Cette maladie tue en moyenne par année 500’000 personnes dont 90% en Afrique et contre laquelle il n’existe aucun de vaccin.
Un réalisateur belge, Bernard Crutzen, c’est penché sur le marché du traitement contre le Paludisme et en a tiré un documentaire intitulé : « Malaria Business » qui laisse entendre que le Paludisme pourrait être éradiqué en Afrique si les enjeux pour les firmes pharmaceutiques n’étaient pas aussi colossaux.
Le Paludisme en Afrique est avant tout une histoire de gros sous pour la pharmacom.
La plante Artemisia qui est originaire de Chine, qui est bon marché et qui pousse même en France connait une vive résistance en occident. Cette plante est reconnue pour ses pouvoirs fortifiants, elle est aussi un excellent stimulant digestif, antispasmodique, anti-inflammatoire, diurétique, antifongique mais aussi et surtout, elle est un puissant antibactérien. Il est à noter que les populations Africaines qui consomment cette plante sous forme d’infusion ne souffrent pas de la Malaria.
L’obsession des laboratoires est d’isoler les molécules bienfaitrices d’une plante et d’en faire un médicament pour pouvoir le commercialiser alors que la plante elle-même est tout aussi efficace si ce n’est plus que les médicaments eux-mêmes.
Les laboratoires se sont rendu compte que la tisane avait un meilleur résultat que les « ACT » (Artemisinin-based combination therapy, en français Thérapie combinée à base d’artémisinine) et les différentes firmes pharmaceutiques propriétaires des brevets menacent de couper leurs appuis si les bienfaits de cette plante continuent à être démontrés et reconnus.
Tout est dit !
C’est encore une fois l’appât du gain, les dividendes versés aux actionnaires, le pouvoir et le bien être de quelques-uns qui priment sur la vie de millions d’êtres humains et à moindre conséquences, sur le porte monnaie des occidentaux.
« ARRÊTEZ DE FAIRE VACCINER VOS ENFANTS CERTAIN NE S’EN SORTIRONS PAS INDEMNE »
C’est ce que dévoile le film « VAXXED » sur l’autisme.
Les vaccins provoquent de graves inflammations aux intestins et ensuite cela remonte au cerveau induisant l’autisme chez l’enfant.
Les laboratoires savent cela depuis 20 ans et ne le dévoilent pas publiquement.
Vaxxed, From Cover-Up to Catastrophe réalisé par Andrew Wakefield, révèle comment le risque associant le vaccin ROR à l’incidence d’autisme a été dissimulé par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’organisme scientifique le plus écouté de la planète. S’appuyant sur des preuves incontestables, fournies par les confessions du principal expert de l’étude, ce film dénonce l’un des plus grands scandales de l’histoire de la médecine.
Depuis sa projection aux USA, Vaxxed résonne et impulse un mouvement citoyen, révélant au grand jour une tragédie dont personne n’avait soupçonné l’ampleur…
À l’occasion de la tournée du film plus de 6000 témoignages ont été recueillis, dont 1000 ont été filmés : autisme, paralysie, narcolepsie, épilepsie… Tous les vaccins sont en cause et chaque jour de nouvelles voix s’en font l’écho.
Le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites)
Vaccination en France :
La polémique enfle toujours un peu plus et pour commencer, sur le caractère obligatoire de la vaccination qui prive les parents de leur libre arbitre sur le fait de faire vacciner ou non leurs enfants. Ensuite, sur les adjuvants et plus particulièrement l’aluminium dont des traces se retrouvent dans le cerveau.
Certaines théories qualifiées de complotistes prétendent que l’aluminium baisserait drastiquement le Q.I des individus, ce qui fabriquerait une génération d’hommes et de femmes incapables de se révolter en en faisant de parfaits robots consommateurs jetables.
Il y a aussi ces décès de bébés qui seraient survenus après des injections.
Le gouvernement est sur la sellette, accusé d’avoir nommé en tant que ministre de la santé, Agnès Buzyn, à qui il est reproché d’être en conflit d’intérêt en favorisant l’industrie pharmaceutique. À ce propos, il a été démontré à maintes reprises que cette industrie n’émet que peu de scrupules lorsque des intérêts qui se chiffrent en milliards sont en jeu.
La vidéo que je vous propose dans ce billet relate ces différents aspects. Vous allez écouter le Docteur Ploncard d’Assac dont les arguments peuvent convaincre des dangers que ces vaccinations massives risquent de faire encourir aux patients.
Un vaccin contre le cancer testé avec succès sur des souris et bientôt testé sur l’être humain.
En faisant abstraction de sa composition, sachant les polémiques liées à la vaccination aujourd’hui, cette nouvelle qui n’est pas un fake sera-t-elle vraiment exploitée par la médecine alors que l’on sait les bénéfices pharamineux que les traitements contre la maladie engendrent pour l’industrie pharmaceutique de nos jours.
De nombreuses autres thérapies ont également fait leurs preuves comme par exemple, celle du jeûne qui permet si ce n’est de s’en débarrasser totalement, en tous cas de la diminuer significativement, la chimiothérapie, tout en obtenant des résultats plus que satisfaisants et qui aboutissent à de très nombreuses réminiscences.
Dans cette société ou le profit passe avant même les intérêts des patients, le temps nous dira si c’est la trappe qui attend cette découverte ou le bien des malades.
Attention, cet article est à prendre au conditionnel, en effet :
Aucune source fiable hors mis celle mentionnée en fin d’article ne semble accréditer cette information. Par contre il est plus que probable qu’à terme, cette puce soit implantée en chacun d’entre nous et ce, bon gré mal gré. L’aberration devenant obligation, cela n’est-il pas déjà le cas avec ces 11 vaccins ?
Il n’y a pas de fumée sans feu non plus et c’est comme toujours les lanceurs d’alerte qui préviennent et qui sont pris au début pour des conspirationnistes que l’on lynche en premier sur la place publique.
Il ne s’agit ni plus ni moins de la version moderne de l’inquisition, la chasse aux sorcières !
De plus, suite aux innombrables commentaires publiés sur les réseaux sociaux après la parution de cet article, voici ma réponse qui semble avoir mis tout le monde d’accord :
« Même si cet article est un 1/2 fake car trop peu sourcé, il n’en demeure pas moins un article visionnaire car cette puce, à terme, finira, bon gré mal gré à devenir une obligation et c’est inéluctable.
Regardez les 11 vaccins qui lorsque les lanceurs d’alerte en parlaient au début étaient pris pour des conspirationnistes !
Au lieu de vous déchirer par commentaires interposés, si pour une fois vous preniez les devants et commenciez à rassembler votre énergie pour luter contre ce fléau annoncé ».
Stéphane Guibert
L’article :
Les premières implantations, facultatives mais gratuites, ont commencé en France. Mais les puces sous-cutanées deviendront obligatoires dès le 1er janvier 2019. Ainsi, les puces RFID remplaceront définitivement les tant décriées cartes vitales des assurés sociaux définitivement l’an prochain.
Face au trop grand nombre de pertes de cartes vitales et face à leur coûteux remplacement, qui coûte des centaines de milliers d’euros à la Sécurité sociale chaque année, l’organisme met peu à peu en place les puces électroniques qui sont directement implantées dans le corps des assurés sociaux.
“Pour tout le monde, enfants compris”
Les premières poses d’implants ont débuté la semaine dernière. Elles se poursuivront durant toute cette année pour les assurés qui désirent avoir la puce dans leur corps avant tout le monde. Dès le 1er janvier 2019, l’implant Carte vitale sera obligatoire pour tout le monde, enfants compris. “Les assurés pourront se présenter dans l’une de nos agences sur tout le territoire. Pour le cas des enfants, l’un des parents ou le tuteur légal devra être obligatoirement présent. L’intervention sera faite par des élèves en médecine faisant leur service sanitaire. L’implantation ne durera pas plus de 10 minutes, anesthésie locale et points de suture compris”, explique un médecin en charge des opérations spéciales à la Sécurité sociale.
“J’ai eu une appréhension au début, mais j’ai décidé de sauter le pas et d’accepter de me faire poser, de mon plein gré, leur puce carte vitale sous la peau. Franchement, je ne le regrette pas du tout. Mieux vaut le faire maintenant en plus, car quand ça sera obligatoire, il y aura trop de monde dans les agences de la sécu. En plus, pour les volontaires de cette année, c’est gratuit, et la sécu nous donne même un bon d’achat de médicaments dans les pharmacies pour un montant de 10 euros. C’est vraiment super. En plus, je perds ma carte vitale à chaque fois, une vraie tête en l’air. Là à moins de perdre ma tête, je suis sûre de l’avoir avec moi. Pour les points de suture, l’étudiant en médecine qui me l’a implanté m’a dit que les fils se désagrégeront très vite et que la cicatrice ne sera pas du tout visible. On a le choix entre l’implanter dans le crâne, sur le bras ou les fesses. Moi, j’ai choisi la tête. Sur le bras, j’avais peur que cela fasse relief et comme j’ai des tatouages, ça va faire moche. Sur les fesses, ça a été non dès le début. Comme je fais des selfies de mon popotin, j’avais peur que ça brouille les photos de mon smartphone, à cause des ondes. J’ai donc choisi le crâne. Très bonne idée de la Sécu cette puce, vraiment”, précise une assurée sociale parisienne.
“Des puces UHF, très haute fréquence, de 868 MHz”
La décision est partie d’un double constat. Tout d’abord, les assurés sont trop nombreux à égarer leur carte vitale. Ensuite, la Sécurité sociale française a besoin de redorer son blason face aux institutions sanitaires étrangères. “Lors de chaque symposium international, on passe vraiment pour des cons. Il faut voir au Canada, en Suisse ou dans les pays scandinaves comment ça se passe. Tout est connecté chez eux. Ils ne travaillent qu’avec des puces électroniques. Nous, on en est encore au papier-stylo ou à l’imprimante jet d’encre, la préhistoire en quelque sorte. Avec eux, un coup de flash de lecteur RFID portable et le tour est joué. Nous avons 50 ans de retard et cela ne va pas en s’arrangeant. La France a quand même été en avance sur toutes les autres nations avec le Minitel. Mais ça, c’était avant. Mais on va rattraper le coup avec ces puces dernier cri. Les puces que nous avons reçues sont ce qu’il se fait de meilleur dans le domaine. Des puces UHF, très haute fréquence, de 868 MHz. Pour expliquer clairement et simplement. En électricité, il y a le triphasé. En RFID, il y a le 868 MHz. Mais je rassure les assurés, ils ne ressentiront aucune douleur, ni gêne. Au début de toutes petites vibrations se feront sentir, le temps que la puce se loge bien et fasse son nid pour faire simple, entre la chair humaine et la peau. Comme pour un chien ou un chat avant de dormir, il fait des tours sur lui-même pour être en position confortable. C’est pareil avec la puce sous-cutanée. Elle se loge peu à peu pour rester stable et ne pas se balader jusqu’aux artères, ce qui serait très ennuyeux. Après, l’assuré ne ressentira plus rien. Ce choix est d’abord pour ne pas passer pour des minus devant les organismes de sécurité social étrangers lors des grandes rencontres internationales, mais également pour permettre aux appareils de lecture RFID d’avoir un signal à longue distance et ainsi, de ne pas effrayer les personnes âgées essentiellement. Voir un appareil de ce genre vous scanner en effraierait plus d’un. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi des puces UHF, car on peut les lire à plus de 9 mètres de distance. Nous scannerons pépé ou mémé avant même son arrivée au guichet d’accueil. Mais nos assurés s’y habitueront très vite. C’est pareil pour toutes les grandes innovations, il faut un temps d’adaptation psychologique. Nos assurés n’ont pas le choix de toute façon”, précise un haut fonctionnaire de la Sécurité sociale.
“La transplantation de la puce se fera avec ou sans leur accord”
“La semaine dernière, nous avons commencé par les bénéficiaires de la CMU et CMU-C. Il ne faut pas le répéter, mais la raison est qu’ils n’ont pas vraiment trop le choix. De toute façon, s’ils refusent, ils devront avancer l’argent pour leurs soins, les médicaments et leurs opérations. Et vu les économies qu’ils ont, c’est-à-dire pas grand chose, ils acceptent l’implantation de la puce sans broncher. On voit sur leurs visages qu’ils sont réticents, mais la puce se retrouve en eux en fin de compte. Ensuite, ce seront les indépendants qui suivront. Depuis la disparition du RSI, ils feront ce qu’on leur dira de faire, sinon on rétablit le Régime Social des Indépendants. Par contre, nous nous attendons à des refus de la part de la classe moyenne. Nous savons déjà ce que les bobos diront pour ne pas se faire pucer. Nous connaissons leurs répliques par cœur. Et ‘je ne veux pas d’un GPS dans mon corps’, et ‘c’est contre mes libertés et mes droits’, et ‘si ça se trouve c’est cancéreux votre connerie de puce’, et ‘c’est du totalitarisme sanitaire’, et gnagnagna et gnagnagna. Mais bon, on ne va pas caresser les bobos dans le sens du poil à vie. Nous n’avons pas peur d’eux, mais on les craint un peu quand même, à vrai dire. Mais bon, comme ils ne manifestent pas, donc on craint pas grand chose de leur part. Les bobos sont trop occupés à travailler 60 heures par semaine, à aller à leurs séances de yoga et à préparer des plats bio. Pour faire cuire du tofu, il faut des heures, sinon ça ressemble à des tripes pas cuites. Mais nous n’allons pas les brusquer. C’est quand même eux qui paient en grande partie les soins des autres. C’est pour cette raison que les puces des bobos seront implantées en dernier. Mais nous avons trouvé la parade si ces petits cons (bobos, ndlr) refusent. Les lunettes. Les bobos lisent à l’excès, c’est de notoriété publique. Donc la vue en pâtit forcément. Si les bobos refusent les puces RFDI, nous sucrerons les remboursements sur les lunettes de vue. Idem pour les professions libérales. J’imagine mal un notaire ou un médecin travailler sans lunettes, impossible. Les gynécologues, je n’en parle même pas. Pour eux, c’est la double peine, ils ne pourront ni lire leurs revues scientifiques qu’Einstein ne comprendrait même pas, tellement c’est compliqué et sinueux, ni se rincer l’œil en matant les foufounes des patientes. Cette réforme de la carte vitale passera crème, comme dit mon fils, qui en a déjà une en lui. Mon fiston ne lit pas beaucoup, mais j’ai trouvé une astuce. J’ai mis en balance le voyage qu’il a prévu de faire avec ses potes à Pattaya. Il a accepté sans broncher le mioche. Il a beau avoir 22 ans, faire de grandes études, il a quand même la tête dure le petit morveux. Mais j’ai gagné à la fin. Cela sera pareil avec les assurés sociaux, la transplantation de la puce se fera avec ou sans leur accord”, indique un chargé de mission de la Sécurité sociale.
Les implantations de puces RFID se font dans toutes les agences de la Sécurité sociale en France métropolitaine, ainsi que dans les DOM-TOM. Les autorités sanitaires sont en pourparlers avec l’Assemblée corse qui donnera sa décision pour valider cette mesure dans l’île. “De toute façon, c’est toujours la même chose avec nos voisins corses. Une loi est votée en France et leur parlement nationaliste vote pour l’appliquer ou non dans l’Ile de Beauté. En général, c’est surtout non. Donc nous attendons pour les assurés sociaux corses”, indique un agent de la Sécurité sociale.
Cette vidéo qui remonte à 2009 et qui parlait des vaccins est on ne peut plus d’actualité.
Cela fait pas mal d’années que chercheurs, scientifiques et médecins tirent la sonnette d’alarme en ce qui concerne les vaccins et les adjuvants qu’ils contiennent. Cette vidéo qui remonte à 2009 nous fait prendre conscience des dangers potentiels que la vaccination nous fait encourir.
Comme si des accidents étaient probables, aux États-Unis, les fabricants de vaccins ont obtenu une immunité juridique et sont donc couverts en cas de catastrophe sanitaire.
Une étude du Swiss TPH portant sur 700 jeunes en Suisse démontre que les téléphones mobiles ont un effet néfaste sur le développement de la mémoire des jeunes. Les champs électromagnétiques à hautes fréquences sont en cause.
Pour le cerveau, la principale source d’exposition à de tels champs électromagnétiques est l’utilisation d’un téléphone à proximité de la tête, a indiqué jeudi l’Institut tropical et de santé publique suisse (Swiss TPH) à Bâle. Les études menées jusqu’ici n’avaient pas permis de tirer de conclusions claires.
L’équipe de Martin Röösli a fait un pas de plus par rapport à une recherche publiée en 2015 dans la revue Environment International, avec un échantillon doublé ainsi que de nouvelles informations sur l’absorption du rayonnement électromagnétique par le cerveau. Il s’agit des premières études épidémiologiques sur l’estimation de la dose cumulée chez les jeunes, note le Swiss TPH.
Près de 700 écoliers de 12 à 17 ans provenant de classes de 7e à 9e année en Suisse alémanique ont été recrutés pour cette étude baptisée HERMES (Health Effects Related to Mobile phone usE in adolescentS). Ils ont été suivis pendant un an par les chercheurs, qui ont notamment obtenu des opérateurs de téléphonie les données individuelles des utilisateurs.
Mémoire figurale touchée
Résultats: les conclusions de l’étude de 2015 ont été confirmées, soit un effet négatif sur le développement des prestations de la mémoire dite figurale. Il s’agissait de tests mémoriels sur ordinateur à l’aide de figures abstraites à assembler.
La mémoire figurale est située principalement dans l’hémisphère droit du cerveau, et les chercheurs ont mis en évidence une baisse significative de performance chez les jeunes utilisant leur appareil sur l’oreille droite. Cela tend à indiquer que la dose de rayonnement électromagnétique absorbée est responsable des effets observés, selon le Pr Röösli, cité dans le communiqué.
Etudes supplémentaires requises
Comparativement, envoyer des messages, jouer ou surfer sur Internet ne provoque qu’une irradiation modeste du cerveau, et aucun lien avec le développement de la mémoire n’a été mis en évidence. Les jeunes ont aussi été soumis à des tests de mémoire verbale, sans résultat significatif.
Pour les chercheurs, des études supplémentaires sont nécessaires, en particulier afin d’exclure d’autres facteurs comme la puberté ayant une influence non seulement sur l’usage du téléphone mais aussi sur le comportement et les capacités cognitives des jeunes.
En attendant, le Pr Röösli suggère de réduire les risques potentiels en utilisant les écouteurs ou le haut-parleur, notamment lorsque la réception est mauvaise et la puissance du téléphone à son maximum.
Plus de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G – cinquième génération de téléphonie mobile – jusqu’à ce que des études d’impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché. La 5G s’ajoutera au brouillard électromagnétique déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi, etc., exposition dont il a été prouvé qu’elle est nocive pour les humains et pour l’environnement. Article tiré d’un Communiqué de Presse par Etienne Cendrier, Porte-Parole de Robin des Toits, Paris, le 13 Septembre 2017.
Le déploiement de la 5G conduirait à une augmentation générale et massive de l’exposition aux ondes du sans-fil alors que les dangers de ces technologies sont établis. La technologie de la 5G est efficace sur des petites distances seulement. Elle se transmet mal à travers les solides. Il faudra beaucoup de nouvelles antennes-relais, et la nouvelle architecture du réseau exigera une nouvelle antenne toutes les 10 ou 12 maisons en zone urbaine créant de fait une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire.
Le déploiement de nouveaux transmetteurs pour la 5G (on les trouvera également dans les foyers, les boutiques, les hôpitaux) devrait générer selon les estimations entre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur) et constituera l’Internet des objets. Tout cela augmentera substantiellement l’exposition permanente de l’intégralité de la population européenne aux champs électromagnétiques des technologies du sans-fil. Les dangers de l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) sont déjà démontrés. Plus de 230 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur «préoccupation sérieuse» concernant l’accroissement permanent et universel de l’exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l’ajout du déploiement de la 5G. Ils font référence aux «nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d’exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales». Ces effets accroissent le risque de cancer, le stress cellulaire, augmentent l’apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d’apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques et d’impacts négatifs sur le bien-être. Ces dommages n’affectent pas seulement l’homme mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d’études.
Pour Etienne Cendrier, porte-parole: « Robin des Toits soutient cet appel de scientifiques et de médecins de grand renom pour que la 5G ne soit pas mise sur le marché: il serait irresponsable et criminel de traiter la population en cobaye alors que les radiofréquences sont peut-être cancérigènes d’après l’OMS … »
En appel, la radiation du Pr Henri Joyeux consécutive à la publication de deux pétitions anti-vaccins a été annulée mardi par la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.
La radiation du controversé Pr. Henri Joyeux pour des pétitions anti-vaccins a été annulée en appel. Michel Cymes tenait à lui adresser un message :
« Ainsi donc, Henri Joyeux pourra continuer son œuvre destructrice… »
Michel Cymes ne tenait pourtant pas le même discours en 2012, loin de là :
Le Pr. Romain Gherardi, directeur de recherche à l’Inserm et à l’hôpital Henry-Mondor, était l’invité du « Magazine de la santé », sur France 5, le 12 novembre 2012.
« Depuis qu’on les utilise dans la fabrication des vaccins (1926 aux Etats-Unis, 1990 en France), les sels d’aluminium alimentent le débat et la controverse.
Techniquement, une dose infime d’hydroxyde d’aluminium suffit pour stimuler la réaction immunitaire en induisant un petite réaction inflammatoire locale. Et, si une majorité de scientifiques considère qu’une fois injecté dans l’organisme, l’aluminium se dissout spontanément et n’a donc pas d’effet toxique, d’autres comme le Réseau Environnement Santé et le Pr. Romain Gherardi, chercheur à l’Inserm et médecin à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, avancent le contraire. »
« Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre. »
Le Docteur Jean-François Saluzzo, ex-directeur de production des vaccins viraux chez Sanofi, avoue lui-même :
“On ne sait pas comment marchent les vaccins”
Rendre obligatoires 11 vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique de l’hérédité de celui qui la reçoit et les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.
Les sodas light que vous buvez pour vous préserver des calories son fait à partir d’excréments.
Cette vidéo remonte à 2014 mais elle démontre jusqu’où les industriels sont capables d’aller avec la bénédiction des autorités responsables de la nutrition et de la santé.
Des bactéries E. coli génétiquement modifiées sont cultivées dans des bacs. Elles défèquent des protéines qui contiennent des segments d’acides aminés d’acide aspartique et de phénylalanine. Ces excréments sont collectés puis traités par le biais de nombreux processus chimiques, y compris la méthylation, ce qui ajoute du méthanol, alcool toxique, au mélange. C’est ainsi que l’aspartame est fabriqué. Il pourrait être temps de reconsidérer les produits édulcorés en tant qu’option saine.
Il existe bien d’autres alternatives pour se protéger des abus du sucre et des retombées dévastatrices qu’il peut avoir sur la santé et je rebondis là dessus pour remettre en ligne le billet que j’avais publié sur un produit que le grand public ne connait pas ou très peu :
Alors que l’obésité aux U.S.A. devient un problème majeur avec 1 personne sur 3 qui en souffre, à Chicago, berceau de Mc Donald’s, une solution contre l’obésité permet de se faire plaisir sans prendre un seul kilo : la Miraculine !
G.S
Une chaîne de fast food s’est emparée du concept. Son slogan « Enjoy your vices », qui signifie en français « succombez à la gourmandise ».
Ce fast food a été créé par un chef cuisiner reconnu Omaro Kantu. La chaîne propose donc donuts , cup cakes, soda avec 0 calorie ! Dans cette partie on peutapercevoir l’effet de surprise et d’amusement que peut avoir les effets de la miraculine que l’on découvre pour la 1èere fois.
Vidéo :
Le reportage s’intéresse alors plus précisément à l’histoire de labaie du miracle.
Après un bref rappel sur sa découverte en 1750, par des botanistes européens en mission d’exploration en Afrique de l’Ouest dans un des pays les plus dynamiques d’Afrique, le Ghana. Au Ghana, tout le monde connaît la baie du miracle … surtout les enfants.
Le reportage nous fait ensuite découvrir un entrepreneur ghanéen. Kodzo Benomio, ingénieur en biochimie de formation, et après avoir exercé dans l’industrie pharmaceutique, est devenu le plus gros cultivateur du pays de baie du miracle.
Le reportage se poursuit sur la visite de ces plantations au Ghana.
Résumé de la seconde partie :
On découvre dans ce début de 2ème. partie le fonctionnement des plantations de baies miracles au Ghana. Une des principales difficultés est que la cueillette de ces centaines d’hectares de fruits miracles ne peut se faire à l’aide de machine… la cueillette doit donc se faire à la main.
On découvre ensuite le laboratoire un peu rudimentaire de cet entrepreneur et le déroulement de la transformation de la baie miracle en miraculine.
Pour commencer, on broie les fruits pour obtenir un jus très concentré, il faut 3 kg de fruit pour obtenir 1 litre de jus. Ce jus est ensuite congelé puis déshydraté . Au bout de quelques jours, le processus de déshydratation se termine, on obtient de la poudre qui permettra de fabriquer les comprimés.
Le producteur indique alors à la caméra du journaliste que le seul moyen qu’il a trouvé pour vendre sa production est internet.
Complot, espionnage, homme de pouvoir et géant de l’agroalimentaire.
Dans cette partie, les journalistes s’intéressent à l’histoire moderne de la miraculine en occident.
On découvre alors un portrait et interview du scientifique américain Robert Harvey dans les années 1970 qui croit dur comme fer en la miraculine.
Les possibilités étant d’après lui énorme puisque « les obèses en surpoids pourraient enfin manger quelque chose de sucré, mais sans sucre » il créa la société « Miralin » .
Les journalistes décident de creuser cette histoire, Robert Harvey étant décédé il décide de questionner Donald K Emery qui était associé dans cette affaire.
Aujourd’hui retraité, Donald indique que Miralin était pour eux un grand rêve, il voyait en la miraculine la possibilité de commercialiser un des premiers édulcorants en concurrençant l’industrie du sucre. Donal et Robert trouvent des partenaires qui leur permettent d’investir plus de 8 millions de $ (équivalent à 40 millions de $ d’aujourd’hui).
En 1974, la gamme qui comprend (boisson thé glacé assaisonnement pour salade, etc…) est enfin prête. Malheureusement, cet aboutissement n’est en réalité que le début de leurs ennuis.
S’en suit un épisode où Donald raconte que Robert lui avait confié être espionné. Il raconte également le cambriolage de leurs locaux ou visiblement l’on recherché des documents. Pour achever leur rêve, la FDA, l’autorité toute puissante de l’Etat américain en matière d’alimentation leur interdira la commercialisation de miraculine sur le sol américain avec des prétextes fallacieux.
La FDA leur reproche de ne pas avoir études scientifiques qui permettent de déterminer que le fruit puisse être mis sur le marché et puisse répondre à toutes les exigences de sécurité.
Résumé de la dernière partie :
Cette dernière partie va se concentrer essentiellement sur l’analyse des archives de la société Miralin par les journalistes de D8.
Tout les documents ont été légués par le fils de Robert Harvey (décédé en 2012) à l université Worcester région de Boston.
Le journaliste se rend donc dans ces locaux à la recherche de documents qui pourraient permettre de comprendre (ou pas) l’attitude de la FDA à l’encontre de la société Miralin.
Après plusieurs heures de recherches, le journaliste trouve au total 7 études indépendantes réalisées à la demande de la société Miralin qui arrivent toute à la conclusion que la mircaline ne présente aucun danger pour la santé de l’homme.
Tous les scientifiques sont donc unanimes pas de toxicité !
* Mais pourquoi la FDA a-t-elle interdit la mise sur la marché de la miraculine ?*
Sont alors évoqué le lobby du sucre qui aurait eu la peau de la société Miralin, des intérêts personnels au sein de la FDA… ou tout simplementune histoire de corruption au sein de la FDA.
Ce qui est pour le moins troublant, c’est que la FDA à par contre au même autorisé la mise sur le marché de l’aspartame à la même époque dont on connaît le possible effet toxique et cancérigène sur le cerveau.
Après ces révélations, l’aspartame a d’ailleurs été rapidement interdit.
Le laboratoire SEARLE, propriétaire de la molécule, contre attaquera et embauchera un lobbyiste du nom de Donald Rumsfeld.
Donald Rumsfeld, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche et futur ministre de la Défense du gouvernement GW Bush. Avec succès, le laboratoire SEARLE récupérera son autorisation en 1983.
Suite à ces incohérences, la polémique rebondit quelques années plus tard au plus haut niveau de l’état américain.
Lors de la Commission d’Enquête du sénat le 3/11/198, le docteur toxicologue de la FDA, Jacqueline Veret, indiquera que les études concernant l’aspartame ont été truquées.
Le scandale ébranle la FDA, mais aucune sanction n’est prise contre la FDA ou l’aspartame.