Les assurances sociales tout comme les congés payés étaient des utopies avant qu’ils ne soient mis en place bien qu’un peut partout en Europe, les acquis sociaux régressent mais ça, c’est une autre histoire.
Le RBI pourrait en partie être financer par la mise en place d’une taxe sur les robots qui prennent les jobs d’ouvriers.
La vidéo présentée ici démontre qu’une chaîne de fabrication chez le constructeur Mercedes ne nécessite aucune main d’œuvre humaine, c’est autant de chômeurs en plus.
Mon Grand-père me disait que le progrès permettrait aux hommes de travailler toujours moins tout en gagnant autant car le progrès était là pour le bien de l’humanité. Je pense que le progrès a loupé ce chapitre car en lieu et place de nous apporter les bienfaits escomptés, il nous précarise toujours d’avantage et nous met en concurrence.
Le RBI est non seulement une solution pour l’humanité, une répartition des richesses et à terme, un des seuls moyens pour relancer l’économie; toutefois, si il était envisagé de distribuer un revenu de base à tous les citoyens, l’éducation serait à revoir fondamentalement car il est clair que les mentalités actuelles ne sont pas préparées à voir une société capitaliste devenir une société de partage et de collaboration; c’est d’ailleurs un frein majeur à la mise en place du revenu de base inconditionnel.
En suisse, le représentant des assurances maladies reconnait publiquement que les mauvais placements en bourse justifient une hausse des primes chez les assurés.
C’est comme ça en Suisse mais je suis absolument certain qu’il en va de même partout en Europe.
Extrait d’une vidéo édifiante lors du tournage de l’émission Infra rouge sur la chaîne Suisse RTS.
Selon les résultats diffusés par les médias publics suisses, les électeurs de la Confédération ont approuvé une simplification de la procédure de naturalisation des petits-enfants d’étrangers.
La majorité des votants et des cantons suisses ont accepté, le 12 février, une proposition du gouvernement visant à simplifier la procédure de naturalisation des petits-enfants d’immigrés, ont rapporté la télévision suisse publique RTS et l’agence de presse publique ATS.
L’institut de sondage gfs.bern avance le chiffre d’une victoire du «Oui» à 59% de l’électorat.
La problématique de l’islam, j’ai bien peur qu’elle nous rattrape d’ici quelques années
Sur le plateau de la chaîne RTS, le député du parti UDC (Union démocratique du centre) et coprésident du comité contre la naturalisation facilitée, Jean-Luc Addor, a reconnu sa défaite, d’après l’AFP. «On était seul contre tous. La problématique de l’islam, j’ai bien peur qu’elle nous rattrape d’ici quelques années», a-t-il fait savoir. Au cours de la campagne référendaire, son parti avait diffusé une affiche montrant une femme vêtue d’un niqab, avec le slogan : «Naturalisations incontrôlées ? NON».
Le projet approuvé par les Suisses vise, exactement, à accélérer et rendre moins coûteuse la procédure d’attribution de la nationalité suisse aux petits-enfants d’immigrés. Il exclut, néanmoins, toute naturalisation automatique.
J’ai dans mes relations un couple Indien travaillant légalement sur Genève pour un fabricant industriel qui produit des sushis.
Dans ce couple, l’homme est un ami proche.
Ce que m’a confié cet ami aujourd’hui m’a fait dresser les cheveux sur la tête !
Sa femme est tombée malade et bien qu’ayant présenté à sa direction un certificat médical, elle a été licenciée pour absentéisme mais cela n’est rien !
Il arrive que souvent, le surcroît de commandes contraigne les salariés de cette entreprise à faire des heures supplémentaires. Jusqu’à là, rien d’anormal mais ou la chose devient intéressante, c’est que ces heures ne sont pas rémunérées et pour ne citer qu’un exemple, mon ami travail de nuit 00:00 – 08:00 et il se trouve qu’hier, son employeur l’a retenu jusqu’à midi. Selon cet ami, cette situation se répète en tous cas une fois par semaine et perdure depuis des mois.
L’employé à demandé à son patron qu’il se justifie sur le fait qu’il ne rémunère pas les heures supplémentaires et ce dernier lui a tout simplement répondu que s’il n’était pas content, la porte était grande ouverte et que derrière lui, c’était des dizaines de personnes qui ne demandaient qu’à prendre sa place.
J’ai suggéré à cet ami d’aller aux prud’hommes afin de dénoncer cela. Mon ami m’a alors déclaré que son patron lui avait assuré que si il intentait quoi que ce soit à son encontre, lui et son épouse ne retrouverait plus jamais de travail en Suisse. On parle ici de chantage, de dumping salarial clairement déclaré et de racisme !
On est ici dans une logique de mondialisation, de globalisation et la suisse, bien que ne faisant pas partie de l’EEE démontre à quel point via ses échanges avec l’UE, ces accords bilatéraux est quelque part emprisonnée et fait partie malgré elle à ce chantage planétaire.
Il faut savoir qu’à Genève, c’est plus de 12’000 chômeurs, qu’en l’espace de 2 ans, 2014-2016, ce sont plus de 9’000 postes de frontaliers qui ont été créés, (bien que je n’incrimine pas les frontaliers qui ne font que profiter de la manne qui leur est offerte) et si l’on ajoute à cela les emplois au noir, les sans papiers, les employés détachés et l’économie parallèle qui se développe à vitesse grand V on ne s’étonnera alors pas d’une précarité qui suit la même courbe.
Je dénonce aujourd’hui ce laxisme ou cette volonté des élites de nos pays qui profitent d’une manière ou d’une autre de cette mise en place bien voulue d’un esclavage moderne dans lequel nous allons tous être confronté ces 10 prochaines années.
Scandale du Mont Pèlerin survenu en Suisse en 2013 alors que 37 travailleurs détachés tous venus d’Italie ce sont vu payés des clopinettes, vivant à 8 dans un deux pièces et n’ayant pas de quoi se nourrir dignement.
N’oublions pas aussi certaines associations caritatives qui sous prétexte de venir en aide aux plus démunis, exploitent allègrement la misère humaine.
Voilà une bonne nouvelle pour les frontaliers travaillant sur Genève et environs :
La Commission européenne veut mettre à jour les règles du chômage pour les travailleurs transfrontaliers. Ce changement de cap pourrait coûter plusieurs centaines de millions de francs à la Suisse.
Ce qu’il faut savoir c’est que le nombre de frontaliers pour le seul canton de Genève a atteint 89’000 en 2016 et dépassera les 100’000 en 2020 pour une population actuelle de 490’578 habitants ce qui représente environ 18% de la population.
Cette décision devrait donc ravir les travailleurs français exerçant une activité sur le sol helvétique et du même coup Pôle emploi en France qui verra la courbe de sans emploi s’inverser vers la baisse.
La difficulté à retrouver un emploi pour les résidents genevois toutes nationalités confondues est devenu un parcours du combattant et plus l’âge de la retraite se rapproche plus l’idée de travailler devient une utopie.
On se souviendra du tollé qu’avait soulevé le vote des suisses concernant la limitation de l’immigration de masse, c’était le 9 février 2014 initiative qui n’a d’ailleurs pas encore été mise en place.
Un employeur déclarait :
« On ne trouvera jamais les compétences nécessaires dans les volumes dont nous avons besoin sur le marché local en Suisse »
On parle ici d’un employeur dont le secteur d’activité est la vente.
Ce qui reviendrait à dire qu’en Suisse, il n’y a pas assez de main d’œuvre qualifiée pour assurer l’offre dans le secteur de la vente alors que le tôt de chômeurs à Genève est l’un des plus élevés de la Suisse avec 12’730 personnes concernées en 2016.
Une petite erreur c’est glissée dans l’extrait de ce reportage : On parle de 180’000 travailleurs français traversant au quotidien la frontière franco-suisse alors qu’à l’époque, en 2014, on recensait 80’000 frontaliers ainsi en deux ans, 2014-2016 ce sont pas moins de 9’000 emplois frontaliers qui ont été créés.
La votation du 9 février n’implique pas les frontaliers déjà en poste à Genève mais celles et ceux qui arriveraient sans contrat de travail ou sans aucune autorisation.
Entendons-nous bien, je n’ai rien contre les frontaliers qui viennent travailler sous nos latitudes et je dirais même qu’ils ont bien raison mais je m’insurge contre un système qui met à rude épreuve les citoyens et résidents qui faute de pouvoir retrouver un emploi à temps sont relégués à l’hospice générale et qui arrivés à ce stade n’ont plus les moyens de se sortir de ce système.
Votations du 9 février 2014 la forfaiture !
Pour en revenir au résultat sur les votations du 9 février 2014 il est important de savoir que le PLR et le PS se sont inclinés devant l’UE en acceptant une loi d’application qui viole grossièrement l’article constitutionnel issu de l’initiative contre l’immigration de masse.
Le gouvernement a ratifié le protocole concernant la Croatie alors que ce texte est en opposition évidente avec l’article 121.a de la constitution fédérale.
Dans l’article constitutionnel 121a (alinéa 4) approuvé le 9 février 2014 par le peuple suisse ont lit textuellement ce qui suit: « Aucun traité international contraire au présent article ne sera conclu ». De surcroît le Parlement n’a accepté le 17 juin 2016 la ratification du protocole qu’à la condition qu’il existe « une règlementation de l’immigration compatible avec le droit suisse ». Il est donc, d’une part, clair que l’extension de la libre circulation des personnes à la Croatie viole directement la Constitution fédérale puisqu’elle étend cette libre circulation au lieu de la restreindre; d’autre part, comme il est incontestable que la décision de ce jour du Parlement concernant l’application de l’initiative contre l’immigration de masse (art. 121a cst.) ne répond d’aucune manière aux exigences constitutionnelles, on ne saurait pas non plus affirmer que la condition fixée par le Parlement pour la ratification du protocole concernant la Croatie est remplie. De ce point de vue également, l’ordre juridique suisse n’est pas respecté.
Il faut donc bien admettre que le Conseil fédéral ignore une fois de plus la Constitution et la volonté du peuple par cette décision inacceptable. L’UDC rejette catégoriquement cette violation de la Constitution par le gouvernement fédéral et elle continuera de se battre de toutes ses forces pour le respect du peuple qui a exigé la limitation de l’immigration de masse.
Ils viennent travailler neuf mois par année en Suisse, sans possibilité d’être rejoints par leur famille. C’est un statut particulier que celui de saisonnier. Pour ces ouvriers venus d’Espagne, c’est le chemin d’un travail et d’un salaire qui fait vivre la famille restée au pays. Mais comment abordent-ils cette situation?
Devant la caméra de Claude Goretta, des saisonniers espagnols témoignent de la difficulté de leur situation.
Entre 2007 et 2016, un laboratoire de recherche des Hôpitaux universitaires genevois (HUG) a vendu des tissus humains en Europe et en Israël via une fondation américaine sans le consentement des donneurs, révèle Le Matin Dimanche. Le laboratoire d’isolement et de transplantation cellulaire (LITC), fondé en 1991 et dirigé par trois pontes du monde médical, est spécialisé dans la greffe d’îlots pancréatiques.
Mais ces cellules ne peuvent pas toujours être transplantées et les jeter constitue une perte conséquente. Une autre possibilité, explique le Matin Dimanche, est de les utiliser à des fins de recherche.
Problème : en Suisse, la loi fédérale de 2007 sur la transplantation d’organes, de tissus et de cellules exige « un consentement écrit de la part du donneur, ou de ses proches ». Ce qui n’a pas été fait à Genève.
Pas forcément illégal (depuis 2014)
Depuis l’entrée en vigueur en 2014 de la loi fédérale relative à la recherche sur l’être humain (LRH), des prélèvements minimes de substances sur des défunts ou durant une transplantation peuvent être effectués sans consentement, relève le journal dominical.
Reste à déterminer si les recherches genevoises peuvent être considérées comme « minimes ».
Une affaire à plusieurs volets
Alerté en mars, le conseiller d’État genevois Mauro Poggia indique avoir immédiatement fait suspendre les activités de recherche. Un audit a été lancé dans la foulée. « Ni l’aspect légal, ni l’aspect éthique, ni l’aspect de gestion administrative et financière n’ont fait l’objet (…) d’une gestion suffisamment professionnelle basée sur la clarté, la transparence et la traçabilité », écrit l’audit final du 4 octobre.
L’affaire compte en effet d’autres volets. Un volet éthique, d’abord. Selon Le Matin Dimanche, les démarches auprès de la Commission cantonale d’éthique (CCE) étaient incomplètes. Un volet financier, ensuite. Le journal dominical rapporte que 12 comptes différents et une « comptabilité à deux niveaux » ont été relevés par l’audit. L’opacité comptable est telle qu’elle devra faire l’objet d’une analyse financière plus en profondeur.
Les trois professeurs impliqués démentent
Le journal dominical indique que la direction de l’hôpital est empruntée et que sa gestion du dossier pose question, dans la mesure où des signaux d’alerte étaient apparus bien avant le lancement de l’audit. Les trois professeurs concernés, eux, démentent toutes les accusations à leur encontre. Ils seront tout de même convoqués à un entretien de service devant la direction des HUG.
Dérisions sur un monde qui part en vrille, l’affaire des « Panama Papers » démontre bien à quel point, nous, petites gens, ceux-là même qui sommes le moteur de l’économie sommes pris pour bien moins que des pigeons car les pigeons eux, sont protégés par la SPA; nous…, Non !!!!
Un président de l’union Européenne, Jean-Claude Junker qui dans son CV a été auparavant ministre des finances puis premier ministre du Luxembourg de 1995 à 2013, ce pays dont l’économie vit de l’évasion fiscale !
Se dire que cet homme est actuellement à la tête de l’Europe revient à dire que l’on confie les clefs du commissariat à un cambrioleur notoire.
C’est dans la dérision que je poste ce billet tout en me disant à quel point le faussé se creuse entre le monde des élites et celui des peuples.
L’Europe sans les peuples, l’histoire nous démontre que ce n’est pas possible.