Cela n’est pas nouveau et n’est pas non plus tiré d’une quelconque théorie dite du complot ; des techniques existent bel et bien pour faire tomber de la pluie artificiellement comme cela était notamment le cas en Thaïlande en 2013. Afin de luter contre la sécheresse, le pays utilisait du sel broyé et pulvérisé par avion dans les nuages. Le sel qui en s’agglomérant aux goutes d’eau déjà présentes naturellement à l’intérieur des nuages devait provoquer des averses.
Un peu partout sur le globe ces méthodes pour faire tomber la pluie moyennant des techniques différentes existent et sont utilisés avec plus ou moins de succès.
En Chine, une technique d’épandage aérien avait permis de provoquer artificiellement des chutes de neige peu avant Noël et ce, toujours dans le but préventif de luter contre la sécheresse. Cette expérience qui dans un premier temps avait été un succès devait se solder par un chaos monumental dans les rues de la capitale, Pékin.
Coïncidence ou ironie du sort, peu après cette expérience, la région devait être frappée par toute une série d’inondations catastrophiques.
Chine : Chaos dans les rues de Pékin après des chutes de neige artificielle
Des oiseaux capturés dans des filets, puis achevés et ramassés : c’est ce que montre une vidéo inédite tournée à Chypre.
Celle-ci met en lumière un problème qui n’est pourtant pas nouveau : des centaines de milliers d’oiseaux sont tués chaque année sur place notamment sur l’un des deux territoires britanniques de l’île pour être revendus à des restaurants, en toute illégalité.
Cette vidéo a été tournée près de Larnaca, une ville du sud de l’île. Depuis 1974, Chypre est divisée entre la République de Chypre, hellénophone, située au sud, et la République turque de Chypre du Nord, au nord. Mais elle compte aussi deux « bases militaires souveraines » (Akrotiri et Dhekelia), des zones placées sous la souveraineté de l’ancien colon britannique, où travaillent notamment des fermiers.
On y voit des oiseaux emprisonnés dans des filets tendus entre des arbres. Il s’agit essentiellement de fauvettes à tête noire, mais également de rougequeues à front blanc, des espèces protégées. Des hommes viennent ensuite récupérer les volatiles et l’un d’entre eux les mord au cou pour les achever. Les oiseaux sont jetés par terre et mis dans des seaux.
Plus de 1,7 million d’oiseaux auraient été tués illégalement à l’automne dernier, dans les zones étudiées par l’ONG locale BirdLife Cyprus, selon son dernier rapport. Environ 21 kilomètres de filets ont ainsi été découverts – la principale méthode pour attraper les volatiles – de même que des branches recouvertes d’une substance collante. Par ailleurs, des appareils électroniques imitant le chant des oiseaux sont également utilisés pour les attirer. Ces méthodes sont illégales, dans la mesure où tous les oiseaux en sont victimes sans distinction.
Entre août et octobre 2016, 855 filets et 3 501 branches collantes ont donc été retirés par les autorités chypriotes et britanniques. En outre, 100 individus ont été arrêtés durant cette période, toujours selon le même rapport.
Déjà évoqué sur ces pages, le permafrost est la glace faisant office de ciment en soudant entre elles les roches en haute montagne . Avec des étés de plus en plus chauds, le permafrost fond rendant ainsi les sols et les parois instables. On assiste de plus en plus souvent à des éboulements spectaculaires. Ce phénomène qui redessine la cime des montagnes met en danger les alpinistes, les promeneurs et les populations vivant dans les vallées.
Là ou le problème est plus inquiétant se trouve dans le grand nord, en Russie plus exactement où en fondant, le permafrost libère des quantités phénoménales de méthane, un gaz qui est piégé sous terre depuis des millénaires et qui en se mélangeant avec avec un gaz à effet de serre déjà existant va créer un emballement du réchauffement climatique.
Il y a encore 10 ans, cette donne ne faisait peu ou pas partie des scénarios les plus pessimistes mais il est aujourd’hui avéré et ce dans les scénarios les plus optimistes cette fois-ci, que cette bombe va nous éclater en pleine figure et l’intensification de la violence des ouragans et autres phénomènes climatiques que nous connaissons depuis quelques années ne va cesser d’augmenter.
Une crise parmi tant d’autres et qui sont toutes en train de converger, nous amenant vers un bouleversement fondamental de notre civilisation, bouleversement auquel la plupart d’entre nous ne sommes pas préparés.
Il n’y a pas de solution à court terme et hormis les catastrophes naturelles dont les médias se font l’écho presque au quotidien dans les pays asiatiques, ce sont des pays montagnards comme la Suisse, la France, l’Italie ou encore l’Autriche qui feront partie des premières victimes significatives de ces bouleversements.
C’est un phénomène que les spécialistes de la haute montagne observent depuis plusieurs années, la hausse des températures qui s’accentue fait fondre le « permafrost » qui est la glace servant de ciment entre les roches. Les parois deviennent alors instables et il n’est pas rare de voir des éboulements parfois impressionnants mais aussi et surtout dangereux pour les alpinistes et les promeneurs.
INVASIONDes moustiques trois fois plus gros que leurs congénères prolifèrent dans certains Etats américains, en raison des importants niveaux d’humidité…
Plusieurs jours après le passage de l’ouragan Florence, la côte Est des Etats-Unis est confrontée à une invasion d’insectes. Après les pluies diluviennes, ce sont désormais des nuées d’énormes moustiques auxquelles doivent faire face les habitants des Etats de Caroline du Nord et du Sud, rapporte le Huffington Post ce lundi.
Une vidéo, publiée par une internaute, Cassie Rulene Vadovsky et relayée en masse sur les réseaux sociaux, montre d’innombrables insectes collés aux vitres de sa voiture.
Une espèce agressive
Depuis la fin septembre, des hordes de Psorophora ciliata, un moustique endémique des Etats-Unis, empoisonnent la vie de la population. L’espèce est connue pour son agressivité, sa capacité à piquer au travers de deux couches de tissu et sa taille impressionnante : trois fois plus importante que celle des moustiques ordinaires.
The governor of North Carolina has ordered $4 million to help control growing numbers of large mosquitoes that are breeding in floodwaters following Hurricane Florence https://t.co/z4EgU4OT7Lpic.twitter.com/CXUIOZNadl
Il a conseillé aux habitants des Etats concernés par le fléau de ne pas laisser à proximité des habitations des récipients contenant de l’eau stagnante, favorable à la ponte et donc à la prolifération des moustiques.
Changement climatique, effondrement de notre écosystème, l’homme s’emploie plus que jamais à assurer sa propre extinction et son déni va jusqu’à la lui faire monétiser.
Guibert Stéphane
Images impressionnantes des ouragans les plus récents.
Le plastique que les ONG pointent du doigt et qui est en train de détruire notre écosystème sous-marin semble ne pas avoir le même impact vis à vis de l’opinion publique. Pourtant, si rien n’est entrepris immédiatement, non pas pour enrayer le problème car il est trop tard mais pour en stopper la progression, d’ici 2050, les océans contiendront plus de plastiques que de poissons.
On parle aujourd’hui d’un septième continent constitué uniquement de matières plastiques et chose très préoccupante pour notre santé, la faune sous-marine l’ingère ; l’humain se trouvant au sommet de la chaîne alimentaire, cette pollution finit par se retrouver dans son assiette.
Revenons sur la fabrication de ce produit, de l’extraction du pétrole jusqu’à sa sa sortie en usine puis intéressons-nous aux alternatives biologiques qui sont nombreuses mais aussi et surtout, pourquoi une plante comme le chanvre avec laquelle on peut entre autres fabriquer un plastique 100% dégradable a-t-elle été diabolisée il y a environ 75 ans.
Le plastique est fabriqué à partir du pétrole raffiné. Après avoir été extrait des sous-sols, le pétrole est envoyé dans une raffinerie. Notamment, pour séparer les différents constituants.
On obtient : du fioul, du gasoil, du kérosène, du naphta qui va servir à la fabrication du plastique. Le naphta est ensuite chauffé à 800 degrés puis refroidit brutalement. C’est ce que l’on appelle le craquage. Cela permet d’obtenir de petites molécules : les monomères benzène éthylène. Ces monomères sont la matière de base des matériaux plastiques.
Après une transformation chimique de polymérisation, ces monomères s’assemblent et forment de longues molécules : les polymères qui sortent de la raffinerie sous forme de granulés, de liquides, ou de poudres. En leur ajoutant des adjuvants tels que : des antioxydants, des fongicides, des colorants, on obtient des matériaux plastiques variés.
Ces plastiques peuvent être moulés, injectés ou thermoformés dans les usines afin de fabriquer toutes sortes d’objets.
Il existe trois grandes catégories de plastiques :
Les thermoplastiques : ils ramollissent sous l’effet de la chaleur, déformables à souhait, facilement recyclables mais non-biodégradables.
Les thermodurcissables : forme définitive au premier refroidissement, solides et résistants mais non-recyclables.
Les élastomères : comme le caoutchou naturel, élastiques et déformables, certains chimistes les coïncidèrent à part.
Alors que notre civilisation est sur le point de s’effondrer, nous continuons comme si de rien n’était à user et abuser des énergies fossiles. Le chanvre qui pousse partout, qui n’a besoin d’aucun traitement ni d’arrosage et qui peut être utilisé pour produire tout ce qui s’obtient par le pétrole continue à être diabolisé. Cherchez l’erreur !!!
Le chanvre est une plante magique. Elle n’a aucune valeur récréative, par contre, elle a un énorme potentiel écologique car on peut presque tout faire avec :
Alors que le coton utilise 16% de tous les pesticides et 30’000 litres d’eau pour un simple kilo, le chanvre ne demande ni arrosage, ni pesticide et ses fibres donnent un tissu de très bonne qualité.
Le plastic de chanvre est 100% biodégradable. Il peut être moulé dans n’importe quelle forme et même utilisé par les imprimantes 3D.
Très isolant, très léger, super résistant au feu, il peut aussi être utilisé dans la construction.
Découvrez dans ce document signé France 5, cette manne pour l’humanité dont les lobbies de l’industrie nous ont privés.
Et pour rappel :
Cette plante miraculeuse et qui peut pousser partout a effectivement été diabolisé puis interdite. Il faut surtout savoir que toute l’économie des États-Unis était basée sur la culture du chanvre et que jusqu’en 1’800 les taxes pouvaient même être payées avec cette matière première. Cerise sur le gâteau, il était même illégal de ne pas en faire pousser.
Que c’est-il passé ?
En 1930, les États-Unis ont inventé le mot marijuana en disant qu’il s’agissait d’une drogue dangereuse venant du Mexique.
Qui est derrière cette prohibition ?
Je ne vous surprendrai pas en vous disant que les industries pétrolières, forestières, pharmaceutiques et textiles qui sont à l’origine de cette propagande avaient tout intérêt à voir disparaître cette manne pour ainsi dire gratuite.
Que peut-on obtenir avec le chanvre ?
Pour ainsi dire, tout ! On peut remplacer presque tous les produits provenant de l’industrie pétrolière comme par exemple, le biodiesel; on peut avec la résine fabriquer un plastique bio dégradable. Pour la petite histoire, un des modèles de voitures d’ Henry Ford de 1941 était construit en résine de chanvre qui est dix fois plus solide que l’acier et roulait au biodiesel de chanvre.
Le papier fabriqué avec du chanvre.
En 1916 le gouvernement américain disait que depuis les années 40 tout le papier serait fabriqué avec du chanvre afin d’endiguer le massacre des forêts. Une étude démontrait que 4’o46 m² de chanvre à la production équivaut à 16’592 m² de forêts. petite anecdote, la constitution américaine a été rédigée sur du papier de chanvre. La fabrication du papier ne demande pas de blanchissement au chlore. ce papier peut être recyclé entre 7 et 8 fois en comparaison au papier issu du bois qui lui ne peut pas être recyclé au delà de 3 fois.
Le chanvre peut être utilisé dans la construction. Une maison faite en chanvre sera 6 fois plus solide qu’une maison construite en béton tout en n’en pesant que la moitié et en étant trois fois plus souple. Imaginez donc des maisons faites en cette matière dans des régions sujettes à des secousses sismiques importantes telles que le Japon par exemple. De plus, le chanvre est auto isolant ce qui implique beaucoup d’économies d’énergie. Il résiste à la pourriture, au fongus et aux insectes, ininflammable il résiste aussi à l’humidité.
Le chanvre est une des plantes ayant le plus de vertus médicinales telles que des fonctions anti psychotiques, anti épileptiques, anti cancer, anti bactérien, anti diabétique, stimulation des os, anti inflammatoires etc… Les bienfaits médicaux ne s’obtiennent pas en le fumant mais en le vaporisant ou en le mangeant.
La culture de chanvre ne demande aucun traitement particulier ce qui bannit tous les intervenants chimiques dont a besoin l’agriculture made in Monsanto. La fleur femelle du chanvre est un insecticide naturel qui tue purement et simplement l’insecte parasite qui s’y aventurerait. La fibre de chanvre permet la fabrication de tout ce qui est issu de l’industrie textile.
Découvrez cette vidéo de Gabriel Luneau humaniste et écologiste convaincu.
ENVIRONNEMENT – “Ce que nous avons causé, nous devons maintenant le réparer”, assène le Capitaine Alex Cornelissen, PDG de Sea Shepherd Global. L’ONG internationale de protection des océans, connue pour ses actions coup de poing, a lancé ce mardi 10 avril avec l’agence FF New York la campagne “Plastic Ocean”.
A travers trois visuels et une courte vidéo l’ONG dépeint une faune marine empêtrée dans un océan de plastique– comme une seconde peau. Les animaux se débattent, agonisent dans un ballet onirique et coloré au premier coup d’oeil, mais qui très vite révèle la triste réalité du piège mortel que sont les déchets plastiques.
Depuis son développement commercial, 8,3 milliards de tonnes de plastique ont été produites dans le monde entre 1950 et 2015, selon une étude parue dans la revue scientifique Science Advances. Chaque année, la pollution des océans atteint de nouveaux records avec des plaques de débris plastiques de la taille de pays entiers, à l’instar de cette décharge flottante au large du Pacifique trois fois plus grande que la France.
“Les êtres humains sont à blâmer”
“Comme une espèce envahissante, elle est en train d’anéantir la faune océanique et de s’emparer de son habitat”, martèle le capitaine Cornelissen. Et de poursuivre: “Les êtres humains sont à blâmer pour l’introduction de cette substance, la plus mortelle”.
Actuellement, la production de plastique dépasse 320 millions de tonnes par an. Portée par le vent et la pluie, une grande partie de ces sacs, bouteilles, emballages, filets de pêche abandonnés et microparticules s’agrège dans plusieurs zones des océans, sous l’effet de vortex formés par les courants marins.
Ainsi, 80% des déchets en mer proviendraient de la terre ferme et menacent animaux et écosystème. “C’est plus d’un million d’animaux marins qui se retrouvent piégés et qui meurent dans cet océan de plastique”, déplore l’ONG.
“Malgré l’urgence, le grand public ne semble pas s’alarmer de ce problème, qui constitue un réel danger pour la biodiversité et l’environnement”, regrette également Sea Shepherd.
C’est donc face à cette urgence que l’ONG veut mettre un coup de projecteur sur le sujet dans les médias et sur les réseaux sociaux pour faire changer les mentalités, “en particulier celles des Millenials et de la Génération Z”, autour de l’utilisation durable du plastique.
“Nous pouvons renverser la vapeur, nous pouvons arrêter cette invasion”, insiste Alex Cornelissen qui appelle à “arrêter la production et l’utilisation de plastiques à usage unique”. Une prise de conscience qui peut passer par les gestes les plus simples aux plus inventifs.
Ne plus utiliser de pailles en plastique, ramasser les déchets en pleine mer depuis son voilier ou taxer directement les sacs plastiques… Les solutions ne manquent pas et, comme le rappelle le capitaine Cornelissen, “ensemble, nous pouvons nettoyer les océans et faire en sorte que ce que nous enlevons reste à l’extérieur.”
En Alsace, une pasteur est devenue l’une des figures de proue de l’opposition au projet de contournement autoroutier de Strasbourg. Cette femme tient tête à la police pour protéger la forêt au côté de ses paroissiens et de militants écologistes, les Zadistes.
Nous sommes à Kolbsheim en Alsace, petite commune de 900 habitants située à 15 kilomètres de Strasbourg. Des engins viennent de pénétrer dans sa forêt pour arracher des arbres. Les machines préparent le terrain pour y construire une autoroute. Il s’agit du grand contournement ouest de Strasbourg appelé GCO.
La pasteure de Kolbsheim, Caroline Ingrand-Hoffet fait sonner les cloches de son église pour appeler les riverains à la résistance mais les forces de l’ordre bloquent déjà tous les accès à la forêt. Cette commune d’ordinaire si paisible semble en état de siège.
Derrière cette autoroute, c’est un projet de société qui ne tient pas compte du fait que l’humain a besoin de la nature pour vivre.
Malgré la résistance, les arracheurs d’arbres poursuivent leur sale besogne. Pourtant, en vertu de la protection du biotope, des recours ont été déposés.
La lute a commencé la veille dans la forêt de Kolbsheim ou les forces de l’ordre ont délogé des altermondialistes venus de toutes parts afin de soutenir la cause.
Ce qui est choquant et scandaleux pour Caroline Ingrand-Hoffet, c’est le réflexe de violence de la part des forces de l’ordre face à une opposition totalement justifiée et légitime mais la violence la plus virulente est de se dire que l’État n’attend pas les recours juridiques qui sont un véritable outil démocratique avant de faire couper des arbres. Cette violence pose des questions de fond sur la société dans laquelle nous allons continuer à vivre.
Germaine Schell nonagénaire et habitante de Kolbsheim déclare face caméra :
« L’État est sous l’influence des multinationales et s’en remet à leurs directives et aux décisions du grand patronat »
Un reportage de la Télévision Suisse que vous ne verrez probablement jamais sur une chaîne française.
Extrait complet de l’intervention d’Aurélien Barrau sur C Politique.
Il veut réveiller les citoyens pour qu’ils prennent conscience de l’urgence écologique. Cette semaine, la vidéo d’une de ses interventions a été vue plus de deux millions de fois sur internet. C’est lui qui est à l’origine de la tribune des 200 personnalités appelant les politiques à faire face au changement climatique.
Source France 5.
Le livre d’Aurélien Barrau et Louis Schweitzer
«L’animal est-il un homme comme les autres ?»
Collection : Dunod
Retour sur l’intervention d’Aurélien Barrau déjà publiée sur ces pages.
Il existe pourtant des alternatives comme par exemple le Polyter, mis au point par l’agronome-inventeur Philippe Ouaki Di Giorno ; cette technologie 100% biodégradable permet d’économiser 80% de l’eau distribuée aux plantes lors de l’arrosage et est exempte de tous pesticides, fongicides et insecticides. Elle redonne aux sols qui ont été détruits par l’érosion une seconde chance, elle fait reverdir les déserts et redonne vie à des sols complètement pollués.
Cette invention que Philippe Ouaki Di Giorno ne veut pas céder aux géants de l’agro-alimentaire est pour cet inventeur de génie, une mission, un devoir pour la sauvegarde de l’humanité et de la biodiversité.
Un autre exemple d’une agriculture douce et bio avec des rendements exceptionnels en saveurs et en propriétés nutritives, les plantations de Pascal Pot qui a appris à ses plantes à s’adapter à toutes les conditions climatiques.
Le cri d’alarme lancé par les scientifiques ne date pas d’hier. Lynda et Claude Bourguignon pour ne citer qu’eux nous alertent depuis des années :
Nous essayons de maintenir des plantes vivantes qui ne demandent qu’à mourir tellement elles sont malades.
Lydia et Claude Bourguignon sont d’anciens chercheurs auprès de l’INRA l’institut qui les avait licenciés après leurs révélations sur la qualité préoccupante de la terre un peut partout en Europe. Ils ce sont mis ensuite à leur compte en créant LAMS (Laboratoire d’analyse microbiologique des sols).
Vidéo :
Ce qui faisait froid dans le dos après avoir visionné ce document qui remonte à plusieurs années, c’est que l’on se rendait compte qu’en l’espace de 40 ans, notre façon de nous alimenter avait fondamentalement changé et nous n’avions pas encore assez de recul pour savoir quelles en seraient les retombées sur les générations à venir. Aujourd’hui, on c’est parfaitement rendu compte de l’épée Damoclès qui nous menace et de l’urgence dans laquelle nous nous trouvons.
Étant donné l’imminence des crises environnementales convergentes qui sont sur le point de se produire, pourquoi les politiques n’accordent-ils pas plus d’intérêt aux technologies vertes et durables, pourquoi les gouvernements comme cela a été le cas tout dernièrement en France, apportent-ils leur soutien à des vendeurs de poisons comme avec le glyphosate, pourquoi quand un herbicide biodégradable est mis au point son inventeur n’arrive-t-il pas à obtenir d’autorisation pour sa mise en vente, pourquoi, pourquoi, pourquoi … ?
L’agriculture d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celle de nos grands-parents. Tout, absolument tout est basé sur le profit à court terme et des trésors tels que la santé ou même la beauté d’un environnement qui vit en symbiose avec nous les humains, passe bien après.
Nous arrivons au bout d’un système qui aura su spolier ce que la terre à de plus beau à nous offrir, j’ai nommé “La Vie”
Ce qui nous pend au nez, ce qui est inéluctable, cette baffe magistrale que dame nature nous prépare, nous l’auront cherché et bien mérité. Ce ne sont ni nos belles voitures, ni nos smartphones derniers cris, ni nos plus beaux selfies qui nous sauveront. Au moment de sa revanche, face à notre mère nature, nous seront absolument nus et désarmés.
La sécheresse et le manque de précipitations touche le lac des Brenets dans le canton de Neuchâtel (Suisse). Il est presque totalement asséché et se situe à 7 mètres en dessous de son niveau habituel. Pour remédier à ce problème il faudrait 3 jours de précipitations ininterrompues afin de pouvoir remettre les bateaux à flot. Ce que ne prévoit pas la météo dans l’immédiat.