Selon le président Vladimir Poutine, son alliance avec l’OTAN et les États Unis a fait perdre à la France sa souveraineté.
C’est lors d’une interview avec le journaliste de la RTS (Radio télévision Suisse) Darius Rochebin que Vladimir Poutine déclarait notamment qu’il trouvait étrange que pour discuter de ses affaire avec ses partenaires européens, la Russie doive se rendre à Washington.
Un petit clin d’œil à ce compatriote qui bat des records en victoires depuis 20 ans, clin d’œil qui fera plaisir à mes concitoyens ainsi qu’à toutes celles et ceux qui apprécient le personnage : Roger Federer.
Stéphane Guibert / Finalscape
Vidéo :
Roland-Garros: après sa qualification pour son 8e de finale qu’il jouera dimanche, Roger Federer s’est adressé à ses fans avec humour et sympathie.
Ah! Genève, son jet d’eau, sa cathédrale, son lac, sa bise à décorner les bœufs, et ses affaires.
Tendrement surnommées les Genferei, les affaires politiques se suivent et se succèdent. Des soupçons de fraude électorale aux notes de frais des élus, en passant par les suites de l’affaire Maudet, on en a compté sept, rien qu’en 2019. Et le décompte continue.
Alors y a-t-il une AOC genevoise sur les affaires et comment en sortir? C’est le débat d’Infrarouge ce mercredi soir 15 mai en direct avec vos messages sur les réseaux sociaux.
BHL se fait remettre en place par Slobodan Despot sur le plateau de la (RTS) Télévision Suisse, dans le cadre de l’émission « Infrarouge » concernant l’Europe et les GiletsJaunes.
« Monsieur Levy, J’ai juste une recommandation à vous faire : vous vous cherchez une stature de sauveur et de rédempteur mais enfilez un gilet jaune, vous voulez combattre la dictature alors enfilez un gilet jaune, allez prendre la tête d’une vrai manifestation où on vous tirera dessus avec des balles en caoutchouc et où vous ne risquerez que de perdre un œil et à ce moment là, vous rentrerez enfin dans l’histoire comme vous rêvez de le faire parce que jusqu’ici vous n’avez su prendre que des tartes à la crème. »
G.S / FINALSCAPE
Vidéo : Extrait de l’émission de la chaine Suisse RTS ‘ »Infrarouge ». Notre rédacteur Slobodan Despot s’oppose à la vision de l’Europe de Bernard-Henri Lévy.
Dans ma liste de contactes et je le revendique ! Oui pour sauver Assange !
Faut-il sauver le soldat Assange?
Héros pour les uns, salaud pour les autres, Julian Assange est en prison en Grande-Bretagne et fait face à une demande d’extradition américaine. Le sort du fondateur de WikiLeaks, caisse de résonance de tous les secrets du monde, n’en finit pas de diviser. Et avec lui, c’est la figure du lanceur d’alerte qui fait débat. Quelles sont les limites de la transparence? Y a-t-il des bons et des mauvais lanceurs d’alerte? Et nos démocraties ont-elles un problème avec la critique? Faut-il sauver le soldat Assange? C’est le débat d’Infrarouge, mercredi soir en direct.
Héros pour les uns, salaud pour les autres, Julian Assange est en prison en Grande-Bretagne et fait face à une demande d’extradition américaine.
Le sort du fondateur de WikiLeaks, caisse de résonnance de tous les secrets du monde, n’en finit pas de diviser. Et avec lui, c’est la figure du lanceur d’alerte qui fait débat.
Quelles sont les limites de la transparence? Y a-t-il de bons et de mauvais lanceurs d’alerte? Et nos démocraties ont-elles un problème avec la critique?
Faut-il sauver le soldat Assange? C’est le débat d’Infrarouge, mercredi soir 8 mai, en direct à 21h10 avec vos messages sur les réseaux sociaux.
Présentation: Alexis Favre
Source & Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
Demain, mercredi 8 mai à 21h15, je serai l’une des invités de l’émission Infrarouge de la RTS pour parler de Julian Assange, de la liberté d’expression, des vies des lanceurs d’alerte…
Les caisses sans caissières ce n’est pas d’hier ; en Suisse, la chaîne de supermarchés Migros proposait déjà cette alternative à ses clients il y a 50 ans mais à la différence c’est qu’à l’époque, ce système palliait à un manque de personnel qualifié alors qu’aujourd’hui, c’est sur le personnel qualifié qu’on lésine.
Extraordinaires archives de 1969.
On pensait déjà à des caisses sans caissières! Le patron de Migros à l’époque avec à sa solde 105’000 employés, promettait que les caissières survivraient à la robotisation.
Le géant américain de la musique, Universal Music, accuse la candidate israélienne Netta Barzilaï d’avoir plagié le titre “Seven Nation” du groupe White Stripes pour sa chanson “Toy” avec laquelle elle a remporté le dernier concours de l’Eurovision, révèle mardi le site israélien d’information Walla.
Selon Walla, le major du disque a adressé il y a deux semaines aux producteurs de Netta un courrier juridique préalable au lancement d’un procès. Les producteurs, prenant très au sérieux la menace, ont dépêché une équipe juridique à Los Angeles pour tenter de trouver un accord.
En cas de plagiat avéré, les conséquences pourraient être “catastrophiques” pour Israël. Le règlement du concours de l’Eurovision stipule expressément que la chanson inscrite est “une œuvre originale (composition/texte) et qu’il ne s’agit en aucune façon d’un plagiat”. Israël risque de se voir retirer sa victoire et l’organisation du prochain concours.
Des semaines avant le début de l’Eurovision, des internautes avaient déjà fait le rapprochement entre les deux titres.
Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
C’était en 2014, la Suisse jouait son Va-tout à l’Eurosong avec ce groupe un tantinet déjanté Sebalter dont le titre “Hunter of stars” (Chasseur d’étoiles) mettait en jeu les couleurs de la Suisse.
Gérard Jolimay est à la tête du collectif genevois en faveur d’une micro-taxe. CHRISTIAN BONZON
TAXES • Abolir la TVA, l’impôt fédéral direct et le droit de timbre pour les remplacer par une micro-taxe sur les transactions financières électroniques: c’est l’objectif d’un collectif de citoyens et d’élus genevois qui veut lancer une initiative fédérale. L’Etat s’oppose.
Explications :
«Avant, je prêchais dans le désert, mais désormais la dynamique est là. Les citoyens sont de plus en plus nombreux à me rejoindre. Notre but est de transformer la société en rétablissant une justice fiscale.» Gérard Jolimay, président du PDC Chêne-Bougeries, en est convaincu: la micro-taxe permettrait une répartition plus équitable des impôts. Son principe est simple. D’abord, la suppression de la TVA, de l’impôt fédéral direct et du droit de timbre. En remplacement, toutes les transactions financières électroniques seraient taxées à hauteur de 0,5%. La vente d’actions et d’obligations, les factures de restaurant réglées avec une carte de crédit, mais aussi les retraits au bancomat et le versement des salaires, seraient notamment concernés.
Banques dans le collimateur
Pour Marc Chesney, directeur du Département banque et finance de l’Université de Zurich et père fondateur de la micro-taxe, cette solution comporte de nombreux avantages: «Elle simplifie le système fiscal archaïque, complexe et bureaucratique. Tout en réduisant les charges des ménages et des PME. Enfin, elle limite les activités de la finance-casino.» Dans le collimateur, les banques et plus spécialement le trading spéculatif.
En taxant davantage les établissements financiers et moins les particuliers et les entreprises, un collectif de citoyens et d’élus genevois, qui vient d’être créé, espère fédérer un nombre suffisant d’électeurs pour faire aboutir une initiative fédérale. Gérard Jolimay y croit dur comme fer: «L’Etat est aussi gagnant puisqu’il pourra se dédouaner d’une organisation lourde et coûteuse en remplaçant certains impôts par une taxe automatique, sans infrastructure et encaissée immédiatement.»
Tirer une balle dans le pied
Du côté de l’Etat justement, la microtaxe est loin de faire l’unanimité comme le confirme Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat en charge du Département des finances: «C’est une réflexion que nous n’avons pas menée au sein du Conseil d’Etat. A titre personnel, j’y suis plutôt opposée si cette taxe devait être ajoutée aux impôts existants. Je rappelle à cet égard que Genève est déjà le canton qui utilise le plus son potentiel fiscal.» Avant de préciser: «Une telle micro-taxe qui impacterait non seulement les transactions financières, mais également tous les paiements électroniques, serait susceptible de prétériter notre canton en comparaison avec le reste de la Suisse et avec les autres pays.» Autrement dit, s’attaquer à la place financière reviendrait à se tirer une balle dans le pied. Ce que les autorités ne seront jamais prêtes à faire, sauf si elles s’y retrouvent contraintes en cas d’acceptation de la future initiative fédérale.