En temps de guerre, rien n’est blanc, rien n’est noir. Mais où le bât blesse c’est que ce sont des innocents qui payent le lourd tribut dont se goinfrent sans vergogne les puissants de ce monde. Il serait peut-être temps à défaut d’être éclairé, de se réveiller en se posant les bonnes questions.
La Matrice vit ses dernières heures, ils le savent et mettent tout en œuvre afin de nous confiner dans notre ignorance.
J’ai collecté pour vous un ensemble d’informations qui pourrait tout remettre en question.
Je tiens à remercier mes collègues de Meta TV, Pierre le Corf et tous les intervenants qui s’emploient pour que la vérité triomphe.
Que ce soit au Yémen, en Palestine, en Syrie ou touts autres conflits sur cette planète, les médias dominants s’appliquent sans gène et sans scrupule à vous faire avaler des couleuvres.
Regardez… Des scènes dignes de films Hollywoodiens produites par les Casques blancs pour faire croire au monde que Bachar el-Assad et son armée massacrent le peuple syrien.
L’industrie des médias et des films d’horreur des casques blancs. Une production hollywoodienne à Ghouta pour accuser et diaboliser l’armée syrienne ?
A new movie « Revolution Man » directed by Syrian director Najdat Aznour. Deals with rebel propaganda ,#WhiteHelmets fakery, child soldiers & the role of western media in demonizing the government . See photos on facebook page (https://t.co/95k6hraNLd) Opened in #Syria on Feb. 22. pic.twitter.com/H9EsIueHSO
Un nouveau film « Revolution Man » réalisé par le syrien Najdat Aznour.
Ce film Traite de la propagande rebelle, de l’arnaque des casques blancs, des enfants soldats et du rôle des médias occidentaux dans la diabolisation du gouvernement.
Une véritable industrie du cinéma dirigée par la propagande occidentale ?
Ces images ont été tournées en Algérie.
Les casques tantôt blancs, tantôt noirs voyez le témoignage de Pierre Le Corf suivi sur Finalscape depuis quelques mois déjà et voyez ce qu’il en dit lors de l’un de ses derniers témoignages avec toute ma compassion et mon admiration pour son excellent travail sur le terrain.
C’est lors du dîner du CRIF, édition 2018 que Vincent Lapierre accompagné de son équipe d’ERTV essaient mais en vain de prendre quelques images. On leur réclame une carte de presse qu’ils n’ont pas car lors de cet événement, seuls les médias accrédités y ont accès.
Vous vous souvenez peut-être des échauffourées lors de l’édition précédente où le journaliste Frédéric Hazziza en était venu aux mains contre Vincent Lapierre qui avait d’ailleurs porté plainte, plainte qui n’a jamais été retenue.
L’édition 2018 était certes moins agitée pour ERTV mais il est clair qu’au même rythme que la liberté d’expression régresse, la censure elle progresse.
Nous dirigeons-nous comme cela fut le cas pour les romains ou les grecques vers un anéantissement de notre société par la débauche ?
Tout fait peur aujourd’hui. la plupart des français parlent des vaccins comme un empoisonnement massif de la population, la majorité sexuelle probablement rabaissée à 13 ans, ce qui laisserait libre accès et en toute impunité aux pédophiles amateurs de chair fraiche, voici que maintenant, par le biais d’un site gouvernemental, on propose aux petites filles et aux petits garçons qui ne se sentiraient pas bien dans leur corps de changer de sexe.
Les choses sont claires et de toute façon, Notre Président Macron l’a dit : comme le problème du chômage est définitivement réglé, comme il n’y a plus aucun SDF dans la rue (sa promesse de campagne est évidemment remplie), il est plus que temps de bouter définitivement les fakes news hors de notre belle République.
Et ne faites pas vos étonnés ! Tout le monde sait, pardon, tout Le Mondesait que ces nouvelles nauséabondes et ces notules délétères s’empilent dans la presse interlope non sanctionnée par l’État, nos intellectuels et les élites du journalisme.
Il était donc plus que temps d’agir pour que soit mis enfin un coup d’arrêt à ces rampantes sources d’informations alternatives. La méthode se précise déjà et ressemble bel et bien à une bonne grosse censure reprise en main par un pouvoir autoritaire ferme et décidé dans sa démarche d’épuration d’assainissement des sources officielles d’information.
Cependant, avant même d’aller plus loin, ciseau à la main, contre ces journaux et ces réseaux sociaux qui répandent tous ces vilains mensonges, il semble absolument nécessaire de faire un petit état des lieux. L’état général des esprits, échauffés par toutes ces nouvelles séditieuses, mérite d’être gaugé :: ces fake news, quelles sont-elles ? Qui les relaie ? Quels sont leurs réseaux ?
Heureusement, ça tombe fort bien, une officine priv… publ… disons une fondation politique, objet mal identifié mais fiscalement très pratique, s’est attachée à en savoir plus sur le penchant des Français à tremper leurs petits doigts potelés dans certaines théories fumeuses et autres conspirations complotistes nauséabondes : la Fondation Jean Jaurès vient de publier une intéressante enquête tentant de mesurer le degré de complotisme des Français.
La conclusion est relativement simple : pas de doute, les Français sont complotistes. Ils aiment les petits secrets et les méchants mystères, les conjurations politiques, les intrigues larvées, les conspirations odieuses, les complots ourdis sans honte et par dessous tout les statistiques auxquelles on fait dire ce qu’on veut.
Dans cette enquête commanditée par la fondation et réalisée par rien moins que l’IFOP et Conspiracy Watch (si, si, cela existe pour de vrai) et que vous pourrez compulser fiévreusement ici, on découvre que près de 4 Français sur 5 croient à l’une ou l’autre théorie complotiste, depuis les vaccins tueurs jusqu’à la théorie de la Terre plate en passant par les Chemtrails, la mainmise des Illuminatis ou ces abondantes sociétés reptiliennes ou extra-terrestres censées diriger le monde en douce.
Evidemment, ces 79% de Français ne sont pas tous complotistes de la même façon, et tous ne croient pas aux mêmes balivernes ; on peut ainsi très bien être persuadé que la Terre est plate tout en rejetant toute idée que les vaccins soient plus nocifs que bénéfiques ou l’inverse…
En fait, trois blocs se distinguent : un premier groupe, représentant la moitié des Français, qui adhère à deux théories du complot ou moins et que l’étude, hardie, estime ainsi résister à l’appel tentant du complotisme le plus veule. Le second groupe, représentant un petit 22%, se composerait, toujours selon l’étude, de ces Français modérés qui se contenteraient de ne souscrire qu’à trois ou quatre théories complotistes. Le dernier groupe, comptant 25% d’irrécupérables, aurait donc basculé dans le conspirationnisme le plus débridé puisqu’il se composerait d’individus égarés se vautrant avec délice dans cinq théories complotistes ou plus.
Bref, disons que l’étude proposée dresse un intéressant tableau :
Pour faire bonne mesure, notons que l’étude permet de montrer que les plus complotistes sont les classes populaires et les jeunes, ces éléments permettant sans doute d’affirmer plus tard que ce sont bien les moins bien éduqués qui se fourvoient dans ces exercices intellectuels douteux (sapristi, ils croient même aux horoscopes et aux socialistes, c’est dire !).
On comprendra devant ces chiffres qu’il n’aura pas fallu beaucoup d’effort pour que l’enquête, forte de ses jolis tableaux colorés et de ses concepts forts et hautement clicogènes, récolte un franc succès auprès d’une presse toute acquise à l’idée générale.
Cependant, ce constat posé, on peut s’interroger sur deux choses.
D’une part, la notion même de théorie du complot recouvre une notion assez vague, d’autant plus qu’elle n’est pas réellement définie dans l’étude ni dans la présentation qui en est faite. En réalité, l’étude mesure surtout le degré d’adhésion des Français à certaines thèses, qui sont ensuite hardiment rebaptisées complot.
Bien évidemment, tout le problème consiste ici à introduire des nuances et une modération dont les médias qui reprennent goulûment l’étude ne s’embarrassent guère : dans un même mouvement large, on met en effet dans le même panier le climato-sceptique (qui, pour rappel, garde une position prudente vis-à-vis de l’impact réel de l’Homme sur le climat) avec les tenants de la Terre plate ou des sociétés reptiliennes.
Il est tout de même assez fort de constater qu’avec une telle définition de théorie du complot, tous ceux qui auraient l’impudence de mettre en doute les nombreuses absurdités consternantes que les journalistes pondent quotidiennement sur le sujet (les tempêtes, les vagues de chaud, les vagues de froid, la crise des migrants, les maladies ou les cors au pied du président, tout ça, c’est la fotoréchauffement) se retrouvent incidemment soupçonnés de conspirationnisme. Dans ce genre de salade joyeuse où tout se vaut gaiement, mettre en doute la parole officielle, le discours autorisé des politiciens et la parole engagée des militants qui passent bien (et très souvent) dans les médias revient à appartenir à la vaste famille des complotistes, et puis c’est tout, fermez le ban.
De plus, moyennant une enfilade de questions aux énoncés parfois franchement ambigus sur lesquelles l’étude se base, le Français moyen et « statistiquement représentatif » aura tôt fait de cocher, la main tremblante et l’esprit confus, la case fatidique qui le fera sombrer de réponse en réponse dans les cercles obscurs des conspirateurs les plus zélés. À ce tarif là, même la recherche historique la plus mainstream devient une fadaise conspirationniste et Augustin Cochin ou Emmanuel Le Roy Ladurie se retrouvent estampillé complotistes.
D’autre part, on ne pourra pas s’empêcher de noter la concomitance pratique de cette enquête avec l’actualité évoquée en introduction de ce billet.
L’enquête, commanditée par l’officine politique socialiste, a été réalisée du 19 au 20 décembre. On ne s’étonnera donc pas que ses résultats, probablement connus depuis quelques jours, aient sagement attendus les petites saillies présidentielles sur le nécessaire combat anti-« fake news ». Il faudrait cette fois faire preuve d’une solide dose d’anti-conspirationnisme pour croire à la pure coïncidence, au moment où est ouverte la chasse aux vilaines rumeurs pas officielles sur les réseaux sociaux et sur internet et où le pouvoir politique parle ouvertement de réglementer la parole publique pour éviter que les esprits simples (ceux qui sont les plus aptes à se complotiser l’esprit – c’est l’étude qui le dit, mon brave monsieur) s’égarent sur les mauvais sites.
En définitive, la conjugaison de ces deux éléments n’inspirent guère confiance dans l’avenir.
Par un paternalisme moral de plus en plus volontariste, les politiciens interviennent dans la formation et la diffusion des idées en jugeant celles qui sont correctes et les autres, condamnables, du haut de leur seul intellect et grâce à l’appui de l’élite qu’ils ont consciencieusement façonné au fil des années.
Le risque évident est qu’à force d’étendre la définition et la surface de ces complots, on finit par recouvrir ce qui se classe tout simplement dans le simple esprit critique. Ce faisant, on trottine gentiment vers une société où ce dernier sera de plus en plus âprement combattu.
Entre celles et ceux qui aspirent à plus de démocratie en France, si les choses n’évoluent pas c’est parce que beaucoup d’avis divergent et au lieu de créer un réel dialogue entre les politiques et les citoyens, les efforts se noient dans un océan d’informations qui se soldent par un déchirement et à terme, un éclatement des bulles résistantes.
Voici un entretien de Thierry Borne leader du mouvement « Parti de Rien » au micro du média ERTV, qui à mon sens, a toute son importance pour la cohésion d’un mouvement citoyens.
Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire serait-il écologiquement incorrect ? On pourrait le croire si l’on se réfère à la chronique de Michel Onfray. Nicolas Hulot longtemps « protecteur de la nature » ne possède pas moins de 9 véhicules à moteur dont 6 voitures, une moto, un bateau et un scooter.
Notons aussi que les produits Ushuaïa sont toxiques et un certain nombre d’entre eux sont classés sur une liste rouge de produits chimiques dangereux. Le magasine 60 millions de consommateurs révèle notamment que 3 de ces produits, gels douche, shampoings et déodorants contiennent des perturbateurs endocriniens et des colorants allergènes.
Nicolas Hulot sera toujours en bonne place dans la prochaine liste des Français préférés des Français, une liste politiquement correcte choisie par on ne sait qui, soumise à on ne sait qui, classée par on ne sait qui et présentée par toute la presse comme une parole d’évangile.
Natacha Polony revient sur un personnage haut en couleur, François Asselineau qu’elle décrit comme ayant une originalité que ne possèdent aucun des dix candidats à la présidentielle de 2017.
La distinction entre ce qu’est un président de la république et ce que doit être ensuite un programme législatif. François Asselineau s’inscrit dans le cadre de la 5ème république avec l’idée que le Président est le garant de la souveraineté de la nation et qu’en arrière plan, c’est au gouvernement d’assumer et de mener la politique de la nation.
Pour celles et ceux qui ne connaitrait pas encore François Asselineau, et oui il y en a, cette vidéo leur permettra de faire la connaissance avec un personnage dont la vraie démocratie a besoin pour survivre.
Guibert Stéphane
François Asselineau invité par Natacha Polony (.tv) 24/11/2017
Vous voulez connaitre votre Président Emmanuel Macron ?
Je vous suggère vivement de regarder la brillante analyse que fait Tatiana Ventôse sur le discours d’Emmanuel Macron au WEF « Le forum économique de Davos ».
On comprendra le double sens de son discours, lorsqu’il s’adresse dans un premier temps à l’audience en anglais puis dans la seconde partie de sa prestation lorsqu’il s’adresse cette fois-ci en français et ou l’on pourrait presque croire qu’il se range du côté des classes moyennes et laborieuses alors qu’en réalité il met en garde ces amis sur le danger que ces classes leurs font courir.
Charles Gave : L’UE est une atteinte totale à la démocratie.
Comment peut-on parler de démocratie à partir du moment ou des gens non élus qui résident à Bruxelles passent au dessus de la justice d’un pays ?
Comment peut-on parler de démocratie quand un pays souverain dépend d’une élite non élue ?
Charles Gave nous dévoile la vérité toute nue, vérité que bien des gens semblent ne pas avoir compris et ce, pour notre plus grand malheur !
Tout comme un coup de pied infligé à une fourmilière, pour Charles Gave, le Brexit est un monumental coup de pied infligé à la constitution européenne qui lui fait perdre toute sa légitimité.
Charles Gave tout comme Olivier Delamarche ont été évincés des plateaux de télévision.
Solidaires avec « Challenge » pour la liberté d’informer
La société des journalistes (SDJ) du quotidien « Les Echos » s’indigne de la récente condamnation de « Challenges » par le Tribunal de commerce de Paris, au motif que notre confrère aurait enfreint le secret des affaires.
L’hebdomadaire économique a été sévèrement sanctionné – Retrait d’un article paru sur Internet ; interdiction de traiter l’affaire en question sous peine d’amende ; règlement des frais de justice – pour avoir informer ses lecteurs d’une procédure de « mandat ad hoc » sous le coup de laquelle était un grand distributeur français.
Le code du commerce qui impose un caractère confidentiel à une telle procédure a prévalu sur la liberté d’informer, l’un des principes fondamentaux de la république française et l’une de ses conditions de sa vitalité. Des juges issus du monde de l’entreprise ont de facto prononcé une décision transformant la liberté d’informer en délit.
La SDJ du quotidien « Les Échos » dénonce ce jugement qui menace l’exercice de la profession de journaliste, en particulier de journaliste économique. Elle demande aux pouvoirs publics de garantir pleinement la liberté d’informer de manière indépendante et rigoureuse. Et ce sans tarder.
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