La rue tue ! Tout peut basculer et personne n’est à l’abri (Et si nous redevenions des humains.)

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Ne pas être à l’abri de se retrouver sans-abri, quand la dure réalité de la vie nous rattrape .

Moi qui suis passé par là durant près d’une année, ce reportage me touche tout particulièrement. Heureusement que des associations existent qui à défaut d’éradiquer les problèmes, contribuent en tous cas à rendre des situations souvent devenues intenables, plus supportables tout en redonnant de l’espoir aux cabossés de la vie.

Parmi ces associations, une que je chéris tout particulièrement puisqu’elle m’a permis de me sortir de la rue : il s’agit de Carrefour rue qui oeuvre dans le canton de Genève en Suisse.

Témoignage émouvant, un cri du cœur. Un grand merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) pour ce reportage.

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mon témoignage sur une radio locale :

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Social : Il délaisse Carrefour-Rue la nuit… pour la poésie! (Vidéo)

C’est dans des cafés, appréciés par Valérie Bierens de Haan, que le livre «Vince Fasciani: poète de sa vie» s’est dessiné. GEORGES CABRERA

Un petit livre, signé Valérie Bierens de Haan, révèle la double vie du travailleur social et protecteur des sans-abri, Vince Fasciani.

Il a mené de main de maître, aux côtés de Noël Constant, l’installation du nouvel hameau de studios mobiles à Chêne-Bougeries (voir nos éditions d’hier). Mais Vince Fasciani n’est pas seulement cet infatigable travailleur social de Carrefour-Rue, narré par les médias. Outre son engagement auprès des sans-abri, d’autant plus précieux quand les températures dégringolent… Vince Fasciani (64 ans) est aussi poète à ses heures. Et depuis longtemps même. Un formidable petit recueil, tout frais, sur la vie de ce sexagénaire, guidée par sa poésie, nous l’apprend. Son auteure Valérie Bierens de Haan, journaliste retraitée – quinze ans de Tribune de Genève et vingt-cinq ans de télévision – n’en finit pas de remercier «le hasard» qui lui a permis de rencontrer ce surprenant parolier italo-suisse.

«Quelque mois après la mort de mon mari, j’ai ressenti le besoin, pour m’évader de mon chagrin, de m’intéresser à d’autres qu’à moi-même et j’ai proposé bénévolement mon temps à Carrefour-Rue», explique-t-elle en guise de préambule. Aussitôt dit, aussitôt fait; Vince Fasciani initie alors la nouvelle venue aux activités artistiques de cette association qui, depuis quarante ans, vient au secours des personnes démunies. «J’ai assez vite découvert qu’il avait une double vie. Sociale le jour, poétique la nuit, poursuit l’écrivaine.

«Sans la poésie, je serais mort ou laissé-pour-compte», m’a chuchoté cet adepte d’écrits-sparadraps.» Le projet de livre venait de naître. Sans que Valérie Bierens de Haan ne s’en rende vraiment compte, puisque Vince Fasciani en fut le véritable instigateur: «Je voulais me débarrasser de cette femme qui n’arrêtait pas de me poser des questions!» Mais la curiosité de Valérie Bierens de Haan n’a pas été vaine. Après dix-huit mois d’entretiens passionnés avec «cet adepte de chemins sans boussole qui mènent vers plus de lumière», comme le qualifie l’un de ses amis, on en sait un peu plus sur Vince Fasciani, homme d’action qui abhorre les chaînes: «Le secret du bonheur, c’est la liberté. Le secret de la liberté, c’est le courage.»

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Société : Témoignage d’une sdf de 71 ans vivant dans le deuxième sous-sol d’un parking

Poignant et très émouvant le témoignage de Marie, 71 ans, qui vit dans sa voiture au 2ème sous-sol d’un parking situé à Puteaux.
Ça fait 15 ans qu’elle demande un logement. Aujourd’hui on lui répond que Joëlle Ceccaldi, Maire de Puteaux n’a pas le temps de lui répondre.

« Il n’y a pas à avoir honte d votre situation madame c’est nous qui devrions avoir honte au contraire, il s’agit de la faillite totale de notre système. »

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Société française : À 80 ans, elle fait les poubelles pour se nourrir et nourrir ses pigeons

Ils sont des centaines, ces retraités laissés pour compte par la société et qui pour survivre doivent faire les poubelles.

Renée, (nom de substitution) qui pourrait être votre mère, votre grand-mère ou arrière grand-mère touche une retraite de 180 € par mois. Elle fait des poubelles publiques son supermarché. Elle y vient régulièrement se ravitailler pour manger et pour nourrir ses compagnons, les pigeons.

Cela jure avec le faste et le « bling-bling » que les élites toujours plus méprisantes du petit peuple exhibent sans complexe devant les caméras des médias complaisants.

Jusqu’où iront l’indécence, la provocation et l’injustice ?

Stéphane Guibert / Finalscape

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1,1 million de personnes menacées par la pauvreté en Suisse Et la tendance s’aggrave.

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1,1 million de personnes menacées par la pauvreté en Suisse. Ça fait beaucoup. Et la tendance s’aggrave.

La Suisse dont le PIB par habitant arrive en seconde position dans le classement mondial est loin d’être à l’abri de la pauvreté.

La Suisse est trop riche pour voir ses pauvres.

Ils sont 530’000 pauvres avec un revenu mensuel de 2’219 ChFr. (1’970 €). Aujourd’hui, 1 suisse sur 8 est menacé d’une descente aux enfers. Les enfants qui sont au social le resteront une fois adultes.

La pauvreté ce sont également des familles qui sont parquées dans des quartiers sans place de jeu, sans lieux culturels et sans lieux de rencontres.

Ni l’école ni l’aide sociale n’arrivent à inverser la tendance et alors que les Suisses votent pour des baisses des aides, les politiciens les oublient.

G.S / FINALSCAPE

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Solidarité : En Suisse, une association se charge de trouver des logements aux sans-abri

À l’approche de l’hiver qui va nous tomber dessus dans quelques jours, ils sont plus de 10’000 en Suisse à dormir dans la rue, ce sont les sans-abri , ceux que l’on appelait il n’y a pas si longtemps, les clochards.

L’association « Toit pour tous » c’est donné comme mission de fournir un logement à toutes celles et ceux qui partagent cette infortune de ne pas avoir de toit sur la tête.

Il est regrettable de constater qu’aujourd’hui, les politiques manquent visiblement de volonté pour éradiquer le problème et que ce soit des associations privées qui prennent en mains la souffrances des plus démunis.

Pour qui et pourquoi vote-t-on ?

À saluer au passage l’association « Carrefour-rue » qui œuvre dans la même direction.

Merci aussi à Lux peintures pour son soutien et sa solidarité, un exemple à suivre inconditionnellement.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Suisse, Culture & Cinéma : Le groupe Metallica offre plus de 20 000 francs pour les sans-abri genevois

Les trois collaborateurs de Carrefour-Rue (au centre), entourés des quatre membres du groupe californien.

Image: LDD

Sur la photo, le profane ne saurait distinguer la rock star du travailleur social. Car ils ont posé ensemble, juste avant le concert. Les quatre membres du groupe Metallica entourent trois responsables de Carrefour-Rue, l’association genevoise qui vient en aide aux sans-abri. Une belle image pour la remise d’un chèque: 20 900 francs offerts peu avant que le concert ne débute, mercredi soir, dans les loges de l’Arena. Pourquoi cette somme? Quelques minutes avant que le show monumental ne fasse vibrer la Halle 6, 20 900 billets avaient été vendus. Et le groupe s’était engagé à verser 1 franc par spectateur.

 

Carrefour-Rue est une association caritative Genevoise fondée par son Président Noël Constant il y a 30 ans. Cette association entend luter contre la précarité grandissante des grandes villes. Elle offre différents services aux plus démunis comme des repas chauds, un lieu où les gens peuvent se doucher dans des conditions hygiéniques, un coiffeur, un service de buanderie et un dentiste.

Carrefour-Rue c’est aussi des studios mobiles, deux villas, « la Coulou » ainsi que le hameau des chemineaux qui permettent à des sans-abri de se reloger et de se réinsérer.

De nombreuses activités sont également proposées dans un cadre culturel et convivial.

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Société : Un Bordelais met au point un Igloo isolé pour les sans-abri

« Igloo »

C’est le projet d’un Bordelais qui a imaginé un abri isotherme pour les personnes qui dorment dans la rue par ce froid.

Alors que les pouvoirs publics semblent dépassés et demeurent impuissant pour mettre à l’abri les malheureux qui n’ont pas la chance d’être au chaud durant l’hiver, un Bordelais met au point un Igloo pour remplacer les tentes.

L’idée est de fournir aux sans-abri un toit démontable, lavable, étanche et surtout isotherme. Une température de 15 degrés Celsius à l’intérieur lorsque la température extérieure est de 0 degré.

A Paris, le Samu social n’arrive pas à traiter 80% des demandes d’hébergement des sans-abri, les igloos pourraient être une alternative temporaire.

G.S

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