Bruxelles : Intimidations répétées de lobbyistes sur des députés en charge d’une enquête sur les dangers d’une molécule dans les pesticides

Eric Andrieu : « Mon assistant reçoit des appels ou lui demande des nouvelles de sa famille ! »

Eric Andrieu a décidé de rompre la loi du silence ! L’euro-député socialiste, qui préside depuis quelques mois à Bruxelles une commission d’enquête sur les pesticides, affirme être victime de pressions et d’intimidations de la part de l’industrie agrochimique. Il était notre invité ce vendredi.

Des propositions de rendez vous confidentiels, des coups de fils inquiétants, ou encore son propre ordinateur qui renvoie automatiquement à la poubelle des mails dans lesquels apparaît le mot « cancer ».

Depuis qu’il préside à Bruxelles une commission d’enquête parlementaire sur les procédures d’homologation des pesticides, l’euro-député socialiste du sud-ouest, Eric Andrieu, affirme faire l’objet de fortes pressions et de tentatives d’intimidation, sur lui et son entourage.

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Accords-cadres entre la Suisse et l’Europe, les syndicats tirent la sonnette d’alarme

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«On n’est pas contre un accord-cadre, on est contre qu’on sacrifie les conditions de travail des Suisses ou des résidents en Suisse pour faire plaisir à l’Europe».

Le renforcement des mesures d’accompagnement à la libre circulation des personnes reste la meilleure voie!

« Même si l’Europe a fait des petits pas, mais des touts petits pas, par rapport à la protection des travailleurs, notamment avec cette directive des détachés, on est très très loin de ce que l’on connait en Suisse et ce que propose l’Europe comme alternative, ce n’est pas quelque chose qui va pouvoir nous permettre de protéger les salaires en Suisse.

Et c’est la raison pour laquelle nous les syndicats, avons fixé des lignes rouges depuis 2013. Ces lignes rouges étaient une condition pour notre soutien, ainsi que le soutien de la population à cette voie bilatérale. On a donc dit qu’il ne fallait pas la remettre en question.

Notre problème n’est pas que nous soyons contre un accord-cadre par principe, nous sommes contre que l’Europe négocie et que les conditions de travail des Suisses ou des résidents suisses pour faire plaisir à l’Europe et puis finalement abandonner nos conditions de travail et notre qualité de vie. »

Alors que l’économie suisse se porte bien avec des prévisions de croissance de 2,9% du PIB pour 2018, un taux de chômage au plus bas depuis 10 ans, moins de 2,4% c’est par des moyens peu scrupuleux tels que le chantage avec notamment l’équivalence boursière que l’UE tente un rapprochement avec la Suisse.

Stéphane Guibert

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Suisse : Le Conseil fédéral cède au chantage de l’UE et paie sans contrepartie

Le Conseil fédéral a informé une fois de plus aujourd’hui sur l’état des négociations concernant le projet d’accord-cadre avec l’UE. Il est de plus en plus évident qu’il se laisse instrumentaliser par l’UE dans les négociations de celle-ci avec la Grande-Bretagne.

Au lieu de s’incliner devant Bruxelles, le Conseil fédéral devrait enfin avoir le courage d’interrompre les négociations. L’UE exige de la Suisse la reprise automatique de son droit, si bien que les Suissesses et les Suisses devraient déposer leur droit de vote à Bruxelles. Le Conseil fédéral a en outre décidé aujourd’hui de verser une dite contribution à la cohésion de l’UE de 1,3 milliard de francs sans obtenir aucune contrepartie, un cadeau qui sera payé par les contribuables suisses.

Le Conseil fédéral a décidé aujourd’hui de verser une nouvelle contribution de plus d’un milliard de francs au fonds de cohésion de l’UE. Outre le montant de 1,1 milliard de francs basé sur la loi sur l’aide aux pays de l’est, le Conseil fédéral projette d’offrir 200 millions de francs à Bruxelles au titre de la migration. Il se fonde en cela sur la loi sur l’asile. Le gouvernement mêle ainsi des thèmes qui n’ont aucun rapport entre eux, ce qui est une violation évidente du principe de l’unité de la matière. L’UDC invite donc le Conseil fédéral et les autres partis à adopter un arrêté soumis au référendum afin que les Suissesses et les Suisses puissent se prononcer sur ce cadeau insensé de 1,3 milliard de francs offert à l’UE.

Face à une UE qui défend sans concession ses propres intérêts, la tactique maladroite du Conseil fédéral dans ces négociations donne envie de rire ou de pleurer. Aussi, l’UDC invite-t-elle le gouvernement à mettre fin à cette tragicomédie. L’accord-cadre visé impose à la Suisse de reprendre automatiquement du droit de l’UE ou, comme le dit le président de la Commission européenne, de partager la souveraineté avec l’UE. En cas de litige, il appartiendrait à la Cour de justice de l’UE, donc à des juges étrangers, de trancher. Et au cas où les citoyennes et citoyens suisses refuseraient d’appliquer les décisions de Bruxelles, l’UE pourrait décréter des sanctions. La Suisse doit enfin parler clair et faire comprendre à l’UE que nous voulons des bonnes relations avec elle, mais comme État souverain, donc sans la reprise automatique de droit étranger.

En fait, tout le monde devrait avoir compris depuis quelques mois les enjeux de cette affaire. Il s’agit finalement de la sauvegarde de la démocratie directe: aujourd’hui la gauche se rend enfin compte que la Suisse serait contrainte de reprendre le droit de l’UE pour la protection de ses salariés, demain les Suissesses et les Suisses seraient concernés dans tous les domaines: exportation des prestations complémentaires AVS dans les pays de l’UE, hausse des impôts, citoyenneté européenne, institutions étatiques (interdiction des banques cantonales, des assurances cantonales des bâtiments, etc.), accord de libre-échange de 1972, règlementation des transports, renvoi des étrangers criminels, répartition des réfugiés économiques selon les règles de l’UE, paiement de la totalité des indemnités de chômage des frontaliers, etc.

Il est hors de question de brader le droit de vote des Suissesses et des Suisses. La souveraineté législative des citoyens suisses dans leur propre pays doit être sauvegardée dans tous les cas.

Source : UDC Suisse

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Économie : Ma thèse en 180 secondes

Au cours de ces 10 dernières années, beaucoup de personnes ont perdu leur emploi, leur capital immobilier et financier et leur niveau de vie habituel … C’est la crise.

Vous êtes vous déjà demandé d’où venait cette crise, quelles en sont les raisons et quelle serait éventuellement la solution ?

Rappelons-nous d’abord qu’en 1999, on a décidé d’unifier les systèmes bancaires dans un certain nombre de pays européens et donc, de remplacer les anciennes devises par une monnaie unique que l’on appelle l’euro.

Mais pourquoi remplacer une devise synonyme de souveraineté monétaire ?

Avec cette unification, on a placé sur une même échelle des économies qui sont à la base très différentes les unes des autres que ce soit en terme de taille mais aussi en terme de performance et de productivité ; parce qu’auparavant, une économie performante avait une forte devise tandis qu’une économie moins performante avait une devise naturellement moins forte.

À présent, ces différences ne peuvent plus se répercuter sur les taux de change puisque les devises nationales n’existent plus. Désormais, tout est dissimulé sous l’aspect unificateur de l’euro. Sauf que, ces différences existent encore.

Là où ces différences sont les lus visibles se trouvent sur les comptes du système des paiements intra-européen. Il s’agit d’une plateforme électronique à laquelle toutes les banques centrales des pays membres de la zone euro ont accès afin de réaliser les transactions de leurs opérations d’import et d’export. Les soldes qui en découlent sont appelées balance target.

À présent, au lieu d’avoir une forte devise, une économie performante comme l’Allemagne affiche une balance positive, ce qui signifie qu’elle est créancière vis à vis du reste de la zone euro alors qu’une économie moins performante, au lieu d’avoir une faible devise, affiche une balance négative ; ce qui veut dire qu’elle est endettée vis à vis du reste de la zone euro.

Jusqu’à là, rien d’alarmant. Le système fonctionne comme prévu. Mais ce système là donne la possibilité à de toutes petites économies à l’image de la Grèce de s’endetter bien au delà de leur taille et donc de leur capacité de remboursement et c’est justement ce qui fait surgir une crise de la dette publique.

Cette thèse propose de repenser le système des paiements intra-européens de sorte à solder toutes les opérations au quotidien. Ainsi, il n’y aura plus de balance positive ni de balance négative et les paiements pourront s’opérer comme à l’intérieur d’un seul et même pays. C’est seulement là que nous pourrons dire que désormais, le projet d’unification est accompli.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Suisse : Jean-Claude Juncker balaie l’accord « light » avec la Suisse

« Je veux un accord d’ensemble »: interrogé jeudi par la RTS, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a balayé l’idée d’un accord « light » avec la Suisse tel que l’envisage le Conseil fédéral.

Concernant l’accord institutionnel négocié avec la Suisse, Jean-Claude Juncker douche les espoirs helvétiques d’une négociation par étapes ou d’un accord « light ». « Je suis contre le saucissonnage », déclare le Luxembourgeois, ajoutant que « les États membres ont des idées arrêtées sur le sujet ».

Pour le président de la Commission européenne, le temps presse pour la Suisse, car après lui, « ça pourrait être franchement mauvais ». « Négociez avec moi, concluez avec moi, parce que d’ici une année je ne serai plus là et vous allez voir », assure Jean-Claude Juncker.

« Faites-le maintenant »

Le dirigeant européen estime aussi qu’il faut « régler une fois pour toutes les relations entre la Confédération et l’Union européenne et je vous le redis: ‘Faites-le maintenant' ».

Jean-Claude Juncker explique en outre que la Suisse doit régler son cas avant le Brexit: « Le temps presse parce que nous sommes en train de négocier avec le Royaume-Uni. Je ne veux pas qu’une négociation 1 empiète sur une négociation 2, ça va compliquer notre démarche des deux côtés. »

Pas d’illusions sur une adhésion de la Suisse à l’UE

Quant à une possible adhésion, un jour, de la Suisse à l’Union européenne, le président de la Commission avoue avoir changé d’avis: « J’avais des illusions. Les Suisses ne renonceront jamais à leur souveraineté. »

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Europe : Le discours de Viktor Orbán au Parlement européen face au « rapport Sargentini ».

Dernière mise à jour : Dimanche 16 septembre 2018 – 14:00

Le discours de Viktor Orbán au Parlement européen face au « rapport Sargentini« .

Le discours de Viktor Orbán, premier ministre hongrois prononcé le 11 septembre 2018 au parlement européen de Strasbourg était clair. Il y dénonce notamment une Union européenne faisant deux poids deux mesures tout en sanctionnant lorsqu’un État souverain s’oppose au dictat de Bruxelles.

Viktor Orbán : « La Hongrie ne cèdera pas au chantage, la Hongrie défendra ses frontières, arrêtera l’immigration illégale, si besoin contre vous également. Nous ne nous rabaisserons jamais à réduire au silence ceux qui ne sont pas d’accord avec nous ».

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Brexit : Vers un nouveau référendum ?

Lors du référendum sur le Brexit, Jean-Claude Juncker désarçonné parlait de l’inquiétude des extra terrestres.

Union Européenne, on fera revoter le peuple jusqu’à ce que l’on obtienne le résultat voulu !

Plusieurs voix s’élèvent pour défendre l’idée d’un appel au peuple alors que l’exécutif se divise sur les modalités de sortie de l’Union européenne.

Source : AFP

Après deux ans de querelles gouvernementales et autres dissensions parlementaires sur le Brexit, l’idée que seul un nouveau référendum pourra trancher sur l’avenir du pays fait son chemin au Royaume-Uni. L’ancienne ministre de l’Éducation Justine Greening est devenue lundi l’un des plus influents soutiens à l’organisation d’un tel scrutin, connu sous le nom de « People’s Vote » (« Le vote populaire »), et qui, petit à petit, rallie de plus en plus de partisans. « La seule façon de sortir de l’impasse, c’est de retirer la décision finale sur le Brexit des mains des politiciens (…) et de la rendre au peuple », a déclaré la députée conservatrice dans le Times.

Sa prise de position intervient après la publication par le gouvernement conservateur du « plan de Chequers », une proposition visant à conserver des liens commerciaux étroits avec le continent après le Brexit, prévu le 29 mars 2019. Ce projet a provoqué des démissions au sein du gouvernement et des menaces de rébellion parmi les députés eurosceptiques, faisant craindre à certains diplomates européens que Londres ne soit finalement jamais en mesure de conclure d’accord sur le divorce.

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Alimentation : Quand vos steaks hachés pur bœuf sont fabriqués avec 9% d’une viande dont l’ADN est non-identifiable

De la viande soit disant pure bœuf composée de 9% de viande non-identifiable, la viande du 3ème. type !

Des boulettes de viande de bœuf mélangée à de la volaille, des viandes lavées à l’ammoniac ou à l’acide ne permettant plus la traçabilité de ce qui se trouve dans nos assiettes.

C’est en Hollande, à Breda qu’une enquête a conduit des journalistes d’investigation ouvrant ainsi une brèche sur l’envers du décor de nos plats cuisinés.

C’est au cœur d’une entreprise qui vend sa production de viande dans le monde entier “Convenience food producers”, une immense usine de transformation de viande qui ne veut pas recevoir les journalistes qu’une équipe d’enquêteurs a réussi à s’infiltrer en se faisant passer pour des fabricants de lasagnes bolognaise.

Pour diminuer les coûts de production de viande bolognaise, une cadre de l’entreprise propose une première solution, remplacer le bœuf par une viande de volaille, du poulet ou de la dinde mais sous une forme particulière. de la viande VSM séparée mécaniquement.

La VSM de dinde ressemble à la VSM de bœuf et est nettement moins cher. Cette viande est obtenue en jetant les carcasses de poulets dans une machine qui va séparer mécaniquement les derniers restes de viande en les rabotant des os. Il va en sortir une chair liquide rouge qui est ensuite compressée afin de former des blocs de viande prêts à être livrés aux fabricants de plats cuisinés. Ces ultimes morceaux de chair ainsi compactés sont très bon marché, environ deux fois moins cher que le bœuf.

C’est donc confirmé; certains fabricants de produits cuisinés, afin de réduire leurs coûts, ont eu l’idée de mélanger ces chutes de poulet avec du bœuf pour fabriquer une viande hybride.

VSM sur la viande de bœuf : La machine gratte sur les os les derniers restes de chair et la viande ressort sous forme d’une pâte pour plats cuisinés mais le problème est qu’un tel grattage pourrait contaminer la viande en lui transmettant des virus, notamment celui de la vache folle. Voilà pourquoi la VSM de bœuf est interdite en France; mais cette société peut en trouver en Allemagne.

Au cours de sa fabrication, la viande VSM subit une importante batterie d’épreuves :

La viande est chauffée à 36 degrés Celsius puis pour éviter tous risques de contamination, elle est lavée à l’ammoniac aux États-Unis et à l’acide en Europe. Mais cette façon de procéder a pour résultat de détériorer son ADN et de lui faire perdre une bonne partie de sa traçabilité.

Bon appétit !

Ce dont il faut bien être conscient c’est que l’UE a fait paraitre une directive contraignant les pays membres de faire passer une loi dite « secret des affaires« , que cette loi va être appliquée non seulement pour luter contre l’espionnage industriel mais aussi et surtout et c’est ce qui est nouveau, interdisant les enquêtes de journalistes d’investigation, en effet :

Si les firmes suspectées de fraudes considèrent que les enquêtes menées vont à l’encontre de leurs intérêts financiers elles auront le droit d’attaquer juridiquement les journalistes « indélicats » et de les faire condamner à de très lourdes sanctions pouvant mener à l’emprisonnement.

Ce qui revient à dire que le reportage que vous allez visionner ci-dessous (si vous le désirez) ainsi que ceux à venir peuvent tout simplement être interdits voir même stoppés durant le tournage.

Il en va de même pour tout ce qui implique les paradis fiscaux, LuxLeaks, SwissLeaks, Panama papers etc…

Les associations de consommateurs (50 mio. de consommateurs) sont également mises sous la sellette et ne pourront plus dénoncer les dérives quelles qu’elles soient.

En France, cette loi a été adoptée et votée en toute hâte durant les conflits sociaux de ces dernières semaines.

Prenons acte !

Faut-il alors attendre un scandale sanitaire planétaire, faut-il qu’il y ait des milliers de morts pour que les gens prennent conscience de ce qui se joue en ce moment à leur insu ?

Il en va de même dans tous les domaines : En 50 ans , nous avons détruit 85% de notre biodiversité. Faut-il alors attendre le point de rupture, le point de non retour pour que nous ouvrions les yeux ?  etc…

Nous sommes à deux doigts d’une extinction massive, la notre et c’est par un incommensurable déni que nous fonçons têtes baissées sur nos smartphones et tablettes droit dans le mur.

Cela en devient hallucinant, hors contexte temporel tant ce qui est en train de se passer en direct, sous nos yeux est devenu surréaliste !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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« VOTRE CONCEPTION DE LA DÉMOCRATIE EST NAPOLÉONIENNE » Marisa Matias, Eurodéputée du bloc de gauche portugais a interpellé Emmanuel Macron au Parlement Européen

CARTON ROUGE POUR EMMANUEL MACRON

Le discours de l’eurodéputé Belge, Philippe Lamberts a fait le tour des réseaux sociaux. Marisa Matias, eurodéputée du bloc de gauche Portugais a elle aussi interpelé le président Français.

« Monsieur Macron, vous êtes présenté ici comme le président de la France mais, en réalité on dirait que vous vous prenez pour un petit Napoléon. Vous êtes venu faire une déclaration d’amour à la démocratie, vous avez même dit que la démocratie n’était pas une parole creuse. Mais je vous le demande : Quelle démocratie ? La démocratie, quand vous avez décidé, il y a moins d’une semaine, unilatéralement, avec Trump et May de lancer une attaque sur la Syrie, en ayant rigoureusement consulté personne ? Votre conception de la démocratie n’a pas de citoyen ? N’a pas de parlement ? Vous n’avez même pas vu l’assemblée nationale française. Vous avez ridiculisé les institutions européennes !

C’est ça votre conception de la démocratie ? Monsieur le Président, votre conception n’est pas creuse, elle est inexistante. Votre conception de la démocratie est Napoléonienne. Or, nous voulons une démocratie complète. Si vous voulez la paix au Moyen-Orient, vous avez un bon remède : Arrêtez de vendre des armes. Vous êtes en très bonne position pour le faire. »

G.S

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Bruxelles : macron se fait humilier comme jamais devant les députés

L’eurodéputé belge Philippe Lamberts a littéralement humilié Emmanuel Macron lors de sa venue au Parlement Européen à Strasbourg, ce mardi 17 avril. Point par point il a démontré les contradictions entre les discours et les actes du président de la République. Et il lui a même offert un petit cadeau !

  • « Monsieur le Président, il est bon que la France soit de retour. Ça faisait vraiment trop longtemps que son siège européen était physiquement occupé, mais politiquement vide. »
  • « Monsieur le Président, ce que vous souhaitez pour l’Europe, vous affirmez que la France doit commencer elle-même à le faire dès aujourd’hui. Votre action en France raconte une toute autre histoire. Une histoire qui met à mal la devise de votre pays : Liberté, Égalité, Fraternité. »
  • « Ou est la liberté l0rsque vos citoyens peuvent être surveillés, assignés à résidence et perquisitionnés sur de simples soupçons de la police. »
  • « Dans votre France, l’état de droit garant de nos libertés s’éloigne jour après jour. »
  • « Où est-elle l’égalité lorsque vous imposez toujours plus de précarité aux travailleurs alors qu’en même temps, vous faites des cadeaux fiscaux aux plus riches, ceux que vous aimez appeler « Les premiers de cordée ». Votre foi en eux est inébranlable mais voyez-vous, ce qui définit la cordée, Monsieur Macron, c’est la corde. C’est elle qui permet d’adapter la vitesse du premier de cordée au besoin du groupe c’est elle aussi qui empêche les derniers de cordée de tomber. Mais dans notre société Monsieur le Président, cette corde n’existe plus. Les riches s’enrichissent, les classes moyennes stagnent et se précarisent et les plus fragiles sont abandonnés »
  • « Est-ce au nom de la fraternité que vous vendez des armes à des régimes qui les retournent contre leur propre population ou contre leurs voisins ? Où est-elle cette fraternité lorsque votre police lacère tantes et sacs de couchages de migrants. »

A mon avis, Emmanuel Macron sera le dernier Président de France avant que l’avenue de ce fameux « Nouvel Ordre Mondial » soit mise en place. Tous les signes sont là et tout s’accélère à une vitesse Grand V. (ndlr.)

Le reste dans la vidéo

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