Environnement : Quand la nature se fait la malle

En France les oiseaux disparaissent à vitesse grand V. Depuis une trentaine d’années, on a perdu un tiers des oiseaux des champs de nos campagnes.

On retrouve également ce phénomène dans les milieux forestiers, dans les milieux bâtis, mais il est beaucoup plus marqué en milieu agricole.

Chaque année, les populations d’alouettes diminuent de près de 2% et 30% des hirondelles ont disparu en 30 ans. Ce phénomène ne se limite pas à la France : Depuis les années 1980 l’Europe a perdu 421 millions de ses oiseaux.

On arrive à relier ce déclin d’oiseaux des campagnes avec l’intensification de l’agriculture qui se traduit par plein de phénomènes différents. Depuis plusieurs décennies, c’est l’augmentation de la taille des parcelles, la disparition des prairies permanentes, l’utilisation de pesticides…

Faisant partie du régime alimentaire de plusieurs oiseaux, le déclin des insectes accélère ce processus. Premières cibles des pesticides, en Allemagne, les insectes volants ont perdu 75% de leur biomasse depuis les années 1990. Aujourd’hui, 40% des espèces d’oiseaux sont menacées d’extinction à l’échelle mondiale.

En 50 ans, nous avons perdu entre 30 et 50% de la matière organique de nos sols.

On dit souvent que c’est à la fin de la seconde guerre mondiale qu’il a fallu nourrir la population avec peu de bras et qu’il a fallu mettre en œuvre de gros moyens pour y parvenir d’où l’arrivée de puissants tracteurs etc… Ce sont des idées reçues car le dernier ticket de rationnement a été imprimé en 1948 alors que le boum de l’industrialisation de l’agriculture a débuté dans les années 1960 et c’est à partir de ce moment qu’une relance dynamique de l’économie est mise en œuvre.

A terme le problème c’est concrétisé dans la manière de procéder.

Pour faire passer des machines dans les champs il faut enlever les haies et de cause à effet, les insectes qui allaient sur les haies se sont rabattus dans les cultures sur lesquelles des cocktails d’insecticides sont pulvérises pour les en protéger. La vie étant ainsi détruite, il a fallu fertiliser artificiellement.

Nous nous trouvons confrontés à une fuite en avant qui perdure depuis plus d’un demi siècle et qui se soldera par la sixième extinction massive de la planète, à savoir, la nôtre. Reste à savoir ce qu’il nous reste en temps pour rattraper les erreurs cumulées depuis 50 ans et si le temps qui nous est imparti est suffisant.

Sources :

>>>Brut Nature<<<
>>>Claude et Lydia Bourguignon<<<

 

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Loading

Science & Vie : le propulseur de navettes spatiales qui fait pleuvoir

On se trouve à mi-chemin entre la science et la théorie du complot qui met en avant les chemtrails

Jeremy Clarkson se dirige vers le Mississippi où la NASA met au point les propulseurs de navettes spatiales. Consommant plus de 18’92’705 litres carburant, ils génèrent la poussée nécessaire pour propulser les astronautes dans l’espace.

Ce qui sort de ce propulseur étonne le journaliste qui démontre que le phénomène génère un immense nuage provoquant des précipitations.

Stéphane Guibert


Loading

Environnement & Alimentation : Les huitres OVM dans nos assiettes

En France et aux États-Unis, la moitié des huitres produites sont des Organismes Vivants Modifiés.

Ces coquillages possèdes trois jeux de chromosomes au lieu de deux. Conséquences : La triploïde est une huitre stérile qui ne produit pas de gamètes, qui ne devient pas laiteuse et on peut les vendre toute l’année.

Quels sont les risques ?

Stérilisation des huitres sauvages, dégradation des écosystèmes marins, surmortalité…

En France où l’on élève 83,5% des huitres européennes, une poignée d’ostréiculteurs se rebelle. Depuis 2007, le label « Ostréiculteur Traditionnel » a rassemblé 95 professionnels.

G.S

Loading

Environnement : Les cirrus homogenitus ces nouveaux nuages recensés par l’OMM

Les cirrus homogenitus sont ces trainées que laissent les avions dans le ciel derrière leur passage. Il faut toutes fois que certaines conditions météo soient remplies pour que ce phénomène se produise :

« Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d’altitude si le taux d’humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C, sur des noyaux de congélations fournis en grande partie par les gaz de combustion. Elles s’estompent en général rapidement par sublimation mais peuvent se transformer, dans certaines conditions d’hygrométrie et de température, en nuages artificiels analogues à des cirrus allongés. Ces nuages artificiels peuvent alors couvrir de vastes surfaces de ciel, notamment dans l’hémisphère nord. Ils peuvent persister durant plusieurs heures à dizaines d’heures. » (Source Wikipédia)

L’explication technique étant dite, les images qui suivent et qui ont été prises le 16 mars démontrent un bien étrange ballet dans le ciel de Augsburg en Allemagne.

Vidéos en fin d’article.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

L’épandage chimique (chemtrails) était déjà utilisé il y a plus de 70 ans comme le démontrent ces images.

 

 

Loading

Science & Vie : Le troc de la vie pour notre survie

Une idée simple et géniale pour préserver la biodiversité végétale

Entre 1955 et aujourd’hui, 80% des variétés végétales ont été interdites en France. Aujourd’hui, seule une poignée de graines sont autorisées et sont vendues par les géants de l’industrie des semences. Toutefois, la résistance s’organise. pour échapper à cette pasteurisation de la biodiversité, un citoyen a créé « Graines de troc ».

Il s’agit d’un site d’échange de graines où des milliers de personnes s’envoient des graines par la poste. Le troc est une solution pour pérenniser ces variétés et ainsi cultiver la biodiversité.

75% de la biodiversité c’est perdue au 20ème. siècle. Les productions mondiales de blé, riz et maïs reposent sur quelques variétés. Que se passerai-t-il si elles venaient à disparaître dans les années à venir à cause de sécheresse ou d’inondation ? Notre sécurité alimentaire est en jeu et la biodiversité est notre assurance vie pour s’adapter au changement climatique.

Notre mode de culture impact gravement l’environnement et hors mis touts les engrais, fongicides, herbicides et insecticides qui sont abondamment aspergés sur les champs, le mode de labour compacte les sols et les rendent imperméables ce qui provoque comme cela c’est passé en France dans le Finistère une érosion importante. Suite à de fortes précipitations, le champs d’un agriculteur a dévalé la pente pour terminer sa course dans la rivière.

Lors d’inondations, on accuse la pluie alors que la réelle cause de ces catastrophes est due à notre mode d’agriculture.

Pour pousser, une plante a besoin de minéraux issus des roches mais aussi de matière organique qui sont des résidus de végétaux et de racines en décomposition. Les vers de terre les consomment et les transforment en nourriture indispensable pour cultiver. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’en 1950, sur une parcelle d’un hectare (1’000 mètres carrés), on recensait plus de 2 tonnes de vers de terre alors qu’aujourd’hui pour la même parcelle on en compte moins de 100 kilos.

Tout cela compacté dans un seul lot fait qu’en 50 ans, nous avons perdu 85% de notre biodiversité et les écologistes se demandent à partir de quel pourcentage c’est l’humanité toute entière qui basculera ; en effet, nous sommes en train d’assister à notre extinction et nous en sommes les seuls responsables.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Sur VK

Sur Youtube

Loading

Science & Vie : Conserver les semences anciennes du Guatemala avec Pain pour le prochain

Les semences locales des Indiens d’Amérique latine sont souvent plus résistantes que les graines importées. Pourtant les autochtones doivent lutter pour les conserver et pouvoir les utiliser. Un combat mené avec le soutien de Pain pour le prochain. Reportage au Guatemala :

Hans Haldimann.

Ces indiens d’Amérique latine lutent farouchement et avec succès contre l’invasion des OGM, des pesticides, fongicides et herbicides imposés par des monstres comme Monsanto. Ce sont ses petits résistants à l’agroalimentaire mondialiste qu’il faut absolument soutenir et protéger contre notre consumérisme démesuré. (ndlr.)

Source : Radio Télévision Suisse

Loading

Environnement : Pierre Rabhi fondateur du mouvement Colibris nous parle de la disparition de la biodiversité

Il y a 50 ans le nombre de lombrics (verre de terre) à l’hectare dépassait les 3 tonnes ; sur la même parcelle de terrain aujourd’hui on en compte plus que 100 kilos.

En 50 ans, on a perdu 80% des hirondelles pour ne parler que de cette espèce d’oiseaux et 85% de la biodiversité. Pierre Rabhi, fondateur du mouvement Colibris nous dresse un bilan effrayant et accablant pour notre future.

G.S

Source : Radio Télévision Suisse

Loading

Environnement : Le cirrus, nouveau venu dans la catégorie des nuages

>>>Source de la photo<<<

Le cirrus ou homogenitus initialement appelé contrail fait partie des 12 nouveaux nuages recensés dans l’Atlas de l’OMM, Organisation météorologique mondiale. Selon l’OMM, ce nuage se forme après le passage des avions dans l’atmosphère. Des conditions sont toutefois nécessaires pour que ce phénomène se produise :

Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d’altitude si le taux d’humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C, sur des noyaux de congélations fournis en grande partie par les gaz de combustion. Elles s’estompent en général rapidement par sublimation mais peuvent se transformer, dans certaines conditions d’hygrométrie et de température, en nuages artificiels analogues à des cirrus allongés. Ces nuages artificiels peuvent alors couvrir de vastes surfaces de ciel, notamment dans l’hémisphère nord. Ils peuvent persister durant plusieurs heures à dizaines d’heures. (Source : Wikipédia)

D’autres théories qui sont en partie reconnues aujourd’hui parlent de chemtrails, (chemical trails) épandage de produits chimiques contenant des métaux lourds comme l’aluminium par exemple. Il a en effet été reconnu que l’épandage de ces produit devrait luter contre le réchauffement climatique en réfléchissant les rayons du soleil les empêchant d’atteindre le sol. Cette pratique a d’ailleurs été utilisée avec succès en Chine afin de provoquer des chutes de neige.

(Vidéo en fin d’article)

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

Loading

Environnement : Les abeilles continuent à disparaitre drastiquement mais il existe des alternatives citoyennes

Puisque les intérêts des lobbies prévalent sur ceux de l’environnement et de la santé, pourquoi ne pas aller au delà et prendre des initiatives citoyennes ?

G.S

Le nombre d’abeilles continue de chuter  :

Aux US, on estime leurs pertes à 30% par Année ! En 2013, ce taux dépassait les 20% dans certains pays d’Europe.

En cause : Les pesticides néonicotinoïdes ; des insecticides  qui attaquent leur système nerveux et les désorientent. Mais il existe un moyen de contribuer à les sauver. En faisant pousser des fleurs mellifères sur votre balcon, elles pourront butiner en toute sécurité.

Le tournesol, le thym, le myosotis, la marguerite, la lavande, la jacinthe, le dahlia et le crocus en prenant soin de choisir des graines et du terreau bio pour avoir un balcon stylé tout en contribuant à sauver la planète car les abeilles pollinisent plus de 200’000 espèces de plantes à fleur qui garantissent 1/3 de l’alimentation mondiale.

Que se passerait-il si les abeilles disparaissaient ?

Les abeilles connaissent depuis plusieurs années un phénomène de disparition qui n’en finit pas d’inquiéter les spécialistes. Mais que se passerait-il si ces précieux insectes pollinisateurs disparaissaient totalement ?

 Le phénomène est aussi inquiétant que mystérieux. Son nom : le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles. Depuis 2006, les spécialistes ont en effet constaté que la population d’abeilles travailleuses connaissaient un déclin important et inexpliqué. Or, ces petits insectes jouent un rôle crucial dans l’environnement grâce à leurs fonctions de pollinisateurs.
 Les abeilles se chargent de transférer le pollen de la partie mâle de la plante jusqu’à sa partie femelle. Ce faisant, elles sont ainsi directement responsables de la production de 70% des fruits, légumes, graines et noix que nous consommons quotidiennement. Leur disparition pourrait donc avoir de graves conséquences sur notre quotidien, et pas seulement au niveau de l’alimentation.
 En 2013, l’entreprise Whole Food Markets avait déjà mené une campagne étonnante pour attirer l’attention sur la disparition des abeilles. Elle y montrait à quoi pourraient ressembler nos supermarchés si les pollinisateurs disparaissaient totalement.
 De multiples causes ?
 Si la cause du syndrome touchant les abeilles reste floue, certaines pistes ont tout de même été évoquées : les hivers trop longs et trop froids, les parasites, ou encore des virus. Mais les scientifiques s’intéressent plus particulièrement à un type de pesticide : les néonicotinoïdes.
 Cette variété de neurotoxine est utilisée pour décimer les insectes s’attaquant aux récoltes. Or il semblerait bien que son absorption vienne affecter directement le système nerveux des abeilles. Ces dernières, désorganisées et désorientées ne seraient plus alors en mesure de polliniser nos champs, ce qui pourrait à terme détruire l’ensemble de la chaîne alimentaire.
 Et bien que cela ne mènerait pas nécessairement l’Humanité à sa perte, ce phénomène de déclin massif des abeilles viendrait, à coup sûr, remettre en question notre mode de vie tout entier.

Dans certaines régions de Chine comme c’est le cas dans la province du Sichuan, les abeilles ont totalement disparu depuis bien longtemps. Au début des années 80 l’utilisation des pesticides non contrôlée a anéanti toutes les abeilles de la région tuant de cause à effet toutes les plantes à pollen qui subvenaient aux besoins de la population.

La production fruitière c’est alors effondrée laissant les fermiers assister impuissants à la destruction de leur gagne-pain.

Pékin, la capitale demeurant impuissante face à ce problème a ordonné à la population de polliniser à la main et, sans autre alternative, les fermiers n’ont pas eu d’autre choix de se résigner.

D’aucuns me diront que si les abeilles devaient disparaitre de la surface du globe, nous n’aurions qu’à imiter les Chinois et que cela créerait même des emplois (je les vois venir) je répondrai alors à ces derniers à combien ils estiment le prix d’un kilo de pommes dont les fleurs ont été pollinisées par l’homme ?

La vidéo est édifiante !

G.S

Sur VK

Sur Youtube

Loading

Environnement : Huile de palme, dans quel monde voulez-vous vivre et quel type de monde voulez-vous laisser aux générations futures ?

Ceux-là me répondront : « Je ne serai plus ici-bas pour le voir. » Ceux-ci me diront : « J’en suis conscient mais tout seul, que puis-je faire ? » Ou encore : Il y a tout simplement ceux qui refusent de voir, c’est le fameux Déni.

Je le dis souvent, cette phrase qui n’est pas de moi mais qui reflète clairement les mentalités d’aujourd’hui :

« Celles et ceux qui veulent entreprendre de grandes choses s’en donnent les moyens, les autres se trouvent des excuses. »

Trop rares sont les gens à avoir réellement pris conscience des enjeux environnementaux mais malheureusement, les enjeux économiques qui sont tels des rouleaux compresseurs dévastant tout sur leur passage et n’ont que faire de la faune et des gens qui vivent dans ce qui fait partie du poumon de la terre n’hésitent pas à user de  la corruption pour atteindre leur but, celui de faire toujours plus d’argent.

Pour rappel, en l’espace d’un demi siècle, nous avons perdu 85% de la biodiversité c’est dire s’il est urgentissime de se relever les manches car il en va cette fois-ci de notre propre survie.

Alors qu’en France on se bat pour un pot de Nutella, il est bon de se rappeler des ravages que font les cultures de palme sur l’environnement et l’écho système ainsi que de l’indifférence et même de la cruauté de l’homme quand des intérêts financiers sont en Pour rappel : Les ravages de l’huile de palme sur NOTRE environnement.

Tout le monde devrait voir ce film enfin… Ceux qui ont une conscience et un cœur.

« J’ai super honte d’être un être humain. Je fais mes films par honte, c’est ce qui me motive. Je trouve ça scandaleux ce que l’on fait subir à la planète et aux autres espèces vivantes. La terre irait tellement mieux si on était pas la. Je ne peux pas comprendre que l’on puisse se sentir à ce point supérieur aux autres espèces, que l’on puisse avoir à ce point aucune apathie pour des êtres qui ont autant le droit de vivre que nous. »

Patrick Rouxel, jeune cinéaste nous dévoile au travers de son film « Green » les désastres causés par la culture de palmiers destinés à la fabrication de l’huile de palme utilisée dans la composition de nombreux produits alimentaires.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Loading