Environnement : Une alternative bio au glyphosate refusée sans motif

Jacques Le Verger, Ingénieure agronome se bat depuis 2015 pour homologuer un produit 100% bio qu’il a mis au point et qui est une alternative au Glyphosate.

Ce produit a pourtant fait ses preuves avec la marine nationale qui l’a testé  sur ses sites. Un sous-traitant de la SNCF chargé de l’entretien des voies c’est mis sur les rangs. Depuis longtemps, l’entreprise cherchait elle aussi une alternative au Glyphosate pour désherber les 300 kilomètres de sa ligne, Bordeaux Tours ce qui a été reffusé, le produit n’ayant pas reçu l’autorisation de sa mise sur le marché.

L’ingénieur qui a déjà investi 1 million d’euros pour développer son produit a même obtenu une certification de l’INERIS, qui la jugé parfaitement inoffensif pour l’homme et pour l’environnement.

Et pour rappel :
En 2015, une petite entreprise française ne parvenait pas à vendre son désherbant bio.

(Première publication : 12 novembre 2017 sur ce site)

Jacques Le Verger, créateur de l’entreprise Osmobio, à Loudéac, a mis au point un herbicide qui s’avérerait sans dangers, selon les premières études réalisées. (Photo d’archives Didier Déniel)

OsmoBio, désherbant 100% bio qui pourrait être une alternative intéressante face aux fameux Roundup de Monsanto et pourtant, en 2015, cette petite entreprise bretonne dirigée de main de maître par Jacques Le Verger ne parvenait pas à vendre son produit. Qu’en est-il aujourd’hui ?

Stéphane Guibert

Où en est rendu Jacques Le Verger, ce Loudéacien qui a inventé un désherbant “naturel” et jugé sans risque ? En plein débat sur le glyphosate, il compte déposer un nouveau dossier à l’Anses, au premier semestre 2018, afin de commercialiser son produit. Après moult années de combat pour convaincre.

Ce mercredi, à Bruxelles, la Commission européenne a décidé de remettre à plus tard son vote sur le renouvellement de l’autorisation du glyphosate, l’herbicide tant contesté. Ce mercredi, à Loudéac, Jacques Le Verger, patron de l’entreprise Osmobio, continue d’œuvrer pour que sa solution alternative – un désherbant prometteur – puisse être commercialisée.

Plus d’un million d’euros engagés

Depuis 2009, sa petite société a engagé plus d’un million d’euros pour mener à bien les études idoines dans le but de convaincre l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) de l’absence de danger de sa trouvaille. Il y a deux ans, l’Anses estimait son premier dossier incomplet.

A la suite de cela, “nous avons changé notre approche du produit, plus concentré, afin de réduire son coût et son impact écologique, en diminuant les ressources en plantes dont nous avons besoin”. Le diplômé d’agronomie doit en effet isoler “cinq à six actifs” végétaux pour formuler son produit qui a été testé par la Direction des routes de l’Ouest (Diro) de 2011 à 2013. Des tests qui se sont avérés “concluants”.
Concrètement, Jacques Le Verger compte confier ce nouveau dosage à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) en début d’année 2018. En juillet 2012, ce grand laboratoire public avait conclu, pour la première formule, à une absence de risques pour l’homme et l’environnement. Si les résultats s’avèrent aussi bons, le gérant d’Osmobio remettra ensuite un dossier complet à l’Anses. A la clé, au moins trois mois d’études de toxicité.

Tout s’accélère pour trouver une alternative au glyphosate

Malgré toutes ces années passées à voir des obstacles se dresser les uns après les autres, Jacques Le Verger garde confiance. Et peut-être plus encore aujourd’hui. Il observe le débat sur le glyphosate et le besoin toujours plus urgent d’une solution de substitution. “Je pense que cela va accélérer le processus d’étude des produits alternatifs, c’est nécessaire”, estime-t-il.
Ne craint-il pas de voir des géants de l’agrochimie lui passer devant ? “Je reste réaliste mais je considère que l’on a toujours un temps d’avance concernant l’utilisation d’extraits de plantes. Et notre produit se révèle très proche du glyphosate en terme d’efficacité”, affirme le patron loudéacien. “Il y aura plusieurs désherbants sur le marché, les consommateurs feront des comparaisons et j’espère que le nôtre sera reconnu comme performant, écologique et économique”, complète-t-il.

Quant aux désherbants “naturels” (aux acides pélargonique ou acétique) déjà en vente en jardinerie, ils ne trouvent – évidemment – pas grâce aux yeux de l’ingénieur : “Ils ne remplissent pas la fonction de désherbage : il n’y a pas d’action sur la racine, les plantes redémarrent de plus belle”.

Reste à savoir d’où viendra la solution miracle contre les herbes folles – si elle existe. Peut-être du cœur même de la Bretagne, à Loudéac…

Source :

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Environnement : Les lobbies de la chimie et leur accès aux amendements avant même leurs publications officielles

Le ministre de l’Agriculture refuse l’interdiction légale du glyphosate.

Pour Delphine Batho, ancienne ministre de l’Écologie et Présidente de Génération écologie : »il y a une ingérence inacceptable des lobbies dans la démocratie »

Un amendement concernant l’interdiction du Glyphosate en France est tombé entre les mains de l’UIPP, qui regroupe Monsanto-Bayer, BASF, Syngenta entre autres, plus de 90 heures avant qu’il ne soit porté à la connaissance de l’Assemblée nationale.

5 questions sont alors soulevées :

  • Qu’est-ce que le Glyphosate ?
  • Pourquoi se battre pour l’interdire ?
  • Est-ce que le gouvernement Macron a rétropédalé sur ses positions ?
  • Qu’est-il reproché à Bayer-Monsanto ?
  • Comment peut-on combattre les lobbies à l’assemblée ?

Retour sur son coup de gueule à l’Assemblée.

Il faut garder à l’esprit que ce produit se retrouve dans nos aliments et dans l’eau que nous buvons, que sa biodégradabilité dans notre environnement est excessivement lente, on parle de plusieurs décennies , que ses méfaits se répercuterons sur les générations à naître et tout ça, pour un profit immédiat.

Sur la vidéo qui suit, les effets des pesticides et des insecticides sur les abeilles et leurs larves en gestation :

Les abeilles trépassent à l’intérieur de la ruche et sont exfiltrées les unes après les autres par leurs consœurs. A l’intérieur de la ruche, le pollen toxique participe à l’alimentation des larves dans leurs alvéoles de cire et c’est là qu’intervient sournoisement le bloqueur de mue, le second insecticide du mélange. Intoxiquées par le pollen, de nombreuses larves ne parviendront pas à se transformer en nymphes et ne deviendront jamais des ouvrières.

C’est un désastre écologique sans précédent que nous vivons et qui remet en question notre propre survie.

Stéphane Guibert

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Environnement : Un pavé de plus dans la marre avec les microplastiques qui prennent le large

Des tonnes de microplastiques se retrouvent dans l’Arctique, zone inhabitée. Quelles sont les conséquences de cette pollution ? L’équipe de Tara Expéditions tente de trouver des réponses.

Comment des microplastiques sont-ils arrivés dans l’Arctique ?

L’expédition de recherche scientifique Tara a mis en évidence la présence de débris de plastique flottant jusque dans l’océan Arctique. Pourtant, cette zone est inhabitée. Selon Romain Troublé, directeur de la fondation Tara :

« Les microplastiques viennent de la terre, de nos rivières, de nos fleuves, ils flottent donc ils coulent avec l’eau dans la mer, ils se fragmentent avec le temps, avec les rayons du soleil et une fois qu’ils se retrouvent dans la mer ils se mettent à dériver comme les courants marins. »

Charriés par le Gulf Stream, le courant Atlantique nord, plusieurs centaines de tonnes de plastique arrivent dans les eaux de surface arctiques depuis l’Europe et les États-Unis. 300 milliards de micro-fragments de la taille d’un grain de riz qui pourraient bouleverser notre écosystème.

« Le microplastique interagit en permanence avec les microalgues, les virus, les bactéries dans la mer et finalement, il se fait coloniser par ces microalgues et ça fini par sentir la nourriture, c’est mangé par des petits organismes puis des plus gros et encore des plus gros et aujourd’hui, on a pas la réponse on ne sait pas à quel point c’est nocif, la recherche qui va se développer dans les années qui viennent va être de comprendre jusqu’où cette pollution affecte l’écosystème, affecte la chaîne alimentaire. Est-ce que ça va jusqu’à dans notre assiette ? »

Cela ne fait que quelques décennies que l’humanité utilise du plastique et la pollution générée est déjà un problème mondial jusque dans les zones les plus isolées. Les scientifiques de la fondation Tara analysent maintenant les effets des débris plastiques sur les océans.

C’est par nos comportement que nous ferons plier les industriels. Joli coup de gueule sur les aberrations dans l’utilisation du plastique.

Stéphane Guibert

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Environnement : « On marche sur la tête. On est des pollueurs, il n’y a pas d’autre mot »

« On marche sur la tête. On est des pollueurs, il n’y a pas d’autre mot »

Alain, agriculteur en Normandie a décidé d’arrêter tous les pesticides.

Hugo Clément et Clément Brelet l’ont rencontré alors que les députés ont refusé d’inscrire l’interdiction du glyphosate dans la loi.

Cet agriculteur qui ne jurait que par les cultures traitées chimiquement a fait volte face depuis qu’il c’est rendu compte lors d’un séminaire organisé par une station de pompage que l’eau contenait des pesticides. Aujourd’hui, tous ses produits sont issus du label bio. On connait maintenant l’impact du Glyphosate sur les abeilles et ce qui est intéressant de découvrir dans ce reportage, c’est que dans un champ non traité, par beau temps, nos chères butineuses pullulent par milliers au milieu de cette biodiversité contrairement aux champs chimiquement traités où la vie a disparu.

Depuis qu’il ne traite plus ces champs, Alain engendre un bénéfice supplémentaire de 30’000 euros par année.

Stéphane Guibert

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L’image du jour : Consommation à outrance, les effets de notre ignorance ou de notre déni sur la seule maison que nous ayons, Gaïa

Alors qu’en France on se bat pour un pot de Nutella, il est bon de se rappeler des ravages que font les cultures de palme sur l’environnement et l’écho système ainsi que de l’indifférence et même de la cruauté de l’homme quand des intérêts financiers sont en jeu.
 
Pour rappel : Les ravages de l’huile de palme sur NOTRE environnement.
Green : Tout le monde devrait voir ce film enfin… Ceux qui ont une conscience et un cœur.
“J’ai super honte d’être un être humain. Je fais mes films par honte, c’est ce qui me motive. Je trouve ça scandaleux ce que l’on fait subir à la planète et aux autres espèces vivantes. La terre irait tellement mieux si on était pas la. Je ne peux pas comprendre que l’on puisse se sentir à ce point supérieur aux autres espèces, que l’on puisse avoir à ce point aucune apathie pour des êtres qui ont autant le droit de vivre que nous.”

Patrick Rouxel, jeune cinéaste nous dévoile au travers de son film “Green” les désastres causés par la culture de palmiers destinés à la fabrication de l’huile de palme utilisée dans la composition de nombreux produits alimentaires.

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Environnement : Guatemala : 109 morts trois jours après l’éruption du volcan de Feu

Plus de 12 000 personnes ont dû être évacuées depuis dimanche. Et si 200 personnes sont toujours portées disparues, il est peu probable de retrouver des survivants.

Le bilan ne cesse de s’alourdir au Guatemala, trois jours après l’éruption spectaculaire du volcan de Feu. Selon de nouvelles données diffusées mercredi 6 juin, au moins 109 personnes sont mortes et 200 toujours disparues. Le volcan, d’où s’échappait une colonne de fumée et de cendres, a continué mercredi à émettre des explosions de faible intensité à la fréquence de quatre ou cinq par heure.

« L’activité se poursuit et la possibilité de nouvelles descentes de flux pyroclastiques (composés de cendres, de boue, d’eau et de roches à hautes températures) dans les prochaines heures ou les prochains jours n’est pas à exclure, il est donc recommandé de ne pas rester près de la zone affectée », a fait savoir l’institut guatémaltèque de vulcanologie, l’Insivumeh. Par ailleurs, l’organisme a mis en garde les habitants contre des risques de glissement de terrain en raison de fortes pluies survenant en fin de journée.

Dimanche, les projections spectaculaires de lave et de cendres de ce cratère culminant à 3 763 m et situé à 35 km au sud-ouest de la capitale Guatemala ont semé la désolation dans les bourgs ruraux situés sur le flanc du volcan. Sur les 99 personnes mortes, seuls 28 corps ont jusqu’ici pu être identifiés. A la suite de l’éruption, plus de 12 000 personnes ont dû être évacuées.

Le bilan pourrait s’alourdir

Sergio Cabañas, directeur des opérations de secours, a annoncé que les fouilles seraient menées à leur terme dans toute la zone, même s’il reconnaît que la probabilité de retrouver des survivants est infime soixante-douze heures après le drame. « Si on est piégé dans le flux pyroclastique il est difficile de rester en vie », a-t-il souligné, ajoutant que certains corps totalement calcinés pourraient ne jamais être retrouvés.

Mercredi, des policiers étaient chargés de peindre en rouge les amas de débris déjà fouillés par les secouristes dans les hameaux les plus touchés de San Miguel Los Lotes et El Rodeo, transformés en une mer de poussière grisâtre encore fumante, où se mélange dans une odeur de brûlé les corps sans vie d’animaux dispersés dans toute la zone dévastée.

Le volcan de Feu était déjà entré en éruption en janvier 2018. En septembre 2012, son précédent réveil avait entraîné l’évacuation de 10 000 personnes résidant dans des villages situés sur le flanc sud.

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Environnement : Quand j’étais enfant, les hirondelles tapissaient le ciel durant la belle saison

Mais où sont les hirondelles ? Depuis plusieurs années je me pose cette question et vais essayer d’apporter ici un début de réponse.

Voici un premier indice : C’est en 2016 au début du printemps qu’une hécatombe c’est produite en Belgique. Les hirondelles qui parcourent des milliers de kilomètres arrivent dans nos régions complètement épuisées. Elles ont besoin d’un apport en nourriture substantiel, entre 1’500 et 2’000 insectes par jour  pour recouvrer les forces qui vont leur permettre de nicher et de s’accoupler afin de perpétuer l’espèce.  Le froid qui persistait au moment de leur arrivée les a privé de cette nourriture indispensable et ce sont des milliers d’oiseaux qui ont ainsi perdu la vie. C’est le changement climatique qui devient de plus en plus perceptible d’année en année qui est dans un premier temps à incriminer dans cette extinction qui se dessine.

On met également en cause l’industrie agroalimentaire qui suite à des pratiques comme la déforestation ou l’épandage de produits phytosanitaires raréfie considérablement les insectes qui sont la base même de l’alimentation des oiseaux et c’est sans compter les particuliers qui détruisent les nids qui sont construits dans des granges, des garages ou encore sous les balcons selon l’espèce et que les oiseaux devraient normalement réintégrer chaque année après leur long périple.

Aujourd’hui, on estime à entre 40 et 55% le déclin pour cette seule espèce et cela va en s’accélérant.

Pourquoi l’être humain attend-t-il systématiquement d’être au bord du précipice pour se mobiliser, pourquoi n’arrive-t-il pas à vivre en symbiose avec son environnement et quel sera l’élément qui déclenchera sa propre extinction ?

Il est important de comprendre que ce sont nos agissements irresponsables qui déstabilisent et détruisent notre environnement mais ce qu’il faut surtout se dire, c’est que la nature nous survivra car ce que nous sommes en train de faire n’est rien d’autre que la planification de notre propre mise à mort. Peut-être que l’espèce humaine trouvera les moyens de survivre à cette débâcle et si tel est le cas, les générations futures nous montreront du doigt tout en nous accusant de crimes contre la planète.

Voir aussi : Les hirondelles et les raisons de leur déclin

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

Crédit vidéo : France Info

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Environnement : Hiver 2017 – 2018, 80% de mortalité chez nos amies les abeilles

L’URGENCE EST DANS LA NATURE !

Bien encadrés par des CRS, les apiculteurs tirent la sonnette d’alarme lors d’une manifestation à Paris. Au sortir de l’hiver, ce constat affligeant avec 80% de mortalité chez les abeilles.

Einstein disait que le jour où les abeilles disparaitraient, il ne resterait à la gent humaine que deux ans d’espérance de vie.

Souvent évoqué sur le site, la disparition des abeilles s’accentue à une vitesse exponentielle et à l’issue de la saison hivernale en France, le constat est accablant pour les butineuses avec une mortalité atteignant 80%.

Dans certaines provinces de chine où les abeilles ont totalement disparu, ce sont les paysans qui doivent manuellement polliniser les fleurs des arbres fruitiers. Alors que les abeilles le font gratuitement pour nous, si nous devions en passer par les mêmes pratiques, à combien s’élèverait le kilo de pommes ?

Les pesticides dont le très controversé Roundup contenant du Glyphosate soupçonné d’être non seulement la cause majeur de cette catastrophe écologique mais aussi un agent cancérogène nuisant à la faune et à nous les humains, ne cessent d’enfler la polémique alors que de son côté, l’Union européenne s’obstine à fermer les yeux pliant sous la pression des lobbyistes de l’industrie chimique.

Retour sur la manifestation des apiculteurs qui c’est déroulée à Paris sous haute surveillance.

Business is business !

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

Dans certaines régions de Chine comme c’est le cas dans la province du Sichuan, les abeilles ont totalement disparu depuis bien longtemps. Au début des années 80 l’utilisation des pesticides non contrôlée a anéanti toutes les abeilles de la région tuant de cause à effet toutes les plantes à pollen qui subvenaient aux besoins de la population.

La production fruitière c’est alors effondrée laissant les fermiers assister impuissants à la destruction de leur gagne-pain.

G.S

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Environnement : Une brouette est une broutille

Je relaye la vidéo car elle fait le buz sur les réseaux sociaux tout en incriminant ce technicien de surface en l’accusant de participer activement à la dégradation de l’environnement, mais ce qu’il faut savoir c’est qu’en arrière plan, ce sont des milliers de tonnes de gravats par jour qui sont déversés dans la mer.

Cette scène se déroule à Bab El Oued (Algérie) et plus exactement sur l’esplanade d’El Kettani en face de la DGSN.

Actuellement à cet endroit il y a de grands travaux pour l’aménagement d’un quai carrossable du Stade Ferhani jusqu’à l’Amirauté. L’entreprise chargé des travaux déverse des milliers de tonnes de terres et de roches pour gagner une bande d’une trentaine de mètres tout le long de la côte.

G.S

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