Finalscape prend une petite pause d’environ une semaine.
De retour dans la seconde quinzaine de mars.
GS
Finalscape prend une petite pause d’environ une semaine.
De retour dans la seconde quinzaine de mars.
GS
14 ans ce gosse ! Écoutez-le s’en prendre à la police et publier ça comme si de rien n’était sur les réseaux sociaux.
Un commentaire sous la vidéo disait et à très juste titre d’ailleurs :
« J’aimerais qu’on montre cette vidéo à chaque fois qu’il postulera à un job… »
Regardons cet ados sans doute accros à des séries du genre « Les anges de… », « Touches pas à mon poste », etc… et qui voulait certainement faire le buzz.
Triste jeunesse !
Au moindre dérapage d’un agent de la paix et c’est toute la profession qui est stigmatisée. Pourquoi les médias s’acharnent-ils donc à créer artificiellement des tentions entre les forces de l’ordre et la population ? L’affaire Théo n’a-t-elle pas été médiatisée à outrance ? Le président Hollande venant au chevet de Théo, cela n’était-il pas organisé dans le but de gonfler les points dans les sondages et d’en rajouter une couche sur cette haine grandissante ?
Écoutez à présent ce très court extrait d’une vidéo qui en dit long sur la situation actuelle.
« On prépare les révoltes de demain, on prépare le chaos de demain »
C’était en 2008 lors du traité de Versailles alors même que le gouvernement de Sarkozy avec la complicité du PS interdisaient aux français le droit au référendum.
Et qu’en est-il aujourd’hui ?
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
Alors que les pêcheurs chiliens sont depuis plusieurs mois touchés par une « marée rouge » qui les empêche d’exercer leur profession, une nouvelle catastrophe écologique vient de frapper les îles chiliennes. Greenpeace nous révèle des images-choc : des milliers d’animaux s’échouent, morts, sur les plages de l’archipel Chiloé. La raison ? Sans doute les cinq mille tonnes de saumon en décomposition rejetées par les centres d’élevage proches de l’île.
Une catastrophe écologique sans précédent
Les images rapportées par Greenpeace sont stupéfiantes et d’une violence inouïe : depuis plus d’un mois, des milliers d’animaux morts recouvrent les plages de l’île chilienne Chiloé. Oiseaux, crabes et même otaries : tout l’écosystème marin semble y venir y mourir. Comment un tel désastre a-t-il pu arriver ? Plusieurs hypothèses sont avancées, plus ou moins convaincantes.
La faute à la « marée rouge » ?
Pour le gouvernement, cette catastrophe écologique n’a d’autre source que la « marée rouge » qui sévit sur les côtes chiliennes depuis maintenant presque trois mois. Il s’agit d’un phénomène naturel où prolifèrent de petites algues rouges, lorsque la température, l’ensoleillement et les courants marins sont propices. Parmi les 300 espèces nées de la prolifération, au moins 80 sont toxiques : elles peuvent être absorbées par des mollusques filtreurs, qui risquent d’intoxiquer d’autres organismes. Certaines d’entre elles, les Karenia brevis, sont d’ailleurs responsables de la mortalité des Lamantins des Caraïbes.
C’est pourquoi, la pêche et la récolte de fruits de mer sont interdites depuis le début de la catastrophe. Car ces toxines peuvent se transmettre à l’homme : leur consommation, même minime, provoque des dommages nerveux et une paralysie musculaire qui peut entraîner la mort. Depuis 1972, plus de 23 Chiliens sont décédés après avoir ingéré des fruits de mer contaminés.
Quoi de plus pratique pour excuser cette vague mortelle parmi les animaux de l’écosystème chilote que de lui trouver une cause naturelle ? Effectivement, le phénomène de marée rouge est naturel, on en retrouve des traces jusque dans l’Antiquité et même dans les écrits religieux : elle serait d’ailleurs à l’origine de la première des dix plaies d’Egypte (« Toutes les eaux du Fleuve se changèrent en sang. Les poissons du Fleuve crevèrent ; et le Fleuve s’empuantit, et les Égyptiens ne purent plus boire l’eau du Fleuve » Exode 7, 20–21). Mais les scientifiques s’accordent à dire que la marée rouge qui touche aujourd’hui les côtes chiliennes est d’une toute autre ampleur par son étendue (plus de trois mois alors qu’elle n’en dépasse habituellement pas deux) et par sa fréquence, ces dernières années (2002, 2006, 2009, etc.).
Saumon d’élevage : les produits chimiques fragilisent l’écosystème
Mais pour les habitants de l’île, déjà appauvris par l’interdiction de pêche, la mort de la faune locale est bien la faute de l’homme, et notamment celle des usines d’élevage de saumons, implantées sur l’île. Les industries d’élevage sont accusées d’avoir fragilisé l’écosystème marin depuis des années.
Deuxième producteur mondial de saumon d’élevage, le Chili ne pratique cependant pas les mêmes méthodes que son concurrent direct, la Norvège : la législation n’étant pas la même, de très nombreux antibiotiques et produits chimiques sont utilisés puis reversés dans les eaux de l’archipel. La revue Sciences et Avenir révélait ainsi dès 2010 que « la même entreprise, Marine Harvest, utilise par exemple moins d’un gramme d’antibiotiques par tonne de saumon produite en Norvège, contre 500 à 700 grammes au Chili ».
« La Mer de décomposition » : une réalité chilienne
Si l’écosystème marin est fragilisé depuis des années par l’industrie de l’élevage, ce qui aurait véritablement provoqué cette crise sans précédent est la récente attitude irresponsable de l’élevage : il a rejeté plus de 5 000 tonnes de saumon en décomposition au large de l’île. Greenpeace affirme avoir des preuves concernant l’implication de ces rejets sur la crise écologique.
Mais le plus étonnant dans ce scandale, c’est que la manœuvre n’a rien d’illégale, elle a même été autorisée explicitement par le gouvernement : celui-ci avait d’ailleurs donné son feu vert pour rejeter jusqu’à 9 000 tonnes de saumons contaminés. Comment une réglementation, même très permissive envers l’industrie de l’élevage, peut autoriser à jeter dans la mer des corps en putréfaction, sans même en envisager les conséquences désastreuses ?
Pêcheurs en colère, enquête et pétition
Alors que les pêcheurs de l’île mènent une révolte depuis trois semaines déjà contre un dédommagement qu’ils estiment trop faible – une prime de 525€ chacun pour vivre – l’avenir de l’île et de ses habitant, pour la plupart au chômage technique, est incertain. Depuis que la catastrophe écologique est venue se greffer à la catastrophe économique, les 17 000 Chilotes ont l’impression que le sort s’acharne contre eux, même s’ils ne baissent pas les bras.
De nombreux activistes leur ont témoigné un soutien indéfectible, notamment via des actions devant les centres d’élevages, leurs banderoles criant : « La mer n’est pas une décharge ! ». Greenpeace, de son côté, a dépêché une équipe de spécialistes afin d’identifier clairement les causes de la catastrophe, d’informer la population et de faire pression sur le gouvernement. L’association milite en effet pour que celui-ci interdisse le déversement des déchets dans l’eau et adopte une législation plus adéquate. La pétition en ligne recense déjà plus de 75 000 signatures : assez pour faire changer les choses ?
Vidéo :
Quand les poissons et crustacés meurent par tonnes !
Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.
Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.
Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».
Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.
Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !
Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
Bonjour à tous;
J’informe toutes celles et ceux qui me suivent sur Finalscape que la ville de Genève via son réseau libre d’accès censure le site et je vous en donne la raison :
« You have tried to access a web page wich is in violation of your internet usage policy.
Category : Pornography
This service is operated by Monzoon Network AG, Spinnerie-Lettenstrasse, 8192 Zweidlen / ZH, Switzerland
Contact details :
eMail : support@monzoon.net
Phone : 0800 666 966″
Ce qui signifie en clair que Finalscape a été bloqué car son contenu est pornographique et voici ma réponse :
Bonjour ;
Gros coup de gueule dans un train en France. On y accuse Valls, fillon, Sarkozy et bien d’autres d’être à l’origine de la spoliation de l’Afrique, on y accuse la France (pas le peuple français mais les élites) de placer des dictateurs à la tête des pays par intérêt sans tenir compte du manque de salubrité en Afrique, sans tenir compte du manque de soins, sans tenir compte que des enfants doivent étudier à même le sol pour ceux qui ont la chance d’étudier etc…
Monde bien malade que le nôtre aujourd’hui.
Sttéphane Guibert / Finalscape / VK
ATTENTION: le total des parrainages affiché ne préjuge pas de la validité de la candidature. Seule la décision finale du Conseil constitutionnel fait foi.
En effet, une candidature est retenue si:
1 – pas plus d’un dixième des 500 parrainages nécessaires, c’est-à-dire 50 au maximum, émanent d’un même département ou collectivité d’outre-mer ;
2 – ces parrainages sont signés par des élus d’au moins 30 départements ou collectivités d’outre-mer.
Les parrainages sont présentés ici dans l’ordre alphabétique des candidats.
Vous avez la possibilité d’ajouter un tri supplémentaire en cliquant sur une autre colonne tout en appuyant sur la touche majuscule de votre clavier.
Brigitte Bardo que l’on croyait décédée suite à un billet publié sur Twiter ce qui a été formellement démenti par son entourage ensuite nous donne son avis sur les manifestations plus ou moins violentent qui se déroulent en France.
Brigitte suit Fillon dans son raisonnement en disant que le gouvernement entretien un climat de guerre civile et je donne mon aval à ce raisonnement. Cela fait déjà bien longtemps qu’en Europe, des tentions entre les différentes cultures sont artificiellement entretenue afin de favoriser ce fameux choc des civilisations.
Diviser pour mieux régner stratégie bien connue pour rester maître de la situation. Les événements vont aller très vite en Europe et en ce qui concerne la France, les plus alarmistes ou complotistes pensent qu’un fait majeur va se produire et que les élections de mai seront à défaut d’être annulées en tous cas suspendues.
Nous verrons.
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
>>>Source de la vidéo<<<
BREIZATAO – ETREBROADEL (03/03/2017) Nos lecteurs se rappelleront de la polémique lancée par la presse occidentale suite aux propos de Donald Trump sur la situation sécuritaire en Suède. Il avait été accusé, à tort, d’avoir « inventé » un attentat terroriste lors d’un discours en Floride (voir ici). Les médias avaient assuré que le Président Trump avait sciemment menti.
Las, le lendemain du discours, de graves émeutes démarrait à Rinkeby, une enclave afro-musulmane de Stockholm, la capitale suédoise.
Intéressés par la situation en Suède, des journalistes américains – Tim Pool et Emily Molli – ont décidé de se rendre dans cette enclave pour enquêter. Mais très rapidement, avant tout échange avec la « population » locale, des groupes d’hommes encagoulés surgissaient d’un peu partout. La police est intervenue, demandant aux journalistes de quitter rapidement les lieux.
On ne filmait personne, on parlait à la police. Ils ont commencé à devenir nerveux et les hommes ont commencé à Se masquer autour de nous.