Intolérance à la lactose ? Et si vous essayiez la fondue végane ?

Intolérance à la lactose ? Et si vous essayiez la fondue végane ?

Même sans être végane, combien sommes-nous à devoir nous priver d’une bonne fondue à cause de notre intolérance à la lactose ? La fondue végane pourrait être une alternative intéressante … (G.S)

Une fondue suisse 100% végane, garantie sans aucun produit d’origine animale. De quoi fâcher les puristes, mais réjouir les antispécistes ?

Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse

Page Facebook de la crèmerie >>>

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Maltraitance animale : LE GAULOIS

LE GAULOIS

C’est la 3ème enquête DxE France dans un élevage de poulets Le Gaulois. Cette fois-ci nos enquêteurs ont découvert un pile de cadavres de poulets au contact des animaux vivants, en total contradiction des règles de biosécurité.

Après avoir regardé ces images vous ne mangerez plus de poulet ou par déni, vous ne visionnerez pas cette vidéo comme le font d’ailleurs le 90% des consommateurs.

Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

ALIMENTATION : Riz Basmati: un alarmant cocktail de pesticides!

GENÈVE SUISSE

Le service de la consommation et des affaires vétérinaires (SCAV) du canton de Genève a mené une campagne de contrôle de la contamination en pesticides sur 30 échantillons de riz Basmati vendu à Genève. La moitié des échantillons testés ne respectait pas les exigences en matière de résidus de pesticides.

Durant cette campagne menée à l’automne 2019, 30 échantillons de riz Basmati prélevés dans des épiceries spécialisées ont été contrôlés par le service de la consommation et des affaires vétérinaires du canton de Genève (SCAV). L’attention du SCAV s’est portée en 2019 sur les épiceries spécialisées exclusivement, car des campagnes menées en 2017 et 2018 avaient suggéré des risques plus importants dans ce canal de distribution que dans la grande distribution. Les contrôles ont porté sur la vérification des teneurs de plus de 450 pesticides différents.

Teneurs en pesticides

Les analyses ont mis en évidence que seuls 10 échantillons de riz Basmati se sont révélés exempts de pesticides, dont 6 étaient issus de la culture biologique. Pour 5 autres échantillons, des résidus ont été retrouvés mais les normes en vigueur étaient respectées. En revanche, 15 échantillons, soit 50% des échantillons testés, contenaient un ou plusieurs pesticide(s) au-delà des valeurs maximales autorisées. 4 riz, dont 2 soit disant issus de la culture biologique, contenaient 3, 4 ou 5 pesticides dépassant la valeur maximale. Tous les riz non conformes ont fait l’objet d’une contestation de la part du SCAV et ont été assortis d’une interdiction immédiate de commercialisation.

Effet cocktail?

Selon l’évaluation toxicologique, si un risque immédiat pour la santé des consommateurs a pu être écarté, la situation reste préoccupante de par le nombre important d’échantillons non conformes mais aussi le nombre de pesticides retrouvés par échantillon. En effet, parmi les 20 échantillons dans lesquels des substances ont été détectées, 13 échantillons contenaient entre 6 et 12 substances. Le risque de consommer simultanément de nombreuses substances est difficilement évaluable en raison d’un potentiel « effet cocktail ».

Au vu du très fort taux de produits qui ne respectent pas la législation, la nécessité de contrôler fréquemment les épiceries spécialisées se confirme. Les contrôles dans ce domaine seront renforcés à l’avenir et des exigences supplémentaires seront imposées aux entreprises pour améliorer leur autocontrôle.

Source : Ville de Genève

Loading

Alimentation et environnement : Graines de troc

Graines interdites à la vente par les multinationales de l’agroalimentaire avec l’aval des politiques, des jardiniers se mobilisent

On nous propose de manger 5 fruits et légumes par jour pour notre santé, laissez-moi rire ! C’est vraiment l’hôpital qui se moque de la charité.

Des fruits et légumes calibrés comme des produits industriels, des semences paysannes interdites à la vente, un monopole qui met en péril la biodiversité dans nos potagers … Des jardiniers entrent en résistance.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Alimentation : Des pastilles retrouvées dans des cookies au Brésil

Des pastilles retrouvées dans des cookies au Brésil

Après le pain qui se transforme en plastique, les grains de riz en plastique etc …

Voici les pastilles dans les cookies. Alors d’après celui qui a posté cette vidéo sur les réseaux, il s’agirait d’un médicament pouvant causer des paralysies. Cela m’étonnerait fort mais il est tout de même étonnant de retrouver ce genre de matière dans de la nourriture normalement destinée aux enfants.

Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Environnement : Des fraises en hiver est-ce bien raisonnable ?

Des fraises en hiver, on sait que c’est mal… mais comment s’y retrouver avec les fruits et légumes de saison?

Fraises d’Espagne, haricots verts du kenya, kiwis de Nouvelle-Zélande, pommes du chili… Les fruits et les légumes perdent le nord et confondent les saisons. Avec beaucoup de produits non alimentaires, ils parcourent le monde depuis que la grande distribution a trouvé des travailleurs contraints d’accepter des salaires et des conditions de travail de misère. La recherche du profit maximum a progressivement conduit à des voyages aberrants aux conséquences écologiques désastreuses.

Ces mauvaises habitudes de la mondialisation ne correspondent pourtant pas à une « demande » des consommateurs, mais bien au concept marketing du hors-saison. Tous les exemples fournis dans ce livre montrent comment des besoins ont été créés et exploités. Et comment une pomme de terre peurt-être récoltée en Belgique, épluchée au Maroc, transformée en chips en Turquie avant d’être vendue aux Pays-Bas.

Ces voyages, ces gaspillages et l’exploitation des pays du Sud, nous pouvons les refuser en décidant de consommer local. l’auteur nous donne ici les recettes simples d’un retour à des assiettes ne croulant plus sous des milliers de kilomètres – périples inutiles dont nous supportons tous les coûts.

Loading

Santé publique : Des os, des vis, du plastique… retrouvés dans de la purée dans plusieurs crèches

Des os, des vis, du plastique… retrouvés dans de la purée dans plusieurs crèches

Le groupe de restauration collective Elior a admis vendredi 25 octobre avoir connu ces derniers mois une série de dysfonctionnements dans l’une de ses cuisines centrales, à Thiais (Val-de-Marne), où des « corps étrangers » ont été retrouvés dans des repas livrés à des crèches de la région parisienne.

« A plusieurs reprises en 2018 et 2019, des corps étrangers ont été découverts dans les purées destinées aux enfants des crèches d’Ile-de-France clientes d’Elior, purées élaborées dans la cuisine centrale de Thiais », indique le groupe dans un communiqué, confirmant des informations publiées vendredi par France-Info et France Inter.

Ce site fait partie de la quarantaine de cuisines centrales d’Elior – numéro un de la restauration collective en France devant Sodexo et Compass -, où sont préparés les repas destinés à des clients du groupe, qui sert 1,4 million de repas par jour dans l’Hexagone dans près de 9 500 restaurants et points de vente : entreprise, écoles, Ehpads, hôpitaux, cliniques.

Un accident évité de justesse Lire la suite

Loading

Alimentation saine : Les miels de Stéphanie

Source de l’image

Les miels de Stéphanie, une apicultrice genevoise qui Récolte du miel de manière artisanale et éthique

« Plus qu’un métier, une mission. »

Tous passionnés, les producteurs avec lesquelles nous travaillons sont surtout tous uniques !

Aujourd’hui, nous vous présentons Stéphanie, une amoureuse de ses ruches, qui prend soin de ses abeilles avec tendresse et minutie.

Les miels de Stéphanie, une apicultrice genevoise qui Récolte du miel de manière artisanale et éthique.

Site de l’apicultrice >>>

Crédit vidéo >>>

Source : Manor Genève >>>

Et pour rappel :

Science & vie : Le miel et les abeilles, plus qu’un métier, une passion

Travailleuse, écologiste, pacifiste: emblème de démocratie et de justice, figure de dévouement et de clémence, l’abeille fascine l’homme depuis la nuit des temps. Son nectar divin, ambré, doré, translucide se décline en d’infinies nuances de parfums et de goûts, soigne les rhumes et recouvre nos tartines du matin. Mais qu’est-ce qui se cache derrière le pot? Qu’est ce qu’un miel bio et en quoi diffère-t-il d’un miel traditionnel ?

Quand un essaim tombe dans son jardin genevois en 2013, Stéphanie Vuadens n’imagine pas que cela va changer le cours de sa vie. «Pourquoi ne pas faire du miel?» Ses enfants et son mari lui lancent le défi. Avec une ruche installée sur le toit de sa maison, elle commence à étudier leur comportement et tombe raide dingue de leur mode de vie. «Au début, c’était comme un jeu. Puis j’ai croché.» La première récolte de miel est un succès. Ses enfants, Maxence et Alexandre, l’appellent le «Bonbon», «parce qu’il est doux et très sucré». Ou surnomment un autre «Princesse», parce qu’il est blond comme la chevelure des héroïnes de leurs contes; un autre encore «Superman», qui est plus corsé et brun cuivré.

Encouragée par les éloges, Stéphanie quitte son travail dans l’industrie pharmaceutique, dévore des bouquins d’apiculture biologique et achète 20 ruches. Ce n’est pas le côté commercial qui l’intéresse, même si aujourd’hui, avec ses 200 ruches, elle est la seule apicultrice professionnelle du canton de Genève. Comme investie d’une mission, elle materne ses abeilles, respecte leur rythme et nourrit la colonie avec le miel qui est le sien. «Pour qu’elles soient en pleine forme, il faut leur donner du temps. C’est un travail minutieux, qui demande beaucoup de patience au fil des saisons et des années.»

La seule intervention qu’elle se permet est la mise en pot. Ni chauffé, ni rallongé au sucre ou au sirop, ni coupé avec d’autres miels, son miel est 100% naturel. Et genevois, puisqu’il vient d’emplacements fleuris de la campagne de la République. Et ses jolis pots aux 1000 nuances dorées, eux aussi faits maison, on les trouve chez Manor, et maintenant chez Globus Genève et Lausanne.

Crédit vidéo : Léman bleu

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Environnement : La pensée du jour: «Acheter des bons aliments, c’est bien. Les produire soi-même, c’est mieux!»

Les produits labélisés bio ou de proximité favorisent la biodiversité.

L’utilisation d’engrais chimique a augmenté de 700% depuis 1965. Mais en Suisse quasiment la totalité des exploitations agricoles sont intégrées: moins d’engrais, moins de phytosanitaire, pas d’OGM.

La pensée du jour: «Acheter des bons aliments, c’est bien. Les produire soi-même, c’est mieux!»

Loading