La production d’huile de palme fait toujours autant de ravages dans l’environnement
C’est avec un humour (cynique) qu’il faut tout de même prendre conscience que notre planète est en train de crouler sous le poids sans cesse grandissant de notre consommation.
On ne le répétera jamais assez : « Dans un monde où les ressources sont limitées, la consommation ne peut pas se développer à vitesse exponentielle. On va fatalement vers un effondrement de notre écosystème ce qui induira de cause à effets celui de notre civilisation.
C’était à l’occasion d’une Saint Valentin que ce billet avait été publié pour la première fois :
« Mort du milliardaire Michele Ferrero, le père du Nutella.
L’homme avait transformé la petite entreprise provinciale, fondée par son père en 1946, en un empire de la chocolaterie présent aujourd’hui dans 53 pays.
La France lui dédie un vibrant hommage en rebaptisant la Saint Valentin en “Saint Valentin-Nutella.”
Craignant une pénurie du produit phare, le Nutella, de nombreux français se ruent dans les rayons des grandes surfaces pour être certains de ne pas manquer de ce met raffiné le jour J. »
Faut-il en rire ou en pleurer ? Je remets cette réflexion entre les mains de votre conscience.
Merci à Mike Oldfield pour son aimable autorisation. Many tanks to Mike Oldfield for his kindly permission. (Vidéo)
Celles et ceux qui me suivent se diront que depuis quelques temps je fais une fixation sur les plastiques et les microparticules qui leurs sont associées, mais les mauvaises nouvelles se succèdent.
Ne voila-t-il pas que dernièrement, dans les Pyrénées, il pleut et il neige du plastique. Je mettrai en fin d’article le lien qui dévoile l’affaire.
Je m’insurge !
D’un côté, c’est touches pas à mon gosse et de l’autre on lui assure l’enfer terrestre en le gavant de plastique et de tous les artifices qui vont avec.
Je ne sais pas moi mais jusqu’où iront l’ignorance, l’hypocrisie et le déni ?
Finalement, je me dis que nous méritons ce qui nous attend et le pire est tout proche.
Voilà pour la morale mais je garde espoir :
Je suis avec trois amis sur un projet de production de plastiques à usage unique fabriqués à partir du chanvre.
Nous allons commencer par produire des sachets et sacs sous trois références, des gobelets, des couverts et des assiettes. Nous espérons en cas de succès, poursuivre avec des jetables classiques tels que bouteilles, rasoirs, stylos, briquets et autocollants publicitaires. Nous espérons fédérer des volontaires ainsi que d’éventuels sponsors.
Notre démarche ne va pas dans le sens de sauver le monde, nous ne sommes pas des messies ; car si nous volons survivre, cela incombe à chacun d’entre nous d’apporter sa pierre à l’édifice mais en cas de succès de l’entreprise, ça sera toujours un plus en faveur de notre si belle planète et des générations futures.
Il faut savoir que le plastique issu du chanvre est biodégradable en 90 jours contrairement à celui issu de l’industrie pétrolière qui lui se dégrade sur plusieurs siècles d’ou le problème que nous connaissons aujourd’hui et qui va en s’accélérant à vitesse exponentielle.
Pourquoi les industriels, ceux qui ont les moyens ne mettent-ils pas tout en œuvre pour rectifier le tir en produisant des plastiques à usage unique biodégradables à très court terme et pourquoi les consommateurs continuent-ils à les suivre les yeux fermés ?
Une bouteille en verre est réutilisable contrairement à la bouteille en pet que l’on jette après consommation. Un cabas en chanvre ne s’use pas et se bonifie au cours de sa longue vie, il en va de même pour tous les vêtements qui deviennent de plus en plus doux au fil des lavages et qui ne laissent pas de microfibres toxiques dans les eaux usées.
Mais qu’est-ce qui pousse donc l’humanité vers ce dogme mortifère du consumérisme autodestructeur ?
Selon le Centre sismologique euro-méditerranéen, la magnitude était de 7,1, alors que l’Institut d’études géologiques des États-Unis a évoqué dans un premier temps une puissance de 7,4.
Un tremblement de terre de magnitude 7,1 a été enregistré en Indonésie, en mer des Moluques, par le Centre sismologique euro-méditerranéen (CSEM). L’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS) a constaté de son côté que la magnitude atteignait 7,4. Par la suite, l’USGS a revu à la baisse la puissance du séisme, évoquant la même magnitude que le CSEM.
L’épicentre du tremblement de terre se trouvait à 139 km à l’est de la ville indonésienne de Bitung. Son foyer était situé à une profondeur de 52 km d’après le CSEM, contre 45,1 km pour l’USGS. Les secousses ont eu lieu à 17h17 heure de Paris (16h17 UTC).
Aucune information sur d’éventuels victimes ou dégâts n’a été communiquée pour l’heure. L’alerte au tsunami a été déclenchée par l’Agence indonésienne de météorologie et géophysique.
Fin septembre, l’archipel des Moluques avait été secoué par un puissant séisme ayant fait une trentaine de morts et 156 blessés. Au moins 25.000 personnes ont été contraintes de quitter leurs habitations endommagées par la secousse.
Suivi sur Finalscape, le défenseur de la nature tirerait – il sa révérence ?
Certainement pas. Il a besoin de recul le bougre et on lui l’accorde sans contrepartie.
Amar Adjili, ce sont des milliers d’heures qu’il voue à l’environnement et à l’amour qu’il octroie aux générations qui nous suivent. Ce Franco-Algérien qui se fiche des différences de nationalités n’a de cesses que de se battre pour une fleur même si celle-ci devait être la dernière.
On lui doit un combat contre la pollution, on lui doit la restauration d’un écosystème dans des cités, on lui doit tout simplement l’espoir. Mais un seul homme est-il capable de supporter les erreurs d’une civilisation toute entière ?
Amar, Tu as fait le maximum et tu dois à présent penser à toi, ta famille et tes amis.
Ton message même si il n’est pas compris par le plus grand nombre, tu l’as lancé tel une bouteille larguée dans l’immensité des océans. À présent, c’est à l’humanité de le recevoir même si pour l’instant elle n’en est pas digne.
Mon cher Amar, ici tu seras toujours suivi, soutenu et admiré.
Un Big Love à toi ainsi qu’aux dizaines de petites mains bénévoles qui te suivent.
Respect et courage. N’abandonnes surtout pas. Tu n’as pas idée de l’importance de ce que tu as entrepris jusqu’ici et saches que l’encre qui m’a permis d’écrire ce message est issue de mes larmes.
Merci mon cher Ami.
Après de nombreuses tentatives d’assainissement du littoral méditerranéen et notamment en Algérie, le constat d’échec est cinglant ; non pas dû au manque de volonté de la part des citoyens mais plutôt par un manque de volonté des politiques qui se soucient bien plus de leur postérieur que de la faune environnementale. L’Algérie n’est pas à blâmer puisque la plupart des pays la suivent ou la dépassent allègrement. Hypocrisie quand tu nous tiens !
La cuisson au four…un délice. Mais pour l’environnement ?
On vous dit tout pour dompter votre four et en faire un allié de la banquise « tout en précisant que je ne partage pas la théorie mettant en avant la responsabilité de l’homme dans le phénomène du réchauffement climatique. (ndlr.) » Mais le clip est sympa et concernant l’environnement, je partage absolument l’idée.
Plus dʹun tiers des insectes ont disparu durant les dix dernières années. C’est un inventaire de grande ampleur réalisé en Allemagne qui nous l’apprend. Une recherche menée par une équipe de scientifiques allemands, autrichiens et suisses.
Les détails avec Markus Fischer, professeur dʹécologie végétale à lʹUniversité de Berne et coordinateur du programme dʹinventaire de la biodiversité en Allemagne, interrogé par Cécile Guérin.
Un « essaim de séismes » particulièrement actifs a été enregistré en Valais dans la nuit de lundi et mardi et s’est poursuivi jusqu’à mercredi à l’aube. Au total, le Service sismologique suisse à l’ETH de Zurich (SED) a enregistré plus de 100 tremblements de terre.
Douze de ces secousses avaient une magnitude de 2,5 ou plus et ont, par conséquent, été ressenties par la population, particulièrement dans les régions de Sion et de Sierre, décrit le SED. Deux nouveaux tremblements de terre se sont produits mercredi matin à Zermatt et au col du Sanetsch.
Les quatre secousses les plus fortes étaient de magnitude 3,0 à 3,3 et ont été ressenties jusque dans l’Oberland bernois. Le premier séisme, de magnitude 3,3, a eu lieu à 1h54 mardi, à une profondeur de 5,3 kilomètres.
Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse
Voir aussi : Un séisme frappe l’Italie :
Article publié le 7 novembre 2019 sur Sputnik News à 18:56.
Le Centre sismologique euro-méditerranéen (CSEM) a enregistré un tremblement de terre sur la péninsule italienne, les médias évoquant une magnitude d’entre 4,4 et 4,8. Les secousses ont été ressenties notamment à Rome, selon les médias locaux, l’épicentre du séisme étant dans la région de L’Aquila dans le Tessin en Suisse.
Des secousses ont été enregistrées ce jeudi 7 novembre dans les régions de L’Aquila, de Latium et des Abruzzes, en Italie. Selon le Centre sismologique euro-méditerranéen (EMSC), la magnitude était de 4,4.
Des fraises en hiver, on sait que c’est mal… mais comment s’y retrouver avec les fruits et légumes de saison?
Fraises d’Espagne, haricots verts du kenya, kiwis de Nouvelle-Zélande, pommes du chili… Les fruits et les légumes perdent le nord et confondent les saisons. Avec beaucoup de produits non alimentaires, ils parcourent le monde depuis que la grande distribution a trouvé des travailleurs contraints d’accepter des salaires et des conditions de travail de misère. La recherche du profit maximum a progressivement conduit à des voyages aberrants aux conséquences écologiques désastreuses.
Ces mauvaises habitudes de la mondialisation ne correspondent pourtant pas à une « demande » des consommateurs, mais bien au concept marketing du hors-saison. Tous les exemples fournis dans ce livre montrent comment des besoins ont été créés et exploités. Et comment une pomme de terre peurt-être récoltée en Belgique, épluchée au Maroc, transformée en chips en Turquie avant d’être vendue aux Pays-Bas.
Ces voyages, ces gaspillages et l’exploitation des pays du Sud, nous pouvons les refuser en décidant de consommer local. l’auteur nous donne ici les recettes simples d’un retour à des assiettes ne croulant plus sous des milliers de kilomètres – périples inutiles dont nous supportons tous les coûts.
Ensemencement des océans pour augmenter leur capacité dʹabsorption du Co2, densification des nuages à lʹaide dʹun système de rejet de vapeur dʹeau, projection de millions de tonnes dʹhydrogène sulfuré dans la stratosphère ou encore parasol géant déployé dans lʹespace tels sont quelques-uns des projets imaginés par les scientifiques pour infléchir le rayonnement solaire.
Pour beaucoup encore à lʹétat de simple projet, ces manipulations délibérées du système climatique se présentent pourtant comme une solution, parfois même comme LA solution, pour empêcher le climat de sʹaffoler. Mais aussi fertile soit lʹimagination des ingénieurs, cette approche très technologique de la problématique climatique est-elle pertinente tant du point de vue scientifique quʹéthique? Prise de Terre propose un bref tour dʹhorizon des promesses et des incertitudes que soulève aujourdʹhui la Géo Ingénierie.
Avec Suren Erkman,spécialiste en écologie industrielle à la faculté des géosciences et de lʹenvironnement de lʹUniversité de Lausanne, Lyesse Laloui professeur titulaire de chaire de mécanique des sols, de géo-ingénierie et de stockage de CO2 et Gérald Hess maître dʹenseignement et de recherche en Ethique et Philosophe de lʹenvironnement à la faculté des géosciences et de lʹenvironnement de lʹUnil.