Un enseignant s’insurge contre le projet de loi sur l’école !
Ce que prévoit le projet de loi sur l’école, ce n’est rien d’autre que la CENSURE des professeurs et l’INTERDICTION de toute parole critique à l’égard du fonctionnement de l’institution scolaire.
La vidéo invite à une mobilisation contre ce projet de loi et à faire entendre la voix de la SOLIDARITÉ avec le personnel éducatif !
Excellente interview d’Arnaud Montebourg qui dénonce une gestion déloyale de la France et de tous les pays de la communauté européenne.
Tout y passe dans cette interview, démantèlement du pays, le fait de faire payer les frais de la crise aux classes les plus défavorisées et ce mot de la fin : « Vous ne croyez pas qu’il y a un peu de laisser-aller dans ce bazar ? »
Un Arnaud Montebourg qui redonne à la classe politique un peu de crédibilité.
Les européistes s’emploient avec acharnement à ne rien laisser à leurs opposants. Une manifestation au cœur de Londres rassemblant des centaines de milliers d’europhiles, comme cela est étonnant !
Les médias, ces chers médias mainstream qui pour la quasi totalité appartiennent à des groupes financiers que l’Europe avantage, cela ne vous met-il pas la puce à l’oreille ? Ces mêmes médias parlent-ils avec la même fougue des europhobes ? Évidemment Non !
La France est entrée dans l’UE avec le mortifère traité de Lisbonne ratifié en 2007 alors que le peuple s’y était opposé en 2005, la Suisse va entrer dans l’UE avec le mortifère accord cadre qui lui est imposé par un odieux chantage d’équivalence boursière etc … La dictature dans toute sa splendeur.
On fait voter et revoter jusqu’au résultat escompté. La prochaine étape, pourquoi pas l’interdiction pure et simple du droit de vote ? Est-il nécessaire de vous rappeler que ce que subit le peuple européen est décidé par une clique de technocrates non élus, tapis dans des couloirs bruxellois obscurs et qui sont tous à la bote de financiers sans scrupules ? Avez-vous bien compris ou faut-il que l’on vous prive d’un repas sur deux pour que vous réagissiez ?
Les organisateurs des “meetings Macron”, qui semblent disposer de ressources financières illimitées, ont recours à toutes les dernières techniques manipulatoires pour en donner l’image d’un prétendu “succès”.
Or, comme le décortique cette vidéo, l’ambiance de ces réunions publiques (d’ailleurs rares : une toutes les trois semaines en moyenne) y est complètement fausse et préfabriquée.
On y voit que le public se scinde en deux :
– d’une part, le grand public – venu sous l’effet d’une promotion médiatique colossale – qui semble se demander ce qu’il est venu faire là, et qui reste très majoritairement dubitatif, sceptique et indifférent face au discours grandiloquent, ridicule et creux de Macron.
– d’autre part, quelques dizaines de “fans” et de “helpers”, auxquels sont distribués drapeaux, T-shirts, et surtout des instructions en direct par smartphones, afin de “chauffer” artificiellement la salle.
Les instructions, qui sont envoyées minute après minute par les organisateurs, indiquent à ces quelques dizaines de figurants les moments où ils doivent applaudir, hurler tel ou tel slogan, agiter les drapeaux, etc.
Pour parachever la manipulation, les caméras de télévision s’attardent sur cette seule partie du “public”, en faisant croire qu’il s’agirait de la réaction générale de toute la salle !
Enfin, en “remerciement” de leur rôle de figurants, les “fans” et les “helpers” sont ensuite invités gratuitement à passer une soirée dans une boîte de nuit…
Cette vidéo a aussi le mérite d’écrire noir sur blanc plusieurs passages du texte des discours de Macron.
Ces discours constituent eux aussi des modèles de manipulation répugnante : jouant sur le sentimental et l’affectif, les phrases que Macron débite ne sont qu’un alignement de slogans, totalement vides du moindre raisonnement et du moindre programme construit. Il s’agit de la démagogie la plus vile.
On notera au passage que Macron n’est pas seulement la marionnette des milliardaires, mais que c’est aussi un personnage falot, acteur maladroit et très mauvais orateur.
La politique n’est pas ma tasse de thé mais l’UPR qui a su par la voie de son président fondateur : François Asselineau que j’ai d’ailleurs eu le plaisir de rencontrer à Genève dans le cadre de l’une de ses nombreuses conférences, m’ouvrir les yeux sur bien des aspects de notre société ; ce qui m’a permis il y a déjà de nombreuses années, de m’affranchir de la sinistrose ambiante et de me détacher du troupeau des moutons de Panurge.
Au départ (1992), séduit comme une multitude d’européens, l’Europe était pour moi une nouvelle vision du monde, une ouverture sur le partage et l’amitié des peuples. J’ai bien vite déchanté et si l’on compare ce qui nous était promis à l’époque à ce qui est aujourd’hui la réalité, il n’y a pas photo.
Concernant le Brexit, le spectre d’un nouveau référendum se pointe de plus en plus mais pour moi il n’y a pas de doute possible, il s’agit une fois de plus de faire revoter un peuple en agrémentant la campagne des européistes par des menaces apocalyptiques.
L’Europe que nous présentent les médias n’est qu’un artifice fait de paillettes, de fausses promesses et de mensonges éhontés ce qui jusqu’ici, il faut bien le reconnaitre, étaient assez convaincants ; mais les esprits se réveillent et l’insurrection gronde. Le système s’en rend compte et tel un animal aux abois, il joue ses dernières cartes pour résister.
Le leader de Debout la France a accusé les journalistes de l’émission de France 5 et notamment Patrick Cohen de « cirer les pompes du pouvoir » et de « cracher à la figure des opposants ».
« C’est pas le service public qui vous paie pour cracher à la figure des opposants ? » Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a accusé l’équipe de « C à vous » de « partialité », mercredi 6 mars, pendant le direct de l’émission de France 5. Refusant de présenter des excuses, le candidat aux élections européennes a été prié de quitter le plateau, ce qu’il a fini par faire.L’ancien candidat à la présidentielle a concentré la plupart de ses critiques sur le journaliste Patrick Cohen, qu’il a qualifié de « serviteur du pouvoir ». « C’est un macroniste, il est sur le service public et il passe sa vie à cirer les pompes de Macron, a-t-il lancé. C’est un cireur de pompes du pouvoir, il est payé pour ça. » Patrick Cohen l’a, en retour, accusé de « diffamation » et a failli quitter le plateau.
Agnès Saal, haut fonctionnaire, jugée puis condamnée en 2015 pour détournement de fonds public avec 3 mois de prison avec sursis, 4’500 € d’amende, 3’000 € de dommages-intérêts ainsi que 6 mois de suspension.
Elle a été ensuite réintégrée puis promue. D’une part, on la nomme haut fonctionnaire de plus, on la nomme rétroactivement pour avoir une promotion financière qui élève son salaire à plus de 6’000 €, cela lui permettant de bénéficier d’une retraite plus élevée.
Cela démontre l’environnement d’Emmanuel Macron dans lequel de nombreuses personnes sont inquiétées puis ni vu, ni connu reviennent au pouvoir sur la pointe des pieds. C’est ce que l’on appelle la politique de l’ancien monde, celle des copains et des coquins.
Signature ce lundi d’un accord commercial entre la Suisse et le Royaume-Uni
Le ministre de l’économie Guy Parmelin et le ministre anglais du commerce extérieur, Liam Fox, ont signé lundi à Berne un accord bilatéral sur le commerce. La Suisse et la Grande-Bretagne règlent ainsi leurs relations pour l’après-Brexit.
Cet accord, qui entrera en vigueur dès que le Royaume-Uni sera sorti de l’Union européenne, permettra de garantir le respect des « droits et obligations économiques et commerciaux » résultant des accords conclus entre la Suisse et l’UE.
Il réplique la grande majorité des accords commerciaux régissant actuellement les relations entre la Suisse et le Royaume-Uni: l’accord de libre-échange de 1972, l’accord sur les marchés publics, l’accord sur la lutte contre la fraude, une partie de l’accord sur la reconnaissance mutuelle en matière d’évaluation de la conformité et l’accord agricole de 1999.
Entrée en vigueur variable
Ces accords entreront en vigueur dès que les accords Suisse-UE cesseront d’être applicables aux relations avec le Royaume-Uni. Ils seront appliqués dès le 30 mars 2019 en cas de sortie « non ordonnée ». Le Royaume-Uni serait alors considéré comme un Etat tiers, notamment en ce qui concerne la sécurité douanière.
Si une phase de transition entre en vigueur le 30 mars, les accords bilatéraux Suisse-UE continueront à s’appliquer jusqu’à la fin de la période de transition (2020). Les accords signés lundi serviront alors de base pour les relations futures.
Le Conseil fédéral a déjà signé plusieurs accords, sur le transport routier, aérien et sur les assurances, afin de garantir au mieux les droits et les obligations réciproques.
Partenaire important
Guy Parmelin a rappelé que le Royaume-Uni était le sixième marché d’exportation pour les marchandises suisses; il représentait 11,4 milliards de francs en 2017. Il est également le huitième partenaire pour les importations (6 milliards de francs).
Le ministre britannique du Commerce, Liam Fox, s’est félicité de cette avancée, après avoir dit le mois dernier espérer la conclusion d’une quarantaine d’accords du genre avec des pays tiers d’ici au Brexit.
Accord étendu au Liechtenstein
« Cela va aider non seulement à soutenir les emplois au Royaume-Uni mais servira également de base solide pour renforcer plus encore la relation commerciale avec la Suisse alors que nous quittons l’UE », a-t-il dit dans un communiqué.
La ministre liechtensteinoise des Affaires étrangères, Aurelia Frick, était également présente lors de la cérémonie de signature. L’accord entre la Suisse et la Grande-Bretagne s’étend au Liechtenstein grâce à l’accord douanier avec la Suisse.
Décidément, rien ne va plus au sein du gouvernement français. D’affaire en affaire, de révélation en révélation et avec une cote en chute libre, le gouvernement « la France en marche » est mis à mal. De nouveaux enregistrements dévoilent le mépris d’un roi envers ses sujets en les traitant de débiles.
L’Assemblée nationale française a donné mercredi soir son feu vert à deux mesures-clé de la future loi « anti-casseurs » – le délit de dissimulation de visage et la possibilité d’interdire de manifester – des propositions âprement contestées.
Les députés ont poursuivi l’examen de la loi « anti-casseurs » jusque tard dans la nuit de mercredi à jeudi. Ce texte est demandé par le gouvernement français à la suite des manifestations violentes de ces dernières semaines.
Les députés ont notamment validé deux dispositions qui font débat: un délit de dissimulation du visage dans les manifestations, assorti d’une peine d’un an de prison et de 15’000 euros d’amende. Les préfets pourront également prononcer des interdictions de manifester contre des individus représentant « une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public », sous peine de six mois d’emprisonnement et 7500 euros d’amende en cas d’infraction.
Débats tendus
Ces deux dispositions passent très mal du côté de la gauche et ont donné lieu à des débats tendus, qui soulignent l’électricité dans le pays autour de la question de la violence commise par les uns et les autres. A gauche, on estime que ce texte anti-casseurs est contraire au droit de manifester. Les porte-parole d’En Marche, eux, martèlent que cette loi permettra au contraire à ceux qui veulent manifester pacifiquement de pouvoir le faire.
A noter que le texte doit encore passer devant le Sénat et revenir devant l’Assemblée avant d’être formellement adopté.