Le 10 juin 1944, le village de’Oradour-sur-Glane qui se trouve à 20 kilomètres au nord-ouest de Limoges vivait une des plus sombres heures de l’histoire.
Ce sont 642 personnes, hommes, femmes et enfants furent massacrés par un détachement du 1er bataillon du 4ème régiment de PanzergrenadierDer Führer appartenant à la Panzerdivision Das Reich de la Waffen-SS. Il s’agit du plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes, assez semblable à ceux de Marzabotto, ou de Distomo (ce dernier perpétré lui aussi le ), qui transposent sur le front de l’Ouest des pratiques courantes sur le front de l’Est.
Ces événements marquèrent profondément les consciences ; leurs conséquences judiciaires suscitèrent une vive polémique, notamment à la suite de l’amnistie accordée aux Alsaciens « Malgré-nous » qui avaient participé au massacre. Depuis 1999, le souvenir des victimes est célébré par le Centre de la mémoire d’Oradour-sur-Glane, situé non loin des ruines du village à peu près conservées en l’état.
Pour François Asselineau, Président de l’UPR, le but des euro-atlantistes est de fragmenter la France, de dissoudre l’État-nation, de diviser pour mieux régner, de nous lier pieds et poings afin de nous soumettre en esclavage au profit des oligarques et des marchés financiers.
Au fil des ans, depuis 2005 date du référendum où les français avaient refusé l’adhésion à l’espace économique européen et suite au mortifère traité de Lisbonne en 2007 où Sarcozy souttenu par le PS y avait fait entrer le pays par la petite porte, la situation n’a cessé de se dégrader tout en faisant reculer la démocratie mettant en place une forme de dictature molle.
François Asselineau, candidat à la présidentielle de 2017 et seul parti prônant la sortie de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN, systématiquement ostracisé par les grands médias aurait-eu-t-il raison ? Un retour en arrière est-il possible ?
Ce 28 février 2018, le quotidien de Suisse romande « Le Matin » – lu par plus de 270 000 personnes – a accordé un entretien sur 2 pages à François Asselineau.
Il est à noter qu’aucun média français n’a jamais égalé cette performance depuis la création de l’UPR, il y a 11 ans, même pendant la présidentielle.
Il est surement à considérer qu’il s’agit là d’un indicateur certain quant à la situation de la liberté d’opinion en France.
Nous invitons nos sympathisants et adhérents à partager cet article à leur connaissance et à remercier le journal pour leur souci du pluralisme et de la démocratie !
François Asselineau… Ce nom ne vous dit rien? Il s’agit de celui d’un ex- «petit» candidat de la dernière présidentielle française «en train de devenir grand» et qui cite souvent la Suisse en exemple.
Ce haut fonctionnaire de 60 ans avait fait le buzz pour avoir mouché Emmanuel Macron lors du grand débat en lui lançant: «Vous, de toute façon, vous êtes toujours d’accord avec tout le monde!» À l’époque, certains s’étaient moqués de son penchant à citer doctement les articles des traités européens.
Lequel se révèle au final plutôt efficace: bien que boudé des grands médias de son pays, l’Union Populaire Républicaine, le parti présidé par François Asselineau, connaît une croissance impressionnante ces derniers mois. Il vient de dépasser les 30 000 adhérents, ce qui en fait le cinquième parti de France.
Quant à son site Internet, il est le plus consulté des partis politiques français. Faut-il y voir la preuve que son programme mantra «Sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN», préalable indispensable – d’après lui – à tout changement véritable, fait son chemin chez les Français? L’intéressé veut y croire. Entretien.
● Pourquoi vantez-vous si souvent la Suisse?
Car votre pays, qui est le plus démocratique qui soit et ouvert sur le monde, prouve que ne pas appartenir à l’UE n’est pas synonyme d’isolement. Les Suisses méritent l’admiration du monde. Ils ont refusé d’entrer dans l’UE et ce vote a été respecté, contrairement à ce que l’on a vécu en France après le vote sur la Constitution européenne de 2005 (ndlr: refusée à 55%). La Suisse cumule les succès. Les médias m’y semblent plus libres d’exprimer la diversité des opinions qu’en France. Le niveau et la qualité de vie y sont élevés. Votre pays figure d’ailleurs systématiquement sur le podium du classement de l’Indice de développement humain (IDH).
● Vos opposants ne partagent pas toujours cette analyse…
Des européistes, connaissant mal la Suisse, me rétorquent souvent avec mépris qu’elle ne vit que sur les banques. La réalité est que ce pays, contrairement au nôtre, soigne ses industries dans l’horlogerie, l’optique et la pharma notamment. Sans parler du tourisme et des services. Mieux encore: la Suisse, l’Islande et la Norvège, soit les trois pays d’Europe occidentale qui ont refusé d’intégrer l’UE, sont au sommet du classement IDH! La Suède, le Danemark et le Royaume-Uni, qui ont refusé l’euro, sont parmi les plus dynamiques économiquement de l’UE!
● La Suisse est liée à l’UE par des accords bilatéraux et les pressions européennes se renforcent. Serons-nous un jour contraints d’intégrer l’UE?
Les accords bilatéraux sont utiles, mais le peuple doit suivre de près ce qui en est fait car votre pays compte également des élites mondialisées qui veulent imposer l’Europe dans son dos. Il ne faudrait pas que la démocratique Suisse, poussée par un grand frère aux méthodes de voyou dont les dirigeants n’ont été élus par personne, se retrouve demain à devoir respecter les contraintes européennes sans participer aux décisions. Si j’étais Suisse, je serais donc très vigilant. La Suisse garde le pouvoir de faire prévaloir ses intérêts nationaux. La France, ligotée aux intérêts divergents des 27 autres membres de l’UE, ne le peut plus!
● Pour vous, réformer l’Europe est impossible. Pourquoi?
«L’autre Europe» revendiquée de toutes parts par les tartuffes, les incompétents ou les «idiots utiles» est irréaliste car modifier le moindre mot des traités européens exige l’unanimité des 28 membres et des 28 peuples dont les intérêts s’opposent dans tous les domaines. La France est par exemple contributrice nette (c.-à-d. qu’elle verse plus d’argent à l’UE qu’elle n’en reçoit) et souffre de la directive des travailleurs détachés. La Bulgarie, elle, en bénéficie et touche plus qu’elle ne verse. La seule solution raisonnable est de quitter l’UE comme l’a fait le grand peuple britannique en activant l’article 50. Je relève au passage que contrairement à ce qu’avaient claironné les prophètes de l’Apocalypse, le Royaume-Uni se porte bien. Le taux de chômage y est même à son plus bas depuis 1975 (4,2%)!
● À vous entendre, la Suisse ferait donc tout juste?
Non. Le fait qu’elle soit membre du Partenariat pour la paix, une structure otanienne dont le nom est digne de la novlangue de 1984, m’étonne. Si j’étais Suisse, j’en serais scandalisé. La Suisse agit ainsi en contradiction totale avec la neutralité qui fait sa force. Elle se retrouve embrigadée dans la géopolitique américaine de «choc des civilisations» ou à envoyer des soldats au Kosovo. C’est contraire à toute son histoire et à ses intérêts. Par contre, sa démocratie directe et notamment ses référendums populaires me semblent un exemple à suivre.
● Comme le prétendent le Prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz, ou l’historien Emmanuel Todd, pour vous aussi, l’euro est condamné. Pourquoi?
L’euro se porte très mal, notamment du fait des déficits italiens, mais les spécialistes le cachent au grand public. Il faudrait tout un article pour l’expliquer. Vincent Brousseau, notre spécialiste à l’UPR qui a travaillé 15 ans à la BCE, le fait très bien. Disons seulement que l’euro est une monnaie dont le taux de change vis-à-vis du dollar n’est pas assez cher pour l’économie allemande mais l’est trop pour la française et la plupart des autres de la zone. Ce qui y creuse le chômage et les déficits commerciaux. Résultat: la Bundesbank ne cesse d’accumuler des créances pourries sur le sud de l’Europe. Ces dernières dépassent désormais les 900 milliards. Quand la barre des 1000 sera franchie, les Allemands seront contraints de trancher sous peine de chuter comme en 1923. Comme Stiglitz, je suis convaincu que les premiers États partis s’en sortiront le mieux.
● Qu’impliquerait la fin de l’euro pour la Suisse?
Votre franc jouerait à plein son rôle de valeur refuge. Il hausserait fortement. Les importations deviendraient meilleur marché et les exportations en pâtiraient. Ça risquerait de secouer mais bien moins que dans l’UE. De toute façon, la réalité des faits ne nous laisse pas le choix: l’euro va s’effondrer et l’UE avec !
Nous dirigeons-nous comme cela fut le cas pour les romains ou les grecques vers un anéantissement de notre société par la débauche ?
Tout fait peur aujourd’hui. la plupart des français parlent des vaccins comme un empoisonnement massif de la population, la majorité sexuelle probablement rabaissée à 13 ans, ce qui laisserait libre accès et en toute impunité aux pédophiles amateurs de chair fraiche, voici que maintenant, par le biais d’un site gouvernemental, on propose aux petites filles et aux petits garçons qui ne se sentiraient pas bien dans leur corps de changer de sexe.
Au cours d’une visite éclair sur la base aérienne de Niamey, Emmanuel Macron vient encourager la coopération entre les forces françaises et les armées du G5 Sahel.
Emmanuel Macron en visite au Niger :
Suite à cette visite, un témoignage éloquent de Omar Albadé, citoyen nigérien qui ne mâche pas ses mots en accusant l’occident dont la France de créer le terrorisme, de fournir les armes, de piller l’Afrique, de créer les vagues migratoires vers l’Europe et termine par dire que la jeune génération nigérienne va finir par se lever, qu’elle ne se laissera plus soumettre et que l’occident doit comprendre que si il ne prend pas garde, cela chauffera pour lui.
En seconde partie de la vidéo, une intervention de l’ancien chef de l’état Jacques Chirac qui reconnaissait que c’était grâce aux pillages répétés de l’Afrique et ce, depuis des siècles que la France c’était enrichie et qu’il allait falloir une fois ou l’autre lui rendre des comptes.
Concernant la loi Asile & Immigration en France présentée par le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, voici quelques chiffres qui pourraient donner le tournis et attiser encore plus les tentions entre les différentes ethnies qui cohabitent sur le territoire français.
Parmi les 74 propositions faites par le ministre de l’intérieur, voici celles qui pourraient être les plus choquantes pour les français issus des classes moyennes et laborieuses :
Des cours de français seront octroyés aux adultes étrangers présents sur le sol de la France depuis plus de 5 ans pour un coût de 18 mio d’Euros.
Attribution de bourses pour l’enseignement supérieur dès l’apprentissage du français aux étrangers, coût de l’opération : 6,6 mio d’Euros alors que dans le même temps les APL étudiants sont revus à la baisse.
Suppression de la condition de nationalité pour un emploi dans la fonction publique non régalienne.
Facilité l’accès aux professions de la santé aux réfugiés alors que les français subissent le numérus clausus.
etc …
Selon Stéphane Ravier, sénateur des bouches du Rhône, ces propositions reposent sur deux piliers qui sont ceux de la préférence étrangère en matière de l’embauche et de l’emploi ainsi qu’en matière de logements.
C’est le projet d’un Bordelais qui a imaginé un abri isotherme pour les personnes qui dorment dans la rue par ce froid.
Alors que les pouvoirs publics semblent dépassés et demeurent impuissant pour mettre à l’abri les malheureux qui n’ont pas la chance d’être au chaud durant l’hiver, un Bordelais met au point un Igloo pour remplacer les tentes.
L’idée est de fournir aux sans-abri un toit démontable, lavable, étanche et surtout isotherme. Une température de 15 degrés Celsius à l’intérieur lorsque la température extérieure est de 0 degré.
A Paris, le Samu social n’arrive pas à traiter 80% des demandes d’hébergement des sans-abri, les igloos pourraient être une alternative temporaire.
Sur le consentement sexuel, la garde des sceaux Nicole Belloubet déclarait que la France envisageait 13 ans comme âge minimum de consentement lors d’un acte sexuel.
La garde des sceaux déclare que sur le sujet le débat est ouvert tout en ajoutant que le gouvernement veut encore mieux protéger les enfants qu’ils ne le sont aujourd’hui et que pour ce faire, rendre un âge limite où la présomption de consentement sera présumé ne pas exister est indispensable pour mieux assurer sa protection.
Lors de leur déchéance, les empires grecques et romains sont également passé par là. L’histoire bégaye.
Ce sont des copiés-collés dont les seule différences sont les promesses non tenues servies au peuple en guise de papier cadeaux.
Chers amis adeptes du vote blanc, vous êtes 22 millions de citoyens à en être passé par là tant votre désarroi à force d’être roulés dans la farine est grand ; mais laissez-moi vous dire que vous êtes autant de cons, fainéants et autres injures plus blessantes les unes que les autres, en effet :
Selon l’enseignant en philosophie Raphaël Enthoven, interviewé sur Europe 1, celles et ceux qui votent blanc et ils sont nombreux, 22 millions d’électeurs lors de la dernière présidentielle, sont des irresponsables, des fainéants, des ingrats qui négligent les acquis que d’autres ont payé de leur vie, des gagne-petit qui revendiquent des droits sans les devoirs, des malhonnêtes qui brandissent la nullité des politiques opportunément afin de justifier leur flemme, des nulles, des orgueilleux qui ont des opinions tellement hautes de leurs propres opinions qu’ils auraient l’impression de les souiller en les mêlant à celles des autres, l’abstentionnisme ne renseigne pas sur la nullité des politiques mais sur celle des électeurs.
Beaucoup d’électeurs souhaiteraient que le vote blanc soit comptabilisé et à cette question cruciale dans le contexte actuel, Raphaël Enthoven répond : « Ça, c’est un autre problème »
Effectivement, combien d’abstentionnistes iraient au galop mettre leur bulletin de vote dans les urnes si le vote blanc était reconnu ? Si tel était le cas, sans nul doute, le paysage politique de la France n’aurait pas le même visage aujourd’hui.
L’aigle impérial, symbole de l’empire romain, va devenir le symbole de tout empire universel.
Ce qui est intéressant de savoir en histoire c’est qu’entre chaque république ou le drapeau français était bleu, blanc et rouge et où le peuple était souverain, les drapeaux ce sont successivement ornés de motifs similaires, dont les étoiles que l’on retrouve aujourd’hui sur le drapeau européen.
Héraldique céleste, le drapeau bleu ou blanc aux fleurs de lys
Drapeau de la France durant la restauration des bourbons symboles qui reviennent sur le drapeau de la monarchie française avec les fleurs de lys.
Drapeau de la France sous Napoléon 3, la souveraineté est retirée aux français et on ajoute au drapeau des étoiles représentées ici par des abeilles d’or.
Drapeau de la France sous le régime de Vichy ou une fois de plus on retire aux français leur souveraineté nationale et ou l’on voit apparaitre les étoiles d’or.
Le drapeau européen puis l’UE qui retira aux peuples leurs droits aux référendums nous replonge dans le doute et remet en cause la légitimité du régime qui se met en place.
L’histoire ne se répète pas mais elle bégaye toujours, elle emprunte de nouvelles formes, l’empire se transmute mais c’est un fin de compte toujours la même histoire.
Les gens refusent d’ouvrir les yeux de peur de perdre leurs illusions.
Vidéos :
L’histoire des drapeaux français par François Asselineau.
Conférence complète sur l’histoire de la France dite par François Asselineau.