Scandale sanitaire : Suite aux décès de 14 enfants après avoir reçu un vaccin contre la dengue, les Philippines attaquent le laboratoire Français Sanofi

C’est l’hallali pour Dengvaxia, le vaccin contre la dengue de Sanofi. Lundi 5 février, les autorités judiciaires philippines ont engagé des poursuites contre le laboratoire pharmaceutique français pour réclamer une compensation financière de quelque 4,2 millions de pesos, soit 65 300 euros, pour les parents d’une fillette de 10 ans, décédée après avoir reçu une dose de Dengvaxia.

L’Etat philippin, qui soupçonne que 14 décès soient liés à la prise du vaccin, a également demandé au groupe français de rembourser l’intégralité du coût, de quelque 60 millions d’euros, du programme de vaccination contre la dengue lancé en 2015 auprès de 870 000 enfants.

Dans un communiqué, Sanofi a fermement rejeté les accusations des autorités philippines, rappelant que l’hôpital général des Philippines avait assuré qu’il n’y avait « aucune preuve liant directement la prise du Dengvaxia à la mort de 14 personnes. En dix ans d’essais cliniques, et près d’un million de doses injectées, aucune mort liée au vaccin n’a été observée. Au contraire, l’administration du vaccin a réduit les risques liés à la prévalence de la dengue dans le pays. » Chaque année, entre 500 et 1 000 Philippins meurent à la suite de l’infection de la dengue.

Rappel des faits et suite à l’ article publié le 18 janvier 2018 sur ce site :

Santé publique : Un vaccin injecté à 730 000 enfants pourrait amplifier les effets d’une maladie mortelle.

730’000 enfants ont reçu un vaccin qui risque d’amplifier la maladie mortelle qu’il est censé prévenir. Une étude provoque de graves inquiétudes à propos du vaccin contre la dengue aux philippines.« LONG Philippine Volunteers Against Crime and Corruption » affirme avoir été informée de la mort de 3 enfants ayant reçu le vaccin.

Selon la firme pharmaceutique Sanofi, aucun décès n’a été recensé après injection de son vaccin. Elle reconnait cependant que son vaccin expose les patients qui n’ont jamais contracté la dengue à un risque d’aggravation des symptômes.

La dengue est une des causes principales de maladie est de mortalité infantiles en Asie et en Amérique latine. Les enfants ne seront peut-être pas les seules victimes.

Dans un climat de méfiance et d’inquiétude, ce fiasco risque de menacer les efforts de vaccination dans le monde entier.

Sanofi va rembourser toutes les doses de vaccins contre la dengue non utilisés aux Philippines, le géant Français pharmaceutique dit vouloir rétablir la confiance avec Manille, la capitale, alors que les autorités sanitaires de ce pays ont suspendu leur campagne de vaccination.

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Le saviez-vous ? Scandale sanitaire à l’échelle planétaire chez Merck

Lors du rassemblement en faveur de la liberté vaccinale le 9 Septembre 2017 à Paris, nous avons rencontré Brandy Vaughan, anciennement cadre de haut niveau chez Merck, l’un des plus puissants groupes pharmaceutiques de la planète et elle l’a quitté après avoir compris que le Vioxx, médicament qu’elle a participé à commercialiser avait finalement et indirectement causé la mort de plusieurs milliers de patients à travers le monde pendant que cette firme tentait par tous les moyens d’en dissimuler la cause pour prolonger la durée de commercialisation de cette molécule.

Voir aussi :

Levothyrox : « Les laboratoires savaient que 3% à 5% des malades allaient déclencher des effets indésirables forts »

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L’OMS préparerait la population à une pandémie mondiale

L’OMS tire la sonnette d’alarme, la « maladie x » pourrait déboucher sur une pandémie

Cette pathologie n’a pas encore de nom, mais elle fait déjà beaucoup parler d’elle. Il y a quelques semaines, l’OMS a intégré « X » dans la liste des maladies qui représentent un danger pour la population mondiale. C’était lors d’une conférence au sommet des meilleurs scientifiques de l’organisation que la nouvelle a été divulguée au grand public. Néanmoins, l’agent pathogène qui en est à l’origine n’a pas encore été identifié.

Les scientifiques pensent qu’il pourrait s’agir d’un virus issu d’un laboratoire ou encore un pathogène viral qui a évolué d’un corps animal à celui de l’homme. Quoi qu’il en soit, l’institution a décidé d’ajouter « la maladie X » à la liste des maladies les plus préoccupantes pour la santé mondiale.

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Alimentation & Santé : OGM, la preuve est faite des dangers qu’ils représentent pour la santé

Alors qu’une étude scientifique indépendante démontrait pour la première fois que la consommation d’aliments génétiquement modifiés représentaient un danger pour l’organisme, aujourd’hui la production ne fait qu’augmenter.

Des expériences faites durant deux ans par le CRIIGEN sur des rats de laboratoires qui avaient été nourris avec un maïs OGM, le NK603 ont démontré sur les sujets concernés le développement de tumeurs qui pouvaient atteindre jusqu’à 25% de leur poids.

Lors de ces testes, un groupe témoins avait été mis en place, nourri avec du maïs classique puis 3 autre groupes :

  • Un premier groupe nourri avec du maïs OGM.
  • Un second groupe nourri avec du maïs OGM souvent cultivé  avec des herbicides.
  • Et un troisième groupe nourri avec un maïs classique mais contenant des traces de Roundup.

Ces trois groupes sans exception vont être frappés de tumeurs ainsi que de pathologies lourdes.

Alors que les testes réglementaires sont fixés à trois mois pour les géants de l’agroalimentaire les premiers troubles surviennent à partir du quatrième mois.

A l’époque de ces révélations le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll avait saisit l’agence nationale de sécurité sanitaire et demandait que soient revus tous les protocoles d’homologation en France mais aussi en Europe.

Cela n’a servi à rien puisque  l’on sait que le Glyphosate vient tout juste de signer pour un nouveau cinquena en Europe.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

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Pharmacom : L’industrie du mensonge

Lors de cet interview de Philippe Even, Président de l’institut Necker, aux questions qui lui sont posées, ses réponses détonent comme des révélations choc.

Les sujets traités :

  • Face au manque d’innovation, quelle est la stratégie des laboratoires pharmaceutiques ?
  • Quelle est la proportion de médicaments « inutiles » aujourd’hui en France ?
  • Pourquoi est-il urgent de faire le ménage sur le marché ?

A défaut de trouver de nouvelles molécules, l’industrie pharmaceutique invente de nouvelles maladies et cela fait 30 ans que ça dure.

Cette vidéo est à voir et à partager sans modération.

Merci à mon contact B-L-F pour le partage.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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Santé publique : Lactalis aurait poussé un laboratoire à lui fournir des résultats positifs

D’après les révélations d’Europe 1 lundi 19 février, l’entreprise agro-alimentaire au cœur d’un scandale sanitaire aurait multiplié pendant des années les pressions sur le laboratoire chargé de détecter les allergènes dans ses produits.

Voilà peut-être un nouvel élément d’explication au scandale sanitaire qui touche Lactalis, géant de l’agro-alimentaire qui a commercialisé du lait infantile contaminé aux salmonelles. Europe 1 révèle ce lundi 19 février que durant des années, l’entreprise aurait exercé de fortes pressions sur le laboratoire nantais chargé de contrôler la conformité de ses produits aux normes anti-allergies. Un ancien salarié de l’officine scientifique confie même que les membres du labo se disaient « souvent entre [eux] qu’un jour, un scandale sanitaire allait arriver« .

Le labo avait pour tâche de détecter les allergènes (gluten, fruits à coque, œufs) contenus dans les produits de Lactalis. Et le mécanisme décrit par Europe 1 est aussi simple que choquant : Lactalis était un « très gros client » du laboratoire basé en Loire-Atlantique, le contrat liant les deux parties se chiffrant à « plusieurs millions d’euros« . Les analyses scientifiques rendues se devaient donc d’être « satisfaisantes » pour le géant industriel, qui aurait été contraint de procéder à la destruction de plusieurs tonnes de produits en cas de résultats négatifs. Un employé glisse ainsi avoir eu « peur de Lactalis« .

Des échantillons « passés en boucle jusqu’à ce que le résultat nous intéresse »

Pour parvenir à ces résultats satisfaisants, un salarié raconte que « des échantillons spécifiques revenaient » et qu’ils étaient « passés en boucle jusqu’à ce que le résultat nous intéresse« . Les techniciens auraient ainsi été poussés à reproduire leurs analyses jusqu’à ce que celles-ci valent feu vert sanitaire pour le groupe agro-alimentaire. Un traitement de faveur qui aurait été réservé à Lactalis, sans aucune mesure avec celui
administré aux « clients lambda« .

Or, d’après des membres du laboratoire, la multiplication des tests sur un même produit leur enlève tout intérêt scientifique. « Plus vous re-testez le même échantillon, plus on peut passer d’une barrière à une autre. C’est ce petit jeu qui permet de passer sous la barre, alors qu’on était au-dessus« , confie-t-il à Europe 1. Au point qu’un ancien employé déclare même avoir carrément demandé à Lactalis s’ils « voulaient un test négatif » : « On ne met rien dans l’échantillon, on l’analyse, et comme ça, il sera négatif« .

Depuis un an et demi, les tests de Lactalis ont été transférés dans un autre laboratoire du même groupe, situé en Italie, pour des « raisons de coûts et de stratégie« . Pas très rassurant.

Vidéo : Fin de l’émission Cash Investigation où un responsable de la multinationale Lactalis répondait aux questions d’Élise Lucet.

Source de la vidéo : Cash Investigation

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Agriculture & Santé publique : L’union européenne va assouplir les exigences pour l’obtention du label Bio

Nous ne fonçons plus dans le mur, nous avons le dos au mur !

On se souviendra de l’épisode ou suite à un mélange d’huile de vidange dans les vinaigrettes et les huiles comestibles en 2007, l’UE r’ehaussa l’acceptance des huiles d’hydrocarbure à raison de 10% dans les produits alimentaires.

Et si on en remettait une couche ?

Le conseil européen agricole c’est penché sur de nouvelles mesures assouplissant les normes de qualité dans l’agriculture Bio.  Des pesticides dans les produits Bio européens est un projet qui a été lancé en 2014 par les ministres concernés et pourrait bouleverser en profondeur ce mode d’agriculture. Le texte présenté aux 28 ministres de l’UE doit définir les modes de production, de transformation, de conservation et de commercialisation dans toute l’Europe, un texte qui pourrait mettre fin à l’avenir du Bio en France dans sa forme actuelle et dont le marché connait une croissance exponentielle.

Ce nouveau projet de règlement prévoit notamment que les productions qui sont contaminées par des pesticides ne seront plus forcément déclassés du label Bio. Pour un marché qui a obtenu 22% de plus en 2016  les société de l’agrochimie qui ont certainement joué un rôle primordial dans cette étude se réjouisses d’ores et déjà de cette nouvelle manne qui s’offre à eux.

Vidéo :

  • Manque de volonté des politiques face aux lobbies avec nos enfants qui ingurgitent au quotidien près de 128 résidus chimiques dont 36 pesticides et personne ne fait rien bien au contraire. Les perturbateurs endocriniens sont notamment montrés du doigt dans cette partie de la vidéo.
  • Natacha Polony nous parle des bananes qui viennent d’Équateur ou de République Dominicaine qui ont interdiction d’utiliser certains pesticides dangereux pour la santé. Quand vous achetez une banane bio qui vient de ces régions, ces fruits ont été cultivés avec 14 pesticides qui sont interdits pour les bananes conventionnelles en France. L’Europe accepte tout de même l’appellation Bio en raison du principe d’équivalence.
  • Coup de gueule de la part d’un grand cuisinier : « Des salopards de lobbyistes se sont emparés de la planète.
  • Le conseil européen agricole c’est penché sur de nouvelles mesures assouplissant les normes de qualité dans l’agriculture Bio.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Sources :

IZAP4U

Libre Actu

Polony TV

TV Libertés

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Vaccins : M. Macron, nos bébés ne sont pas des cobayes !

« Je suis mère de famille et j’ai vacciné mes deux premiers enfants sans difficulté.
Mais la réforme des 11 nouveaux vaccins obligatoire est juste TERRIFIANTE !
Car voici ce qu’on vous cache : »

Madame Monsieur,

 

Je m’appelle Nathalie Beaufrère, j’ai 36 ans et suis enceinte d’une petite fille.

J’ai vacciné mes deux premiers bébés avec le DTPolio, sans me poser de question.

Mais aujourd’hui, je suis terrifiée pour mon enfant à naître.

Au 1er janvier 2018, le gouvernement a prévu d’obliger tous les bébés à se faire injecter 11 vaccins obligatoires.

Cela représente 31 doses de vaccins, entre la naissance et l’âge de 18 mois.

Dans ces 31 doses, 25 doses contiennent de l’aluminium, un métal toxique pour le cerveau.

Et dans ces 31 doses, il y a 3 doses d’hépatite B, une maladie sexuellement transmissible qui ne concerne pas les nourrissons.

Je n’ai rien contre la vaccination, mais cela m’a paru étrange, anormal.

Alors j’ai demandé à notre médecin de famille ce qu’il pensait de cette réforme.

Ce qu’il m’a répondu est tout simplement effrayant.

Il m’a dit, les yeux dans les yeux, qu’il s’attendait à des dégâts cent fois plus graves que ceux causés par le vaccin Rotavirus, qui avait causé des morts.

Vous vous en souvenez peut-être, c’était il y a seulement 5 ans.

Le Rotavirus est un vaccin contre la gastro-entérite du nourrisson. En 2013, il avait été inscrit sur la liste des vaccins officiellement recommandés par notre Haut Conseil à la Santé Publique.

Cela veut dire que tous les parents français étaient officiellement invités à donner le Rotavirus à leur bébé de moins de 6 mois.

Mais en 2015, le Haut conseil à la Santé Publique a fait brutalement marche arrière.

Entre-temps, les résultats d’une étude officielle étaient tombés :

Ce vaccin avait causé la mort d’au moins 2 nourrissons, en plus d’avoir causé de très graves effets secondaires chez des dizaines d’autres !

Tout cela pour éviter de simples « gastros », qui n’ont jamais tué un bébé !

D’après mon médecin, les nouveaux vaccins obligatoires sont comme le Rotavirus : pas assez testés, et très risqués pour nos nourrissons.

Aucun scientifique n’a étudié sérieusement l’impact de 31 injections sur des bébés qui n’ont même pas 1 an et demi.

Peut-être que le gouvernement reviendra en arrière dans quelques années, comme pour le Rotavirus.

Mais à ce moment-là, il sera trop tard. Des centaines de bébés seront peut-être morts ou handicapés à vie.

Et c’est pourquoi je vous demande d’agir avec moi pour demander au gouvernement de renoncer à ce projet dangereux d’obligation généralisée.

Nous devrions avoir le choix d’accepter ou de refuser ces nouveaux vaccins, c’est notre liberté de parent et de citoyen.

Si notre pays était menacé par des épidémies graves, je comprendrais qu’on puisse prendre le risque de tant de vaccins.

Mais ce n’est absolument pas le cas !

La dernière fois qu’on nous a annoncé une pandémie, c’était la grippe A H1N1.

Nos politiques avaient alors dépensé un demi-milliard d’euros de vaccins, pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques.

Alors qu’au final, cette grippe avait fait 5 fois moins de victimes que la banale « grippe saisonnière » !

Aujourd’hui, il n’y a pas la moindre menace d’épidémie.

Il n’y a même jamais eu aussi peu de victimes de la rougeole, de la coqueluche ou de la méningite !

Et pourtant, c’est précisément le moment choisi par nos politiques pour obliger tous les parents à injecter 11 vaccins à leur nourrisson !

Alors qu’à chaque nouveau vaccin, le risque d’accident grave augmente !

Plus vous injectez de vaccin, plus vous prenez le risque que votre bébé souffre d’une forte fièvre.

En juin 2015, un bébé de 7 mois est décédé de convulsions suite à une fièvre de plus de 40°C, apparue juste après l’injection d’un vaccin.

Avec 11 vaccins, ce genre de drame se produira de plus en plus souvent.

C’est écrit noir sur blanc sur la notice du Prevenar, un des futurs vaccins obligatoires :

« Lors de l’administration concomitante de PREVENAR et des vaccins hexavalents (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire, Haemophilus B, hépatite B) une fièvre supérieure à 38° a été rapportée chez 28,3% à 48,3% des nourrissons… »

Vous avez bien entendu : avec tous ces vaccins obligatoires, pas loin de la moitié de nos bébés vont risquer des fièvres angoissantes et dangereuses !

Et ce n’est pas tout.

Les vaccins peuvent aussi provoquer des réactions allergiques mortelles.

Prenez le vaccin contre la rougeole, cultivé sur œuf. Si votre bébé a le malheur d’être allergique à l’œuf, le vaccin peut déclencher une réaction gravissime, qui peut le tuer.

Une seconde avant le vaccin, votre enfant était en pleine santé. Quelques heures après, un médecin en blouse blanche vous annonce qu’il est mort.

C’est rare, mais cela arrive.

Et je n’accepte pas l’idée que cela puisse arriver à mon futur bébé.

Je suis prête à prendre quelques risques pour protéger mes enfants contre des terribles maladies comme le tétanos ou la polio.

Mais je ne comprends pas qu’on puisse jouer avec la vie de nos bébés pour des maladies comme la rougeole ou la rubéole.

Et je refuse catégoriquement qu’on risque la vie de nos enfants à cause de l’hépatite B !

L’hépatite B est une maladie d’adulte, sexuellement transmissible. Comme le SIDA, elle frappe les adultes qui ont des comportements à risque.

Pourquoi obliger à vacciner nos bébés, qui ne sont pas concernés ?

C’est incompréhensible, car le vaccin contre l’hépatite B est le plus risqué de tous les vaccins.

Tout récemment, un rapport officiel a établi qu’il avait causé la mort de plusieurs bébés chinois en pleine santé.

Pour nos autorités, 2 morts pour des millions de doses injectées, c’est « insignifiant ».

Mais pour une maladie comme l’hépatite B, que les nourrissons ne risquent absolument pas de contracter, c’est encore beaucoup trop !

C’est comme si vous jouiez à la roulette russe avec votre bébé.

Avez-vous vraiment envie de le faire, s’agissant de l’hépatite B ?

Trouvez-vous normal que l’Etat vous force à le faire, contre votre gré ?

Ne pensez-vous pas que vous avez le droit, en tant que parent, de choisir si, oui ou non, vous souhaitez vacciner votre enfant contre cette maladie d’adulte ?

Et le plus grave, c’est que ce vaccin contre l’hépatite B contient de l’aluminium, un métal toxique pour le cerveau, le foie et les reins.

Et ce n’est pas le seul nouveau vaccin obligatoire dans ce cas.

Avec la réforme, on s’apprête à injecter 25 doses contenant de l’aluminium à des bébés de moins de 18 mois !

Il faut savoir que chez les adultes, une seule dose d’aluminium vaccinal peut causer une maladie terrible, appelée myofasciite à macrophages.

Par exemple, le 22 juin dernier, le Tribunal administratif de Caen a accordé 1,2 millions d’euros à une ancienne infirmière pour la dédommager des dégâts de cette maladie, causée par un vaccin contenant de l’aluminium.

Du jour au lendemain, sa vie était devenue un enfer. Elle avait mal partout, elle avait à peine la force de sortir de son lit, et son cerveau ne fonctionnait plus.

Tous ces dégâts ont été causés par une seule dose d’aluminium vaccinal, chez un adulte.

Alors imaginez le risque qu’on fait courir à nos bébés en leur injectant 25 doses de vaccins contenant de l’aluminium !

C’est contraire au principe de précaution le plus élémentaire !

Pour l’industrie pharmaceutique, l’avantage de l’aluminium est qu’il permet de réduire son coût de fabrication et de gagner plus d’argent.

Mais cela ne justifie pas de mettre en danger la population !

Tout récemment, le journal Le Parisien a révélé que l’Agence du Médicament avait reconnu les dangers potentiels de l’aluminium dans un avis officiel daté du 8 mars 2017.

Mais cet avis avait été tenu secret, et il a fallu qu’un journaliste du Parisien mette la main dessus pour qu’il soit rendu public !

Il faut dire que l’information sur les vaccins est trop souvent manipulée.

Les médecins qui ont le malheur de critiquer l’aluminium vaccinal peuvent se retrouver radiés, du jour au lendemain, et se retrouver sans emploi ni le moindre revenu pour faire vivre leur famille.

C’est ce qui est arrivé au grand Professeur de médecine Henri Joyeux, qui a été radié de l’Ordre des médecins le 10 juillet 2016, simplement parce qu’il avait demandé aux autorités de remettre en circulation un vaccin DtPolio sans aluminium.

Voilà pourquoi vous n’entendez presque jamais de critiques de la vaccination dans les médias.

Voilà pourquoi les médecins n’osent pas dénoncer publiquement la réforme annoncée.

Et voilà pourquoi j’ai décidé de prendre mes responsabilités de mère de famille et d’enregistrer cette vidéo, pour rompre l’omerta et informer tous les parents et grands-parents de ce pays !

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Vaccins : Le business avant tout

Le business avant tout, voilà le monde dans lequel nous nous enfonçons chaque jour un peu plus.

La vidéo que je vous propose dans cet article est édifiante, elle n’a pas pour but de vous faire peur mais elle est là pour vous ouvrir les yeux sur une société monstrueuse qui n’a plus de limite tant qu’il y a de l’argent derrière.

L’être humain monétisera sa propre extinction

Vidéo :

Préconiser la désobéissance civique tant qu’on a pas la réponse à nos questions. Tous les vaccins destinés à l’humain sont bourrés de nanoparticules qui sont tellement toxiques que rien qu’en France, il y a 48’000 décès chaque année qui sont directement liés à cette problématique.

Les vaccins sont donc bourrés de ces nanoparticules et les autorités ne bougent pas (voir le projet de loi dit : Droit à l’erreur. ndlr.) Tout cela en plus de l’aluminium, en plus du mercure. Rien que pour le mercure, les doses sont 5’000 fois plus élevées que ce qui est autorisé dans l’eau et on ne fait rien, le business doit se faire, on ne doit pas toucher au chiffre d’affaire de la pharmacom qui est de 42 milliards rien que cette année.

La santé des enfants, on ne peut pas fermer les yeux sur les 8’000 cas d’autisme supplémentaires par an sans compter les différentes maladies qui y sont liées.

Nous nous retrouvons dans l’obscurantisme dont les lobbies veulent nous accuser alors que l’obscurantisme se trouve de l’autre côté.

Le reste dans la vidéo qui devrait être partagée sans modération.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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