ainsi, en 1993, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche, alors que 96 % d’entre eux étaient vaccinés.
Le British Medical Journal of Medicine (n° 19 de 1995) mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s’est généralisée la vaccination, et en 1998, le même journal signalait des épidémies de coqueluche en Hollande, Norvège et Danemark, malgré une couverture vaccinale de 96 %.
De son côté, Le Quotidien du médecin du 5 janvier 1994 signalait que des élèves avaient été contaminés par des camarades vaccinés, et non le contraire comme on le prétend souvent.
Le vaccin a fait disparaître les symptômes de la coqueluche, qui n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l’adulte (J. Trop. Pediatr. vol. 37, 1991).
En 1980, l’OMS claironnait l’éradication de la variole après avoir lancé en 1962 une dernière campagne « d’éradication » à l’échelle mondiale. Consciente que cette vaccination ne parvenait pas à enrayer le mal, l’OMS préconisa alors d’abandonner la vaccination de masse au profit d’une stratégie dite de «surveillance-endiguement». Ces déclarations officielles du 28 novembre 1972 émanaient du chef du service d’éradication de la variole à l’OMS, le Dr Donald A. Henderson. Elles furent ensuite reprises par Le Monde du 21 décembre 1977 et par les Affiches parisiennes et départementales.
Ainsi, l’OMS reconnaît que la disparition de la variole n’est pas due à la vaccination systématique, mais bien à des mesures « d’hygiène » au sens large, seul rempart efficace à la propagation des germes. Mais combien de personnes savent aujourd’hui que la disparition de cette maladie n’est pas due à la vaccination de masse ?
Des facilitateurs de maladies
En résumé, pour attester de l’action bénéfique des vaccins, on se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signe souvent un affolement des défenses immunitaires. Dans certains cas, ils fortifient la maladie et sont « facilitants ». Leurs mécanismes de régulation se trouvent souvent débordés, ce qui fait que des combinaisons anticorps-antigène, appelées « complexes immuns », restent en circulation dans l’organisme, occasionnant des maladies graves. Quant à leur durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est toujours plus courte que celle des anticorps naturels, ce qui indique que la vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux que provoque la maladie naturelle.
Les vaccins facilitent l’émergence d’autres maladies d’autant que le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. C’est à ce phénomène que Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’École des hautes études, donne le nom de « pathocénose », qui peut expliquer les apparitions et les disparitions des épidémies. Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coquelucheuse a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise.
Le vaccin contre l’hépatite B complète les ravages causés par les autres vaccins et, s’attaquant au système nerveux de l’individu, il facilite l’installation de maladies auto-immunes qui favorisent un vieillissement prématuré. Les vaccins de même que les antibiotiques ne font que diminuer la vitalité du terrain, sa résistance naturelle, et l’altération du terrain devient une source de cancérisation. Et lorsque l’on considère qu’un enfant vacciné ne développe pas telle ou telle maladie et qu’il est immunisé, la réalité est bien différente : il n’a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s’installent chez ceux qui ont un niveau de vitalité, d’énergie, très bas. Ils ne font pas de réactions violentes car l’organisme est sapé de l’intérieur.
Atteintes cérébrales spécialiste américain de l’histoire des vaccinations, dans son livre Vaccination, social violence and criminality, toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène s’accompagne d’une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement. On considère qu’aux Etats-Unis, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Toute manifestation démyélinisante subite semble être directement imputable aux vaccinations, d’autant que des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure protéidique de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme.
Actuellement, les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées et ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination, qui non seulement a de terribles effets pervers mais n’a jamais « éradiqué » une maladie.
Après cette lecture, les victimes de l’obligation vaccinale ne pourront plus affirmer que malgré les risques les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète, et ces trop nombreuses victimes ne devraient plus hésiter à mettre en balance les terribles effets secondaires des vaccins et la « prétendue éradication » des maladies infectieuses.
En France, dans 5 mois, vous aurez le choix entre injecter 11 super-vaccins chargés d’aluminium à votre enfant, ou aller vous-même en prison.
11 vaccins vont devenir obligatoires dès 2018. C’est Emmanuel Macron qui l’a décidé le 4 juillet 2017 sans aucune concertation et sans savoir ce qu’un cocktail pareil pouvait produire sur un nouveau né.
Macron a donné des ordres pour que la loi soit votée au plus tard le 24 juillet 2017, la veille des vacances parlementaires. Ce n’est pas un hasard si Macron s’empresse de faire passer cette mesure et voici pourquoi :
L’obligation de prendre 11 vaccins n’est que la première partie de leur plan. Aujourd’hui, seuls 3 vaccins sont obligatoires en France pour les nourrissons :
(Diphtérie, tétanos, polyomélyte), ça fait déjà 9 doses (vaccins plus rappels) injectées la première année de la vie du bébé. Mais avec 11 vaccins, ce sont 25 à 40 doses qui doivent être encaissées par leur système immunitaire immature. (Avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé).
C’est un cadeau de plusieurs centaines de millions d’euros par an pour les labos selon la ministre de la santé elle-même.
Or, personne à ce jour n’a étudié les risques d’injecter autant de vaccins en aussi peut de temps et aucun scientifique ne sait ce que peuvent donner à court et moyen terme, l’injection d’autant de vaccins en termes d’allergies, de maladies auto-immunes, sclérose en plaque ou autres.
(Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre.)
Le Docteur Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux chez Sanofi, avoue lui-même :
« On ne sait pas comment marchent les vaccins »
Rendre obligatoires 11 vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique de l’hérédité de celui qui la reçoit et les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.
Pourquoi Macron agit-il si vite et qu’est-ce qui le conduit à donner les Français comme cobayes à Big Pharma ?
Quelle est sa motivation secrète pour piétiner le code civil qui place au-dessus de tout le consentement libre et éclairé du malade ?
Cette affaire révèle au grand jour l’enjeu véritable des élections de 2017. En vérité, derrière cette folie vaccinatoire se cache la collusion entre Macron, des grands patrons et des hauts fonctionnaires sans scrupule. Depuis des années le secret était parfaitement gardé.
Jusqu’à aujourd’hui !
Soyons clair :
Les personnes impliquées ne s’attendaient pas à ce que les détails de leur plan soient dévoilés.
Tout ceci est le premier coup de poignard de Macron et depuis son élection, il règne en petit dictateur.
Le gouvernement est à sa botte. Le parlement est muselé.
Il a la police et les tribunaux pour exécuter ses décisions.
Les Français ne l’intéressent plus.
Pour des millions de Français qui ont espéré avec son élection, c’est la douche froide.
Aucun débat, aucune modération, plus aucun dialogue entre le peuple et ses élus.
Juste de la violence et du rapport de force.
On s’attendait à ce qu’il passe en force afin de démolir le code du travail mais il fait pire : Il s’en prend d’abord aux nourrissons.
On nous a fait miroiter une république « apaisée » et il n’aura fallu que quelques semaines pour que les élites reprennent les armes contre le peuple mais dans leur précipitation, ils ont dévoilé leurs véritables intentions et cette maladresse a révélé que celui qui c’est installé à l’Élysée le 14 mai 2017 n’était pas le vainqueur d’une élection libre et régulière mais le pantin d’un groupe de financiers et d’industriels et 99.98% des Français ne reconnaitront jamais cette vérité qui dérange.
La désignation de Macron (Sans doute un des événements les plus importants de notre époque) a été organisé il y a dix ans à huis clos dans un palais de la république.
Le reste dans la vidéo qui est à regarder et à partager sans modération !
Le Professeur Michel Georget nous parle de l’aluminium contenu dans les vaccins.
Vidéo :
Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre.
L’extrait d’un reportage du magazine « Envoyé Spécial » qui dévoile les pratiques douteuses des laboratoires pharmaceutiques.
Parkinson La maladie de Parkinson est une maladie dégénérative qui s’attaque au système nerveux central en provoquant la destruction des cellules produisant la dopamine dans une zone du cerveau appelée « substantia nigra » (substance noire, dite aussi locus niger).
Les fonctions motrices sont les premières affectées par la maladie. À mesure de sa progression, le malade pourra manifester des symptômes de déclin cognitif, de démence et de dépression.
La dyskinésie est un symptôme courant de la maladie de Parkinson (MP). Ce terme désigne les mouvements involontaires des muscles. Les symptômes peuvent se manifester par des spasmes ou des tremblements incontrôlés, progressant jusqu’à provoquer une lenteur extrême (voire une absence totale) des mouvements.
Chez les patients atteints de la MP traités sur de longues durées avec de la lévodopa (un précurseur naturel de la dopamine qui augmente les niveaux de dopamine dans le cerveau), une forme spécifique de dyskinésie induite par la lévodopa peut se manifester. Cette forme de dyskinésie peut induire la « chorée » (mouvements « dansants » des pieds et des mains), de la dystonie (contractions musculaires prolongées entraînant une posture difforme anormale) et de l’athétose (mouvements lents et sinueux).
Anti dyskinétique
La dyskinésie est un symptôme courant de la maladie de Parkinson (MP). Ce terme désigne les mouvements involontaires des muscles. Les symptômes peuvent se manifester par des spasmes ou des tremblements incontrôlés, progressant jusqu’à provoquer une lenteur extrême (voire une absence totale) des mouvements. Chez les patients atteints de la MP traités sur de longues durées avec de la lévodopa (un précurseur naturel de la dopamine qui augmente les niveaux de dopamine dans le cerveau), une forme spécifique de dyskinésie induite par la lévodopa peut se manifester. Cette forme de dyskinésie peut induire la « chorée » (mouvements « dansants » des pieds et des mains), de la dystonie (contractions musculaires prolongées entraînant une posture difforme anormale) et de l’athétose (mouvements lents et sinueux).
Les récepteurs cannabinoïdes du système nerveux central sont densément regroupés dans une zone de la substantia nigra appelée « pars reticulata » (zone réticulée), une zone qui joue un rôle fondamental dans la médiation des signaux par la dopamine vers le striatum des ganglions de la base, région qui est la principale responsable de la régulation de l’activité motrice. Les récepteurs cannabinoïdes sont également présents en grand nombre dans les ganglions de la base eux-mêmes. Ainsi, la transmission naturelle des endocannabinoïdes est censée jouer un rôle dans ces processus fondamentaux et apparentés.
Diverses études ont indiqué que l’agonisation des récepteurs cannabinoïdes par l’administration de cannabinoïdes exogènes pouvait favoriser la réduction de la dyskinésie induite par la lévodopa ainsi que d’autres difficultés rencontrées par les patients atteints de la MP. Une étude menée en 2002 sur des sujets primates non humains a conclu en ce sens, tout comme une autre étude réalisée en 2007 sur des rats, qui utilisait l’agoniste synthétique WIN 55,212-2. Pourtant, les études menées à ce jour sur des humains se sont avérées peu probantes. En 2004 au Royaume-Uni, un essai clinique à petite échelle mené sur dix-sept personnes a conclu qu’il n’y avait aucune amélioration objective ou subjective, alors qu’une étude par observation réalisée en 2014 sur vingt-deux patients a révélé des améliorations des symptômes de tremblement, de rigidité et de bradykinésie (ralentissement des mouvements).
Anti-apoptose
La régulation anormale du processus d’apoptose (mort cellulaire programmée) des neurones dopaminergiques dans le pars compacta (zone compacte, l’autre subdivision essentielle de la substance noire, ou substantia nigra) est censée être le principal mécanisme à l’œuvre dans la maladie de Parkinson. On ne sait pas précisément comment se produit ce phénomène, mais il a été démontré à maintes reprises que le traitement à base d’agonistes des récepteurs dopaminergiques pouvait avoir des effets bénéfiques, car ils permettent de compenser la perte de neurones en stimulant les neurones restants et en les incitant à produire davantage de dopamine.
La destruction des neurones dopaminergiques entraîne des spasmes musculaires douloureux, des crampes et de la rigidité musculaire.
On sait que le système endocannabinoïde joue un rôle important dans la régulation des processus naturels de l’apoptose, une forme de mort cellulaire programmée fondamentale dans une fonction métabolique normale. Dans certains cas, les cannabinoïdes se sont avérés capables d’induire l’apoptose (par exemple dans plusieurs formes de cancer), mais rien ne permet d’affirmer qu’ils puissent avoir un effet protecteur et réduire les taux excessifs d’apoptose dans certaines maladies.
On suppose que la MP pourrait avoir pour origine la présence d’un composé appelé oxidopamine (6-Hydroxydopamine), dont la structure est légèrement différente de celle de la dopamine en ce sens qu’il contient un groupe hydroxyle (-OH). Sa similarité structurelle lui permet d’être transmis au pars compacta par les transporteurs de recapture de la dopamine, après quoi il détruit systématiquement les neurones dopaminergiques (qui produisent la dopamine).
Une étude publiée en 2005 a démontré que l’injection d’oxidopamine dans le cerveau de souris entraînait une nette réduction des niveaux de dopamine, et que l’administration de delta-9-THC, de CBD et du cannabinoïde synthétique non-sélectif HU-210 exerçait un effet neuroprotecteur permanent. Que le CBD ait cet effet indique que le mécanisme est dépendant des récepteurs CB2 (car l’affinité du CBD pour le récepteur CB1 est négligeable), qui assurent la médiation des effets anti-inflammatoires des composés et protègent les cellules contre une apoptose excessive.
Anti-insomnie
Les malades atteints de la MP ont souvent des troubles du sommeil, qui peuvent avoir un impact néfaste sur le système immunitaire et altérer la capacité des patients à lutter contre la progression de la maladie. Cette maladie touche habituellement des personnes âgées, qui souffrent souvent d’insomnie même lorsqu’elles ne sont pas concernées par la MP. En fait, l’insomnie dont souffrent les malades de la MP est souvent différente de l’insomnie typique des personnes âgées. Les patients atteints de la MP s’endorment généralement assez facilement, mais éprouvent les pires difficultés à rester endormies tout au long de la nuit, et à se rendormir lorsqu’elles ont été réveillées. Certains patients disent avoir constaté qu’ils faisaient plus de cauchemars et de rêves excessivement pénétrants, et certains font également état de somnolence excessive pendant la journée.
L’effet somnolent du cannabis est bien connu, et il a été utilisé pour provoquer le sommeil depuis l’antiquité par diverses cultures. En outre, l’insomnie est l’un des principaux symptômes de l’abstinence au cannabis chez les consommateurs dépendants. On suppose que le delta-9-THC et le CBD peuvent tous deux contribuer à la régulation du sommeil ; en particulier, le CBD est censé provoquer le sommeil alors que le delta-9-THC est censé exercer une torpeur résiduelle (sensation de somnolence après l’éveil). Bien que cet effet du THC puisse être un inconvénient pour les personnes souffrant de somnolence excessive pendant le jour, il peut toutefois aider les patients au sommeil nocturne perturbé à se rendormir.
Si vous suivez les avancées en termes de suppléments alimentaires, peut-être avez-vous déjà entendu parler des produits au CBD, même sans avoir vu l’ombre d’une plante de cannabis. Il existe de plus en plus d’éléments prouvant qu’ajouter du CBD à votre régime alimentaire peut soulager de nombreuses conditions.
Antidépresseur
Près de 40 % des personnes atteintes de la MP présentent des symptômes de la dépression, ce qui peut avoir un effet néfaste sur la progression de la maladie de différentes façons. On suppose qu’une composante génétique intervient dans la probabilité que les personnes atteintes de la MP souffrent de dépression, et que les polymorphismes du gène CNR1 (qui encode l’expression des récepteurs CB1) pourraient jouer un rôle fondamental dans ce processus.
Une étude publiée en 2005 dans la revue Nature indiquait que les personnes présentant un polymorphisme
particulier composé de deux allèles longues en chaîne dans le gène CNR1 présentaient un risque moindre de développer une dépression en tant que symptôme de la MP. L’étude relevait également que la dépression était plus fréquente chez les patients atteints de MP akinétique (rigidité et perte des mouvements) que chez ceux atteints de MP avec tremblements ou d’un type mixte. En outre, diverses études ont indiqué que la dépression s’accompagnait souvent de modifications des niveaux endogènes de cannabinoïdes tels que l’anandamide et le 2-AG dans le cortex préfrontal, une région jouant un rôle prépondérant dans la régulation de l’humeur et la prise de décision.
Bien que des recherches complémentaires soient nécessaires pour établir précisément les relations entre la MP, l’expression du gène CNR1 et la dépression, la manipulation du système endocannabinoïde pour réduire les symptômes de la dépression chez les personnes atteintes de la MP revêt sans conteste un grand intérêt thérapeutique.
La tarte aux pommes revue et corrigée par Claude et Lydia Bourguignon (Ingénieurs agronomes)… Partagez, diffusez … Cette vidéo a plus de valeur pédagogique et éducative que de nombreux discours sur le bio.
Bon appétit les amis !
Pour faire une tarte aux pommes, il faut des produits très simples comme de la farine issue du blé. Ce qu’il est intéressant de savoir et selon Claude Bourguignon, c’est qu’au préalable le blé aura été traité à l’insecticide, on lui aura ensuite donné des engrais chimiques c’est à dire (N) l’azoth, (P) le phosphore et (K) la potasse, étant donné que l’on y met trop d’azoth, le blé va pousser trop fort et il court le risque de se renverser au premier orage venu donc afin de parer à cela on va lui mettre une hormone qui va lui raccourcir sa tige. Pour finir on va le moissonner et pour qu’il ne pourrisse pas on va lui mettre un anti bactérien. Lorsqu’il sera broyé pour en obtenir de la farine, pour que celle-ci ne s’oxyde pas, on va lui mettre un antioxydant.
Pour la réalisation de la pâte à tarte on aura également besoin d’un œuf qui lui aussi toute une histoire. S’il n’est pas bio c’est qu’il provient d’un élevage industriel que les poules vont être nourries avec une alimentation sous forme de granulés composée d’antioxydants, des alginates, des émulsifiants et comme cela a très mauvais goût, on va tromper les pondeuses en ajoutant à leur nourriture une molécule qui fait croire aux animaux que ce qu’ils mangent est bon.
Comme il s’agit d’une alimentation très pauvre, les œufs seront très pâles et pour éviter cela on va donner à manger aux poules un colorant.
Nos bons petits déjeuners faits de tartines de Nutella et de gros bols de céréales qu’accompagne un très bon lait devraient aussi faire l’objet de toute notre attention.
Vous aimez les fruits de mer ainsi que les produits qui y sont issus ? Alors accrochez-vous car ceci n’est pas un fake !
Décidément, en matière de poisons et toutes autres sortes de daubes économiques (capitalisme oblige), les pays asiatiques n’ont pas fini de nous étonner.
Des gambas élevées en Asie et gonflées en usine à la gélatine pour en augmenter le poids et améliorer l’aspect esthétique. C’est une vidéo qui a fait le tour du monde sur les réseaux sociaux.
Info ou intox ?
La vidéo est vraie, le reportage a été diffusé sur une chaîne vietnamienne pour dénoncer la pratique, qui est illégale là-bas également. La matière injectée est de la gélatine, mais certaines sources parlent également de proportions de glu industrielle injectées dans les animaux, ce qui poserait évidemment un risque sanitaire. A noter également : la manipulation d’aiguilles dans des conditions sanitaires déplorables pose également problème. Pour l’instant, on ne déplore pas de mort, mais certains trafiquants ont tout de même été arrêtés en Chine.
Possible chez nous ?
Aucune plainte n’a été déposée chez nous à ce propos, des contrôles spécifiques n’ont donc pas encore été effectués. Pour le moment les seuls cas avérés ont été détectés en Chine et au Vietnam. La gélatine est facilement détectable dans l’assiette. Si vous avez un doute, prévenez le SPF économie.
L’irradiation des aliments, officiellement appelée « ionisation » consiste à soumettre un aliment à un rayonnement ionisant : rayons gamma (issus de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137), rayons x ou faisceaux d’électrons à très haute énergie.
Ce procédé, inventé au milieu des années 1940 par des scientifiques français, pour les besoins des échanges internationaux, permet de décontaminer les denrées, supprimer certains micro-organismes et insectes, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et mieux conserver les aliments. Elle permet ainsi le transport sur de longues distances et le stockage de longue durée.
Avantages de l’irradiation des aliments
L’irradiation des aliments ne rend pas l’aliment radioactif . Elle ne doit pas être confondue avec la contamination radioactive (incorporation par la plante ou l’animal d’éléments ou composés radioactifs polluants qui se retrouvent dans les aliments).
Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (pesticides, conservateurs) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.
Les partisans de l’irradiation des aliments la présente comme une solution-miracle contre les maladies d’origine alimentaire (salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Malheureusement, de nombreuses études scientifiques montrent également les limites et les risques de l’irradiation sur la santé.
L’irradiation des aliments : les risques
Des associations de défense des consommateurs et de l’environnement soulignent l’appauvrissement de la valeur nutritive et des vitamines contenus dans les aliments. « Bien que l’irradiation soit suffisante pour tuer des organismes supérieurs, elle n’inactive pas les toxines / mycotoxines libérées par les bactéries et les champignons. En revanche, elles peuvent détruire des vitamines et entraîner la formation de substances néoformées ou de radicaux libres préjudiciables à la salubrité des aliments ou à leurs propriétés organoleptiques. » précise le CNRS.
Certaines bactéries sont très utiles puisqu’elles agissent sur l’apparence des aliments (pourrissement, odeur) et permettent ainsi aux consommateurs de repérer les aliments douteux. Les aliments irradiés paraissent sains, mais ne le sont pas toujours… C’est pourquoi, l’irradiation peut être utilisée pour masquer au consommateur des produits trop vieux et qui ne devraient plus être consommés et peut donc se substituer à de bonnes pratiques sanitaires ou pour « recycler » des produits atteignant leur date de péremption.
Les aliments ionisés pourraient contenir de nouveaux éléments soupçonnés d’être cancérigènes et mutagènes. A ce titre, des animaux de laboratoire nourris d’aliments irradiés sur de longues périodes souffrent de nombreuses maladies génétiques, de problèmes de reproduction, de déformations et de mortalité précoce, selon une étude[1] menée par des scientifiques allemands et français. En effet, une substance particulière créée par l’irradiation dans les aliments, l’alkylcyclobutanone, pourrait être facteur de cancer.
Les risques sur l’environnement
Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires.
De plus, cette technique favorise des modes de production et de distribution industriels délocalisés où le transport, source de pollution, n’est plus un problème pour la conservation des aliments. Cela n’est pas sans conséquences, car l’irradiation, en allongeant la durée de conservation des aliments, risque d’accentuer la délocalisation des productions agricoles où les normes environnementales et sociales peuvent être déplorables pour des cultures qui peuvent être produites localement.
Législation européenne
En Europe, les aliments qui ont subi cette irradiation doivent obligatoirement présenter la mention « Traité par ionisation » ou « Traité par rayonnement ionisant » sur leur étiquetage, ce qui n’est pas le cas d’autres pays qui exportent leurs produits ionisés dans la plus grande opacité pour le consommateur.
Au niveau européen, environ 40 000 tonnes d’aliments ont été irradiés en 2003, soit une multiplication par deux (20 000 tonnes environ pour 2002). Actuellement, l’ionisation est autorisée pour une seule catégorie d’aliments en Europe, il s’agit des herbes aromatiques séchées, des épices et des condiments végétaux.
Et en France ?
Cependant, des dérogations ont été mises en place comme en France où un certain nombre de produits alimentaires peuvent être irradiés : épices, aromates, herbes aromatiques séchées ou surgelées, oignons, ail, échalotes, fraises, farine de riz, légumes déshydratés, fruits secs (abricots, figues, raisins, dattes) légumes et fruits secs, corn flakes et muesli, camembert au lait cru, viande de volaille, cuisses de grenouilles congelées, crevettes congelées, blanc d’oeuf liquide déshydraté ou congelé…
Pour ces opérations, plusieurs centrales d’irradiation des aliments existent en France : à Sablé sur Sarthe (près du Mans), à Pouzauges (près de Nantes), Dagneux (près de Lyon), à Marseille, à Orsay (région parisienne), à Chaumesnil (près de Troyes), à Berric (Morbihan)… La plupart sont exploitées par la société IONISOS.
L’industrie agro-alimentaire garde jalousement ses secrets, surtout quand ils peuvent susciter l’inquiétude des consommateurs. Parmi ceux-ci, l’irradiation que subissent certains aliments, officiellement pour favoriser leur conservation. La radioactivité permettrait en effet de tuer les bactéries des nuggets, des crevettes, des épices, entre autres. Mais certains murmurent que cette technologie, étiquetée sans danger pour la santé humaine, aurait des effets secondaires. Lequels ? Et comment en savoir plus sur le sujet ? Cette enquête tente de s’immiscer au coeur de l’une des pratiques les plus opaques de l’industrie agro-alimentaire.
Aliments Irradies Mauvaises Ondes Dans Nos Assiettes Sortie: 2015