En 1971, ce collégien paraît bien seul à s’indigner contre la pollution. En 2019, ils sont des milliers dans les rues.
Le tout est de savoir ce que la jeunesse actuelle est prête à faire dans le concret pou le climat car manifester c’est bien, agir c’est mieux.
Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse
Le climat qui déchaîne les passions et qui divise de plus en plus la communauté scientifique pourrait bien être un enfumage médiatico-politique à l’échelle mondiale.
Le GIEC persiste en disant que ce phénomène de réchauffement global de la planète est dû dans sa majeure partie à l’activité humaine. Or, je vous invite à suivre la conférence de Vincent Courtillot, géophysicien français qui démonte scientifiquement les analyse établies par des centaines d’experts et y dénonce notamment l’enfumage du CO2.
Je n’ai pas d’enfant Dieu merci à part celui d’une ex compagne, Raphaël qui n’a plus de père depuis l’âge de 8 ans et que j’ai aimé comme s’il était de moi, que je salue au passage si il me lit et que j’espère avoir imprégné de ma vision des choses.
Mon cher petit bonhomme, te voilà grand à présent, et voici le monde que je te laisse !
Quel gâchis !
Je t’aime et ne cesserai de de t’aimer jusqu’à ma mort car tu fais partie de mon être. Tu me manques terriblement. À toi, et à toi seulement !
Stéphane à Raphaël
(Vidéo) Côte de la République dominicaine, le 5 mars 2019
Une tornade a frappé l’Alabama dimanche, tuant de nombreuses personnes et détruisant des bâtiments.
Au moins 23 personnes ont été tuées dimanche par une tornade qui a provoqué des dégâts «catastrophiques» en Alabama, dans le sud-est des États-Unis, selon le shérif local.
«Notre bilan atteint désormais malheureusement 23 morts», a déclaré Jay Jones, le shérif du comté de Lee situé dans l’est de l’Alabama à la frontière avec la Géorgie. Il a aussi fait état de plusieurs personnes portées disparues et d’autres hospitalisées avec des «blessures très graves».
Des enfants figurent parmi les victimes, a précisé le médecin légiste du comté, Bill Harris, à la chaîne MSNBC.
Les recherches ont été stoppés dans la nuit en raison des mauvaises conditions mais doivent reprendre lundi matin.
Un parhélie est une partie du phénomène de halo solaire, auquel il est associé, mais qui est souvent très partiellement ou pas du tout visible.
Le phénomène consiste essentiellement en l’apparition de deux images lumineuses, aux couleurs du spectre solaire, éloignées de l’astre d’une distance angulaire comprise entre 22° (petit halo) et 46° (grand halo). Elles sont placées de part et d’autre du Soleil, sur une ligne horizontale appelée « cercle parhélique », qui peut-être ou non apparent.
Un anticyclone persistant provoque une mini vague de chaleur en ce mois de février 2019 battant des records jamais égalés en altitude et bien que le GIEC persiste en disant que ce phénomène est dû dans sa majeure partie à l’activité humaine, je vous invite à suivre la conférence de Vincent Courtillot, géophysicien français qui démonte scientifiquement les analyse établies par des centaines d’experts et y dénonce notamment l’enfumage du CO2.
Stéphane Guibert / Finalscape
Voir aussi :
Cash investigation – Climat: le grand bluff des multinationales / intégrale Cash Investigation révèle les dessous d’un étrange marché, celui des «quotas carbone».
Créé par l’Union européenne il y a dix ans, il était censé inciter les industries lourdes à réduire leurs émissions de CO2, ce gaz qui dérègle le climat. Mais ce système est aujourd’hui dévoyé au profit des plus gros émetteurs de CO2, pour lesquels polluer peut même s’avérer rentable.
Total n’hésite pas à investir des milliards de dollars au Canada pour exploiter le pétrole le plus sale de la terre. Dans la région de Melbourne en Australie, Engie, qui cultive son image d’entreprise verte, exploite toujours l’une des plus vieilles centrales du monde. En février 2014, elle a provoqué un incendie qui a duré 45 jours, asphyxiant toute la région.
Elise Lucet reçoit responsables politiques, experts et grands patrons.
Tous les domaines viticoles et agricoles appartenant à l’État de Neuchâtel devront être convertis en culture biologique. Les députés du Grand Conseil ont approuvé mercredi une motion des Vert’Libéraux, malgré l’opposition de certains producteurs.
Le canton fait de plus en plus figure de pionnier de l’agriculture biologique. L’été passé, la ville de Neuchâtel avait déjà décidé de passer tous ses domaines en bio et, en janvier dernier, le Grand Conseil avait accepté un postulat pour interdire les pesticides de synthèse.
La motion approuvée mercredi demande au Conseil d’Etat de convertir dans les meilleurs délais ses mille hectares de terres cultivées à l’agriculture biologique ou biodynamique et de proposer des mesures favorables à la biodiversité et à l’environnement aux niveaux viticole et agricole.
« Il faut que le consommateur joue le jeu »
Le texte a été âprement discuté parmi les vignerons et agriculteurs présents au Grand Conseil. Le député PLR Alain Gerber, président des vignerons neuchâtelois et vice-président de la Chambre neuchâteloise d’agriculture et de viticulture, prévoit lui-même de reconvertir son exploitation, mais il a combattu la motion.
« Si je veux continuer à cultiver ces parcelles de l’Etat, je dois transformer tout mon domaine ou arrêter de les cultiver. Pour un agriculteur qui ne vend pas lui-même ses marchandises, s’il n’y a pas de preneur bio dans le secteur, il y aura une perte financière. La meilleure solution, c’est que la chose devienne nécessaire par un manque de produits. Il faut que le consommateur soit acteur et joue le jeu », déclare le vigneron jeudi dans le 12h30 de la RTS.
Alain Gerber regrette une tendance à pointer du doigt les producteurs et à vouloir leur dicter des règles. La reconversion ne se fera cependant pas du jour au lendemain. En effet, la motion donne deux ans au gouvernement neuchâtelois pour se prononcer sur la manière avec laquelle il entend forcer les quelque 130 fermiers de l’Etat à se reconvertir.
L’incroyable business plan de l’industrie agrochimique
Comment cette industrie qui en l’espace d’un siècle a réussi à nous faire croire que ce que la nature et l’homme faisaient en symbiose depuis des milliers d’années devaient désormais dépendre exclusivement de produits phytosanitaires et comment cette industrie qui nous rend malade en nous empoisonnant engrange des milliards en dividendes non pas en nous guérissant, mais en nous soignant ou autrement dit, en nous maintenant en vie en tant que malades.
« Mon ami(e), sais-tu quelle est notre plus grande fierté ? Notre plus belle réussite ?
Les produits phytosanitaires évidemment ! On a sacrément bien bossé pour les imposer aux agriculteurs. Laisse-moi te présenter notre incroyable business-plan… »
Sources :
Fabrice Nicolino et François Veillerette, « Nous voulons des coquelicots », Editions Les liens qui libèrent, 2018.
Un exemple très concret de l’effet des pesticides, insecticides et fongicides sur les abeilles pour ne citer qu’elles. Désorientées, elles ne trouvent plus le chemin de leur ruche, s’épuisent et meurent. Ce qu’il faut préciser, c’est que ces produits hautement toxiques y compris pour nous s’attaquent à la vie sans distinction.
G.S / FINALSCAPE
Réunion
Cette apicultrice ne sait plus quoi faire face à une situation désastreuse. « Depuis des semaines, j’assiste à la mort lente de toutes mes colonies d’abeilles, dont je prends pourtant soin comme si c’était mon plus précieux trésor. Je suis totalement impuissante face à ce qui se passe dans nos champs et en ce moment dans nos propres cours », explique-t-elle en colère dans un post Facebook.
Pour elle, les produits utilisés dans le cadre des démoustications est responsable de la mort de ses abeilles : « Il y a quelques temps, je pensais que c’était à cause des pesticides. Et puis, j’ai pensé à la campagne effrénée de démoustication, pour lutter contre la dengue et le Chikungunya. Naïve que je suis, je pensais que c’était des produits bien gérés, connus, contrôlés. Il y a 3 ans, c’était les mêmes produits qu’aujourd’hui. Et aujourd’hui, on nous avoue que ce sont des produits dangereux pour TOUS les insectes, les animaux à sang froid, les poissons… »
Dans son post, l’apicultrice tient à informer la population : « Ce n’est pas seulement à la mort lente et certaine de nos abeilles que nous assistons, mais aussi à celle de nos papillons, caméléons, lézards, poissons, crapauds, grenouilles. La mort de tout un écosystème précieux ! »
Et pour rappel :
Les abeilles et la vie, une histoire d’amour qui remonte à plus de 100 millions d’années
« Le jour où les abeilles disparaîtront, l’homme n’aura plus que quatre ans à vivre ; plus d’abeilles, plus de plantes, plus d’animaux, plus d’humains ».
Dans cette simple phrase attribuée à tort ou à raison au physicien Albert Einstein tout est dit. Nos chères amies butineuses sont en voie d’extinction et la vitesse à laquelle se développe le phénomène est alarmante. Plusieurs facteurs sont à incriminer dans cette hécatombe et parmi eux : les pesticides, les ondes GSM et un dénominateur commun, comme toujours lorsqu’il s’agit de mettre la vie en péril : l’homme qui semble trainer les pieds avec son déni surréaliste lorsque sa propre survie est en jeux.
Apprenez à découvrir ces insectes dont l’intelligence contenue dans un cerveau de la taille d’une tête d’épingle sont capables d’apprendre en l’espace d’une demi heure et d’appliquer un concept abstrait, cela fait relativiser la notion de l’intelligence supérieure.
Avant nous avions 4 saisons, printemps, été, automne, hiver. Le printemps et l’automne étaient des étapes intermédiaires nécessaires à la végétation et au vivant en général. Aujourd’hui nous passons de l’été à l’hiver, du chaud sec au froid gelé. Plus de périodes intermédiaires qui créent l’humus ou les bourgeons. Éléments de rebondissement de la vie. Espace de transformation du vivant. D’ailleurs étymologiquement, humus, humanité, humidité, c’est la même chose …
En mai, nous avons chanté « Il est ou le printemps ? » Nos récoltes cette année nous le rappellent cruellement … L’automne aurait-il disparu également ?
Toute la biosphère souffre illégitimement.
On nous impose des technologies industrielles en solutions miracles contre un présumé réchauffement. Du retrait du CO2 à la pulvérisation d’aérosols dans l’atmosphère avec pour objectif de décarboner ou de filtrer le rayonnement solaire. Diminution de la lumière solaire donc de la photosynthèse. Les apprentis sorciers du climat auraient-ils oublié qu’en captant le gaz carbonique durant des centaines de millions d’années, les arbres ont préparé le terrain pour l’humanité.
Cette zone intermédiaire entre ciel et terre se dessèche et meurt sous nos yeux. Alors que des expériences clandestines se pratiquent en silence dans une évolution hors contrôle.