Pour Manuel Valls, ancien premier ministre, fils d’immigrés, de père Catalan et de mère Suissesse, l’Europe demeure le combat de sa vie.
Une année après l’élection d’Emmanuel Macron, Manuel Valls reste persuadé que l’on se dirige dans la bonne direction et que l’Europe reste la seule solution pour une cohésion mondiale raisonnable.
Évidemment, c’est sans se préoccuper du sort des peuples, ce qui ne figure apparemment pas dans l’agendât des privilégiés qui ne privilégient que des gens de leur propre caste.
Raisonnement qui à mon sens est politiquement correct pour les plus riches et politiquement insipide pour les plus pauvres comme il ce doit.
La monarchie Macron rassemble toutes celles et ceux qui par un revers de la main, sans aucun sentiment, au nom d’une économie pourtant moribonde, balayent les rêves d’un peuple qui aspire à la liberté, à la symbiose entre la nature et l’individu, c’est ce rouleau compresseur qui sans relâche détruit tout ce qui peut être amour, espoir, fraternité et liberté.
Cela est indubitable, le progrès rend les gens oisifs, fainéants voir même complices du système contre lequel les classes moyennes et laborieuses lutent. Nous « likons » ou détestons, nous nous révoltons ou nous compatissons mais pour la plus part d’entre nous, c’est assis derrière un écran que nous sommes le plus actif alors que la vie réelle se passe à l’extérieur.
Si l’on se réfère à ce qu’a été ce 5 mai 2018 qui se voulait Le nouveau mai 68, le bilan de cette journée fait pâle figure en comparaison de la plus grande révolution française du XXème. siècle.
Un petit retour sur mai 68 :
Élan de protestation lancé par les étudiants et les ouvriers contre la société traditionnelle et les autorités. Mai 68 est un mouvement d’une ampleur sans précédent qui prend des allures de révolution.
A l’université de Nanterre, portés par Daniel Cohn-Bendit, les étudiants revendiquent une libération des mœurs. Prises de parole, débat et assemblées générales ont lieu dans les rues, les entreprises, les administrations et les universités.
Contexte économique :
La France sort tout jute des « Trente Glorieuses » mais tout le monde ne profite pas de la croissance économique.
Début 1968, le pays compte 500’000 chômeurs. 2 millions de travailleurs sont payés au smig (salaire minimum) et se sentent exclus de la prospérité.
13 mai 1968 :
Plus importante grève générale de l’histoire.
Le pays est totalement paralysé durant plusieurs semaines et 4 personnes ont perdu la vie durant ce mouvement protestataire.
27 mai 1968 :
Signature des accords de Grenelle entre le gouvernement et les syndicats après d’âpres négociations.
Les accords précisent une augmentation de 35% du smig et de 10% des salaires réels.
Trois jours plus tard, le président de Gaulle dissout l’Assemblée nationale.
30 juin 1968 :
Des élections législatives sont organisées et la droite l’emporte avec 293 sièges sur 487.
Mai 68 reste à ce jour le plus important mouvement social de l’histoire de France du XXème. siècle.
Des dizaines de milliers de personnes ont défilé sous un soleil éclatant et dans une ambiance bon enfant samedi à Paris pour faire « la fête à Macron ». Ils ont dénoncé les différentes réformes engagées par le président français.
Le mouvement politique La France insoumise (gauche radicale), dont le député François Ruffin a initié cette marche, a revendiqué la présence de 160’000 manifestants « pour dire Stop Macron ». La préfecture de police en a compté quatre fois moins.
Le gouvernement avait fait part ces derniers jours de sa crainte de débordements, après les violences spectaculaires causées par environ 1200 black blocs lors du traditionnel défilé du 1er mai, et pas moins de 2000 policiers et gendarmes ont été déployés.
Macron en Dracula, Macron en Jupiter ou Macron en banquier-roi la corde au cou: le chef de l’État a été mis à toutes les sauces lors de cette manifestation « pot-au-feu », laissant champ libre à de multiples revendications.
« Tous en Suisse, tous! »
Des rassemblements ont également eu lieu dans plusieurs villes de France, avec des slogans aussi potaches que revendicatifs, rassemblant chacun plusieurs centaines de personnes. A Bordeaux, le second degré dominait: « Tous en Suisse, tous en Suisse! », pouvait-on lire sur une pancarte.
Selon les organisateurs, cette initiative est une « première étape ». Déjà, plusieurs associations, syndicats, partis envisagent une nouvelle journée de protestation le 26 mai.
Mai 68 ne sera jamais réédité en France. Les Français sont à 68% satisfaits du bilan de la première année du règne Macron. (Sondage RTS Radio Télévision Suisse).
La fête à Macron n’était qu’une caricature bon enfant de mai 68, dont les mouvements sociaux dits dissidents ont tué l’idylle dans l’œuf ne serais-ce que par leur manque de coordination et leur déchirement mutuel.
Le capitalisme à de très longs et de très beaux jours devant lui.
Hommage tout de même aux 40’000 manifestants qui ont eu le courage de se rendre à Paris aujourd’hui mais sur une population de plus de 55 mio d’habitants, 40’000 manifestants ne représente qu’un infime pourcentage de gens réveillés.
Allez ! La fête est finie, il est l’heure de retourner sur nos tablettes et smartphones histoire de se conformer au reste du troupeau.
« Il faut que je rappelle ce que c’est qu’une constitution Les peuples, nous, depuis longtemps (2500 ans) avons besoin de mettre au dessus de nous des représentants pour produire et appliquer un droit écrit qui nous protège contre l’arbitraire des plus forts.
Donc ces gens là sont très utiles évidement, ils produisent un droit dont nous avons besoin pour pacifier notre société mais en même temps ils sont très dangereux. C’est-à-dire que si jamais ils se mettent à abuser, à servir les intérêts d’une caste au lieu de servir l’intérêt général ou s’ils se mettent à abuser du pouvoir en devenant fous puisque le pouvoir les rend fous systématiquement.
Oui, ça fait 2500 ans que l’on sait ça, le pouvoir rend fou. Tous les pouvoirs ont une tendance à abuser, toujours ! [C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser.] Montesquieu C’est comme une loi physique, implacable et il y a une idée géniale pour nous protéger de ça, c’est la constitution. Alors la constitution qu’est-ce que c’est ? C’est un texte qui est au-dessus des pouvoirs et qui ne sert pas du tout à organiser les pouvoirs, ils n’ont pas besoin de nous pour s’organiser, pas du tout.
Tous les citoyens devraient savoir ça : La constitution, ça sert à affaiblir les pouvoirs, ça sert à inquiéter les pouvoirs pour nous protéger nous (le peuple) contre les abus de pouvoir. Mais attendez… Si les représentants doivent craindre la constitution, il ne faut pas qu’ils l’écrivent eux-mêmes ! Sinon ils vont programmer leur puissance et notre impuissance, un enfant comprend ça. Donc l’idée centrale mais vraiment c’est une idée essentielle : Ce n’est pas aux hommes au pouvoir d’écrire les règles du pouvoir et il ne faut pas attendre ce que ce soit eux qui renoncent à écrire le pouvoir, ils ne renonceront jamais. La solution ne viendra pas d’eux, elle viendra de nous. C’est à nous de leur interdire d’écrire la constitution, ça c’est à mon avis l’idée essentielle qui nous manque »
Lors de la seconde guerre mondiale alors que le régime de Vichy était au pouvoir on qualifiait les résistants de terroristes. Aujourd’hui, ils sont élevés au rang de héros de la nation. La France vit en ce moment des heures très graves qui s’inscriront dans son histoire.
G.S
Dernière minute : Selon Eric-Régis Fiorile, Porte parolle du CNT (Conseil National de Transition), Marc Granié vient d’être interné à l’hôpital Henry Ey, avenue de Choisy dans le 13ème arrondissement.
DERNIÈRE MINUTE : MARC GRANIE MIS EN GARDE A VUE !
« Un document vidéo avec des révélations à couper le souffle ! A voir absolument, avec les réserves de vérification habituelles que chacun se doit de faire. Mais si l’identité de cet homme est avérée, alors nous pouvons saluer son courage exceptionnel. Il y a encore des hommes dans ce pays. »
Marc Granier ancien CRS de l’Élysée fait des révélations époustouflantes sur beaucoup d’événements dramatiques survenus en France et dont les versions officielles sont constamment égratignées par celles et ceux que les médias mainstream désignent comme des « théoriciens du complot. »
Voici en résumé les propos tenus dans la vidéo.
Marc Granié cite notamment les assassinats de plusieurs hauts fonctionnaires français, celui de Coluche à qui le gouvernement de l’époque avait proposé la légion d’honneur etc… De ces policiers qui se suicident dans des circonstances étranges.
l’affaire Merah : Il faut savoir que les américains l’avait intercepté dans le pays où il s’entrainait pour le djihad, qu’après cette interpellation, les autorités américaines ont contacté la France qui a répondu : « Laissez-le ». Monsieur Merah était un agent qui travaillait pour la France et qui par la suite fut assassiné.
« Je n’ai pas donné de précisions concernant mes tentatives d’homicides maquillées en suicides ; elles sont toutes écrites, elles sont toutes minutées, avec les acteurs de ces complots et je j’ai apporté toutes ces informations à l’ambassade de Russie où j’ai été très bien reçu. Si il devait m’arriver quelque chose, il suffirait de demander à l’Ambassade de Russie pour les divulguer au grand public. »
Ces informations ont été également confiées au CNT (Conseil National de Transition)
Le 5 mai, une tentative d’offrir au peuple français la possibilité de sortir de cette gabegie politico-financière devenue aujourd’hui institutionnelle est organisée par le CNT. L’ancien CRS donne des conseils à ces collègues en activité :
« Le 5 mai 2018 nous nous rassemblons, des généraux de l’armée, des généraux de la gendarmerie, des hauts fonctionnaires de police, des hauts magistrats qui individuellement ne peuvent rien faire et ils savent que les traitres à la Nation nous envoient dans le mur ; si le 5 mai nous ne réussissons pas, nous ne pourrons plus jamais revenir en arrière. Je leur dit, à mes collègues policiers, gendarmes et militaires, ce jour du 5 mai n’allez pas sur Paris… »
Le patron du MEDEF, Pierre Gattaz propose que certains travaux soient payés en dessous du SMIC, un moyen transitoire qui permettrait aux jeunes de rentrer sur le marché du travail.
Selon lui, l’idée serait de créer un SMIC intermédiaire permettant, sur une période déterminée, transitoire et temporaire de pouvoir franchir cette marche d’escalier par un échelon intermédiaire, temporaire ce qui permettrait à des personnes en difficulté ou à des jeunes, de monter d’un cran et surtout arrêter d’être au chômage. Pour Pierre Gattaz, quelqu’un qui a le pied dans l’entreprise est à moitié sauvé.
Ces images feront sourire dans le future pour autant que l’humanité soit encore là pour en débattre, un baiser à la française de la part d’un président de plus en plus décrié dans les médias et même au sein de la communauté européenne pour son esprit Napoléonien et liberticide.
Un baiser que l’on pourrait associer à l’allégeance d’une certaine France pour l’empire.
En revanche, l’image ci-dessus est un Fake, elle a été retouchée. (Il ne faut toutou de même pas en rajouter une couche. ndlr.)
La dernière rencontre entre le président français Emmanuel Macron et le président Donald Trump a mis en évidence une chose importante – beaucoup de touchers incroyablement gênants.
Le principe de censure ayant déjà fait ses preuves sur les médiats indépendants, on passe à la vitesse supérieure en interdisant à un journaliste du service publique de s’adresser au président Macron.
Cela suit une logique qui se met rapidement en place, voyez également la loi sur le secret des affaires.
Voilà donc ces réformes censées être nécessaires pour la France ; mais pour la France de qui ?
Jamais je n’aurais pensé relayer un coup de gueule aussi virulent mais les dés sont pipés et il faut se rendre à l’évidence. Les Français sont gavés par des réformes qui n’en finissent pas, ces coupes budgétaires qui prennent aux uns pour redonner aux autres ce qu’on leur a déjà pris et pendant ce capharnaüm social, ne voilà-t-il pas que l’on nous pond une loi secret des affaires en toute hâte ni vu, ni connu. C’est la démocratie en marche arrière vitesse Grand « V », bien que ce mot, démocratie ne signifie plus grand-chose de nos jours.
En Suisse, le pays de votre serviteur, on en est pas encore là mais rien n’est vraiment rose non plus quoi que le débat ne soit pas d’actualité dans le sujet de ce billet.
Je relaye donc cette vidéo tout en saluant le franc-parler et le courage de son auteur.