Mardi, le hublot d’un avion a explosé suite à une défaillance de moteur, sur la ligne New York-Dallas. Une passagère aspirée vers l’extérieur mais retenue par des passagers est décédée à l’hôpital. L’avion a atterri d’urgence à Philadelphie.
Un Boeing 737 de la compagnie aérienne américaine Southwest a connu mardi peu après son décollage de New York une défaillance de moteur, qui a brisé un hublot et fait un mort parmi les passagers. L’appareil a dû faire un atterrissage d’urgence à Philadelphie.
« Nous pensons que des parties du moteur se sont détachées », a indiqué l’organisme fédéral de la sécurité des transports (NTSB), qualifiant l’incident, à ce stade, de « défaillance de moteur ».
L’accident aérien du rallye Dakar est un crash d’hélicoptère qui a eu lieu au Mali, le soir du en marge de la huitième édition du Paris-Dakar, le 14e jour de compétition.
Cinq victimes sont à déplorer : le chanteur Daniel Balavoine (33 ans), le pilote François-Xavier Bagnoud (24 ans), l’organisateur du rallye Thierry Sabine (36 ans), la journaliste du Journal du dimanche Nathalie Odent (25 ans) et le technicien radio de RTL Jean-Paul Le Fur (36 ans) (qui avait déjà couvert La Chasse aux trésors).
Cet accident fut très médiatisé en raison de la notoriété de Daniel Balavoine et de Thierry Sabine, et ses circonstances ne sont toujours pas aujourd’hui entièrement claires. Le chanteur ne participait pas à la course cette année-là (il avait concouru lors des éditions Rallye Dakar 1983 et 1985), mais s’occupait de l’action humanitaire « Paris du cœur » qui visait à installer des pompes à eau hydrauliques dans des villages africains en profitant de la logistique du rallye. (Source : Wikipédia)
Je sens les anti-complotistes me tomber dessus mais combien de morts camouflées en suicide, en false flag ou accident pure et simple ne sont-elles pas aujourd’hui et preuve à l’appui à imputer à des assassinats pour Raison d’État ?
Revenons un instant sur cet accident impliquant le décès du très engagé chanteur Daniel Balavoine.
Voici une vidéo dont les dernières secondes laissent songeur. Déclarations de Jean Pernin à la radio :
la mort de Daniel Balavoine n’est pas naturelle mais provoquée.
L’accident ne c’est pas produit mardi 14 janvier 1986 mais la veille, lundi 13 janvier.
Il y a des intérêts financiers parce qu’il y a beaucoup de choses dans cette histoire.
On est capable de faire tomber un Boeing avec 500 personnes à bord pour en tuer une.
etc …
Cela ne prouve rien certes mais auront-nous un jour si la mort du chanteur est réellement liée à son assassinat ainsi que celui de ses 4 infortunés compagnons de voyage, le droit à la vérité ?
Afin de ne pas faire perdre leur temps aux cartésiens, on parle dans cette série de 3 vidéos, d’ésotérisme et de vie après la vie ; mais certaines informations et témoignages très probants semblent démonter la version officielle de ce fameux crash du 14 janvier 1986.
Si vous vous posez vraiment la question, ces vidéos de la chaîne Youtube Meta TV rebaptisée aujourd’hui TEPA sont à visionner.
Sur le plateau de l’émission de France 2 « On est pas couché« , une déléguée syndicale de l’enseigne Carrefour s’exprime sur un raz le bol qui se généralise en France
Elle déclare en direct que les salaires des caissières qui sont en moyenne de 1’300 euros par mois ne permettent pas de tourner sans devoir drastiquement se serrer la ceinture, que les salariés en ont marre, que les conditions de travail dans la grande distribution sont de pire en pire et si l’on regarde les dividendes qui sont reversés aux actionnaires, 356 millions d’euros, il faut savoir que la participation qui était reversée aux employés avant pouvait atteindre entre 800 et 900 euros par année. Aujourd’hui, cette participation n’excède pas 57 euros.
Les employés se sentent lésés. Avant, ils devaient travailler pour vivre alors qu’aujourd’hui ils doivent vivre pour travailler dans le sens qu’ils doivent passer leur journée au travail du matin au soir ce qui impact gravement sur la vie privée.
Elle fini par dire : « Nous passons notre vie à donner de l’argent à des actionnaires qui ne nous respectent même plus, qui n’ont même pas le respect de nous reverser au moins ce que nous produisons parce que ce sont nous, les salariés, les producteurs de richesse, c’est nous qui faisons en sorte que Carrefour gagne de l’argent et aujourd’hui on ne peu pas nous le reverser ou au moins avoir une équité dans le reversement des richesses, ce n’est plus possible et nous en avons raz le bol. »
Et pour rappel :
Alors que de réforme en réforme les Français sont priés de se serrer chaque fois plus la ceinture, Carrefour gave ses actionnaires avec les deniers publics. Scandaleux !
Alors que carrefour prévoit un plan social mettant à la trappe 10’000 emplois, depuis 2013 les Français ont versé à la firme 744 millions d’euros sous forme d’aide publique. Dans le même temps, Carrefour versait 2,4 milliards sous forme de dividendes à ses actionnaires.
Cela signifie que chaque foyer imposable à donné 44 euros aux actionnaires de Carrefour, cela signifie que la direction de Carrefour a versé l’équivalent de toutes les aides publiques reçues à ses actionnaires.
Piou le gentil petit pingouin une parodie qui reflète la réalité ?
Débattant sur la publication d’une bande dessinée pour petits enfants, « Piou le gentil petit pingouin » une chroniqueuse déclare que ce livre est un récit d’inculture pour bébé Nazi.
Alors que de réforme en réforme les Français sont priés de se serrer chaque fois plus la ceinture, Carrefour gave ses actionnaires avec les deniers publics. Scandaleux !
Alors que carrefour prévoit un plan social mettant à la trappe 10’000 emplois, depuis 2013 les Français ont versé à la firme 744 millions d’euros sous forme d’aide publique. Dans le même temps, Carrefour versait 2,4 milliards sous forme de dividendes à ses actionnaires.
Cela signifie que chaque foyer imposable à donné 44 euros aux actionnaires de Carrefour, cela signifie que la direction de Carrefour a versé l’équivalent de toutes les aides publiques reçues à ses actionnaires.
Il ne fait décidément pas bon être journaliste en Turquie. En plein procès controversé pour divulgation de secret d’Etat, le journaliste d’opposition turc Can Dündar a été visé par trois coups de feu. Le directeur de la rédaction du quotidien Cumhuriyet s’en sort indemne et son assaillant a été arrêté.
C’est à Istanbul en mai 2016 que le journaliste turc Can Dündar fut victime d’une tentative d’assassinat suite à la divulgation d’images impliquant des camions des services secrets Turcs remplis d’armes destinées à des zones tenues par des groupes islamistes en Syrie. Une trahison pour le président turc Recep Tayyip Erdoğan qui menace même Can Dündar en direct à la télévision :
« Celui qui a diffusé cette information risque de le payer très cher. »
« L’affaire des camions » comme on l’appelle en Turquie est un scandale d’État. La diffusion de ces images y est interdite et tous ceux qui ont enquêté dessus qu’ils soient procureur, gendarme ou journaliste ont tous été arrêtés en direct sur les chaînes de télévision pro-gouvernementales.
Moscou a annoncé ce 29 mars l’expulsion de 60 diplomates américains ainsi que la fermeture de la représentation consulaire américaine de Saint-Pétersbourg, soit le même nombre que les membres du corps diplomatique sommés de quitter les Etats-Unis.
S’exprimant lors d’une conférence de presse commune à Moscou ce 29 mars avec Staffan de Mistura,envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé l’expulsion de 60 diplomates américains de Russie. Le nombre est le même que celui des diplomates russes expulsés des Etats-Unis dans le cadre de l’affaire Skripal.
La police a poursuivi un conducteur suspect. Dans sa fuite, ce dernier a heurté un cycliste. L’automobiliste a été interpellé.
Un homme à vélo a été la victime collatérale d’une course-poursuite, ce mercredi en début d’après-midi en ville. Il a été renversé par une voiture qui tentait de semer la police. «Le pronostic vital du cycliste, né en 1990, n’est pas engagé, indique Jean-Claude Cantiello, porte-parole des forces de l’ordre. Mais il a été transporté aux urgences de l’hôpital cantonal.»
A 13h30, une patrouille qui circulait au quai des Bergues a repéré un véhicule suspect et enclenché sa sirène. La voiture, aux plaques françaises, a alors pris la fuite. Après avoir franchi le pont du Mont-Blanc et s’être engagée sur la route de Chêne, la voiture folle a heurté l’homme à vélo. Peu après, l’automobiliste, un Français né en 1985, a perdu la maîtrise de son engin au carrefour avec l’avenue de l’Amandolier. Il est indemne et a été interpellé. Les raisons l’ayant poussé à fuir la police ne sont pas encore connues.
L’embardée de la voiture suspecte a provoqué une fermeture partielle de la route de Chêne, en début d’après-midi, et perturbé le trafic.
Non, la chronique ne s’est pas perdue dans les tuyaux de la Maison de la Radio, comme l’indique la page d’erreur sur France Inter, la vidéo a bel et bien été retirée par la rédaction. Nous la republions sans la mention des noms des responsables SNCF.
La comédienne Audrey Vernon avait défrayé la chronique ce vendredi 17 Mars, en revenant sur les circonstances du suicide d’Edouard Postal, cheminot réprimé par la direction qui s’était donné la mort quelques jours plus tôt et pour lequel des centaines de cheminots s’étaient donné rendez-vous le mercredi 15 mars, gare de Paris Saint Lazare pour un hommage émouvant. Elle revient dans sa chronique sur les difficultés des travailleurs du public, dans la santé, les Télécom, la Poste ou la SNCF. Elle dénonce cette série noire de suicides, qui cache le passage en force des suppressions d’emplois et autres réorganisations ou privatisations que vivent les travailleurs au quotidien.
Sur Youtube
Sur VK
Après les suicides, les répressions antisyndicales assumées, voilà que la SNCF joue un rôle troublant dans le retrait par France Inter de cette chronique de 2min25 d’Audrey Vernon, sur une radio pourtant dite publique. Sa chronique est comme un bol d’air frais dans ce paysage médiatique, qui d’habitude préfère mépriser et traiter les travailleurs qui luttent, comme des voyous. Ou bien encore qui essaye de faire passer l’acte d’Edouard, comme l’acte d’un déséquilibré psychique, en omettant de faire le rapprochement entre suicide et répression. Les cheminots avaient largement aimé et partagé sa chronique, pour sa véracité et surtout pour toute l’émotion qu’elle suscite dans ses mots soigneusement choisis.
Alors pourquoi avoir mis la pression sur la radio pour que ce billet d’humeur soit retiré ? Le problème serait-il venu de la dénonciation que fait Audrey des 3 dirigeants de Paris St Lazare, citant leur nom publiquement ? Mais cette dénonciation est juste car c’est bien cette politique, pensée dans les plus hautes sphères de la SNCF et appliquée par les dirigeants d’établissement, la responsable de ce qui se passe aujourd’hui à la SNCF. Les dirigeants d’établissement qui avaient engagé les poursuites disciplinaires contre Edouard Postal devraient donc être amenés devant les tribunaux. La SNCF, très embêtée par cette chronique, après le suicide d’Edouard Postal le 10 mars, puis celui de Frédéric Hein, cheminot de Mulhouse, jeudi 16 Mars, entame une démarche de nettoyage de la communication. Car plutôt que de faire son mea culpa en prenant toutes les mesures nécessaires pour arrêter cette série infernale de suicides et de répression antisyndicale, la SNCF essaye maintenant de limiter la liberté d’expression des journalistes. Cela arrive après que la direction ait mis en garde l’ensemble des cheminots sur les réseaux sociaux, en conseillant de faire attention aux termes employés, et de ne pas critiquer l’entreprise publiquement, sous couvert toujours de ce fameux code de déontologie, qu’elle sait utiliser comme bon lui semble pour réprimer les militants syndicaux.
A quoi joue la SNCF, si ce n’est d’essayer de jouer la montre pour que les affaires se tassent rapidement, sans que la nouvelle image que les dirigeants essayent de donner à l’entreprise après la réforme ferroviaire, ne soit trop entachée ? Car oui la SNCF a besoin d’avancer sans bruit, jusqu’à cette ouverture à la concurrence qu’elle attend de ses vœux et qu’elle prépare à coups de pression sur la productivité des agents (avec notamment ses projets de fermeture de technicentres, de rachat de lignes par sa filiale privée Transkeo, la fusion des établissements voyageurs, la suppression des agents d’accompagnement, etc.)
Pour reprendre la conclusion d’Audrey Vernon à l’adresse des cheminots : « C’est vous qui faites tourner le monde, s’il vous plait continuez ! Arrêtez de vous suicider ! »
Attaque de l’extrême-droite à la fac de Montpellier : « J’ai vu l’administration applaudir face au sang d’étudiants en lutte pour leurs droits »
A Montpellier, sous les coups de minuit, ce 22 mars, le doyen de la faculté de droit et de science politique a envoyé une milice d’extrême droite déloger les lycéens et étudiants mobilisés contre le Plan Étudiants, ils occupaient pacifiquement un amphi. Matraque, taser, des étudiants sont blessés à la tête. Le tout sous le regard du doyen et sa sécurité. Le bilan fut de quatre blessés graves, dont deux à la tête. Nous relayons ci-dessous un plusieurs témoignages, ainsi que plusieurs vidéos.
« Tout ce que je raconte, je l’ai vu.
La fac de droit de Montpellier, l’UM3, était occupée par les étudiants.
On était encore une cinquantaine dedans.
Des hommes, une dizaine, en noir, masqué, avec des batons, des bouts de palettes sont entrés. Ils n’ont pas parlé. Ils ont sorti tout le monde, en les frappant, en les matraquant au sol, en les traînant par terre. En les fracassant au sol, bordel de merde. C’est moi qui ai filmé. Ils ont poussé tout le monde dehors, en les frappant. Le Doyen de la Fac de Droit était présent. Je l’ai vu ouvrir la porte à ces hommes. J’ai vu les portes de la fac se refermer, avec ces hommes à l’intérieur. J’ai vu le directeur d’une institution publique s’enfermer avec un groupuscule extra violent. J’ai vu une amie au sol, en sang, avec le portail qui se referme sur ses jambes. En arrière plan, j’ai vu l’administration qui était présente sur les lieux applaudir.
Applaudir face au sang d’étudiants en lutte pour leurs droits. J’ai vu ces hommes qui voulaient casser des « gauchos », j’ai senti leurs coups sur mon corps. Trois étudiants sont partis avec les pompiers. La police n’est pas rentré dans la fac, elle n’en avait pas le droit sans l’accord du doyen. La police n’a pas arrêté ces hommes. Ils sont sortis par la sortie de secours, et les policiers les entouraient, comme une escorte de ministre. Le doyen n’a pas autorisé la police à rentrer dans la faculté, pour arrêter les hommes qui ont envoyé 3 étudiants à l’hôpital. Le doyen de la fac de droit, je l’affirme parce que je l’ai vu, a montré à ces hommes, dont il n’avait pas peur, les « cibles ». Des étudiants, des jeunes comme vous.
C’est ce que j’ai vu.
Ce n’est plus une question de lutte sociale, ça va au delà de l’antifascisme. Je vous demande de ne pas laisser ces personnes, ce doyen, ce groupuscule ultra violent agir en toute impunité. Je vous demande de relayer ce témoignage, je vous demande de demander des comptes à nos côtes.
Parce que sur le sol de la fac de droit est tâché du sang de jeunes qui voulaient juste continuer leurs études, et qui s’engageaient en ce sens. Parce que la police n’a rien fait. Parce que j’ai peur, si c’est ça l’éducation nationale, si c’est ça, la police qui est censé nous protéger, si c’est ça, mon pays. »