Crise diplomatique entre la Russie, l’occident et les Etats-unis, la tension monte d’un cran : La Russie ferme le consulat américain de Saint-Pétersbourg et expulse 60 diplomates

« Selon Rt, Russia Truth »

Moscou a annoncé ce 29 mars l’expulsion de 60 diplomates américains ainsi que la fermeture de la représentation consulaire américaine de Saint-Pétersbourg, soit le même nombre que les membres du corps diplomatique sommés de quitter les Etats-Unis.

S’exprimant lors d’une conférence de presse commune à Moscou ce 29 mars avec Staffan de Mistura,envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé l’expulsion de 60 diplomates américains de Russie. Le nombre est le même que celui des diplomates russes expulsés des Etats-Unis dans le cadre de l’affaire Skripal.

Source : RT

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Crise en Syrie : Quels sont les points communs entre la Syrie, l’Iran et la Russie ?

Crise en Syrie : Quels sont les points communs entre la Syrie, l’Iran et la Russie ?

Ce sont des pays amis qui convergent vers des intérêts communs ce qui ne fait pas le jeu de l’occident et de l’empire américain. Cela vous étonne ?

Voici une interview exclusive du président Bachar-el-Assad réalisée par la chaîne Youtube RT en français.

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Ignominie : Des singes forcés d’inhaler des gaz d’échappement : Volkswagen présente ses excuses pour son test

Lors d’un test visant à prouver la non-nocivité des gaz d’échappement d’un de ses modèles diesel, Volkswagen a exposé des singes aux émanations, selon des révélations du New York Times. Le géant automobile a présenté ses excuses.

Suite du scandale : Volkswagen aurait aussi conduit des tests sur des humains, le gouvernement allemand condamne

Dans un article publié le 25 janvier 2018, des journalistes du New York Times ont révélé que des macaques avaient été contraints d’inhaler des gaz d’échappement d’une Volkswagen Coccinelle diesel dans une pièce hermétique, dans le cadre d’une expérience financée par le géant de l’automobile allemand en 2014. Accroupis devant des dessins animés censés les distraire, les singes ont servi de cobayes dans un laboratoire américain. L’objectif de Volkswagen était de prouver que les véhicules diesel disposant des dernières technologies étaient beaucoup plus propres que les anciens modèles.

Cerise sur le gâteau, selon le New York Times : la voiture soumise au test avait été modifiée afin de masquer leur niveau réel de pollution.

Face à ces révélations, la compagnie a réagi via un communiqué cité par l’agence Bloomberg le 28 janvier : «Nous estimons que cette méthode scientifique était une erreur et nous présentons nos excuses pour celle-ci».

Fin 2015, le groupe Volkswagen avait reconnu avoir équipé au cours des années précédentes 11 millions de ses voitures diesel, dont environ 600 000 aux Etats-Unis, d’un logiciel faussant le résultat des tests anti-pollution et dissimulant des émissions dépassant jusqu’à 40 fois les normes autorisées : le fameux «dieselgate». Le département américain de la Justice ainsi que l’agence de l’Environnement américaine avaient par conséquent réclamé au constructeur allemand un dédommagement d’un montant de 20 milliards de dollars. En réponse, la direction du groupe avait présenté ses excuses et indemnisé les propriétaires des véhicules concernés par cette fraude.

Source : RT

Forcer des singes à inhaler des gaz d’échappements pendant des heures, c’est une expérience réalisée par l’entreprise Volkswagen pour tester une voiture diesel.

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Médias : «Osez questionner» : RT France s’apprête à prendre l’antenne

Accueillie avec méfiance et curiosité, la chaîne RT France va bientôt commencer à émettre. Avec pour ambition d’apporter à la France et au monde francophone des perspectives différentes, accessibles à tous.

Les locaux flambant neufs de Boulogne-Billancourt sont prêts et la chaîne tourne déjà à blanc. Reste à prendre l’antenne, pour le média russe à la «réputation sulfureuse», d’après le journal Le Monde. De premières images des nouveaux studios et des locaux avaient déjà été diffusées à la mi-novembre sur les réseaux sociaux par Margarita Simonian, rédactrice en chef monde de RT.

L’économiste Jacques Sapir animera ainsi chaque semaine un débat, Le Lab éco, face au journaliste Jean-Marc Sylvestre, ancien de TF1, LCI et iTélé, et qui travaille actuellement pour le site Atlantico et BFM Business. Parmi les figures qui porteront la chaîne, on compte également la journaliste Stéphanie de Muru, ex-présentatrice de BFM TV.

L’arrivée de la chaîne dans le paysage audiovisuel français n’a en effet pas laissé les médias historiques indifférents, alors que la France, mais aussi plus largement les francophones cherchent des voix alternatives, accessibles à tous. RT France se donne pour mission de couvrir tout à la fois les actualités locales, régionales, nationales et internationales, avec pour mot d’ordre : «Osez questionner».

RT vous parle

Source : RT France

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Espagne : Madrid veut destituer le gouvernement catalan au bord de la sécession

Le gouvernement espagnol a annoncé samedi la destitution de l’exécutif catalan de Carles Puigdemont et la convocation d’élections régionales dans les six mois, afin de reprendre le contrôle de la Catalogne au bord de la sécession.

Invoquant l’article 155 de la Constitution, jamais encore utilisé, Mariano Rajoy a demandé au Sénat de lui confier la faculté de dissoudre le parlement catalan, afin de « convoquer des élections dans un délai maximum de six mois ».

>> Lire aussi: L’article 155, l’arme de Madrid en cas de déclaration d’indépendance catalane

Le chef du gouvernement demande aussi que l’exécutif catalan présidé par Carles Puigdemont soit démis de ses fonctions, qui seront exercées « en principe par les ministères (nationaux) aussi longtemps que durera cette situation exceptionnelle ».

Une première depuis la fin de la dictature

Ces mesures doivent être approuvées fin octobre au Sénat, où le parti du Premier ministre est majoritaire. Il s’est notamment assuré de l’appui du parti socialiste (PSOE), principale force d’opposition, et des centristes de Ciudadanos.

Mariano Rajoy dit avoir été contraint par les indépendantistes catalans de prendre cette décision afin de rétablir la légalité et d’empêcher la sécession de la région. « Un gouvernement démocratique ne peut tolérer que la loi soit violée », a-t-il déclaré.

« Ni l’autonomie catalane ni la gouvernance autonome ne sont suspendues », a-t-il ajouté, pour tenter de rassurer des Catalans très attachés à leur autonomie récupérée après la fin de la dictature de Francisco Franco en 1975.

Source :

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Catalogne et Kosovo : la Serbie dénonce «l’hypocrisie» et le «deux poids deux mesures» de l’UE

Drapeaux catalan et européen lors d’un meeting d’indépendantistes catalans    

Le président serbe Aleksandar Vucic a critiqué la position de l’UE sur le référendum catalan jugé «illégal», rappelant que Bruxelles avait reconnu la déclaration d’indépendance du Kosovo en 2008, alors qu’elle n’avait pas fait l’objet d’un vote.

Le référendum sur l’indépendance de la Catalogne organisé le 1er octobre a suscité de nombreuses réactions à travers le monde. Certains ont soutenu la démarche des indépendantistes, d’autres, comme la Russie, ont préféré ne pas prendre parti. Certains, enfin, ont condamné un scrutin jugé illégal, à l’instar de l’Union européenne. Lors d’une conférence de presse donnée le 2 octobre, le président serbe Aleksandar Vucic a dénoncé une incohérence dans la position adoptée par Bruxelles.

«La question que chaque citoyen serbe se pose aujourd’hui en regardant l’Union européenne est la suivante : comment se fait-il que, dans le cas de la Catalogne, le référendum d’indépendance ne soit pas valide, mais qu’à ses yeux la sécession du Kosovo, pourtant organisée sans référendum, le soit ?», s’est-il interrogé, comme le rapporte la chaîne de télévision serbe B92.

En effet, la Commission européenne s’est alignée sur la position du gouvernement espagnol, considérant que le référendum catalan était illégal, car non-constitutionnel. Ce refus européen d’entendre les revendications d’indépendances catalanes n’a pas échappé à Belgrade. Dans le cas de l’indépendance du Kosovo proclamée en 2008, l‘Union européenne avait appuyé les démarches de sécession de l’ancienne province autonome serbe.

Le contraste, selon Aleksandar Vucic, est d’autant plus flagrant que l’Union européenne a affirmé que la répression violente par la police espagnole le jour du référendum relevait d’une «affaire interne» dans laquelle elle ne voulait pas faire ingérence. Or, dans le cas du Kosovo, Bruxelles avait rapidement pris position, jusqu’à adopter une résolution demandant aux Etats européens de reconnaître le Kosovo indépendant. «C’est le meilleur exemple du deux poids deux mesures et de l’hypocrisie dans le domaine de la politique internationale», a martelé Aleksandar Vucic.

Le Kosovo : un précédent majeur dans les relations internationales

Le Kosovo, province serbe majoritairement peuplée d’Albanais, a déclaré son indépendance en 2008 après une longue et meurtrière guerre débutée fin 1998. Au cours du conflit, les Etats-Unis et l’OTAN étaient intervenus sans mandat de l’ONU à l’appel des rebelles albanais qui luttaient pour l’indépendance contre le gouvernement yougoslave de Belgrade, attaché à l’unité du pays. Si une grande partie de la minorité serbe du Kosovo a fui le pays par peur des représailles des milices albanaises, un certain nombre demeurent toujours dans le nord du pays.

La question du Kosovo constitue depuis près de dix ans un précédent en matière de politique internationale, auquel sont particulièrement sensibles les pays où des mouvements séparatistes agissent. Ainsi, le pays n’est par exemple pas reconnu par la Grèce, la Tunisie, la Roumanie… ou l’Espagne, qui a préféré faire le choix de la cohérence plutôt que de se plier à la résolution européenne de 2010.

C’est également la position adoptée depuis toujours par la Russie, notamment parce qu’elle révèle l’ambivalence de la position occidentale dans le dossier criméen. «Nos partenaires occidentaux ont créé le précédent du Kosovo de leurs propres mains», avait déclaré Vladimir Poutine devant le parlement russe en 2014. Il avait alors souligné que la situation au Kosovo et en Crimée était «exactement la même», mais que la diplomatie occidentale, dans sa grande majorité, avait choisi de traiter les deux cas de manière différente.

Source RT

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Le Blitzkrieg, stratégie guerrière allemande utilisée aujourd’hui par le gouvernement français contre son propre peuple

Le Blitzkrieg (signifiant en allemand « guerre éclair »), prononcé [blitskʁiɡ], est une stratégie offensive visant à emporter une victoire décisive par l’engagement localisé et limité dans le temps d’un puissant ensemble de forces mécanisées, terrestres et aériennes dans l’optique de frapper en profondeur la capacité militaire, économique ou politique de l’ennemi.

Cette stratégie est utilisée aujourd’hui par le gouvernement français et son ennemi n’est autre que son propre peuple.

 Malgré le soutien massif des médias, de l’establishment, du patronnat, des universitaires, le résultat d’Emmanuel Macron à l’élection n’est pas spectaculaire et une forte opposition se prépare, explique l’essayiste Jean Bricmont.

RT France : Comment voyez-vous le quinquennat d’Emmanuel Macron qui vient d’être élu à la présidence de la République ?

Jean Bricmont (J. B.) : La seule chose que l’on puisse commenter pour le moment, c’est la façon dont il a été élu. Il a été élu avec le soutien massif des médias dès le premier tour, et au deuxième tour, avec celui, quasi-intégral, de l’establishment, du patronnat, des intellectuels, des universitaires, etc. Les présidents des universités ont même envoyé des courriers aux étudiants en leur demandant de voter pour Emmanuel Macron ce qui donne une idée de la mobilisation pro-macronienne et de la violation des principes démocratiques. Les médias étaient tout à fait partisans. On a eu droit à un Blitzkrieg médiatique.

« Les souverainistes ont perdu une bataille mais ils n’ont pas perdu la guerre »

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Macron veut prolonger l’état d’urgence jusqu’en novembre et adopter une nouvelle loi sécuritaire

Le président de la République a fait savoir qu’il demanderait aux chambres de prolonger l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre. Emmanuel Macron a aussi déclarer vouloir une nouvelle loi pour renforcer «la sécurité face à la menace terroriste».

Emmanuel Macron demandera au Parlement la prolongation de l’état d’urgence, qui devait arriver à échéance le 15 juillet, jusqu’au 1er novembre.

«Le président de la République a décidé que le Parlement serait saisi d’une prolongation de l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre», a déclaré la présidence à l’issue d’un Conseil de défense, avant d’annoncer que «dans les prochaines semaines» un texte législatif pour renforcer «la sécurité face à la menace terroriste hors état d’urgence» sera étudié par les chambres.

«Pour concrétiser ses engagements», Emmanuel Macron a également «donné des instructions pour la mise en place du centre de coordination des services engagés dans la lutte contre le terrorisme, dont l’organisation sera arrêtée, sous son autorité, par le Conseil de défense et de sécurité d’ici au 7 juin», a poursuivi la présidence.

Toujours selon l’Elysée, Emmanuel Macron a une nouvelle fois «souligné la solidarité qui unit la France et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme» après l’attentat qui a fait 22 morts dont des enfants, à la sortie d’un concert le 22 mai au soir à Manchester.

«Le Conseil a examiné les moyens d’apporter toute l’assistance possible à l’enquête menée par les autorités britanniques», a ajouté la présidence, précisant qu’Emmanuel Macron avait étudié les implications de cette nouvelle attaque terroriste sur les mesures de protection mises en œuvre pour assurer la sécurité des Français et contribuer à celle des partenaires de la France.

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Trump rompt l’accord TPP et se met «du côté des identités nationales et contre le mondialisme»

Fidèle à sa promesse, Donald Trump a rompu le TPP – et ce n’est apparemment que le début des changements radicaux dans la politique internationale. Bruno Gollnisch, député européen, s’en réjouit, persuadé que la France devrait suivre cet exemple.

RT France : Donald Trump a ordonné le retrait des Etats-Unis de l’accord de partenariat transpacifique (TPP) signé par Barack Obama. Selon vous, quelles seront les conséquences politiques et économiques de cette décision ?

Bruno Gollnisch (B. G.) : Cela montre que Donald Trump ne croit pas aux vertus du libre-échange à l’échelle mondiale. Les relations commerciales entre les nations sont une bonne chose, mais il doit y avoir, selon des intérêts nationaux, des mécanismes correcteurs qui s’appelaient autrefois les droits de douane. Ils permettent de compenser, par exemple, le dumping social que pratiquent un certain nombre de pays avec de très bas salaires et en privant des salariés de toute protection sociale, d’assurance maladie ou pension de retraite.

Je crois que Donald Trump envoie un signal très fort, comme celui qu’il avait envoyé en prévenant Ford que si cette entreprise restait localisée au Mexique, les voitures fabriquées au Mexique et réimportées aux Etats-Unis payeraient des droits de douane élevés. Monsieur Fields a immédiatement annoncé sa délocalisation. Je souhaiterais que ce soit la même politique que la France adopte, ce n’est pas une politique déraisonnable. Ce qui est à mon avis déraisonnable, c’est défendre au monde entier le libre-échange, des marchandises, des personnes et des capitaux, parce que cela a des effets destructeurs sur les prospérités, sur les niveaux de vie, sur les identités des peuples. Je crois qu’on assiste à une lutte contre le mondialisme et les identités nationales. Donald Trump se situe indiscutablement du côté des identités nationales.

« Le TTIP est en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne »

RT France : Est-ce qu’on doit s’attendre à la fin d’autres traités de libre-échange comme le TTIP ?

B. G. : Je l’espère vivement. Ce traité était en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne, il ne présentait pas de garanties sur le plan sanitaire de la qualité des produits. J’aurais été de toute façon avec beaucoup de mes collègues l’adversaire de ce traité, mais nous sommes minoritaires. Je pense que Donald Trump va interrompre ce processus, ce sera une excellente chose.

RT France : A quelle réaction doit-on s’attendre de la part de la communauté internationale, notamment des pays censés faire partie du TPP ?

B. G. : Sans doute des réactions très défavorables, des hurlements, des protestations. Mais le TTIP, par exemple, était à l’étape des négociations. Par conséquent, en droit international, il n’a aucune valeur obligatoire, car il n’a même pas été ratifié, pas signé. Il n’est obligatoire qu’à compter du moment où il est ratifié, et même à compter du moment où les ratifications ont été échangées entre les signataires.

« Des intérêts des mondialistes sont extrêmement puissants »

RT France : Pourquoi y aurait-il une réaction défavorable à la dénonciation d’un traité qui n’est même pas entré en vigueur ?

B. G. : Ce sont des intérêts des mondialistes qui sont extrêmement puissants sur le plan d’un certain nombre de financiers qui contrôlent une grande partie des médias, et qui, par conséquent, s’en servent pour influencer l’opinion publique.

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Quand l’AFP se fait corriger par sa consœur suisse après avoir diffusé des «fake news» sur la Russie

Le site d’information suisse Romandie.com a interpellé l’AFP pour son manque de professionnalisme dans une nouvelle affaire de fausse information anti Russe

Cela aurait pu être un nouvel épisode de la saga des hackers russes, mais l’information reprise du Washington Post par l’AFP a été démentie. L’AFP a tenté de rectifier, mais trop tard : l’agence Romandie a entre temps recadré sa consœur française.

L’agence de presse suisse Romandie s’est permise de donner une petite leçon de professionnalisme à l’AFP, sa consœur française, en l’interpellant sur Twitter, dénonçant la diffusion par celle-ci d’une «fake news» concernant la Russie, et la priant de cesser la diffusion d’informations erronées.

«Des hackers russes ont piraté un fournisseur d’électricité américain». Tel était le titre de la dépêche en question, publiée le 31 décembre à 20h26 précisément. Derrière l’intitulé choc, le contenu se fondait en réalité sur un article du Washington Post affirmant que la compagnie d’électricité Burlington Electric avait été victime d’un piratage de la part de hackers russes. De quoi faire paniquer l’Amérique entière !

Hélas, il s’est rapidement avéré que l’article du Washington Post avait quelque peu dramatisé la situation… Ayant reçu, comme tous les opérateurs fédéraux, une note du Département de la sécurité intérieure des Etats-Unis concernant un malware identifié peu de temps auparavant, la Burlington Electric a effectué une vérification de ses ordinateurs : elle a finalement retrouvé la trace du logiciel espion sur un seul ordinateur portable, «qui n’était pas connecté au réseau», précise la compagnie.

Si la rédaction du journal a publié un rectificatif un peu plus tard, précisant qu’il n’y avait «aucune preuve» d’un piratage, la nouvelle a eu le temps de parvenir jusqu’à l’agence de presse française AFP qui s’est empressée de la relayer, reprenant presque le même titre, sans vérifier l’information. En se rendant compte de son erreur, l’agence de presse a ensuite rectifié l’information, sans toutefois s’excuser.

@romandie Bjr, nous avions repris cette information du Washington Post qui a depuis fait machine arrière. Nous avions déjà rectifié hier.

Ces derniers mois, les fausses informations concernant la Russie se sont multipliées dans plusieurs rédactions traditionnellement réputées pour leur fiabilité et leur professionnalisme. La veille, CNN avait affirmé que Vladimir Poutine avait demandé la fermeture de l’école américaine de Moscou.

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