Syrie, marche pacifique devant le palais des Nations Unies à Genève : Revendications / A qui profite le crime ?

Le 24 avril 2017, en fin d’après-midi et sous un soleil radieux, une poignée d’hommes et de femmes sympathisants de la cause syrienne ce sont rendus devant le palais des Nations Unie à Genève afin de soutenir la cause syrienne.

Pour rappel, voici leurs revendications :

(1) Les Etats-Unis ne sont pas en mesure de justifier cette action au titre de la légitime défense, prévue à l’article 51 de la Charte de l’ONU


(2) Les Etats-Unis ne peuvent faire état d’une quelconque autorisation du Conseil de l’ONU, le débat étant en cours à New York


(3) Les Etats-Unis ne peuvent évidemment pas anticiper les résultats d’une enquête internationale diligentée par l’Organisation internationale pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC basée à La Haye), qui demeure la seule habilitée à la conduire en application de la Convention d’interdiction des armes chimiques de 1993 à laquelle la Syrie n’a adhéré qu’en 2013


(4) Se fonder sur les seules affirmations des Services de renseignement US et occidentaux pour apporter la preuve de l’implication du régime syrien est plus que cynique si l’on se souvient des mensonges proférés par ces mêmes Services à propos de la présence d’armes de destruction massive en Irak.

L’INGERENCE AGRESSIVE ET UNILATERALE DES ETATS-UNIS NE RENDRA PAS LES SYRIENS MAÎTRES DE LEUR AVENIR!

Après 6 ans de destruction, alimentés par une guerre par procuration internationale, bien des pays occidentaux ont salué les frappes du Président Donald Trump contre une base militaire syrienne. Persuadés de leur «omniscience morale» en vertu de laquelle, le monde «libre» peut désigner impunément la colombe et le vautour, les Etats-Unis ont tenu leur rôle de «gendarme du monde» en accusant unilatéralement le gouvernement syrien d’avoir utilisé des armes chimiques contre sa propre population dans la localité de Khan Cheikhoun le 5 avril.

Ce faisant, et en prenant en otage les droits de l’homme et jouant sur la récupération politique, Trump se risque à une escalade de la violence pouvant avoir des conséquences désastreuses non seulement pour le peuple syrien mais aussi pour toute la communauté internationale. La frappe aérienne état-unienne constitue une infraction flagrante du droit international sur l’usage de la force.

Syrie : A qui profite le crime ?

En ces temps de guerre quasi mondiale, il est intéressant de se rendre compte des enjeux économiques colossaux qui se jouent en Syrie et il faut saluer le courage des journalistes qui font là, un travail admirable.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La Syrie fait partie d’un plan de remodelage du Grand Moyen-Orient depuis 2003.

Pierre Le Corf : Témoignage sans concession.

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Il faut savoir à défaut de se le rappeler : Irak, 80 kilomètres jonchés de carcasses de voitures et de cadavres

La nuit du 26 Février, 41 jours après le début de la guerre, les avions et les hélicoptères américains attaquent des milliers d’irakiens civils et soldats, en fuite vers le Koweït. Le bombardement commence à minuit et dure des heures. Il n’y aura pas de rescapé.

Le lendemain, les pools des reporters filment 80 kilomètres de route jonchés de milliers de carcasses de voitures, de bus, de camions et d’une poignée de tanks.

Les cadavres ne seront jamais dénombrés.

Les États-Unis sont accusés de crime de guerre mais l’affaire ne sera jamais portée devant un tribunal international.

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Science et vie : Essais nucléaires : les Etats-Unis dévoilent des images hallucinantes

Terrifiant. Les images des essais nucléaires américains, effectués entre 1945 et 1962, qui viennent d’être déclassifiées, montrent les effets dévastateurs, de la bombe H. Qu’elles aient lieu dans le Pacifique, le désert du Nevada ou en altitude, ces explosions rappellent les plus impressionnantes scènes de films de science-fiction. Sauf qu’il s’agit ici de la réalité.

L’image est incroyable. Une boule de feu, gigantesque, rapide, qui enfle et file vers la surface de notre planète. En dessous, un relief, qui semble en comparaison minuscule, bientôt happé par l’explosion nucléaire initiée en altitude.

Les États-Unis ont mené plus de 200 essais nucléaires entre 1945 et 1962. Lesquels ont été filmés sous tous les angles pour les besoins de la science et de l’armée américaine. Ces images étaient jusqu’ici classées « confidentiel défense ». Elles viennent d’être déclassifiées, à l’image de la vidéo présentée ci-dessous :

Toutes témoignent de la violence, de la disproportion, de l’énormité d’une explosion nucléaire, alors même que les armes qui existaient alors étaient bien moins puissantes que celles aujourd’hui détenues par les États-Unis, la Russie, la France, la Chine, le Royaume-Uni, Israël, l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.

Pas moins de 6 500 films ont été localisés par le laboratoire national de Lawrence Livermore. De son côté, le physicien spécialiste des armes Greg Spriggs a restauré les pellicules, certaines ayant souffert du temps, comme l’explique le Huffington Post.

4 200 films ont été numérisés, 750 déclassifiés et un premier échantillon de ces vidéos a été publié sur YouTube.

La bombe larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945, avait une puissance de 15 kilotonnes (soit l’équivalent de 15 000 tonnes de TNT). La plus forte bombe utilisée par les Américains, lors de l’opération « Teapot » (essais nucléaires atmosphériques au-dessus du désert du Nevada), en 1955, était de 43 kilotonnes. La plus forte bombe nucléaire aujourd’hui disponible a une puissance de 57 mégatonnes – soit 1 325 fois plus que celle de cette vidéo :

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RE OPEN 911 : Oussama Ban Laden n’a jamais pris part aux attentats du 11 septembre 2001

Tant les preuves sautent aux yeux et celles-ci sont si flagrantes que les conspirationnistes dans les attentats du 11 septembre 2001 sont celles et ceux qui croient encore à la version officielle !

Ces attentats du 11 septembre ont été orchestrés dans le but d’instaurer la peur parmi la population et de justifier la guerre en Afghanistan et en Irak. Du même coup, Bush jr. c’est assuré une ré élection.

La vidéo en quelque lignes :

Le 1er mai 2011, le président américain Barack Obama déclarait :

« Les États-Unis ont mené une opération qui a permis  de tuer Oussama Ben Laden, le chef d’Al-Qaida »

Les dirigeants de tous les pays du monde se félicitent de cette nouvelle en disant que la justice avait été faite. Les médias commentent l’évènement en disant que c’était une bonne nouvelle pour ce pays, les États-Unis, une manière de cicatriser une plaie ouverte depuis les attentats du 11 septembre.

Affirmation numéro 1 : Oussama Ben Laden responsable des attentats du 11 septembre alors que entre le 12 et le 28 septembre 2001 il déclara à quatre reprises qu’il n’était pour rien dans ces évènements.

Tandis que Ben Laden niait alors toutes implications, les hauts dirigeants américains affirmaient que les États-Unis avaient une abondance de preuves reliant Ben Laden à l’attaque terroriste mais jamais aucune preuve ne fut présentée.

En fait, Ben Laden n’était pas inculpé pour les attentats du 11 septembre, aucune preuve de sa culpabilité n’a jamais été présentée et les revendications publiques de l’ex ennemi numéro 1 prêtent toutes à caution

La question se pause donc :

Oussama Ben Laden est-il responsable des attentats du 11 septembre ?.

Oussama Ben Laden est-il mort le 1er. mai 2011 ?

Un tas d’incohérences persistent autour de l’intervention non filmée de la mise à mort de Ben Laden notamment en ce qui concerne le fait que la dépouille aurait été enveloppée dans un linceul puis jetée à la mer. Dali Boubaker, recteur de la mosquée de Paris affirme que la mise en mer ne fait pas partie de la doctrine musulmane.

Ce qu’il faut aussi savoir, c’est que le commando composé de 12 hommes c’est crashé dans un accident d’hélicoptère ne laissant aucun survivant. De plus, la photo du cadavre de Ben Laden diffusée en boucle dans les médias se trouvait être un photo montage qui circulait sur le Web 6 mois avant son exécution….

Cette enquête de Re Open 911 est à regarder absolument !

Commentaires trouvés sur les réseaux sociaux :

  • une question simple sur la mort Ban Laden ! combien de personnes sur un bateau militaire ricain ? et donc combien de téléphone portable a bord ? et personne pour ramener une photo souvenir a sa famille ;pour dire « J’Y ÉTAIT !!!  » la j’veux bien être traité d’idiot ! mais !posez vous la question !!!!!
  • Ban Laden et mort dans les grottes en 2011 soit par maladie (devait régulièrement passé au Pakistan pour faire y des dialyses !) mais bloqué a cause des bombardements intensif de l’armée US . de source Pakistanaise de l’époque ! mais jamais relater !*


« Ben Laden, storytelling et démocratie… por ReOpen911

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«Nous irons à la guerre dans la mer de Chine» : les sombres prédictions du conseiller de Trump

Des navires de la flotte militaire chinoise en mer de Chine méridionale (photographie d’illustration)

Alors que les relations entre Pékin et Washington se trouvent tendues depuis l’élection de Donald Trump, une citation de Steve Bannon – l’éminence grise du président –, évoquant un conflit futur entre les deux nations, a refait surface.

«Nous irons à la guerre dans la mer de Chine méridionale d’ici cinq à dix ans. […] Il n’y a aucun doute là-dessus», lançait en mars 2016 le chef du média conservateur américain Breitbart News, Steve Bannon, durant une émission radiophonique qu’il animait. Une déclaration choc qu’ont déterrée début février 2017 plusieurs médias anglophones, tels que The Independent. «[Les Chinois] prennent les bancs de sable et construisent des quasi-porte-avions fixes, sur lesquels ils placent des missiles […]. Ils viennent […] juste en face des États-Unis», avait poursuivi Steve Bannon.

Ces analyses de politique étrangère ont pris une tout autre dimension depuis que le militant conservateur a été nommé «stratège en chef de la Maison-Blanche», dans la foulée de l’élection de Donald Trump. Signe de l’importance que le nouveau président accorde à son éminence grise, Steve Bannon a même été promu, dimanche 29 janvier, membre permanent du Conseil de sécurité nationale – une organisation administrative conseillant le chef d’Etat en matière de politique étrangère et de sécurité.

Une ascension à laquelle l’engagement pro-Trump de Breitbart News, durant la campagne présidentielle (une exception notable dans le paysage médiatique américain), n’est sans doute pas étranger.

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USA : La vente d’armes dans le public atteint 300’000’000 pour une population de 318’000’000 d’habitants

Il faut savoir qu’aux États-Unis d’Amérique, le pays des Cowboys, il est inscrit dans la culture profonde qu’un homme non armé est un homme nu.  Mais il faut aussi savoir que la vente d’armes pour ce seul pays atteint trois cent millions sur une population de trois cent dix-huit millions d’individus et que c’est chaque année entre trente et quarante mille victimes directement liées à ce marché.

 
La tragédie survenue le 14 décembre dans l’école de Newtown, dans le Connecticut, où 20 enfants et 6 adultes ont été tués par un assaillant de 20 ans lourdement armé, a profondément choqué l’Amérique. Cette nouvelle tuerie a relancé le débat sur le contrôle des armes à feu aux Etats-Unis. La détention et le port d’armes pour les particuliers y sont garantis au nom du deuxième amendement de la Constitution : « Une milice régulée étant nécessaire à la sécurité d’un Etat libre, le droit du peuple à détenir et porter une arme ne doit pas être enfreint. » Une interdiction fédérale sur la possession, le transfert et la production d’armes d’assaut semi-automatiques, votée en 1994, a expiré en 2004.

« STAND YOUR GROUND »

La législation relative à la détention et au port d’armes à feu diffère d’un Etat à un autre. Depuis 1980, 44 Etats ont promulgué des lois permettant aux détenteurs d’armes à feu de porter des armes en dehors de chez eux pour leur protection personnelle. Cinq autres Etats avaient des lois similaires avant 1980.

En 2005, l’Etat de Floride a passé le Stand Your Ground Act (« loi pour la défense de son territoire »), une extension de la doctrine selon laquelle les citoyens utilisant une force létale face à un assaillant ne seront pas poursuivis, même s’ils avaient la possibilité de s’enfuir en toute sécurité. Ce droit s’applique hors du domicile, à tout endroit où le citoyen a le droit d’être. Trente-quatre Etats ont promulgué une telle disposition.

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Histoire : 11 septembre 2001 les théories complotistes contre une vérité officielle

11 septembre 2001, l’effondrement de 3 tours, le W.T.C 1, le W.T.C 2 et le W.T.C 7.

Les innombrables théories plus complotistes les unes que les autres faisant face à une vérité officielle n’ont pas arrêté d’alimenter rumeurs et débats.

Aujourd’hui encore, bien que les familles des victimes aient réclamé l’ouverture d’enquêtes indépendantes, ces dernières piétinent et sont systématiquement entravées. Des témoignages, des documents importants et tout ce qui pourrait faire avancer les investigations disparaissent mystérieusement.

Je vous présente une vidéo qui se déroule en trois volets :

  • Un résumé des évènements du 11 septembre 2001 qui ne manque pas d’humour.
  • Un décryptage impressionnant d’images officielles qui tente à démontrer la manipulation
  • Quand une chaîne française du service public brise l’omerta. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce reportage fut diffusé le soir, tard, à une heure de faible audience.

La question restera encore longtemps en suspend car chaque président américain nouvellement élu assure à ces prédécesseurs une immunité totale concernant cet attentat.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Trump rompt l’accord TPP et se met «du côté des identités nationales et contre le mondialisme»

Fidèle à sa promesse, Donald Trump a rompu le TPP – et ce n’est apparemment que le début des changements radicaux dans la politique internationale. Bruno Gollnisch, député européen, s’en réjouit, persuadé que la France devrait suivre cet exemple.

RT France : Donald Trump a ordonné le retrait des Etats-Unis de l’accord de partenariat transpacifique (TPP) signé par Barack Obama. Selon vous, quelles seront les conséquences politiques et économiques de cette décision ?

Bruno Gollnisch (B. G.) : Cela montre que Donald Trump ne croit pas aux vertus du libre-échange à l’échelle mondiale. Les relations commerciales entre les nations sont une bonne chose, mais il doit y avoir, selon des intérêts nationaux, des mécanismes correcteurs qui s’appelaient autrefois les droits de douane. Ils permettent de compenser, par exemple, le dumping social que pratiquent un certain nombre de pays avec de très bas salaires et en privant des salariés de toute protection sociale, d’assurance maladie ou pension de retraite.

Je crois que Donald Trump envoie un signal très fort, comme celui qu’il avait envoyé en prévenant Ford que si cette entreprise restait localisée au Mexique, les voitures fabriquées au Mexique et réimportées aux Etats-Unis payeraient des droits de douane élevés. Monsieur Fields a immédiatement annoncé sa délocalisation. Je souhaiterais que ce soit la même politique que la France adopte, ce n’est pas une politique déraisonnable. Ce qui est à mon avis déraisonnable, c’est défendre au monde entier le libre-échange, des marchandises, des personnes et des capitaux, parce que cela a des effets destructeurs sur les prospérités, sur les niveaux de vie, sur les identités des peuples. Je crois qu’on assiste à une lutte contre le mondialisme et les identités nationales. Donald Trump se situe indiscutablement du côté des identités nationales.

« Le TTIP est en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne »

RT France : Est-ce qu’on doit s’attendre à la fin d’autres traités de libre-échange comme le TTIP ?

B. G. : Je l’espère vivement. Ce traité était en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne, il ne présentait pas de garanties sur le plan sanitaire de la qualité des produits. J’aurais été de toute façon avec beaucoup de mes collègues l’adversaire de ce traité, mais nous sommes minoritaires. Je pense que Donald Trump va interrompre ce processus, ce sera une excellente chose.

RT France : A quelle réaction doit-on s’attendre de la part de la communauté internationale, notamment des pays censés faire partie du TPP ?

B. G. : Sans doute des réactions très défavorables, des hurlements, des protestations. Mais le TTIP, par exemple, était à l’étape des négociations. Par conséquent, en droit international, il n’a aucune valeur obligatoire, car il n’a même pas été ratifié, pas signé. Il n’est obligatoire qu’à compter du moment où il est ratifié, et même à compter du moment où les ratifications ont été échangées entre les signataires.

« Des intérêts des mondialistes sont extrêmement puissants »

RT France : Pourquoi y aurait-il une réaction défavorable à la dénonciation d’un traité qui n’est même pas entré en vigueur ?

B. G. : Ce sont des intérêts des mondialistes qui sont extrêmement puissants sur le plan d’un certain nombre de financiers qui contrôlent une grande partie des médias, et qui, par conséquent, s’en servent pour influencer l’opinion publique.

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Pour rappel : Un discours de Donald Trump qui ne sera jamais diffusé dans les médias Mainstream

Peut avant les élections américaines du 8 novembre 2016, Donald Trump déclarait la guerre à l’establishment, à la corruption et aux médias complices.

Ce discours peut conventionnel de la part d’un homme multi millionnaire et qui se lance à la conquête du  pouvoir laisse entrevoir s’il est élu, un imminence changement politique et géopolitique sur le plan international.

« La corruption doit cesser, les petits cadeaux entre lobbyistes et élus doivent cesser, nous devons entrer dans une ère de transparence, dans une ère ou vous, le peuple devez être écouté et compris. »

C’est la première fois dans l’histoire des États-Unis d’Amérique qu’un président élu n’a  eu besoin durant sa campagne électorale d’aucun apport financier extérieur ce qui signifie que durant toute la période ou il exercera son mandat, il n’aura de comptes à rendre qu’ à son électorat, ce qui pourrait laisser entendre que les fausses promesses seront rigoureusement réduites car ne dépendant d’aucun organisme financier externe, il sera libre de ses mouvements. Il s’agit là d’une première historique où le pouvoir se sépare de la grande finance.

Trump sera-t-il le premier président à utiliser l’argent contre l’argent ?

A en écouter son discours, on serait amené à le penser toutefois, l’avenir nous le dira. En attendant, l’Establishment lié au club très fermé de la fondation Clinton est aux abois et a d’ailleurs fermé boutique suite au résultat victorieux de Donald Trump.

L’histoire de notre civilisation est arrivée à un tournant décisif et tout va désormais aller très vite; si vite qu’il nous faudra être très attentif pour ne rien manquer.

Si toutefois la désillusion devait rejoindre la déclaration de François Hollande qui déclarait que son ennemi était la finance nous serions alors à l’aube d’une insurrection générale car il s’agirait là de la goute d’eau faisant déborder le vase.

Voici la vidéo de ce discours hors normes que les médias Mainstream ne vous montreront jamais mais dont le visionnage est capital pour la suite et la compréhension de notre histoire.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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Etats-Unis : La fondation Clinton ferme boutique, les rats quittent le navire !

Pour ceux qui en doutaient encore, la Fondation Clinton de Washington DC est à la dérive (Daily Caller). 22 membres du personnel sont mis à la porte cette semaine (date de départ le 15 avril) et le reste va suivre incessamment. Beaucoup avaient déjà pris les devants et présenté leur démission.

La Fondation Clinton est gérée par Bill et présidée par Chelsea (la fille), pour permettre à Hillary de récolter de l’argent pour sa campagne et pour accroître leur fortune personnelle.

Il était devenu clair au cours de la campagne, notamment grâce aux emails « hackés par les Russes » et rendus publics par Wikileaks, que les Clinton vendaient les services d’Hillary contre des donations par des lobbies et des gouvernements étrangers (Algérie, Arabie saoudite,…) à la Fondation. De plus, le salaire de Bill était monstrueusement élevé et les frais de fonctionnement énormes. Le mariage somptueux de Chelsea avait été payé en partie par la Fondation.

Fait significatif: depuis qu’Hillary a perdu les élections, les donateurs ont totalement disparu. Peter Schweizer, l’auteur du livre « Clinton cash » (Clinton Cash) prédit que la Fondation fermera très prochainement ses portes.

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