Serge Dassault, celui qui sauvera l’économie pour le 1 %

Serge Dassault, celui qui a tout compris et qui ne mâche pas ses mots !

Pour sauver l’économie il faut tout d’abord être compétitif et pour être compétitif il faut en passer par des concessions; c’est à dire, adopter les  39 heures sans plus attendre. Il est inconcevable que les chinois qui travaillent 45 heures, qui dorment sur place afin de gagner du temps et qui font des produits pas chers ne soient pas pris en exemple par les français. Non mais !!!

N’a-t-on pas fait la loi travail pour permettre aux français d’imiter les chinois tout en minimisant les tracas administratifs ? Non mais (bis) !!!

Décidément, ils n’y comprennent rien ces français heureusement qu’on leur a supprimé le droit au référendum en 2008 avec le traité de Versailles.

Si en France la croissance n’est pas au rendez-vous c’est tout simplement parce que le coût du travail est trop élevé, parce que l’on ne travaille pas assez, parce qu’il n’y a pas assez de flexibilité, parce que l’employé est trop protégé.

Y a pas photo, Pour redonner du travail aux français il est indispensable de les faire travailler plus tout en gagnant moins faute de quoi il y aura toujours plus de  délocalisations et de moins en moins de travail.

Ah j’allais oublier; en France, on a trop de fonctionnaires à payer et de cause à effet, on a plus d’argent pour investir. Il faut donc réduire le personnel etc, etc, etc…

Par son raisonnement, Serge Dassault est le serpent qui se mord la queue.

Il se trouve que ceux qui font tourner l’économie par leur travail et en sont le carburant par leurs achats sont ces mêmes travailleurs auxquels on demande de plus en plus de sacrifices, ces travailleurs que l’on dénigre, que l’on traite comme quantité négligeable et cela devient de moins en moins tenable !

 

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Éthique et commerce responsable : Monnaie alternative, le Léman (Article à venir)

Il était une fois un petit groupe de personnes qui désiraient une monnaie locale…

Il était une fois un petit groupe de personnes qui se posaient des questions sur la monnaie.

Plusieurs d’entre nous avaient l’intuition que le système monétaire mondial ne profitait qu’à certains et qu’il renforçait les inégalités (des riches toujours plus riches, des pauvres toujours plus pauvres) tout en fragilisant les économies locales balayées par la globalisation des marchés et les politiques d’austérité.

D’autres, voulaient s’engager dans un projet concret qui rassemblerait les énergies de part et d’autre de la frontière. Certains cherchaient des solutions immédiates à la précarité, d’autres étaient fascinés par le défi intellectuel de pouvoir inventer de nouveaux systèmes monétaires. Certains avaient le sentiment qu’il était possible et souhaitable de revenir à des échanges plus transparents, plus simples, plus directs, et que ceux qui ne trouvent pas d’emploi sur le marché du travail ont cependant de grandes qualités et compétences à mettre au services d’autres personnes du réseau, et qu’il était donc primordial de recréer du lien entre nous!

(Article à venir)

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Pour rappel : La forfaiture du 29 mai 2005

Forfaiture avant d’accorder votre voie, souvenez-vous !

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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France : Le gouvernement entretient un climat de guerre civile.

Brigitte Bardo que l’on croyait décédée suite à un billet publié sur Twiter  ce qui a été formellement démenti par son entourage ensuite nous donne son avis sur les manifestations plus ou moins violentent qui se déroulent en France.

Brigitte suit Fillon dans son raisonnement en disant que le gouvernement entretien un climat de guerre civile et je donne mon aval à ce raisonnement. Cela fait déjà bien longtemps qu’en Europe, des tentions entre les différentes cultures sont artificiellement entretenue afin de favoriser ce fameux choc des civilisations.

Diviser pour mieux régner stratégie bien connue pour rester maître de la situation. Les événements vont aller très vite en Europe et en ce qui concerne la France, les plus alarmistes ou complotistes pensent qu’un fait majeur va se produire et que les élections de mai seront à défaut d’être annulées en tous cas suspendues.

Nous verrons.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

>>>Source de la vidéo<<<

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France & Casseroles au cul : Un statut particulier du candidat pointe son nez !

Information à prendre au conditionnel !

Un Statut particulier du candidat en France permettrait à toutes celles et ceux qui se présentent lors d’une élection d’être intouchable concernant les éventuelles casseroles qu’ils traineraient derrière eux.

Il est pas beau le monde comme ça ?

Je n’ai pas plus d’infos pour le moment hors mis la source ici présente mais comme il n’y a pas de fumée sans feu, attendons-nous à une nouvelle bombe !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Il faut savoir : L’incroyable histoire de ce brillant chirurgien algérien que la France boycotte !

Les citoyens français d’origine étrangère sont sommés de s’intégrer, de devenir plus français que les français eux-mêmes, c’est la seule manière paraît-il de prouver qu’ils souhaitent s’installer durablement dans leur pays d’accueil.

Mais cela suppose une volonté de part et d’autre, et lorsque les nombreux diplômés d’origine étrangère sont cantonnés à des rôles de subalternes, l’intégration semble soudain plus difficile à appliquer.
Le professeur Redha Souilamas est un éminent chirurgien thoracique d’origine algérienne dont la renommée est internationale. Lorsqu’il arrive à l’hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) à Paris, le professeur Souilamas est plein d’espoir et met du cœur à l’ouvrage.

Secondé par son équipe, il s’occupe des personnes atteintes de pathologies thoraciques graves comme les affections malignes (cancer du poumon, pneumothorax et pleurésie). Il est reconnu par ses pairs pour être l’un des meilleurs chirurgiens thoraciques et de la greffe pulmonaire dans le monde, il compte à son actif pas moins de 95% taux de réussite.
Malgré ce succès, le praticien va vite déchanter, il va s’apercevoir que porter un patronyme maghrébin peut vous valoir les pires vexations s’apparentant même à du harcèlement. Dans un livre intitulé « La Couleur du bistouri », Redah Souilamas dépeint son quotidien au sein de l’hôpital public français, avoir démontré son talent de chirurgien ne lui sera d’aucune utilité car il sera toujours considéré comme «  une roue de secours  ».
Il lui arrivait même de faire des photocopies relate-t-il dans son ouvrage et il devait s’«  estimer heureux  » selon ses supérieurs hiérarchiques bien que certains doyens reconnaissaient qu’il méritait la nomination de professeur mais que «  ce sera compliqué  ».

Titulaire d’un doctorat en médecine de la Faculté d’Alger, Redha est cantonné à être un « FFI » (Faisant fonction d’Interne), un statut que porte les médecins étrangers dont les diplômes ne sont pas reconnus en France. A cela s’ajoute l’origine ethnique avec pour toile de fond, frustration et sentiment d’injustice.
Une marginalisation et une exclusion qui vont pousser le célèbre professeur à démissionner en 2013 et à émigrer en Belgique pour être nommé professeur chef du service des transplantations pulmonaires à l’Hôpital Erasme de l’Université Libre de Bruxelles spécialisé dans les maladies liées au cancer.
Au bout d’une année, il est sollicité par le département de chirurgie thoracique à la Cleveland Clinic d’Abu Dhabi, il s’agit d’un nouvel hôpital de très haut standing situé et l’une des plus grandes institutions hospitalières du monde employant près de 45.000 personnes.

Des années plus tard, Redha Souilamas y exerce toujours, il s’est rendu en novembre 2016 dans son pays d’origine où il a organisé une conférence internationale intitulée « Innovation Conférence In Thoracic Diseases » en présence de spécialistes venus du monde entier. Aujourd’hui il met ses connaissances à la disposition de ses pairs afin de les aider à développer la chirurgie vidéo-assistée et mini-invasive.

A cause de ses préjugés sur les origines ethniques, la France s’est séparée d’un éminent chirurgien.

C’est dans la compréhension, la connaissance et l’auto critique que l’humanité pourra avancer et non en restant dans l’ignorance et le déni.

GS

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Histoire : Quand la France plongeait les Algériens dans des fosses d’acide et quand le 17 octobre 1961 on jetais des algériens vivants dans la seine

Quand l’histoire nous rattrape :

Je vous présente dans ce billet deux faits historiques impliquant la France lors de massacres à l’encontre du peuple algérien.

Le premier se situe avant la guerre d’Algérie ou des civils étaient littéralement brûlés vifs dans des bains d’acide et le second, en mai 1961 qui suite à une manifestation pacifique des algériens réunissant à Paris des familles entières sans armes que Maurice Papon, préfet de police de Paris décida de réprimander par la force en torturant à mort, en ligotant certains manifestants des pieds à la tête puis les jetant dans la Seine les abandonnant à leur triste sort; ces faits ne sont révélés dans aucun manuel d’histoire et pourtant ils existent. Ils font partie de la sombre histoire de France.

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Mise à jour, le 27 février 2017 à 10:25

Certains commentaires m’accusent d’attiser la haine ou encore de faire le jeu de Macron alors qu’il n’en est rien.

Il s’agit juste pour moi de remettre l’église au milieu du village. Toutes les cultures ont leur zone d’ombre, ce n’est pas pour autant qu’il faille les occulter. Je pense que c’est dans la compréhension, la connaissance et l’auto critique que l’humanité pourra avancer et non en restant dans l’ignorance et le déni.

GS

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Les atrocités du 17 octobre 1961 :

Ce fut un massacre dont certaines antennes médiatiques indépendantes nous laissent quelques brides aujourd’hui mais que les médias Mainstream actuels se font un devoir d’enterrer à tout jamais.

Les lignes qui suivent vous relatent les faits de ces deux incidents. Ce qu’il faut garder en mémoire suite à leur lecture, c’est la manipulation médiatique dont nous sommes tous victimes, qui nous empêche de nous regarder dans les yeux et de nous remettre en question.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La France qui se prévaut d’être un pays démocratique et qui n’hésite pas à dénoncer les exactions commises dans les autres pays, oublie qu’en temps de guerre elle a utilisé les mêmes procédés décriés à grands cris aujourd’hui.
Les français ont pratiqué la torture qu’ils ont utilisée comme une arme de guerre pour faire parler les plus récalcitrants.

Bien avant la guerre d’Algérie, la torture est institutionnalisée et largement exploitée par les forces coloniales françaises contre des centaines de milliers d’Algériens.

En bon gestionnaire de la crise, le gouvernement français a assuré ses arrières en votant le 31 juillet 1968 une loi d’amnistie qui va couvrir l’ensemble des infractions commises en Algérie. Celle-ci prévoit notamment que «  Sont amnistiées de plein droit toutes infractions commises en relation avec les événements d’Algérie  ».
Cette loi s’oppose aux principes mêmes du droit international qui ne concède pas la possibilité de soustraire les auteurs de violations des droits de l’homme à la justice. Et pourtant le régime français empêchera toute victime de le poursuivre après la guerre.

En 1961, un article paru dans le journal Vérité-Liberté donne un aperçu d’un des lieux mythiques des renseignements français qui a servi à torturer des milliers d’Algériens, la ferme Ameziane. Un extrait de l’article donne toute l’étendue du calvaire vécu par la population, hommes, femmes et enfants.

«  À la ferme Ameziane, centre de renseignement et d’action (C.R.A.) de Constantine, elle se pratique à l’échelle quasi industrielle.(…) C’est à la ferme Ameziane que sont conduits tous les suspects pris par les unités de l’Est algérien. L’arrestation des « suspects » se fait par rafles, sur renseignements, dénonciation, pour de simples contrôles d’identité.
Un séjour s’effectue dans les conditions suivantes : à leur arrivée à la « ferme », ils sont séparés en deux groupes distincts : ceux qui doivent être interrogés immédiatement et ceux qui « attendront », à tous on fait visiter les lieux et notamment les salles de tortures « en activité » : électricité (gégène), supplice de l’eau, cellules, pendaisons, etc.
Ceux qui doivent attendre sont ensuite parqués et entassés dans les anciennes écuries aménagées ou il ne leur sera donné aucune nourriture pendant deux à huit jours, et quelquefois plus encore.

Les interrogatoires,(…) sont menés systématiquement de la manière suivante : dans un premier temps, l’Officier de renseignement pose ses questions sous la forme « traditionnelle » en les accompagnant de coups de poing et de pied : l’agent provocateur, ou l’indicateur, est souvent utilisé au préalable pour des accusations précises et… préfabriquées. Ce genre d’interrogatoire peut être renouvelé.
On passe ensuite à la torture proprement dite, à savoir : la pendaison (…), le supplice de l’eau (…), l’électricité (électrodes fixées aux oreilles et aux doigts), brûlures (cigarettes, etc.) (…) les cas de folies sont fréquents (…) les traces, cicatrices, suites et conséquences sont durables, certaines même permanentes (troubles nerveux par exemple) et donc aisément décelables.
Plusieurs suspects sont morts chez eux le lendemain de leur retour de la « ferme ».
Les interrogatoires-supplices sont souvent repris à plusieurs jours d’intervalle. Entre-temps, les suspects sont emprisonnés sans nourriture dans des cellules dont certaines ne permettent pas de s’allonger. Précisons qu’il y a parmi eux de très jeunes adolescents et des vieillards de 75, 80 ans et plus.
À l’issue des interrogatoires et de l’emprisonnement à la ferme, le « suspect » (…) sera considéré comme « disparu » (lorsqu’il est mort des suites de l’interrogatoire ou abattu).  »

Aujourd’hui la France se targue d’être un pays qui défend les droits de l’homme, des minorités et des opprimés partout dans le monde.

Et pour rappel, le massacre du 17 octobre à Paris, une tacha sombre dans l’histoire de France que l’état minimisa.
Le 17 octobre 1961 alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin,
le FLN appelle à une manifestation pacifique dans les rues de Paris
pour dénoncer le couvre-feu raciste imposé quelques jours plus tôt aux Algériens et par extension à tous les Maghrébins (obligation d’être sans cesse isolé, et interdiction aux travailleurs algériens de sortir de 20h30 à 5h30, les cafés tenus par des musulmans doivent fermer à 19h…). Cette manifestation rassemble environ 30.000 personnes.
Début de la manifestation pacifique le 17 octobre 1961 à Paris
Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.

Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement alors même que les partisans de la Nostalgérie prônent la promotion de l’oeuvre positive française durant la colonisation dans les programmes scolaires !!! [1]

Le 27 octobre 1961, Claude Bourdet, alors conseiller municipal de Paris et aussi journaliste à « France-Observateur », avait interpellé le préfet de police, Maurice Papon, en plein conseil municipal de Paris sur l’exactitude des faits qui se lisaient dans la presse parisienne, à savoir le repêchage dans la Seine de 150 cadavres d’Algériens depuis le 17 octobre 1961 entre Paris et Rouen.

Sur Youtube

>>>Voir l’article<<<

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France : Un voleur sauve sa victime, tombée sur les voies du métro

Les images que vous allez voir remontent à 2012. Elles démontrent l’indifférence de certaines personnes quand elles sont témoins d’une scène ou d’autres personnes sont en situation de danger imminent.

Un homme assis sur une chaise dans une station de métro dormant parce qu’il a trop bu se fait dérober ce qu’il a dans ses poches par un voleur. Le l’arsin accompli, ce dernier s’éloigne mais reste dans la station.

La personne endormie se lève soudain, son comportement laisse penser soit qu’il est saoul, soit qu’il est malade. Il s’avance dangereusement vers la voie du RER. Un usager assiste à la scène les mains dans les poches. Il ne réagit pas. C’est alors que l’homme mal en point tombe du quai et s’affale sur les rails. Le témoins reste toujours passif et s’éloigne même de la scène.

Cet homme pourrait être passible de poursuites judiciaires pour non-assistance à personne en danger.

C’est alors que surprise, c’est le voleur lui-même qui viendra au secours de sa victime.

Yeux dans les yeux, comment auriez-vous réagi si vous aviez été à la place du passant passif ?

Guibert Stéphane / Finalscape / VK

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L’affaire Théo : Les implications médiatiques et politiques

Texte repris lors d’un article précédent :

En France, l’affaire Théo qui met le feu aux poudres ne sert que les intérêts médiatiques; un mini attentat justifiant l’embrasement des banlieues. Mais ne soyez pas dupes amis français, ce scénario savamment orchestré par les médias Mainstream n’est destiné qu’à vous embrumer l’esprit, vous monter les uns contre les autres et apparemment ça marche vu ce qui se passe en ce moment!

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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