Accords bilatéraux : La Suisse rompt les discussions avec l’Union européenne
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Acorduri bilaterale : Elveția întrerupe discuțiile cu Uniunea Europeană
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Bilateral agreements : Switzerland breaks off discussions with the European Union
La Suisse met fin aux négociations sur ses relations avec l’UE, en mettant en cause la politique de migration souhaitée et ses conséquences sur l’aide sociale du pays ! Bravo aux Suisses qui refusent la libre-circulation incontrôlée et restent maîtres de leur politique migratoire, très stricte.
La Suisse veut préserver sa souveraineté, et 8 millions d’Helvétiques arrivent à envoyer au tapis l’hydre bruxelloise…
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Elveția încetează negocierile privind relațiile sale cu UE, punând sub semnul întrebării politica de migrație dorită și consecințele acesteia asupra asistenței sociale a țării! Felicitări elvețienilor care refuză libera circulație necontrolată și rămân în control asupra politicii lor migraționale foarte stricte.
Elveția dorește să-și păstreze suveranitatea și 8 milioane de elvețieni reușesc să elimine hidra de la Bruxelles …
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Switzerland ends negotiations on its relations with the EU, calling into question the desired migration policy and its consequences on the country’s social assistance! Bravo to the Swiss who refuse uncontrolled free movement and remain masters of their very strict migration policy.
Switzerland wants to preserve its sovereignty, and 8 million Helvets manage to send the Brussels water to the carpet …
Corona virus : rembourser la dette et mourir ? Ce qui nous attend. Ce que la Grèce nous apprend.
Près d’un million de morts chaque année au sein de l’Union européenne ?
Suite à la crise financière de 2007/2008, 27 des 28 pays membres de l’Union européenne (UE) ont été unanimes pour infliger au 28ème, la Grèce, un traitement d’une violence inouïe qui lui a valu de connaître d’une surmortalité annuelle de 22.000 personnes chaque année à compter de 2011.
Au nom de quoi ? De l’austérité nécessaire, selon ces 27 procureurs, pour redresser les comptes de la Grèce qui avaient été maquillés par des banquiers d’affaires, eux-mêmes à l’origine de la plus grande crise depuis 1929 (avant que n’éclate celle du coronavirus).
Unanimité ! Impossible à obtenir quand il s’agit d’introduire ne serait-ce qu’un soupçon de progrès dans le Far-West fiscal qui règne au sein de l’UE, les règles de « comptables fous » au pouvoir depuis des décennies (tant au sein des États que des Institutions internationales) parviennent à l’imposer pour respecter ces sacro-saints équilibres où l’homme n’a pas sa place.
Parmi ces 27 procureurs, 6 paradis fiscaux qui n’ont de cesse de porter atteinte à l’équilibre financier de leurs voisins et les autres, tous les autres, y compris ces paradis fiscaux, qui veulent d’abord que les intérêts de leurs banquiers soient sauvegardés.
Tout ça n’a pas de prix pour tous ces experts qui ne sont comptables que de leurs chiffres et pas des dizaines de milliers de morts qu’ils provoquent. L’important est de rassurer les marchés. Inquiets avant que n’entrent en œuvre les mesures d’austérité, leur moral est gonflé à bloc quand elles produisent leurs effets, qui eux, épuisent tous les autres (qui ne sont pas morts).Et rien ne les arrête ! Le supplice est planifié, scandé dans le cadre de mémorandums successifs qui s’imposent de manière dictatoriale à tout un peuple : le 1er en mai 2010, le 2ème en janvier 2012 et le 3ème en août 2015. Et le joug n’est pas près d’être levé : dans les années 2060 peut-être si l’on en croit les bourreaux.
Une surmortalité de 22.000 personnes chaque année. Rendons-nous compte ! Pour un pays de 10,7 millions d’habitants. C’est l’équivalent pour la France (67,0 millions d’habitants) de 137.000 morts chaque année et pour l’Union Européenne (446,0 millions d’habitants) de 913.000 morts.
« Qu’entend-t-on maintenant, en pleine crise du coronavirus ? Sur toutes les chaînes, à longueur de journée, ces comptables fous nous expliquent : il faudra bien rembourser la dette résultant de cette crise du coronavirus ! Il ne peut pas en être autrement !
La Grèce a servi de cobaye. La recette est prête et ils vont l’appliquer à grande échelle. Ils connaissent les résultats. »
Brexit : L’apocalypse Britannique n’aura pas lieu bien au contraire !
Contrairement à ce que nous annonçaient les médias européïstes, l’après Brexit n’aura pas la peau de la grande-Bretagne et c’est même tout l’inverse qui va se produire.
L’après coronavirus sera plus destructeur et meurtrier que toutes les pandémies réunies. Préparez-vous les amis de Panurge car le meilleur reste à venir et là, je me marre ! (ndlr.)
Dans le cadre de la fausse crise sanitaire, bouc émissaire de la vraie crise financière, la banque centrale d’Angleterre va directement financer les prochaines dépenses du gouvernement britannique, sans passer par les banques privées.
En d’autres termes, pour relancer l’économie britannique elle va faire marcher la planche à billet. Pendant ce temps la banque centrale européenne va injecter 1000 milliards d’euros dans le système financier, avec pour conséquence directe une aggravation des conditions sociales de ses habitants.
Comme en Grèce, tous les peuples de l’UE vont mordre la poussière, et la reine va leur mettre bien profond. L’entretien intégral, sur RT France, de l’économiste Philippe Murer le 12 avril 2020.
« A la fin, le Conseil fédéral veut adhérer à l’UE. »
C’est un débat qui revient cycliquement depuis 1992
Alors que le Royaume-Unit vient de vivre son Brexit, qu’en France on parle de plus en plus du Frexit, idem avec l’Italie et de plus en plus de pays membres, en Suisse, on tourne en rond depuis 1992.
Céline Amaudruz a défendu, face à Simonetta Sommaruga, l’initiative de limitation qui vise la fin de la libre circulation des personnes. Un texte primordial pour les relations bilatérales avec l’UE et sur laquelle les Suisse voteront le 17 mai.
Nigel Farage: “L’Union européenne ne survivra pas au Brexit !… Et ça, j’en suis CERTAIN !!”
Brexit, le glas de l’Europe à sonné !
Et c’est tant mieux. Chapeau bas à la Grande Bretagne qui a su s’extirper des griffes du tiran. (ndlr.)
Nigel Farage:“A 23h vendredi, ce sera le point de non retour. Je me vois remonter ces quelques marches il y a quelques années en arrivant à Bruxelles et aujourd’hui alors là personne n’aurait pu imaginer cela, mais voilà, ça y est. Moi, j’ai toujours voulu sortir de l’Union européenne. Nous de notre côté, on a beaucoup de travail mais oui je suis très heureux.”
Journaliste: “Que pensez-vous des députés anglais qui vont perdre leur place au sein de Bruxelles ?”
Nigel Farage:“Absolument, les pauvres députés européens…. Où vont-ils avoir des voitures avec chauffeurs ? Où vont-ils avoir d’aussi bons repas ? Où vont-ils avoir d’aussi bons salaires ? Ohh les pauvres… Mais nous les anglais, nous allons être enfin indépendants, libres. Nous allons gérer nos affaires comme bon nous semble. Non vraiment, je me sens très optimiste ! Les anglais vont avoir le vent en poupe et je peux vous dire que le Brexit va être à l’origine de beaucoup de débats en Europe. Et c’est la raison pour laquelle ça va être un moment historique, mais je dois vous dire que l’Union européenne ne survivra pas au Brexit !”
Journaliste:“Qu’est-ce qui va vous manquer le plus à Bruxelles ?”
Nigel Farage:“Eh bien le côté théâtral et tous les problèmes dramatiques !”
Du côté du « Frexit », qu’en est-il ?
Point de vue de François Asselineau, président de l’UPR, seul parti politique à prôner la sortie de l’euro et de l’OTAN.
Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape
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