Santé : 11 vaccins obligatoires, pour ou contre ? Débat

Dès le mois de janvier 2018, en France, 11 vaccins deviendront obligatoires contre 3 aujourd’hui. Le pédiatre Michel Turquet et le néphrologue Brunos Bourgeon sont les invités de ce débat.

Pour le docteur Michel Turquet clairement favorable, la pratique de ces 11 vaccins existe depuis qu’il exerce en 1967, il déclare que les parents qui ne veulent pas faire vacciner leur(s) enfant(s) prennent une lourde responsabilité et arrivé à un certain moment, il se voit obligé de faire signer aux parents réfractaires une décharge.

Pour le docteur Bourgeon, 52% des français sont contre cette pratique et augmenter cette obligation va augmenter la défiance des français. Concernant la subsidiarité, allez dans les crèches et allez dans les maternelles, si vous voulez que votre enfant y soit admis, il lui faut les vaccins imposés soit disant c’est à dire, en particulier les vaccins non-obligatoires ; et là, le principe de subsidiarité voudrait que dans une réglementation administrative intérieure il se réfère à la loi. Concernant les politiques, 3 vaccins obligatoires, le DTP de Pasteur disparait en 2001 qui est racheté par Sanofi en 2004 ça devient Sanofi-Pasteur et c’est géré par Monsieur Mérieux. En 2008 le DTP Mérieux disparait. On se retrouve dans une situation de « No man’s Land vaccinal c’est à dire que depuis 2008 on a pas le vaccin DTP alors qu’il est le seul vaccin obligatoire. On est alors obligé de faire les autres vaccins pour avoir le DTP. Il s’agit là d’un vrai scandale sanitaire.

Pourquoi fait-on ça ?

Le 8 février 2017, le conseil d’état a imposé au laboratoire Sanofi (essentiellement) qu’il fabrique le vaccin, de fabriquer un DTP sans aluminium et ils ne l’ont pas fait parce que le conseil d’état rajoutait : « A moins que d’ici là la loi ne change et oblige d’autres valences vaccinales. » C’est là qu’ Agnès Busyn est rentrée dans la partie en disant : « On va augmenter à 11 vaccins ce qui va permettre de vacciner tout le monde et les obliger. » Le problème, c’est qu’on est dans cette obligation vaccinale et que c’est une imposition politique. Il faut savoir qu’ Agnès Busyn a été au conseil d’administration de BMS et d’autres laboratoires et Alain Fischer qui est son conseiller a reçu le prix Sanofi-Pasteur, il y a donc conflit d’intérêt. Serge Weinberg qui est le directeur de Sanofi est aussi un copain d’Emmanuel Macron…

Le Docteur Michel Turquet rétorque que le vaccin contre la rougeole est un vaccin fondamental car la rougeole est une maladie grave. (Le dernier cas de rougeole en Europe occidentale c’était cette année, en Suisse, chez quelqu’un qui s’était fait vacciner) …

Le Docteur Michel Turquet clos le débat en déclarant que :

« Je me permet tout de même de dire à vos auditeurs de se méfier d’Internet car cela peut-être dangereux car n’importe qui peut écrire n’importe quoi par ailleurs, on a beaucoup parlé de l’Aluminium, il est certain que c’est un adjuvant mais il permet aux vaccins d’être efficaces pendant plus longtemps et l’aluminium vous en consommez tous les jours dans votre alimentation normale donc, l’aluminium est un faux problème. »

Cette dernière phrase est un Fake car le Professeur Michel Georget déclarait à l’assemblé :

« Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte  1’440 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas contenir plus de 100 microgrammes par litre. »

Guibert Stéphane / Finalscape / VK

Déclaration du Professeur M. Georget devant l’assemblée nationale concernant l’aluminium dans les vaccins.

Le débat : 12 minutes environ.

Sur le slideshow en fin de vidéo une petite erreur c’est glissée : Ce n’est pas 600 / 650 microgrammes d’aluminium dont il s’agit mais bel et bien de 1’440

1 104 milliards de dollars c’est le poids de l’industrie pharmaceutique mondiale. Avec 200 vaccins en voie de développement (contre quelques dizaines il y a 15 ans), le chiffre d’affaires mondial lié à la vente de vaccins est passé de 6 milliards d’euros en 2006 à 20 milliards en 2012. Et le marché atteindra 56 milliards en 2017 ! C’est peu de dire que devant de tels profits, l’intérêt des patients passe au second rang. Tous les moyens sont bons : marketing cynique pour des substances dangereuses, manipulation des essais cliniques, conflits d’intérêts multiples, complaisance des agences sanitaires et des systèmes de pharmacovigilance, journaux médicaux et médias achetés à coup de publicité, politiciens soucieux de protéger un secteur industriel stratégique… Découvrez l’impitoyable univers de “Bad Pharma” dans NEXUS n° 113 actuellement EN KIOSQUE !
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Pour rappel : Alimentation et mensonges : Avez-vous entendu parler de la Miraculine, cette baie qui peut remplacer le sucre sans aucune addiction ni dommage pour la santé ?

Alors que l’obésité aux U.S.A. devient un problème majeur avec 1 personne sur 3 qui en souffre, à Chicago, berceau de Mc Donald’s, une solution contre l’obésité permet de se faire plaisir sans prendre un seul kilo : la Miraculine !

Une chaîne de fast food s’est emparée du concept. Son slogan « Enjoy your vices », qui signifie en français « succombez à la gourmandise ».
Ce fast food a été créé par un chef cuisiner reconnu Omaro Kantu. La chaîne propose donc donuts , cup cakes, soda avec 0 calorie ! Dans cette partie on peutapercevoir l’effet de surprise et d’amusement que peut avoir les effets de la miraculine que l’on découvre pour la 1èere fois.

Vidéo :

Le reportage s’intéresse alors plus précisément à  l’histoire de labaie du miracle.

Après un bref rappel sur sa découverte en 1750, par des botanistes européens en mission d’exploration en Afrique de l’Ouest  dans un des pays les plus dynamiques d’Afrique, le Ghana. Au Ghana, tout le monde connaît la baie du miracle … surtout les enfants.

Le reportage nous fait ensuite découvrir  un entrepreneur ghanéen. Kodzo  Benomio, ingénieur en biochimie de formation, et après avoir exercé dans l’industrie pharmaceutique, est devenu  le plus gros cultivateur du pays  de baie du miracle.

Le reportage se poursuit sur la visite de ces  plantations au Ghana.

Résumé de la seconde partie :

On découvre dans ce début de 2ème. partie le fonctionnement des plantations de baies miracles au Ghana. Une des principales difficultés est que la cueillette de ces centaines d’hectares de fruits miracles ne peut se faire à l’aide de machine… la cueillette doit donc se faire à la main.

On découvre ensuite le laboratoire un peu rudimentaire  de cet entrepreneur et le déroulement de la transformation de la baie miracle en miraculine.

Pour commencer, on broie les fruits pour obtenir un jus très concentré, il faut 3 kg de fruit pour obtenir 1 litre de jus. Ce jus est ensuite congelé puis  déshydraté . Au bout de quelques jours, le processus de déshydratation se termine, on obtient de la poudre qui permettra de fabriquer les comprimés.
Le producteur indique alors à la caméra du journaliste que le seul moyen qu’il a trouvé pour vendre sa production est internet.

Complot, espionnage, homme de pouvoir et géant de l’agroalimentaire.

Dans cette partie, les journalistes s’intéressent  à  l’histoire moderne de la miraculine en occident.

On découvre alors un portrait et interview du scientifique américain Robert Harvey dans les années 1970 qui croit dur comme fer en la miraculine.

Les possibilités étant d’après lui  énorme puisque « les obèses  en surpoids pourraient enfin manger quelque chose de sucré, mais sans sucre » il créa la société  « Miralin » .

Les journalistes décident de creuser cette histoire, Robert Harvey étant décédé il décide de questionner Donald K Emery  qui était associé dans cette affaire.

Aujourd’hui  retraité, Donald  indique que Miralin était pour eux  un grand rêve, il voyait en la miraculine  la possibilité de commercialiser un des premiers édulcorants en concurrençant l’industrie du sucre. Donal et Robert trouvent des partenaires qui leur permettent d’investir plus de 8 millions de $ (équivalent à 40 millions de $ d’aujourd’hui).

En 1974, la gamme qui comprend  (boisson thé glacé assaisonnement pour salade, etc…) est enfin prête. Malheureusement, cet aboutissement n’est en réalité que le début de leurs ennuis.

S’en suit un épisode où Donald raconte que Robert lui avait confié être espionné. Il raconte également le cambriolage de leurs locaux  ou visiblement l’on recherché des documents. Pour achever leur rêve, la FDA, l’autorité toute puissante  de l’Etat américain en matière d’alimentation leur interdira la commercialisation de miraculine sur le sol américain avec des prétextes fallacieux.

La FDA leur reproche de ne  pas avoir études scientifiques qui permettent de déterminer que le fruit puisse être mis sur le marché et puisse répondre à toutes les exigences de sécurité.

Résumé de la dernière partie :

Cette dernière partie va se concentrer essentiellement sur l’analyse des archives de la société Miralin par les journalistes de D8.

Tout les documents ont été légués par le fils de Robert Harvey (décédé en 2012)  à l université Worcester région de Boston.

Le journaliste  se rend donc dans ces locaux à la recherche de documents qui pourraient permettre de comprendre (ou pas) l’attitude de la FDA à l’encontre de la société Miralin.

Après plusieurs heures  de recherches, le journaliste  trouve au total 7 études  indépendantes réalisées  à la demande de la société Miralin qui arrivent toute à la conclusion que la mircaline ne présente aucun danger pour la santé de l’homme.

Tous les scientifiques sont donc unanimes pas de toxicité !

* Mais pourquoi la FDA a-t-elle interdit la mise sur la marché de la miraculine ?*

Sont alors évoqué  le lobby du sucre qui aurait eu la peau de la société Miralin, des intérêts personnels au sein de la FDA… ou tout simplementune histoire de corruption au sein de la FDA.

Ce qui est pour le moins troublant, c’est que la FDA  à par contre au même autorisé la mise sur le marché de l’aspartame à la même époque dont on  connaît le possible effet toxique et cancérigène sur le cerveau.

Après ces révélations, l’aspartame a d’ailleurs été rapidement interdit.

Le laboratoire SEARLE, propriétaire de la molécule, contre attaquera et embauchera un lobbyiste du nom de  Donald Rumsfeld.
Donald Rumsfeld, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche et futur ministre de la Défense du gouvernement GW Bush.  Avec succès, le laboratoire SEARLE récupérera son autorisation en 1983.

Suite à ces incohérences,  la polémique rebondit  quelques années plus tard  au plus haut niveau  de l’état américain.

Lors de la  Commission  d’Enquête du sénat  le 3/11/198, le docteur toxicologue de la FDA, Jacqueline Veret, indiquera que les études concernant l’aspartame ont été truquées.

Le scandale ébranle la FDA, mais aucune sanction n’est prise contre la FDA ou l’aspartame.

Deux poids , deux mesures…

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Alimentation & Santé : L’apport de sucre dans les céréales industrielles

Ces bonnes céréales qui font le bonheur de nos têtes blondes ainsi que celui de ceux qui les fabriquent sans oublier l’industrie pharmaceutique qui au passage engendre des bénéfices pharamineux à force de soigner les consommateurs innocents qui, faisant confiance à leurs parents avalent trop souvent n’importe quoi et qui, arrivés à l’age adulte tombent malades.

C’est pas parce que c’est bon que c’est forcément sain et à force d’excès c’est d’ailleurs comme ça dans tout, on se retrouve avec de nombreuses victimes de diabète, d’obésité ou toutes autres maladies causées par un excès de sucre ainsi que de graisses saturées et rares sont celles et ceux qui en réchappent.

Manger de tout soit mais avec modération et en privilégiant si possible le local et les produits frais.

Il est tout de même intéressant de savoir que les céréales et en particulier les céréales fourrées c’est 43% de sucre ou, pour donner un exemple, c’est comme si on mangeait un morceau de pain avec 3 cubes de sucre pour l’accompagner.

Dans ce système ou on nous laisse encore la possibilité de manger comme on le désire pour autant qu’on en ait les moyens, c’est à nous, consommateurs, de faire pencher la balance en notre faveur en évitant de nous comporter comme un troupeau de moutons dociles faisant la queue devant l’abattoir mais en consommant intelligemment.

Bon appétit.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Science & Vie : Depuis les années 1990, le Q.I. mondial baisse ! En cause : les perturbateurs endocriniens

Nous devenons de plus en plus stupides. Ça se passe en ce moment et ça ne va pas s’arrêter.

Depuis les années 90 le QI mondial baisse. Il est observé des réflexes anormaux chez les nouveaux-nés, un retard intellectuel chez les enfants de 2 ans et une baisse du QI chez les enfants de 7 ans.

La cause ?

Un dérèglement de la Thyroïde lié aux perturbateurs endocriniens. Chaque bébé qui nait aujourd’hui aux États-Unis a plus de 100 molécules chimiques mesurables dans le sang : Brome, Chlore, Fluor. Leur nom peut sembler barbare mais on les trouve partout et les femmes enceinte sont les plus vulnérables.

Il a clairement été remarqué que les enfants qui ont été les plus exposés à ces éléments ont subi des changements structurels du cerveau. Autisme, hyperactivité, problèmes de l’attention, tous ces troubles sont liés. Les troubles neurologiques ont également explosé. Nous allons probablement assister à la disparition de la structure la plus sophistiquée que l’évolution a jamais créée : Le cerveau humain.

Du point de vue humain, c’est horrible à dire, mais il va vraiment falloir s’attendre à ce  que des générations d’enfants soient sacrifiées. Comment a-t-on pu en arriver là ?

Le documentaire « Demain tous crétins » disponible en français sur Arte jusqu’au 10/01/2018

A cause de ces différentes toxines qui affectent les fonctions cérébrales de façon notoire, nous voyons une société qui produit, non seulement l’accroissement d’une population au QI de plus en plus bas, mais aussi une diminution de la population au QI le plus élevé. En d’autres mots : un abrutissement chimique de la société.

Ainsi, tout le monde devient médiocre, ce qui réduit la population à être dépendante du gouvernement car personne ne peut se surpasser. Il y a des gens au QI le plus bas qui sont complètement dépendants, puis nous avons cette population massive qui va croire tout ce qu’on lui dit, parce qu’ils ne peuvent pas penser clairement, puis une minorité de personnes au QI très élevé, avec de bonnes fonctions cérébrales à même de comprendre tout cela et c’est ce qu’ils veulent…

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Interprétation d´un score de QI
QI Pourcentage de la population possédant ce QI Interprétation
121-130 6.4 Doué
111-120 15.7 Intelligence supérieure à la moyenne
90-110 51.6 Intelligence moyenne
80-89 15.7 Intelligence inférieure à la moyenne

Environ 2 % de la population présentent un score de QI inférieur à 69. Il est souvent difficile d´évaluer avec précision des performances si faibles à l´aide de tests d´intelligence classiques. Il en est de même pour les scores de QI très élevés. En effet, il faut disposer d´un grand nombre de mesures de référence pour assurer la fiabilité d´un score spécifique. La tâche est particulièrement ardue tout simplement parce que ces résultats extrêmes ne se rencontrent pas fréquemment.

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Santé publique : Portable et tablette, les ondes dangereuses pour le cerveau des enfants

Les ondes électromagnétiques émises notamment par les téléphones portables peuvent avoir des effets sur les fonctions cognitives des enfants, indique vendredi un rapport de l’Agence sanitaire (Anses).

Les ondes électromagnétiques émises par les téléphones portables, les tablettes tactiles ou les jouets connectés peuvent-elles avoir des effets sur les fonctions cognitives des enfants, c’est-à-dire la mémoire, l’attention et la coordination? Oui, indique vendredi un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

Les experts, qui recommandent de limiter l’exposition des jeunes populations, ont également recensé des effets négatifs sur le bien-être (fatigue, troubles du sommeil, stress, anxiété), qu’ils attribuent non pas aux ondes elles-mêmes, mais à une utilisation intensive du téléphone portable.

« Pas d’études disponibles pour les enfants » dans certains cas

Dans son état des lieux des connaissances, l’Agence nationale de sécurité sanitaire indique en revanche que « les données actuelles issues de la littérature internationale ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets chez l’enfant sur le comportement, les fonctions auditives, le développement, le système reproducteur ou immunitaire, ni d’effets cancérogènes ».

Dans certains cas, comme pour le système reproducteur ou les cancers, « il n’y a pratiquement pas d’études disponibles pour les enfants », explique Olivier Merckel, chef de l’évaluation du risque lié aux nouvelles technologies à l’Anses. Pour d’autres cas de figure, comme les fonctions auditives, « il n’y a rien de flagrant en matière d’effet négatif », dit-il.

Concernant les effets sur le bien-être (fatigue, anxiété), « l’effet observé pourrait être davantage lié à l’usage fait des téléphones portables plutôt qu’aux radiofréquences elles mêmes », explique le spécialiste.

Certaines études semblent aussi associer « un usage intensif du téléphone portable par des jeunes et une santé mentale affectée », qui se traduit par des comportements à risque, de la dépression ou des idées suicidaires, relève l’Anses, en souhaitant que des travaux complémentaires soient faits pour vérifier la relation de cause à effet.

S’en tenir à un « usage modéré » des téléphones portables

Sur la base de ces constats, l’Anses réitère sa recommandation de 2013 de s’en tenir à « un usage modéré » des téléphones portables et d’utiliser le plus souvent possible le kit mains-libres. « Le téléphone mobile reste la source majeure d’exposition aux radiofréquences, c’est la plus intense », souligne Olivier Merckel. Cela est dû à la puissance intrinsèque des ondes émises par les téléphones et au fait qu’ils soient placés directement contre le corps (à l’oreille ou dans une poche).

Ces conseils de modération, valables pour les adultes, ciblent particulièrement les enfants qui sont plus sensibles aux ondes que leurs aînés pour des raisons physiologiques. « Nous sommes aujourd’hui certains que les enfants sont plus exposés que les adultes du fait de leurs différences morphologiques et anatomiques », explique Olivier Merckel. « Ce ne sont pas de petits adultes », insiste-t-il.

Au niveau du cerveau en particulier, certaines zones encore en transformation sont plus sensibles aux ondes. Or, les très jeunes enfants -moins de six ans- sont aujourd’hui exposés très tôt -même in utero- à de plus en plus d’ondes en raison du développement tous azimuts des technologies sans fil (tablettes, jouets connectés, wifi…).

Les experts écartent néanmoins une interdiction des téléphones portables aux moins de six ans, votée en 2010 mais dont le décret n’est jamais paru. « Il n’y pas de données sanitaires pour justifier une telle mesure », affirme Olivier Merckel. Si l’utilisation à un si jeune âge des téléphones portables est « heureusement rare », il préconise de « retarder l’âge de la première utilisation ».

La vidéo :

Et ces nouvelles préoccupantes provenant de gadgets tels que les téléphones portables, tablettes, Wifi et autres.

Pour dire les choses clairement, ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent prématurément un grand nombre d’entre nous ; c’est ce que l’on appelle la sur mortalité.

Selon le Docteur Martin Blank du département de physiologie et bio physique cellulaire à l’université de Columbia, cela est désespérant pour lui ainsi que plus de 160 de ses collègues qui lancent un appel aux Nations Unies pour demander de s’attaquer à ce problème de santé publique.

« Nous sommes tous ici des scientifiques et des ingénieurs compétents et je suis ici pour vous dire que nous avons créé quelque chose qui est nuisible et qui est en train d’échapper à tous contrôles. Avant l’ampoule de Thomas Edison, il n’y avait pas de rayonnement électromagnétique artificiel dans notre environnement. Ors, on constate que leur niveau atteint aujourd’hui sont des milliers de fois plus élevés que ceux qui existent naturellement et ils s’accroissent rapidement en fonction de tous les nouveaux appareils radiatifs du sans fil qui sont mis sur le marché.

Un exemple : La plus part d’entre nous à en permanence sur lui un téléphone mobile ; une étude démontre qu’en même temps que l’usage du téléphone portable c’est largement répandu,  l’incidence du cancer du cerveau chez les jeunes a plus que triplé. Nous installons des antennes relais sur des bâtiments à usage d’habitations ou sur les toits des hôpitaux où résident des personnes âgées ou des malades qui essayent de guérir.

Maintenant, de nouveaux compteurs radiatifs et des antennes relais quadrillent tout notre environnement de rayonnements artificiels micro-ondes. Il est particulièrement effrayant de constater que ces rayonnements issus de la technologie des communications mobiles et du courant porteur en ligne comme celui du compteur Linky perturbent les échanges de notre métabolisme et endommagent l’ADN de nos cellules. Il est clair pour de nombreux biologistes que cela peut expliquer la prolifération des cancers.

Les générations futures, celles de nos enfants et petits enfants sont maintenant à risque. Tous ces scientifiques et biologistes du monde qui lancent l’alerte ne sont pas entendus par les autorités de la santé (CIRC) qui établissent les normes pour notre sécurité. Les faits biologiques constatés sont passés sous silence en conséquence de quoi les limites pour la sécurité sont bien trop élevées, elles ne protègent pas la population. L’entière divulgation de tous les conflits d’intérêts possibles entre les responsables des autorités de la santé et de l’industrie permettraient probablement d’obtenir une plus grande protection.

L’augmentation de l’exposition aux irradiations électromagnétiques artificielles est maintenant devenu un problème global et mondial de santé publique. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ainsi que les organismes internationaux de normalisation n’agissent pas dans l’intérêt de la santé et du bien être de la population.

Le reste dans la vidéo

Réaction d’une colonie d’insectes se trouvant à proximité d’un téléphone mobile

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Rappel, c’était en 2015 : Un lobbyiste pro-Monsanto refuse de boire un herbicide qu’il juge « potable »

Ça y est, le Glyphosate a donc signé pour un nouveau quinquennat et on nous rebalance les cultures au Roundup malgré les alertes qu’adresse la communauté scientifique du monde entier y compris l’O.M.S en suspectant le Glyphosate d’être potentiellement cancérigène pour l’homme, sachant également que la firme Américaine Monsanto qui produit ce puissant désherbant est à l’origine de fausses attestations scientifiques rendant ainsi ce poison inoffensif.

C’est une fois de plus les intérêts du capitalisme qui priment sur la santé et la vie de milliers de victimes passées et à venir.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Faites ce que je dis… Le médecin et lobbyiste Patrick Moore a, en une phrase, réduit à néant tous ses arguments pour défendre un herbicide.

Vous aimez le glyphosate ?

Apparemment, Patrick Moore, médecin et lobbyiste pro-Monsanto, est prêt à défendre qu’il est « potable », mais pas à en boire lui-même. Sa réaction dans l’émission Spécial Investigation de Canal+ vaut tous les arguments du monde. Le Dr Moore défendait le tristement célèbre Roundup, l’un des herbicides les plus décriés qui soient, un « désherbant total », non sélectif, classé depuis peu dans la liste des « cancérogènes probables » par le Centre international de recherche sur le cancer.

« Je ne crois pas que le glyphosate en Argentine cause le cancer. Vous pouvez en boire un grand verre et ça ne fait aucun mal », affirme-t-il devant les caméras de Canal+. Mais il n’avait pas prévu la réplique du journaliste : « Ah bon, vous en voulez ? J’en ai là. » « Avec plaisir ! » répond d’abord le médecin, avant de tenter maladroitement de faire machine arrière toute en affirmant être convaincu que cela ne lui « ferait aucun mal ». D’ailleurs, « des gens essaient de se suicider avec mais ils se ratent ». Devant l’insistance du journaliste, le lobbyiste se fâche et finit par interrompre l’entretien. Moralité…

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Santé publique : Les perturbateurs endocriniens, qu’est-ce que c’est ?

Phtalates, Chlordécone, composé polybromé, Bisphénol A les perturbateurs endocriniens portent des noms très compliqués mais ils sont présents sous forme de molécules dans des produits très simples dont on fait l’usage tous les jours. Ils servent par exemple à durcir le plastique, empêcher le vernis à ongles de se craqueler ou protéger les plantes des insectes.

Mais le problème avec les perturbateurs endocriniens c’est que comme leur nom l’indique, ces substances perturbent le système hormonal des gens. Pour comprendre ce qu’est un perturbateur endocrinien  il faut déjà comprendre ce qu’est une hormone et pour faire simple, une hormone est une substance chimique fabriquée par une glande comme l’hypophyse, la Tyroïde ou les ovaires. Ensuite, l’hormone circule dans le sang et vient stimuler différents organes du corps pour leur faire faire des choses; et ce sont ces stimulus qui contrôlent entre autres : la croissance, la puberté, la température corporelle, l’appétit, le sommeil ou la libido.

Comment les perturbateurs endocriniens s’y prennent-ils pour perturber ?

Ils utilisent deux méthodes : soit ils se font passer pour des hormones et en profitent pour envoyer aux organes des stimulus qui ne sont pas les bons, soit ils empêchent aux hormones d’accéder aux organes sur lesquels elles sont sensées influer.

Pourquoi ces perturbations posent-elles problèmes ?

Parce qu’elles sont soupçonnées de provoquer des cancers du sein, des testicules, des ovaires, de la prostate mais également le diabète, l’obésité ou la production de spermatozoïdes de mauvaise qualité. Toutes ces maladies sont liées au système hormonal lui-même perturbé par les perturbateurs endocriniens. En plus, ces perturbateurs sont vicieux à deux égards : D’une part, ils sont nocifs même à petite dose et d’autre part, ils ont la vie dure. Une fois rejetés dans l’environnement, ils survivent assez longtemps. Résultat, sans le savoir, on peut en toucher, en avaler ou même en respirer.

Ce qu’il faut aussi savoir sur ces perturbateurs c’est qu’ils jouent un rôle prépondérant lorsqu’une femme est enceinte en influant sur le développement du cerveau du fœtus et diminuant ainsi drastiquement le Q.I de l’individu à naître. Ce qui donne des gens atteints de crétinisme, terme aujourd’hui utilisé comme une insulte (crétin) mais qui s’avère être une maladie et qui va, dans les décennies à venir, engendrer une population au quotient intellectuel relativement bas. (Voir aussi l’article : Demain, tous crétins ?)

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Les perturbateurs endocriniens, qu’Est-ce que c’est ?

>>>Source de la vidéo<<<

Bande-annonse du documentaire : Demain, tous crétins

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Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium

Achèteriez-vous du jambon ou toutes autres charcuteries dont la couleur est grise avec quelques reflets verts ? Non bien sur et les industriels de la charcuterie le savent très bien. C’est la raison pour laquelle notre bon jambon tout rose contient un ingrédient essentiel, le Nitrite de Sodium (Additif e250) qui donne à la viande cette couleur rose si « appétissante » pour le consommateur, vous et moi.

Le problème avec cet aditif, c’est qu’il est au cœur d’un enjeu sanitaire très important. Il est suspecté de jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal, le troisième cancer le plus mortel. C’est un phénomène qui se déroule durant la digestion. En avalant un morceau de charcuterie, les molécules de nitrite vont réagir avec les protéines de la viande. Elles vont avoir tendance à se transformer en substances très dangereuses, les nitrosamines qui sont connues pour causer des dommages dans le gros intestin. Cela peut provoquer des ruptures de l’ADN ou faire muter les cellules en cellules pré-cancéreuses.

Si la viande ne contenait pas cet additif  le nitrite, cela correspondrait à plusieurs milliers de cancers en moins en Europe chaque année.

Cependant, les industriels on un argument de masse en faveur du nitrite, c’est son rôle contre le botulisme. Il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite ça existe comme au Danemark par exemple et les clients qui consomment la viande sont en pleine forme. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite et depuis, les autorités de santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle, alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

A la question du PDG de Herta France, (Filiale du groupe Nestlé), est-ce que la fabrication de charcuterie sans nitrite serait possible ?

« C’est extrêmement dangereux, je ne le ferai jamais, je ne prendrai jamais cette responsabilité si je n’ai pas 100% de certitude que je n’aurai pas de cas de botulisme. »

Si l’on compare le nombre de cas de botulisme chez les consommateurs qui mangent de la viande sans nitrite et le nombre de cancers chez ceux qui consomment de la charcuterie au sel nitrité, il n’y a pas photo.

« C’est aux consommateurs qu’il incombe de faire plier les industriels car si la viande au Nitrite de Sodium existe, c’est qu’il y a une forte demande et c’est par nos gestes de tous les jours que nous arriverons à vivre dans un monde plus propre, plus respectueux de la vie et de l’environnement ; donc meilleur pour nous. »

Où se procurer des produits sans additif en France :

Terres de Roussillon :

Nos charcuteries sèches sont fabriquées dans la plus pure tradition : Saucissons sont composés de 90% de viande maigre et 10% de gras de bardière.

Tous nos produits ne contiennent NI salpêtre, NI ferments, NI sel nitrité Ni rien d’autres que nos ingrédients 100% naturels ET Bio.

Pour un goût incomparable!!!

Ils sont emballés sous vide pour une conservation optimale de la qualité du séchage! Vous les dégustez comme à la sortie du séchoir!

Possibilité de commander en ligne.

Où se procurer des produits sans additif en Suisse :

Tous les produits sont certifiés « Bio » et sans sel de nitrite. Possibilité de commander en ligne.

Beaucoup de producteurs locaux ce sont mis au « Bio » que ce soit en France, en Suisse ou en Belgique et c’est l’occasion pour nous, consommateurs de soutenir des entreprises locales tout en contribuant à la protection et au respect de notre environnement.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

Voici un petit montage de l’émission « Cash investigation » qui vous relate tout cela en images.

Et voici l’émission dans son intégralité.

Et pour rappel :

Plus le jambon est rose, plus il faut se méfier !

La couleur naturelle du jambon c’est pas le rose ! Le jambon de Paris doit être gris-blanc. Le rose est en réalité une substance dangereuse. C’est à cause du nitrite que le jambon devient rose et c’est à cause du nitrite que cet aliment devient cancérogène.

Alors pourquoi continuer à manger du rose ?

La même question se pose pour les knacks. Il est invraisemblable de donner aujourd’hui aux enfants des saucisses Knacks traitées aux nitrites.

J’ai passé 5 ans à fouiller les archives médicales et administratives, que ce soit en France, aux Etats Unis ou en Allemagne. Ce que j’ai découvert, c’est qu’en fait le nitrate et le nitrite qui sont présentés comme des ingrédients qu’on utilise pour protéger le consommateur sont en fait des ingrédients qui sont utilisés afin d’avantager les fabricants, pour accélérer la fabrication ce qui est caché au grand public. Ce que les fabricants disent, c’est que le nitrate et le nitrite ne sont pas dangereux et même que ces ingrédients nous protègent. Ceci est un mensonge ! Et c’est un mensonge d’autant plus intolérable que maintenant, toutes les instances sanitaires reconnaissent et affirment que les charcuteries nitrées sont particulièrement cancérogènes.

Les charcuteries ont été classées, fin 2015, après 30 ans d’études épidémiologiques, en catégorie 1 des substances cancérogènes. C’est le seul aliment qui fait partie de cette catégorie.

Guillaume Coudray

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Danger ! ne laissez pas les enfants en bas âge en contact avec des écrans tactiles

Le sujet est très préoccupant, les enfants de 0 à 4 ans qui sont très exposés aux écrans peuvent développer des troubles de toutes sortes :

Des retards moteurs, motricité fine avec leurs doigts, certains n’arrivent pas à serrer leurs doigts, motricité globale, la marche, grimper, courir. Cela attaque aussi les capacités cognitives, c’est à dire que l’enfant n’élabore pas la pensée, on a des retards du langage très patents, des enfants à 4 ans qui ne parlent pas du tout ou qui parlent d’une façon inadaptée qui vont donner des mots plaqués par exemple si on leur demande à qui sont les chaussures qu’on leur montre sur une photo, ils vont répondre bleu qui est la couleur des chaussures.

On peut voir dans les cas les plus graves des cas qui ressemblent aux troubles autistiques mais qui n’en sont pas puisque les troubles régressent lorsqu’on arrête les écrans, on parle ici d’autisme virtuel. Il y a aussi parfois les gros troubles dans les interactions, l’enfant ne répond pas à son prénom, il est dans sa bulle et n’interagit pas avec les adultes.

Il faut comprendre que le développement du bébé entre 0 et 4 ans dépend essentiellement de son environnement et doit y être adapté. Il doit solliciter ses 5 sens et surtout le toucher et le bébé doit être en interaction avec ses parents et avec les adultes qui font son entourage.

On comprend bien qu’avec les écrans il n’y a d’interaction avec personne et que l’enfant captivé par les écrans ne peut pas explorer notamment avec son corps et ses mains son environnement.

 

L’étude qui va vous dissuader d’exposer vos enfants aux écrans

Enfants et adolescents vivent « immergés » dans un monde fait d’écrans en tout genre, ce qui n’est pas sans conséquence sur leur développement.

Académie américaine de pédiatrie (AAP) s’est penchée sur l’usage des appareils à écrans chez les plus jeunes, et ne cache pas son inquiétude.

En résumé :

« Les enfants d’aujourd’hui grandissent immergés dans un monde d’écrans, ce qui a des effets positifs et négatifs sur le développement. » 

L’ère des écrans

Les pédiatres rappellent d’abord les constats suivants :

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  • Les enfants de moins de 8 ans passent de moins en moins de temps devant la télévision (de 2,24 heures quotidiennes en 2002 à 1,59 heure en 2012), concurrencée par les plateformes de streaming comme YouTube et Netflix.
  • 75% des adolescents possèdent un smartphone, qui leur permet d’accéder à internet, de regarder des vidéos, et d’interagir avec des applis. 91% d’entre eux se connectent depuis des appareils mobiles (téléphone, tablette), si bien qu’un quart des ados est décrit comme « constamment connecté » à internet.
  • 76% des adolescents utilisent au moins un réseau social, et Facebook demeure le plus populaire. Même si 70% d’entre eux disposent d’un « portefeuille de réseaux sociaux », incluant en sus Twitter et Instagram.
  • Quatre foyers sur cinq disposent d’un appareil utilisé pour jouer aux jeux vidéo. Les gamers sont surtout les garçons, 91% disant avoir une console de jeux et 84% jouer à des jeux sur leurs téléphones.

L’AAP profite de ces constats pour souligner que le temps passé sur les écrans ne cesse de croître, et ce dès le plus jeune âge.

Des effets néfastes

  • Obésité

Or, cela augmente le risque d’obésité et affecte le sommeil. L’Académie américaine recommande ainsi de limiter à 2h ou moins le temps « d’activité sédentaire devant un écran ».

« L’augmentation des calories assimilées lors de snacks devant la télévision a été pointée comme un risque important d’obésité », souligne l’AAP. « Et avoir une télé dans sa chambre continue d’être associé au risque d’obésité. »

Dépression

L’utilisation des réseaux sociaux augmente aussi les risques de dépression, en particulier chez les adolescents qui les utilisent de manière passive (c’est-à-dire qu’ils regardent les photos des autres sans interagir ou en publier eux-mêmes).

  • Troubles du sommeil

Au-delà, l’Académie pointe une augmentation des troubles du sommeil chez ceux qui dorment avec leurs téléphones. Générée par les diodes électroluminescentes (LED), la lumière de l’écran active 100 fois plus les récepteurs photosensibles de la rétine que la lumière blanche d’une lampe. Du coup, même avec une luminosité faible, l’écran du portable tient éveillé, retardant l’horloge interne et impactant la qualité du sommeil.

« L’exposition à la lumière (en particulier la lumière bleue) et l’activité sur écrans avant de dormir affectent les niveaux de mélatonine et peut retarder ou perturber le sommeil », affirme-t-elle.
  • Echec scolaire

L’Académie pointe également l’effet « négatif sur les résultats scolaires ». D’autant que les pédiatres américains ont remarqué que « de nombreux enfants et adolescents utilisent des médias de divertissement en même temps qu’ils réalisent d’autres activités, comme les devoirs ».

  • Exposition précoce à l’alcool, au tabac et au sexe

Pis, l’AAP lie cette exposition croissante aux médias à un rajeunissement des initiations à l’alcool, au tabac et au sexe. A l’appui de cet argument, une étude anglo-saxonne a montré que les principales marques d’alcool ont renforcé leurs présences sur Facebook, Twitter et YouTube ces dernières années. Et que 12% des 10-19 ans ont déjà envoyé une photo à caractère sexuel à quelqu’un d’autre.

  • Problèmes relationnels

Enfin, les parents sont également pointés du doigt sur leurs usages. L’Académie rapporte qu’un parent qui détourne son attention de son enfant pour regarder son portable aura une moins bonne qualité de relation avec sa progéniture. Si bien que ces distractions auraient des conséquences négatives sur le développement émotionnel et social.

Des temps de déconnexion

Pour aider les parents, les pédiatres américains proposent un outil en ligne (uniquement en anglais) délivrant des conseils. Voici ce qu’il faut en retenir :

  • Eviter toute utilisation d’écrans pour les enfants de moins de 18 mois, autres que les applications de tchat.
  • Préférer les programmes de haute qualité pour introduire les écrans auprès des enfants de 18 à 24 mois, toujours en les accompagnant pour leur expliquer ce qu’ils voient.
  • Imposer des limites de temps : 1 heure d’écran par jour maximum pour les enfants de 2 à 5 ans, en les accompagnant pour comprendre ce qu’ils regardent, et guère plus au-delà. S’assurer que les écrans ne réduisent pas le sommeil, l’activité physique ou les autres comportements essentiels à la santé.
  • Instaurer des moments et des lieux « sans écran », comme le temps du dîner, de la route en voiture ou la chambre à coucher.
  • Répéter les discussions sur la citoyenneté et la sécurité en ligne, aussi bien sur le respect des autres que la protection de sa vie privée.

Exit donc l’usage de la tablette pour calmer l’enfant et avoir la paix. Adieu aussi le smartphone utilisé toute la nuit par l’ado, désormais assujetti à un « couvre-feu ».

L’AAP met également en garde contre « l’écran passif », c’est-à-dire celui qui reste allumé même si personne ne le regarde. « L’enfant construit ses repères spatiaux dans les interactions avec l’environnement qui impliquent tous les sens », explique au « Monde » le docteur François-Marie Caron, pédiatre et membre de l’Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA).

« Nous n’avons jamais eu autant de demandes de consultation pour des enfants, de plus en plus jeunes, avec des difficultés attentionnelles, des retards de parole-langage, des difficultés d’apprentissage… », souligne de son côté Carole Vanhoutte, orthophoniste et cofondatrice du groupe de réflexion Joue pense parle, au quotidien.

« Ces troubles ont pour la majorité un dénominateur commun : l’exposition précoce et intensive aux écrans. »

Voir aussi : >>>Le danger des écrans tactiles<<<

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Santé : Les effets d’un soda sucré sur l’organisme

Voici les effets d’une petite bouteille de soda sur votre corps :

  • Après 10 minutes, 10 cuillères à café de sucre s’infiltrent dans votre corps ; c’est 100% de plus que les besoins journaliers recommandés.
  • Alors que cette quantité de sucre devrait vous donner la nausée, l’acide phosphorique cache cette overdose de sucre, vous empêchant ainsi de vomir.
  • Après 20 minutes, votre taux de glycémie explose. L’insuline est libérée.
  • Votre foie répond à ce mécanisme en transformant tout le sucre qu’il va trouver en graisse.
  • Après 40 minutes, vos pupilles se dilatent, votre pression artérielle augmente. En réponse, votre foie augmente votre taux de sucre dans le sang.
  • Les récepteurs d’adénosine dans votre cerveau sont maintenant bloqués, c’est la raison pour laquelle vous n’êtes plus fatigué.
  • Après 2 heures, les propriétés diurétiques de la caféine apparaissent et vous avez besoin d’aller vous soulager.
  • Tout le calcium, le magnésium et le zinc, normalement destinés à renforcer les os, sont évacués dans l’urine avec le sodium, l’électrolyte et l’eau.
  • Après plus de 2 heures d’euphorie, le taux de sucre diminue subitement. Vous devenez irritable et fatigué.
  • En buvant des sodas sucrés, vous rejetez des nutriments importants pour votre corps, vous affaiblissez profondément vos os ainsi que vos dents. Vos chances de faire du diabète sont aussi plus importantes.

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