Que l’on soit blanc, noir, jaune ou rouge, que l’on soit issu de l’Islam, de la chrétienté, du judaïsme, du bordisme ou de quelques autres religions que ce soit, ce qui nous unit réside dans le fait que nous sommes tous issus du même bateau, la Terre.
Nous mangeons et sommes tous dépendants du même râtelier.
Quelles guerres et quelles revendications peuvent donc nous prévaloir d’un peuple plutôt qu’un autre ? Nous sommes tous issus d’un même monde et c’est la stupidité humaine qui vient tout diviser.
L’humain, tant qu’il ne l’aura pas compris sera le cancer de cette planète, il sera l’instigateur de sa propre destruction !
Déjà évoqué à maintes reprises sur Finalscape, Pascal Pot est un agriculteur hors norme. Il apprend à ses légumes à pousser dans des conditions extrêmes, sans aucun pesticide ni autres produits si chères à l’industrie agrochimique.
Redécouvrons cet ami de la nature qui finalement pratique une manière ancestrale du travail de la terre et qui est ignorée depuis un demi siècle au profit de l’industrie.
Coup de cœur : De petites mains au service de notre Mère Nature
Un énorme compliment à ces jeunes habitants d’un village de Bourkika a 12 km de Tipaza qui ont aidé a nettoyer avec notre cher défenseur de la nature Amar Adjili. Bilan : 60 sacs poubelles, de 13 h 30 à 19 h 30 …
et demande expressément de ballons de foot…
« Vous l’avez en tout cas amplement mérité. »
Merci de montrer l’exemple a toutes les personnes qui liront ce post. Vous avez toute ma sympathie et mon admiration.
Vidéo :
Mon ami Didier Marouani illustre musicalement les images avec ce titre tiré de son dernier album studio sorti en 2011 « Back to the nature » et en fin de vidéo, ces images impressionnantes tournées en Croatie en mai 2019, une tempête de plastique, images que je ne peux m’empêcher d’associer aux sept plaies d’Égypte.
Les ondes plus puissantes de la téléphonie mobile ont une influence sur le métabolisme fragile des insectes. Image: iStock¨/Keystone
Des études ont montré que les fréquences utilisées par la 5G font grimper la température corporelle des insectes. Ce phénomène n’avait pas été observé avec la 4G ou le Wifi.
Quel est le point commun entre les insectes et la 5G ? Tous les deux ont besoin d’antennes. Les premiers comme organe de l’odorat. La seconde pour se propager d’un endroit à l’autre, de manière incolore et inodore, mais pas inoffensive.
Selon le dernier magazine de Pro Natura, les insectes sont en effet sensibles aux ondes de la 5G : «Une étude récente a montré que les insectes exposés au rayonnement 5G ont une augmentation de leur température corporelle.»
L’organisation mène une intense campagne pour la sauvegarde des insectes. «Ensemble contre la disparition des insectes!», de son nom. Nombreux sont les dangers qui menacent les petites bêtes: agriculture intensive, pesticides, disparition des habitats naturels, pollution lumineuse et dorénavant l’augmentation du rayonnement de la 5G.
De 6 GHz à 120 GHz
L’étude, datant de 2018, est publiée sur le site «Scientific Reports». Les auteurs partent du constat que les insectes sont continuellement exposés à des champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) et ce à différents niveaux. La gamme de fréquences utilisée pour les systèmes de télécommunication sans fil passera bientôt de moins de 6 GHz (utilisées pour la 2G, 3G, 4G et le Wifi) à des fréquences allant jusqu’à 120 GHz (5 G).
La fièvre pour les insectes
Pour les scientifiques, les gammes de fréquences de 6 GHz n’ont pas eu d’incidence sur la santé des insectes. Par contre, à partir de 10 GHz et au-delà, l’absorption des ondes provoque une hausse de la température chez les individus observés. Autrement dit, les insectes développent une sorte de fièvre qui affecte leur comportement, leur physiologie et leur morphologie.
«Demande de bande passante»
Les auteurs de cette étude estiment que la prudence doit donc être de mise, car les opérateurs téléphoniques ne vont pas en rester à la 5G: «En raison d’une demande accrue en bande passante, on s’attend généralement à ce que la prochaine génération de fréquences de télécommunication fonctionne à des longueurs d’ondes millimétriques de 30 à 300 GHz.»
En conclusion, Pro Natura demande à ce que les Chambres fédérales «ne cèdent pas à la pression du lobby des télécommunications et de ne pas abaisser les valeurs limites de rayonnement.» (Le Matin)
On protège nos enfants mais si une fois on ouvrait les yeux et si l’on prenait la peine de se regarder dans le miroir en se posant cette simple question : Quel est le monde que je lègue à mes enfants ?
Guerres :
Les premières victimes sont toujours les enfants !
Effondrement de notre environnement :
Les premières victimes seront forcément nos enfants et ensuite nos petits enfants. Que penseront tous ces gens du passif que nous laissons derrière nous et ce, malgré tout l’amour que nous pouvions leur apporter ? À votre avis, nous remercieront-ils ou nous maudiront-ils ? Je pencherais personnellement pour la seconde possibilité mais bon, nous ne serons plus là pour le voir n’est-ce pas ? Et le principal ne réside-t-il pas dans le fait de satisfaire son égo en tant que petites gens que nous sommes pour la plu part d’entre nous ? Tout cela est si facile dans le fond.
Nous évoluons dans une société qui est faite de telle manière qu’elle nous empêche de penser et d’avoir le recul nécessaire pour nous poser les bonne questions. Toujours plus vite et toujours plus. Une société malade et autodestructrice dans laquelle la plu part d’entre nous se sentent dans leur élément. Cela fait peur, vraiment très peur !
Jiddu Krishnamurti disait : « Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade. »
Nous en sommes vraiment arrivés là et ce n’est que peu de le dire ; la majeure partie des individus peuplant notre planète aujourd’hui sont profondément inadaptés à la continuité de la vie, ils sont même nuisibles.
Mère Nature est intelligente et je lui fait confiance, elle saura faire une sélection naturelle le moment venu et ce moment fatidique ne serait tarder.
Afin d’illustrer ce billet, je vous propose une chanson qui n’e date pas d’hier puisqu’elle est sortie en 1988 mais demeure on ne peut plus d’actualité. On la doit à l’interprète-compositeur Allemand Frank Duval.
Dans les années 80, l’alarme environnementale était clairement lancée et beaucoup d’artistes y dévouaient leur talent. Malheureusement, 30 ans après, le bilan est très lourd.
“Children of our time” (Enfants de notre temps), chanson sous-titrée en français qui nous parle de ces enfants de notre époque à qui nous n’aurons pas laissé la chance de vivre dans un monde viable et l’héritage que nous leur léguons est une montagne de difficultés. Sauront-ils les surmonter ?
Avec une économie mondiale qui vacille et qui est sur le point d’imploser face à un système de dette insurmontable, un environnement qui est sur le point de s’effondrer avec un écosystème qui disparait comme neige fondant au soleil, un peuple révolté et désespéré face à des élites corrompues, une dictature économique qui s’affiche au grand jour et sans complexe…
Les médias n’ont de cesse que de parler de la lute en faveur du climat. Alors que cette lute attaque de front les transports les moins polluants tels que les voitures et les trains, d’un autre côté, les transports les plus polluants comme les paquebots et l’aviation ne sont pas touchés. Quelle est cette logique à deux vitesses pour une pseudo-lute en faveur du climat ? La taxe carbone est une foire aux bonnes affaires pour certains gros groupes industriels.
Sur le plan environnemental, mais quelle différence en matière de médiatisation ! Alors que l’effondrement de notre écosystème aurait des répercutions et un impact beaucoup plus rapide et violent envers les populations, le réchauffement climatique avec lequel on nous rabat les oreilles depuis les années 70 et dont à l’époque déjà, on nous prédisait une catastrophe mondiale pour la fin des années 90 n’a eu ni l’écho ni les conséquences dont les médias s’appliquent à nous bourrer le crâne de semaine en semaine depuis des décennies et avec un acharnement accru depuis quelques mois.
L’environnement : Un silence médiatique qui profite aux gros consortiums industriels tels que l’industrie pétrolière, l’industrie pharmaceutique, l’industrie textile, l’industrie forestière et l’industrie pétrochimique. C’est tout ce petit monde grouillant de lobbyistes qui tient les politiques par les couilles et qui nous mène en bateau.
La simple logique et le le simple bon sens ne peuvent qu’accréditer ce que je dis ou du moins, nous donner une piste pour nous poser de sérieuses questions sur le mensonge dans lequel on nous maintient.
Je ne veux ni être pessimiste ni alarmiste mais la confrontation au réalisme m’oblige à penser qu’il n’y aura pas de solution miracle à ce que nous préparons consciencieusement depuis près d’un siècle. Alors que des alternatives « vertes » pour parer à la destruction de notre environnement existent et sont mises en avant depuis quelques décennies, ni les pouvoirs publics, ni les populations ne se sont donnés de réels moyens pour y parvenir.
La symbiose entre la productivité et le consumérisme a aujourd’hui atteint son paroxysme et nous sommes entrés avec toutes les conséquences que cela implique, dans une phase d’autodestruction irréversible.
Toutes les crises sont sur le point de converger en une crise systémique ! Se voiler la face ne sert à plus rien car désormais les faits sont établis et le compte à rebours est commencé.
« Tant que les hommes ne verront pas les ours blancs pleurer, les rhinocéros gémir, les hirondelles se lamenter, les abeilles appeler au secours, les séquoias implorer le ciel, ils resteront insensibles à l’extinction massive des espèces animales et végétales. »
La 5 G, c’est le grand débat des intellectuels écolos à deux balles alors que dans le même temps, les abeilles crèvent !
Bien sûr, rien ne permet de croire que la 5 G soit responsable de ça, de même que rien ne permet de croire que le plastique soit à l’origine de la mort des océans, de même que rien ne permet de croire que votre connerie soit à l’origine de votre disparition bande de nazes !
Loin de moi l’idée d’incriminer qui ou quoi que ce soit mais des phénomènes troublants sont néanmoins perceptibles dans notre environnement !
Cette vidéo m’a interpellé ; Imaginez-vous un immeuble ou, une allée sur deux ou sur trois serait le théâtre d’une hécatombe humaine…
C’est ce qui se passe en ce moment-même chez nos amies butineuses les abeilles, indispensables je vous le rappelle à notre survie !
Pourquoi se rassemblent-elles comme un soldat dévoué pour mourir devant certaines ruches alors que les ruches voisines se comportent de manière on ne peut plus normales.
Il y a de quoi se poser des questions ne trouvez-vous pas ?