Dans ma liste de contactes et je le revendique ! Oui pour sauver Assange !
Faut-il sauver le soldat Assange?
Héros pour les uns, salaud pour les autres, Julian Assange est en prison en Grande-Bretagne et fait face à une demande d’extradition américaine. Le sort du fondateur de WikiLeaks, caisse de résonance de tous les secrets du monde, n’en finit pas de diviser. Et avec lui, c’est la figure du lanceur d’alerte qui fait débat. Quelles sont les limites de la transparence? Y a-t-il des bons et des mauvais lanceurs d’alerte? Et nos démocraties ont-elles un problème avec la critique? Faut-il sauver le soldat Assange? C’est le débat d’Infrarouge, mercredi soir en direct.
Héros pour les uns, salaud pour les autres, Julian Assange est en prison en Grande-Bretagne et fait face à une demande d’extradition américaine.
Le sort du fondateur de WikiLeaks, caisse de résonnance de tous les secrets du monde, n’en finit pas de diviser. Et avec lui, c’est la figure du lanceur d’alerte qui fait débat.
Quelles sont les limites de la transparence? Y a-t-il de bons et de mauvais lanceurs d’alerte? Et nos démocraties ont-elles un problème avec la critique?
Faut-il sauver le soldat Assange? C’est le débat d’Infrarouge, mercredi soir 8 mai, en direct à 21h10 avec vos messages sur les réseaux sociaux.
Présentation: Alexis Favre
Source & Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
Demain, mercredi 8 mai à 21h15, je serai l’une des invités de l’émission Infrarouge de la RTS pour parler de Julian Assange, de la liberté d’expression, des vies des lanceurs d’alerte…
Les caisses sans caissières ce n’est pas d’hier ; en Suisse, la chaîne de supermarchés Migros proposait déjà cette alternative à ses clients il y a 50 ans mais à la différence c’est qu’à l’époque, ce système palliait à un manque de personnel qualifié alors qu’aujourd’hui, c’est sur le personnel qualifié qu’on lésine.
Extraordinaires archives de 1969.
On pensait déjà à des caisses sans caissières! Le patron de Migros à l’époque avec à sa solde 105’000 employés, promettait que les caissières survivraient à la robotisation.
Le géant américain de la musique, Universal Music, accuse la candidate israélienne Netta Barzilaï d’avoir plagié le titre “Seven Nation” du groupe White Stripes pour sa chanson “Toy” avec laquelle elle a remporté le dernier concours de l’Eurovision, révèle mardi le site israélien d’information Walla.
Selon Walla, le major du disque a adressé il y a deux semaines aux producteurs de Netta un courrier juridique préalable au lancement d’un procès. Les producteurs, prenant très au sérieux la menace, ont dépêché une équipe juridique à Los Angeles pour tenter de trouver un accord.
En cas de plagiat avéré, les conséquences pourraient être “catastrophiques” pour Israël. Le règlement du concours de l’Eurovision stipule expressément que la chanson inscrite est “une œuvre originale (composition/texte) et qu’il ne s’agit en aucune façon d’un plagiat”. Israël risque de se voir retirer sa victoire et l’organisation du prochain concours.
Des semaines avant le début de l’Eurovision, des internautes avaient déjà fait le rapprochement entre les deux titres.
Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
C’était en 2014, la Suisse jouait son Va-tout à l’Eurosong avec ce groupe un tantinet déjanté Sebalter dont le titre “Hunter of stars” (Chasseur d’étoiles) mettait en jeu les couleurs de la Suisse.
Gérard Jolimay est à la tête du collectif genevois en faveur d’une micro-taxe. CHRISTIAN BONZON
TAXES • Abolir la TVA, l’impôt fédéral direct et le droit de timbre pour les remplacer par une micro-taxe sur les transactions financières électroniques: c’est l’objectif d’un collectif de citoyens et d’élus genevois qui veut lancer une initiative fédérale. L’Etat s’oppose.
Explications :
«Avant, je prêchais dans le désert, mais désormais la dynamique est là. Les citoyens sont de plus en plus nombreux à me rejoindre. Notre but est de transformer la société en rétablissant une justice fiscale.» Gérard Jolimay, président du PDC Chêne-Bougeries, en est convaincu: la micro-taxe permettrait une répartition plus équitable des impôts. Son principe est simple. D’abord, la suppression de la TVA, de l’impôt fédéral direct et du droit de timbre. En remplacement, toutes les transactions financières électroniques seraient taxées à hauteur de 0,5%. La vente d’actions et d’obligations, les factures de restaurant réglées avec une carte de crédit, mais aussi les retraits au bancomat et le versement des salaires, seraient notamment concernés.
Banques dans le collimateur
Pour Marc Chesney, directeur du Département banque et finance de l’Université de Zurich et père fondateur de la micro-taxe, cette solution comporte de nombreux avantages: «Elle simplifie le système fiscal archaïque, complexe et bureaucratique. Tout en réduisant les charges des ménages et des PME. Enfin, elle limite les activités de la finance-casino.» Dans le collimateur, les banques et plus spécialement le trading spéculatif.
En taxant davantage les établissements financiers et moins les particuliers et les entreprises, un collectif de citoyens et d’élus genevois, qui vient d’être créé, espère fédérer un nombre suffisant d’électeurs pour faire aboutir une initiative fédérale. Gérard Jolimay y croit dur comme fer: «L’Etat est aussi gagnant puisqu’il pourra se dédouaner d’une organisation lourde et coûteuse en remplaçant certains impôts par une taxe automatique, sans infrastructure et encaissée immédiatement.»
Tirer une balle dans le pied
Du côté de l’Etat justement, la microtaxe est loin de faire l’unanimité comme le confirme Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat en charge du Département des finances: «C’est une réflexion que nous n’avons pas menée au sein du Conseil d’Etat. A titre personnel, j’y suis plutôt opposée si cette taxe devait être ajoutée aux impôts existants. Je rappelle à cet égard que Genève est déjà le canton qui utilise le plus son potentiel fiscal.» Avant de préciser: «Une telle micro-taxe qui impacterait non seulement les transactions financières, mais également tous les paiements électroniques, serait susceptible de prétériter notre canton en comparaison avec le reste de la Suisse et avec les autres pays.» Autrement dit, s’attaquer à la place financière reviendrait à se tirer une balle dans le pied. Ce que les autorités ne seront jamais prêtes à faire, sauf si elles s’y retrouvent contraintes en cas d’acceptation de la future initiative fédérale.
Swisscom a annoncé mercredi la mise en service de la 5G sur 102 sites répartis dans 54 localités, dont Genève, Lausanne, Estavayer-le-Lac, Champéry et Berne. D’ici la fin de l’année, le premier opérateur helvétique dit vouloir couvrir tout le pays.
La Suisse compte pour l’heure 338 antennes 5G, d’après les données de la Confédération. A titre de comparaison, on retrouve 10’762 antennes 4G réparties sur le territoire. Naviguez sur notre carte, ci-dessous, pour voir leurs emplacements précis.
Nouvelles constructions gelées
La couverture de l’ensemble du pays passe par la construction de nouvelles antennes, mais celles-ci font face à de plus en plus d’oppositions. Les craintes portent sur les possibles effets de la 5G sur la santé.
Le Jura a annoncé mercredi avoir gelé toute construction d’antennes sur son territoire dans l’attente d’une étude de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV).
Qui n’a pas connu cet épisode on ne peut plus désagréable qui vous réveille la nuit ou qui vous titille la moindre de vos pensées en vous harcelant de par ses douleurs lancinantes ? Je veux parler d’une bonne rage de dents, abcès dentaire et tout ce qui va avec.
C’est mon cas en ce moment :
Suite à des douleur insupportable j’ai été voir un dentiste qui m’a reçu en urgence avec au final, l’ordonnance et la facture qui vont avec. En Suisse, il n’y a pas d’assurance sociale qui couvre les problèmes dentaires ce qui à mon avis est un « Nocence », les dents faisant partie de la santé basique. « Business is business » bref…
Je suis donc passé à la caisse et me conformant aux ordres du médecin, j’ai commencé à suivre le programme médicamenteux prescrit à savoir : deux fois par jour, avant les repas du matin et du soir, la prise d’un antibiotique : « Amoxi-Mepha » et ce, durant 5 jours.
Effets secondaires : Troubles digestifs tels qu’indigestion, nausées ou diarrhées, des réactions telles que vomissement, envies de vomir, douleurs au ventre, perte d’appétit, ballonnement et inflammation de la langue ou de la muqueuse buccale peuvent également survenir etc…
Après avoir ingurgité deux de ces cachets, mon appareil gastrique c’est révolté et sans vous mentir, toutes les 20 minutes, je me retrouvais maître du trône.
Ce soir et fidèle à ma ligne de conduite avant le repas, je me suis accordé un petit apéritif composé de deux doigts de Wisky (J&B) noyés dans un peut de soda et vous n’allez pas me croire : 15 minutes après la première gorgée de ce breuvage que je considère désormais comme étant magique, les effets secondaires de ce médicament censé me protéger avaient disparu.
Je ne vous suggère pas de faire la même chose mon métabolisme n’étant pas le vôtre mais je vous suggère ce pendant de vous poser la question.
Un médicament qui est censé vous protéger d’un côté vous empoisonne de l’autre.
L’occasion idéale pour vous rappeler des bienfaits des bactériophages, les virus mangeurs de bactéries.
Les bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient causer dix millions de morts par an d’ici 2050. Face à l’urgence, on redécouvre les phages, des virus tueurs de bactéries. Des médecins les utilisent en France et en Belgique, mais pas en Suisse..
La phagothérapie représente un espoir sérieux et une alternative aux antibiotiques y compris en médecine vétérinaire, dans l’élevage par exemple ; et même dans les cultures, un phage contrôle le “feu bactérien” plutôt que des pesticides toxiques. Cela fait rêver mais c’est possible.
“La phagothérapie est une technologie qui a fait ses preuves et qui sera utilisée par la médecine de demain. Il est alors incontestable de dire qu’il s’agit là non pas de la solution mais d’une solution à l’instar des antibiotiques auxquels des bactéries telles que la mucoviscidose résistent et la médecine traditionnelle ne l’utilise pas encore. Il y a de quoi se poser des questions.” (ndlr.)
Merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) et à toute l’équipe du magazine santé “36.9” pour ce reportage passionnant.
La 5G, un danger pour notre santé et pour l’environnement ?
Infrarouge est une émission à l’écoute de son public. Vous avez été très nombreux, et très nombreuses, à nous envoyer des mails pour nous dire : « Faites une émission : les dangers de la 5G » ! Et bien on va le faire, ça sera mercredi. On ne va pas se demander si on risque d’être espionnés par les chinois, ça on l’a déjà fait, on va se demander quels sont les risques pour la santé de ces technologies qui aujourd’hui posent beaucoup de questions, créent des inquiétudes et des incertitudes. Et puis on va se demander de manière générale si on est pas un peu fous de vouloir d’un côté protéger la planète, et de l’autre, connecter tout ce qui bouge avec tout ce qui bouge en permanence.
Ca sera le débat d’infrarouge mercredi 27 mars à 21:15. Une émission à ne pas manquer ou à voir sur RTS Play et TV5 Monde.
Elle est au cœur de toutes les discussions et déchaîne les passions sur les réseaux sociaux: la 5G suscite à la fois toutes les craintes et tous les espoirs.
Du côté des espoirs, une technologie sans fil de 5e génération, 100 fois plus rapide que la précédente, et la perspective de connecter tous les objets entre eux ou presque.
Du côté des craintes, une technologie déployée très vite, trop vite peut-être, alors que sa dangerosité pour la santé reste encore incertaine.
Alors 5G, tous grillés? C’est le débat connecté d’Infrarouge, mercredi soir 27 mars, en direct à 21h15, avec vos messages sur les réseaux sociaux.