Environnement : La pensée du jour: «Acheter des bons aliments, c’est bien. Les produire soi-même, c’est mieux!»

Les produits labélisés bio ou de proximité favorisent la biodiversité.

L’utilisation d’engrais chimique a augmenté de 700% depuis 1965. Mais en Suisse quasiment la totalité des exploitations agricoles sont intégrées: moins d’engrais, moins de phytosanitaire, pas d’OGM.

La pensée du jour: «Acheter des bons aliments, c’est bien. Les produire soi-même, c’est mieux!»

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Débâcle financière en vue : Quand la fiction rejoint la réalité et la dépasse !

Culture & Cinéma : Deux scènes censurées dans le film “La belle verte”

Vous allez vite comprendre pourquoi

Boycott, vous avez dit boycott ?

Petite piqûre de rappel :

Voici deux scènes coupées au montage de l’excellent film «La belle verte» de Coline Serreau sorti en 1996 avec Vincent Lindon.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

(Vidéo) Désolé pour le léger décalage de la bande son.

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Ecologie : Petit à petit, l’oiseau fait son nid (Vidéos)

Près de Cannes, la petite commune de Mouans-Sartoux a décidé de produire elle-même ses propres fruits et légumes bio pour nourrir ses écoliers

Des légumes bio du potager à la cantine

La commune de Mouans-Sartoux, près de Cannes, produit ses propres fruits et légumes pour nourrir ses écoliers en 100 % bio. Pour parer au surcoût, ils ont réduit drastiquement le gaspillage.

L’école François-Jacob est située dans les Alpes-Maritimes, dans le village de Mouans-Sartoux près de Grasse. Et, depuis quelques jours, tout le monde en parle. Nice-Matin a publié un reportage qui a été vu par plus de 1 500 000 personnes sur Facebook ! Explications.

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Ecologie : Quand l’hôpital se fout de la charité !

Arrêté anti-pesticides suspendu par la justice : le maire de Langouët s’exprime sur RT France

Le tribunal administratif de Rennes a ordonné, le 27 août, la suspension de l’arrêté pris par le maire de Langouët (Ille-et-Villaine), Daniel Cueff, visant à interdire l’épandage de pesticides à moins de 150 mètres des habitations et locaux professionnels de sa commune. Suite à sa décision, l’élu avait reçu de nombreux soutiens politiques, dont celui, un peu gêné, d’Emmanuel Macron. Interrogé par RT France, il avoue ne plus comprendre «grand-chose à la politique gouvernementale». Il estime avoir exercé le droit à la protection garanti par la Constitution.

Crédit vidéo : RT France

 

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Ecologie : le gouvernement se moque t’il des français?

Ecologie: le gouvernement se moque t’il des français?

CETA, on ne peut pas faire une chose et son contraire.

François Asselineau qui n’est plus à présenter revient sur l’ambiguïté de la présence de Greta Thunberg et du vote favorable pour le CETA à l’Assemblée nationale le même jour.

En deux mots :

Entre l’Union Européenne et l’écologie, il faut choisir et selon François Asselineau, l’Union européenne a déjà ratifié le CETA qui est appliqué à 95% et le vote de l’Assemblée nationale ne fait que se conformer à la volonté de l’UE.

G.S / FINALSCAPE

Crédit vidéo : Sud radio >>>

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Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l’Ariège révèlent des scientifiques

Celles et ceux qui me suivent se diront que depuis quelques temps je fais une fixation sur les plastiques et les microparticules qui leurs sont associées, mais les mauvaises nouvelles se succèdent.

Ne voila-t-il pas que dernièrement, dans les Pyrénées, il pleut et il neige du plastique. Je mettrai en fin d’article le lien qui dévoile l’affaire.

Je m’insurge !

D’un côté, c’est touches pas à mon gosse et de l’autre on lui assure l’enfer terrestre en le gavant de plastique et de tous les artifices qui vont avec.

Je ne sais pas moi mais jusqu’où iront l’ignorance, l’hypocrisie et le déni ?

Finalement, je me dis que nous méritons ce qui nous attend et le pire est tout proche.

Voilà pour la morale mais je garde espoir :

Je suis avec trois amis sur un projet de production de plastiques à usage unique fabriqués à partir du chanvre.

Nous allons commencer par produire des sachets et sacs sous trois références, des gobelets, des couverts et des assiettes. Nous espérons en cas de succès, poursuivre avec des jetables classiques tels que bouteilles, rasoirs, stylos, briquets et autocollants publicitaires. Nous espérons fédérer des volontaires ainsi que d’éventuels sponsors.

Notre démarche ne va pas dans le sens de sauver le monde, nous ne sommes pas des messies ; car si nous volons survivre, cela incombe à chacun d’entre nous d’apporter sa pierre à l’édifice mais en cas de succès de l’entreprise, ça sera toujours un plus en faveur de notre si belle planète et des générations futures.

Il faut savoir que le plastique issu du chanvre est biodégradable en 90 jours contrairement à celui issu de l’industrie pétrolière qui lui se dégrade sur plusieurs siècles d’ou le problème que nous connaissons aujourd’hui et qui va en s’accélérant à vitesse exponentielle.

Pourquoi les industriels, ceux qui ont les moyens ne mettent-ils pas tout en œuvre pour rectifier le tir en produisant des plastiques à usage unique biodégradables à très court terme et pourquoi les consommateurs continuent-ils à les suivre les yeux fermés ?

Une bouteille en verre est réutilisable contrairement à la bouteille en pet que l’on jette après consommation. Un cabas en chanvre ne s’use pas et se bonifie au cours de sa longue vie,  il en va de même pour tous les vêtements qui deviennent de plus en plus doux au fil des lavages et qui ne laissent pas de microfibres toxiques dans les eaux usées.

Mais qu’est-ce qui pousse donc l’humanité vers ce dogme mortifère du consumérisme autodestructeur ?

POLLUTION :

Des chercheurs ont retrouvé une quantité «non négligeable» de microplastiques dans un coin des Pyrénées ariégeoises censé être épargné par ce type de pollution. >>>

Voir aussi :

Les bienfaits du chanvre et les raisons de sa diabolisation >>>

Mike Oldfield : « Earth Moving »

Une chanson pour Gaïa que j’ai sous-titré en français.

Merci à Mike Oldfield pour son aimable autorisation.

Many tanks to Mike Oldfield for his kindly permission.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Environnement : En Suisse, tous les domaines de l’État de Neuchâtel devront passer au bio

Tous les domaines viticoles et agricoles appartenant à l’État de Neuchâtel devront être convertis en culture biologique. Les députés du Grand Conseil ont approuvé mercredi une motion des Vert’Libéraux, malgré l’opposition de certains producteurs.

Le canton fait de plus en plus figure de pionnier de l’agriculture biologique. L’été passé, la ville de Neuchâtel avait déjà décidé de passer tous ses domaines en bio et, en janvier dernier, le Grand Conseil avait accepté un postulat pour interdire les pesticides de synthèse.

La motion approuvée mercredi demande au Conseil d’Etat de convertir dans les meilleurs délais ses mille hectares de terres cultivées à l’agriculture biologique ou biodynamique et de proposer des mesures favorables à la biodiversité et à l’environnement aux niveaux viticole et agricole.

« Il faut que le consommateur joue le jeu »

Le texte a été âprement discuté parmi les vignerons et agriculteurs présents au Grand Conseil. Le député PLR Alain Gerber, président des vignerons neuchâtelois et vice-président de la Chambre neuchâteloise d’agriculture et de viticulture, prévoit lui-même de reconvertir son exploitation, mais il a combattu la motion.

« Si je veux continuer à cultiver ces parcelles de l’Etat, je dois transformer tout mon domaine ou arrêter de les cultiver. Pour un agriculteur qui ne vend pas lui-même ses marchandises, s’il n’y a pas de preneur bio dans le secteur, il y aura une perte financière. La meilleure solution, c’est que la chose devienne nécessaire par un manque de produits. Il faut que le consommateur soit acteur et joue le jeu », déclare le vigneron jeudi dans le 12h30 de la RTS.

Alain Gerber regrette une tendance à pointer du doigt les producteurs et à vouloir leur dicter des règles. La reconversion ne se fera cependant pas du jour au lendemain. En effet, la motion donne deux ans au gouvernement neuchâtelois pour se prononcer sur la manière avec laquelle il entend forcer les quelque 130 fermiers de l’Etat à se reconvertir.

Source : Radio Télévision Suisse

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