Constitution Suisse : CECI EST L’HISTOIRE VRAIE D’UN VIOL…

Le premier chapitre de notre histoire débute le 9 février 2014, lorsque le peuple et les cantons suisses ont accepté l’initiative populaire « contre une immigration de masse » qui exigeait le retour à une immigration contingentée et donc – par opposition – à la renégociation de l’accord de libre circulation des personnes entre la Suisse et l’Union européenne. Mauvais perdants, les parlementaires (qui, à l’exception de l’UDC, étaient tous opposés à l’initiative) ont rompu leur serment et ont violé la Constitution en votant sciemment et volontairement une loi anticonstitutionnelle le 16 décembre 2016. Pour rappeler les faits, l’ASIN publie aujourd’hui une vidéo de 2.20 minutes intitulée « C’est l’histoire vraie d’un viol… »

« C’est l’histoire vraie d’un viol… » rappelle les faits grâce à des images d’archives issus de la RTS et du Service du Parlement. Il met en scène les principaux acteurs du viol de la Constitution et reprend les commentaires choqués de journalistes témoins de ce jour surréaliste où le Parlement s’est défié du peuple dans un véritable coup d’Etat silencieux. L’ASIN confond les violeurs de la Constitution et appelle à leur non-réélection le 20 octobre prochain.

Le premier chapitre de notre histoire a été écrit par le peuple le 9 février 2014. Il lui appartiendra d’écrire également le dernier chapitre de cette histoire le 20 octobre prochain en envoyant à la retraite politique celles et ceux qui ont cru qu’il était possible de violer la Constitution et d’être acquitté pour non-lieu.

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Suisse : Il faut savoir GENÈVE – AUGUSTINS – Les sans-abris expulsés par les branchés

GENÈVE – AUGUSTINS – Les sans-abris expulsés par les branchés

Insignifiant aux yeux de certains mais  important pour moi

Mardi 27 août, 15h : sur la place des Augustins, quatre policiers et trois flics municipaux, tous gantés de plastique noir, soulèvent une la personne qui a trouvé refuge sous l’auvent du kiosque de la place depuis plusieurs mois. Résigné, silencieux, il ne résiste pas verbalement mais se débat pour qu’on ne le touche pas, puis fini par se laisser porter par les flics qui l’embarquent en abandonnant toutes ses affaires stockées dans deux caddies, ainsi que sa guitare. Pendant ce temps là, la nouvelle gérante du Pop-up store tout juste installée dans le kiosque lave calmement ses vitres afin de pouvoir y appliquer un autocollant annonçant l’ouverture de ce lieu fraîchement rénové. 

Ce kiosque, qui est en réalité un ancien abri de bus et des toilettes publiques, est propriété de la Ville de Genève. Abandonné pendant longtemps, il a servi à de nombreuses personnes comme abri, comme lieu de refuge et de rencontre et se trouve au centre des pratiques sociales qui anime cette place.

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Médias : La Suisse a-t-elle besoin des Romands ?

À l’heure ou un accord cadre entre la Suisse et l’Europe est sur le point d’être signé (ou non), l’équipe de l’émission « Infrarouge » de la RTS lance ce débat si cher au Röstigraben 

La Suisse pourrait-elle se passer des Romands ?

Promo RTS et merci à Alexis Favre pour le partage.

Un débat qui promet d’être à la hauteur des attentes en matière d’audience 😉 à voir ou à revoir sur la RTS

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mise en ligne : (G.S Finalscape)

 

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Consommation : Une brique de lait équitable arrive sur le marché SUISSE

Source de l’image

Une brique de lait équitable arrive sur le marché SUISSE la semaine prochaine.

Comment est-ce possible ? Où la trouvera-t-on ? Et à quel prix ?

Reportage complet à voir dans Mise au point.

Un franc par litre de lait pour le producteur. Le syndicat agricole Uniterre en rêvait depuis les révoltes paysannes de 2009 et la grève du lait en 2008. Et voici qu’une brique de lait garantissant ce prix équitable sera commercialisée dès lundi chez Manor, révèle vendredi l’émission de la RTS Mise au point.

Cette brique de lait équitable est proposée par une coopérative de douze petits producteurs. Il aura fallu du tact, de la patience et de la ténacité à Anne Chenevard, présidente de la Coopérative Lait Equitable, pour que cette brique parvienne jusqu’à celui qui décidera finalement de sa viabilité : le consommateur.

Anne Chenevard, paysanne et infirmière, a d’abord essuyé les refus de Coop et Migros – 80% du commerce de détail en Suisse- avant de trouver un distributeur digne de ce nom. Manor ne représente que 3% du commerce de détail helvétique, mais compte 31 grands magasins répartis dans toutes les régions linguistiques du pays.

Manor réduit sa marge

« Notre clientèle est très attirée par les produits locaux. Ce lait équitable devrait les intéresser, j’en suis persuadé », affirme Sylvain Poinsot, un des directeurs des achats de Manor. « La brique, précise-t-il, sera vendue 1 franc 80 au lieu de 1 fr. 50. Nous avons accepté de réduire notre marge. Et la coopérative recevra donc le franc qu’elle revendique pour chaque litre de lait vendu ».

Ce nouveau produit n’existerait pas non plus sans l’accord du géant de la transformation du lait, Cremo : « Nous savions qu’il serait difficile de convaincre le Directeur de Cremo, souligne Anne Chenevard, car il avait été fortement critiqué par les manifestants lors de la grève du lait de 2008. Mais il a été convaincu par nos arguments et il a compris que les temps avaient changé ».

L’époque des manifestations est révolue, en effet. Celle des producteurs de lait aussi si l’on en croit les statistiques : ils étaient 45’000 en Suisse dans les années 90. Leur nombre est passé sous la barre symbolique des 20’000 en cette année 2019. Ce projet de lait équitable sera peut-être leur dernier combat.

Source & Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Société : Vivre autrement, c’est possible

Des mini maisons économes en terrain et en énergie. Une jeune polytechnicienne s’est lancée dans la création d’un village de Tiny House

Un « Ty Village » (c’est son nom), accueille depuis la rentrée de nouveaux habitants dans le Quartier des villages à coté du Campus d’Armor. À 6 kilomètres de l’université de St Brieuc (20 mn en bus) et 3 km du centre-ville, il s’agit d’un concept d’habitat pour étudiants inspiré des « tiny houses » américaines des années 2000. Les petites maisons de bois sur roues s’installent progressivement derrière le campus d’Armor.

Un projet immobilier d’un genre nouveau

C’est Aurélie Moy, une jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable qui a eu cette idée. Au départ, Aurélie rêvait d’une tiny-house (micro maison) seulement pour elle, et puis l’idée de partager ce mode d’habitat a germé. C’est sur un terrain de son père, bien connu dans le monde de l’immobilier (Sogéloc), qu’elle a pu lancer son projet.

Les tiny houses sont fabriquées en Ille-et-Vilaine par L’ateliers des Branchés dans le plus grand respect de l’environnement, notamment dans le choix des matériaux. Il s’agit de maisonnettes construites en bois avec un bon coefficient d’isolation phonique et thermique (chauffage électrique). Sur le terrain elles sont raccordées aux réseaux d’eau et électricité. Pour l’instant elles sont équipées de toilettes sèches.

En Suisse (Genève), l’association Carrefour-rue fondée par Noël Constant vient en aide aux plus démunis en leur offrant des espaces de vie, des repas chauds tous les jours, des hébergements d’urgence et des studios mobiles.

Aller à la rencontre des personnes en difficulté, sans-abris ou démunies, leur offrir des espaces d’accueil, d’activités, d’échanges, des repas et des hébergements gratuits chaque jour de l’année, tels sont les objectifs de l’association genevoise : Carrefour-rue.

Association privée d’action sociale, elle propose des alternatives souvent originales aux réponses traditionnelles ou officielles.

En 1986 naît la « Coulou« , abris pour sans -bris ; et au fil des ans : « les villas« , lieu de vie communautaire, « le jardin de Montbrillant« , espace d’accueil et de repas gratuits, « Cartouche« , bus d’accueil et de solidarité, « Le point d’eau« , espace d’hygiène et de santé gratuit. En 2006, « Le hameau des chemineaux » voit le jour ; en 2014, « Le hameau Eureka« .

Depuis le tournage de ce reportage réalisé par la chaîne de télévision « 8 Mont-Blanc, ce sont créés la friperie « Aboudaby« , distribution gratuite de vêtements de seconde main pour tous les âges ainsi que « Le hameau Noé » inauguré en 2015.

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Suisse : L’ONG « Tour de Babel » contre les placements abusifs d’enfants

Des personnalités genevoises annoncent la création d’une nouvelle organisation non gouvernementale (ONG). « La tour de Babel pour les enfants du monde » se donne pour mission de dénoncer et d’aider les enfants victimes de placement abusif. Selon les fondateurs de l’ONG, la pratique des placements se poursuit en Suisse malgré les excuses de la Confédération.

Crédit vidéo : Web TV Genève

Et pour rappel :

L’histoire les yeux dans les yeux : Abus sexuels sur des enfants, quand l’histoire nous rattrape

Comme beaucoup d’autres enfants, Valérie Andanson, porte parole de la Fédération des enfants déracinés d’outre-mer a été arrachée à son île natale, la Réunion.

“Les services sociaux allaient dans les familles et faisaient signer des papiers aux parents. La plupart de ces parents étaient illettrés et ne savaient pas du tout ce qu’ils signaient. Les assistantes sociales se déplaçaient sur toute l’île, surtout vers des familles pauvres et allaient vers les parents pour dire :

“Nous allons prendre vos enfants, les emmener en métropole, on va leur apporter une éducation, ils vont être médecins, avocats et ils vont revenir tous les ans pour vous voir.”

Ces promesses n’ont jamais été tenues de la part de la France puisque ces enfants sont partis pour un aller-simple.

La Suisse n’a pas été exempte de ce genre de pratiques et ce sont des années de terreur qui sont décrites dans certains témoignages :

“La nuit il y avait une religieuse qui faisait la garde dans les dortoirs et souvent, le soir elle venait passer sa main sous le drap des garçons et selon son humeur elle en emmenait un avec elle dans sa loge.”

Des abus qui ont perduré pendant près de 50 ans jusqu’à dans les années 70. Depuis, beaucoup de victimes sont mortes, la plupart des responsables aussi toutefois, les victimes ayant pu être auditionnées ont décrit un système basé sur l’humiliation et la répression. Le rapport final est accablant.

L’histoire nous rattrape et le présent n’est pas glorieux si l’on sait ce qui se passe dans des pays comme la Syrie ou des jeunes filles âgées d’à peine 12 ans sont vendues comme esclaves sexuelles.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Suisse : Au coeur du quartier des Nations, un nouveau centre d’hébergement pour migrants pourra accueillir 370 personnes

Notre centre d’hébergement de Rigot a officiellement ouvert ses portes ce matin. Au programme: visite, discours et plantation d’un pommier. Un geste symbolique!

En présence de Christophe Girod (Directeur général de l’Hospice général), Serge Dal Busco (Vice-président du Conseil d’Etat),de Zabiullah Mutalebi (résident du centre), et de Filippo Grandi (Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés – UNHCR, the UN Refugee Agency).

Crédit vidéo : Léman Bleu

L’Hospice général est le service social de la république et canton de Genève. Il s’engage de manière responsable pour la dignité des plus démunis et favorise avec dynamisme le retour le plus rapide possible à l’autonomie durable de chaque bénéficiaire.

L’institution a été fondée en 1535 pour apporter l’aide aux plus démunis. Il a traversé les siècles en poursuivant sa mission pour assumer principalement aujourd’hui le mandat de service social de l’État de Genève.

Source Wikipédia

Hospice général de Genève, quelques mots d’histoire :

Le 14 novembre 1535, par un vote solennel réunissant tous les citoyens genevois, un des fleurons du patrimoine genevois, l’Hospice général, a été fondé sous le nom d’Hôpital général. Il vient alors en aide aux mendiants, réfugiés, enfants illégitimes, vagabonds ainsi qu’aux personnes âgées, malades ou handicapées. Il s’installe d’abord dans l’ancien couvent des Clarisses, au Bourg-de-Four, et son soutien, empreint de charité chrétienne, est conditionné par une conduite vertueuse.

Jusqu’à la Constitution de 1847 du radical James Fazy, les assistés restent privés de droits politiques. En 1869, l’institution devient l’Hospice général, lequel, dès l’entrée en vigueur de la Loi sur l’assistance publique en 1901, s’occupe uniquement du domaine social. Les malades indigents sont dorénavant pris en charge par l’Hôpital cantonal. Durant le XXe siècle, l’aide autrefois conçue comme un devoir de charité évolue pour être enfin reconnue comme un droit, tandis que s’effacent les différences de traitement entre Confédérés et Genevois, entre étrangers et Suisses.

La séparation entre l’Église et l’État accompagne cette évolution, bien que l’Église réformée continue à jouer un rôle majeur jusqu’à la fin du XXe siècle, dans des actions d’entraide ou de soutien aux plus pauvres.

Dernièrement, lors des votations populaires du 14 octobre 2012, le peuple genevois a adopté une nouvelle Constitution perpétuant le rôle de l’Hospice général qui reste le coeur de la solidarité genevoise.

Nous venons aujourd’hui en aide à plus de 28’000 personnes, dont quelque 6’000 requérants d’asile.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

 

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Médias : «Le Temps» enregistre une hausse historique des abonnements

Quand la vérité exulte !

«Le Temps» enregistre une hausse historique des abonnements

Je n’ai pas pour coutume de mettre en avant un média ou l’autre mais c’est peut-être avec un peu de chauvinisme (je suis Suisse ne m’en veuillez pas) mais aussi et surtout l’admiration que je porte envers une profession : le journalisme que je n’exerce malheureusement pas officiellement que je me permets aujourd’hui de mettre en avant un média papier local : « Le Temps » dont je consulte régulièrement les articles sur la toile.

Sources avérées, professionnalisme irréprochable ce journal fait partie des médias envers lesquels on peut avoir une confiance quasi aveugle.

Il faut le dire et le souligner quand l’occasion se présente car c’est tellement rare de nos jours.

« Le Temps » quotidien Suisse : Allez-y fraco et continuez à vous battre pour ce que vous faites. Vous méritez amplement l’admiration que je vous porte et je suis loin d’être le seul.

Aller sur le site >>>

Stéphane Guibert / Finalscape

 

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Suisse : Accords de libre-échange ou consommer local, il faut choisir !

Infrarouge fait sa rentrée mercredi prochain.
Quel thème pour ce premier débat de la saison ? On vous dit tout dans cette vidéo.

D’un côté on nous exhorte à consommer local alors que de l’autre, on signe des accords de libre-échange tous azimuts avec le CETA ou le MERCOSUR.

Serions-nous pris pour des billes ?

Ca sera le sujet du débat d’actualité « Infrarouge » de la RTS, le mercredi 4 septembre 2019 à 21:15

Un débat animé par Alexis Favre

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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