Des images troublantes circulent sur les réseaux sociaux prétendant que des ONG financent la déstabilisation de l’Afrique

Selon certaines sources, des ONG financeraient la déstabilisation du continent africain.

Je n’ai pas d’autres informations que ces images et vais tenter d’en obtenir.

Ne pas s’emballer.

D’autres sources déjà citées ici prétendaient que le flux migratoire lors du début de la crise en Libye était financé par des ONG étasuniennes.

A suivre…

G.S

Qui finance le passage des migrants ?

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La France en Marche : Selon Jacques Myard (Député LR), le peuple n’a pas à avoir accès aux informations concernant les dépenses des députés

Dans le cadre de « La France en Marche à reculons », le député LR Jacques Myard déclare à une journaliste que le peuple n’a pas à avoir accès aux dépenses des députés.

>>> Conseillé : Pilleurs d’Etat <<<

Dans la vidéo qui suit, un des passages qui m’a fait bondir :

« A Rambouillet, un élu a été condamné à 20 millions d’Euros parce qu’il avait détourné, mal géré etc … il a été condamné à 20 mille Euros d’amande avec sursis et comme la mairie c’était son petit pote, ils ne se sont pas porté partie civile et les 20 millions d’Euros ont été payés par les habitants et en plus, c’est là que les habitants ont été deux fois cocus, comme il y a la protection fonctionnelle, les habitants ont payé l’avocat et en plus ils ont remboursé les dettes.  »

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« Droit à l’erreur » : un projet de loi pour rendre l’administration davantage « bienveillante »

Le ministre de l’action et des comptes publics, Gérald Darmanin au palais de l’Elysée, le 22 novembre. LUDOVIC MARIN / AFP

Le texte présenté lundi en conseil des ministres est une nouvelle tentative de simplifier les démarches administratives après d’autres initiatives plus ou moins abouties.

Le gouvernement dévoile, lundi 27 novembre, son projet de loi sur le « droit à l’erreur », une mesure phare de la campagne d’Emmanuel Macron et une nouvelle tentative de simplifier les démarches administratives après d’autres initiatives plus ou moins abouties. Promesse de campagne, le texte veut amorcer un changement de philosophie dans les rapports avec l’administration et considérer l’usager ou l’entreprise comme étant de bonne foi dans ses démarches.

Ce projet de loi sera présenté en conseil des ministres après avoir été enrichi à la demande du chef de l’Etat qui avait retoqué la précédente mouture à la fin de juillet. Le texte a été repris par un conseiller d’Etat, Thierry Tuot, et une quinzaine de députés. Rebaptisé « projet de loi pour un Etat au service d’une société de confiance », le texte dévoilé lundi « comporte une quarantaine d’articles qui seront présentés d’ici au printemps au Parlement », a annoncé Gérald Darmanin.

Dans un entretien au Journal du dimanche, le ministre de l’action et des comptes publics, dresse les contours de « l’un des textes les plus importants du quinquennat », la deuxième mouture d’un projet visant à « transformer l’action publique en profondeur ».

Destinés à faire économiser 4,5 milliards d’euros sur le budget de l’Etat, les 48 articles de loi – qui seront présentés au Parlement dans les prochains mois – défendent une nouvelle conception de l’action publique destinée « à remettre de la confiance dans les relations entre les Français et leurs administrations ». Car, comme le dit M. Darmanin au JDD, « les Français aiment leur service public mais (…) n’aiment pas toujours leur administration ». Afin d’établir cette relation de confiance, 1,5 milliard d’euros seront notamment alloués pour la formation des agents publics. « Car le changement doit entrer dans les textes, mais surtout dans les têtes. »

Premier principe, « la bienveillance »

Promise sous les quinquennats de Nicolas Sarkozy et François Hollande, la simplification des relations entre l’administration et ses usagers a régulièrement été porteuse de déceptions et les engagements suscitent la prudence des entreprises.

Pour transformer l’administration « en profondeur », le projet de loi autorise le « droit à l’erreur », reprenant l’adage « faute avouée, à moitié pardonnée ». « Le premier principe qui doit désormais guider l’administration, c’est la bienveillance : si vous vous êtes trompés, ce sera désormais à l’administration de prouver que vous n’êtes pas de bonne foi », explique M. Darmanin, qui exclut les cas de fraude ou d’atteinte à la sécurité et à la santé publiques.

Le principe de la « bienveillance » de l’administration envers ses interlocuteurs promise par Gérald Darmanin doit se traduire ainsi : toute personne physique ou morale ayant involontairement méconnu, pour la première fois, une règle applicable à sa situation, ne subira ainsi plus ni amende ni privation de droit si elle rectifie son erreur, à son initiative ou quand l’administration le lui demande.

Parmi les dispositions prévues, la possibilité de signaler à l’administration fiscale une erreur dans sa déclaration sans devoir payer de pénalités et, dans ce cas, les intérêts seront réduits de moitié. Les entreprises pourront de leur côté demander à toute administration « de bénéficier d’un contrôle, pour s’assurer qu’elles respectent les procédures, sans risque de sanction aggravée », selon le ministre.

Des annonces accueillies avec prudence

Autre mesure : l’Inspection du travail ne sanctionnera plus automatiquement l’entreprise qu’elle contrôle pour certaines infractions, mais pourra donner un simple avertissement dès lors qu’il n’y avait pas d’intention frauduleuse, selon le ministre. Plusieurs dispositions feront l’objet d’une expérimentation avant d’être instituées.

Selon des sources concordantes, l’extension du « rescrit », qui existe en matière fiscale, à d’autres administrations devrait aussi figurer dans le texte. Méconnu et parfois regardé avec méfiance, le rescrit permet à chacun d’interroger l’administration au sujet de sa situation sur l’application des règles fiscales. L’administration rend alors un avis qui est opposable en cas de contrôle.

Des annonces accueillies prudemment du côté des entreprises, échaudées par les promesses passées. « Si l’intention est louable, c’est la mise en œuvre qui déterminera l’utilité de ce texte. Les différents chocs de simplification annoncés à coups de tambour et trompette n’ont pas laissé un souvenir impérissable aux chefs d’entreprises », a réagi la Confédération des PME dans un communiqué.

Dans Le JDD, M. Darmanin a annoncé l’instauration d’un comité de suivi qui se réunirait une fois par mois pour contrôler la mise en œuvre du texte. La limitation des sanctions et la dématérialisation des démarches administratives – le papier sera supprimé à l’horizon 2022 – sont au centre du projet gouvernemental.

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Passage à niveau défectueux Retour sur l’article publié précédemment

Contrairement ce qui a été indiqué dans l’article précédent, il ne s’agit pas d’une défaillance technique car il y a deux passages à niveau successifs. Deux lignes séparées, l’une avec un train l’autre sans.

Toutes mes excuses pour cette mauvaise information.

Texte initial :

« Cette photo a été prise le Samedi 21 décembre à 21h30 à Salses le château. Une barrière baissée, les autres relevées. Cela pourrait très sérieusement remettre en question la sécurité sur le réseau ferroviaire français. »

 

Photo d’un machiniste dans la Banlieue de Lille datant du 22 décembre.

G.S

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L’image du jour : Problèmes techniques à répétition

Mise à jour le 28 décembre 2017

Il y a deux passages à niveau successifs. Deux lignes séparées, l’une avec un train l’autre sans.

Texte initial :

On a encore tous en mémoire ce tragique accident à Millas (Pyrénées-Orientales) qui devait coûter la vie à 5 adolescents.

Cette photo a été prise le Samedi 21 décembre à 21h30 à Salses le château. Une barrière baissée, les autres relevées. Cela pourrait très sérieusement remettre en question la sécurité sur le réseau ferroviaire français.

G.S

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France : Le Premier ministre français critiqué pour un Tokyo-Paris à 350’000 euros

Le Premier ministre français Edouard Philippe. [Guillaume Souvant – AFP]
Pour rentrer plus vite de Nouvelle-Calédonie, le Premier ministre français Edouard Philippe a fait affréter un vol Tokyo-Paris par un loueur privé pour une somme de 350’000 euros. Le dirigeant dit assumer cette décision.

Le cabinet d’Edouard Philippe a confirmé que la délégation française de 60 personnes a effectué ce vol pour 6000 euros par personne.

Arrivé en Nouvelle-Calédonie dans un avion de l’armée française, le Premier ministre a repris cet avion pour rejoindre Tokyo. Mais il a ensuite changé d’appareil et embarqué dans un vol privé, gagnant deux heures de trajet avec un vol plus confortable. L’appareil de l’armée est lui rentré à Paris presque vide.

« J’assume cette décision »

Matignon a indiqué que ces deux heures ont permis à Edouard Philippe de rentrer à temps pour une autre réunion. Interrogé sur RTL, le chef du gouvernement dit « assumer pleinement » et précise que ce voyage a certes coûté cher, mais moins que celui de Manuel Valls en 2016.

« J’essaie de faire en sorte de limiter au maximum ces frais », « c’est compliqué et cher de déplacer le Premier ministre. Mais je comprends parfaitement à la fois la surprise et les interrogations des Français », a encore déclaré le dirigeant.

Source : Radio Télévision Suisse

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Laïcité : Je ne crois pas que… le danger pour l’avenir de la République, c’est les crèches dans les communes »

Laurent Wauquiez : « Je ne crois pas que… le danger pour l’avenir de la République, c’est les crèches dans les communes »

Pour Laurent Wauquiez, les débats sont sur réalistes, quand on voit des débats où le premier ennemi de la laïcité en France ça serait une croix sur la statue de Jean-Paul 2, que le danger pour l’avenir de la république ce sont les crèches dans nos communes, il déclare se demander si nous vivons au même endroit, il est persuadé que le combat mené contre la culture française au nom de la laïcité n’est pas le bon mais que la première menace contre la laïcité n’est autre que l’intégrisme islamiste.

Il ne pense pas que ce soit en abaissant nos racines, en renonçant à notre histoire que l’on construira l’intégration de la France il pense même qu’il s’agit là d’une erreur mortifère dans laquelle nous sommes tombés, qui est cette culture de la repentance ou au fond on demande à la France de renoncer à elle-même pour accommoder la diversité.

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Facebook: critiques virulentes de son ancien vice-président

Le plus puissant réseau social est accusé de détruire le tissu social et d’exploiter la vulnérabilité de ses utilisateurs.

Le réseau social de Mark Zuckerberg est violemment attaqué par l’un de ses ancien d’irrigants en l’accusant de détruire le réseau social et ces critiques s’ajoutent à d’autres ces dernières semaines.

Pour Chama Palihapitiya, ancien dirrigeant de Facebook :

« Nous avons créé une machine qui détruit le tissus social en fabriquant des outils qui sécrètent de la dopamine à répétition et du plaisir immédiat, nous avons détruit le fonctionnement de la société. Absence de civisme, de coopération, désinformation, fausse vérité. Vous ne le réalisez pas mais vous avez été programmé ; ce n’était pas intentionnel mais maintenant c’est à vous de décider si vous voulez abandonner votre indépendance intellectuelle, si vous nourrissez la bête, elle vous détruira »

Puis il ajoute :

« Ce que je peux contrôler, c’est ma décision de ne pas utiliser cette merde et de ne pas laisser mes enfants utiliser cette merde. »

Un ancien investisseur parle même de menace pour la santé publique et de la démocratie.

Source : Radio Télévision Suisse

 

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Internet : Washington met fin à la « neutralité du net », principe fondateur du web

« La neutralité du net, c’est la liberté d’expression », peut-on lire sur le panneau d’un manifestant à New York, le 7 décembre 2017. [Mary Altaffer – keystone]

Le régulateur américain des communications s’est prononcé jeudi pour la fin du principe de « neutralité du net », qui oblige les fournisseurs d’accès à internet (FAI) à traiter tous les contenus en ligne de la même manière.

La décision de la Commission fédérale des communications (FCC), qui a estimé que la réglementation actuelle était un obstacle aux investissements, autorise théoriquement les FAI à moduler la vitesse de débit internet en fonction du contenu qui passe dans leurs « tuyaux » ce qui pourrait aboutir à la création d’un « internet à deux vitesses ».

Les partisans de la « neutralité » craignent de leur coté que les FAI soient tentés de faire payer plus cher pour un débit plus rapide, ou bloquent certains services leur faisant concurrence, comme la vidéo à la demande, la téléphonie par internet ou les moteurs de recherche.

Vif débat

La proposition du président de la FCC, Ajit Pai, nommé à ce poste par Donald Trump, a été adoptée par 3 voix républicaines contre 2 voix démocrates.

Avec cette décision, « nous restaurons la liberté d’internet » et « nous aidons les consommateurs et la concurrence », a déclaré Ajit Pai devant la commission, juste avant le vote.

Cette décision « ne va pas tuer la démocratie » ni signifier « la fin de l’internet tel que nous le connaissons », a-t-il ajouté, faisant allusion aux arguments des tenants de la neutralité.

La FCC « donne les clés de l’internet » à « une poignée d’entreprises multimilliardaires », a regretté pour sa part Mignon Clyburn, membre de la FCC qui a voté contre la décision.

Le débat sur la « neutralité du net », très vif, dure depuis une dizaine d’années aux Etats-Unis. Une centaine de défenseurs de ce principe ont manifesté jeudi matin devant le siège de la FCC, installant un mini-mausolée à la mémoire de l’internet « comme on l’a toujours connu ».

« Impact jusqu’en Suisse »

Cette décision impacterait directement les internautes helvétiques: « Internet est une plateforme mondiale. Même si on visite un site suisse, on passe parfois par des serveurs et des fibres qui passent à travers d’autres pays. Donc ce qui se passe dans d’autres pays nous touche », a expliqué jeudi matin Alexis Roussel, fondateur d’une plateforme de trading et ancien président du Parti pirate suisse, dans la Matinale.

>> Relire: « La fin de la neutralité du net aux Etats-Unis aurait un impact en Suisse »

Pour l’individu, ce principe signifiait l’accès à l’information de manière indiscriminée. « Lorsque vous êtes un citoyen et que vous voulez vous forger votre propre opinion, cet accès permet de voter correctement. Si votre accès est ralenti d’un côté, vous irez forcément sur un site contenant d’autres informations », a-t-il détaillé.

Source : Radio Télévision Suisse

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