Exposition du plan Jésuite pour 2020 : effondrement financier mondial en janvier puis instauration des cryptomonnaies comme substitut

( Avant de lire cet article je vous renvoie vers le très bon article qui explique en quoi le Bitcoin et la Blockchain sont une création de la NSA pour contrer les BRICS et leur système financier basé sur l’or et en rien un outil pour notre émancipation) >>>

Introduction : 

Le programme des Jésuites est d’infiltrer l’Alliance de l’Est avec ses agents et de détourner le processus de création du nouveau système financier vertueux à venir. Inutile de dire que les dirigeants de l’Alliance de l’Est en sont conscients et ne le laisseront pas faire. En outre, les membres supérieurs de la Société du Dragon Blanc ont appris leur leçon après que leurs prédécesseurs ont été trompés il y a des décennies quand ils ont remis une grande partie de leur or aux agents jésuites pour des morceaux de papier sans valeur (obligations du gouvernement américain). Les Dragons blancs sont beaucoup plus prudents maintenant, d’autant plus que les Jésuites tentent de les infiltrer par l’intermédiaire de Te-Wu, l’agence secrète chinoise de renseignement.

Le plan jésuite est de laisser les forces de Lumière purger la faction Illuminazi (Rockefeller, Bush, Kissinger, Cheney & Co, Clinton etc.) puis de faire secrètement équipe avec les Rothschild pour reprendre le processus de création du nouveau système financier. Leurs agents sont présents lors des négociations interminables pour la reddition de la Cabale et ils essaient de rapprocher les accords de l’agenda jésuite. C’est la source des propositions pour faire du Pape le nouveau M1 (contrôleur monétaire). C’est la raison pour laquelle le nouveau Pape jésuite promeut l’idée d’une banque centrale mondiale. Ils envisagent aussi sérieusement l’idée d’autoriser un jubilé mondial de la dette pour qu’ils soient dépeints comme des sauveurs de l’humanité sous les apparences d’une église catholique «bienveillante». Ils feraient alors la promotion du culte catholique d’une manière renouvelée et plus attrayante pour le public, et y intégreraient graduellement d’autres religions (à commencer par le bouddhisme) jusqu’à ce qu’ils atteignent leur objectif d’un culte mondial de programmation de l’esprit religieux, tout en gardant sous le tapis les atrocités passées de l’Église catholique.

Grâce à des programmes spéciaux compartimentés de la CIA, ils ont infiltré le «mouvement de la vérité» au point qu’environ 80 % des informations diffusées dans les médias alternatifs proviennent directement ou indirectement de sources jésuites.

Il est bon de savoir que l’organisation jésuite est une création de la famille Farnese avec l’aide de la famille Borja dans les années 1540. La famille Farnese est l’une des familles les plus puissantes de la noblesse noire papale en Italie et travaillent pour maintenir le statut de quarantaine de la planète Terre.

1 ) Les investisseurs vendent «600 millions de dollars d’actions par jour en août» :

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Les États-Unis accusent l’Iran d’être derrière les attaques de pétroliers, vidéo à l’appui

Sur cette image, extraite de la vidéo diffusée par l’armée américaine, on voit un petit bateau s’approcher du pétrolier japonais. Selon les américains, il s’agit  d’une intervention iranienne, preuve de leur culpabilité.

Téhéran a rejeté des accusations « sans fondement » et dénoncé un « sabotage diplomatique » après l’attaque de deux pétroliers en mer d’Oman.

Jade ToussayLe HuffPost avec AFP

INTERNATIONAL – Les États-Unis ont accusé sans détour l’Iran d’être “responsable” des attaques du jeudi 13 juin contre deux pétroliers en mer d’Oman, s’appuyant notamment sur des images diffusées par l’armée. Un incident aux circonstances encore floues mais qui fait craindre un nouvel embrasement dans le Golfe.

Pétrolier en feu, opérations de sauvetage de dizaines de marins: deux tankers, norvégien et japonais, ont été la cible d’une attaque dans un passage maritime stratégique mondial, ce qui a immédiatement fait grimper les prix du pétrole.

La tension était déjà élevée depuis de précédentes attaques, il y un mois quasiment jour pour jour, contre quatre navires au large des Émirats arabes unis, acte pour lequel Téhéran avait déjà été montré du doigt par Washington. Mais, à l’époque, l’administration de Donald Trump avait pris plusieurs jours avant de parvenir à cette conclusion. Jeudi, sa réaction a été immédiate.

“Le gouvernement des États-Unis estime que la République islamique d’Iran est responsable des attaques de ce jour en mer d’Oman”, a lancé le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo lors d’une allocution solennelle, accusant Téhéran de vouloir empêcher le passage du pétrole par le détroit d’Ormuz pour perturber le marché mondial.

Il a évoqué, à l’appui de ses accusations, des informations récoltées par les services de renseignement, “les armes utilisées”, les précédentes attaques contre des navires et le fait qu’aucun des groupes alliés de l’Iran dans la région n’ait les moyens d’atteindre “un tel niveau de sophistication”.

Surtout, l’accusation américaine s’appuie sur une vidéo diffusée par l’US Navy (et visible ci-dessous), capturée par un avion militaire américain alors qu’il survolait la zone. On y voit un petit bateau s’approcher du tanker japonais, puis, un homme semble retirer un objet collé à la coque du navire. Selon un responsable américain, il s’agirait d’une une mine non explosée sur le flanc d’un des pétroliers, bien que cette source n’ait toutefois pas été en mesure d’évoquer un lien entre cet engin et l’Iran à ce stade.

Pour Mike Pompeo, ces actes “représentent une menace claire pour la paix et la sécurité internationales, une attaque flagrante contre la liberté de navigation et une escalade des tensions inacceptable de la part de l’Iran”.

Téhéran accuse Washington de “sabotage diplomatique”

La coalition dirigée par l’Arabie saoudite qui intervient militairement au Yémen contre les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, a aussi dénoncé une “escalade majeure”, mettant en cause, au moins indirectement, le régime iranien.

L’Iran avait pourtant auparavant exprimé ses “inquiétudes” après des “incidents suspects”, indiquant avoir secouru 44 membres d’équipage des deux pétroliers après des appels de détresse. Ce vendredi matin, après la diffusion de la vidéo par les États-Unis, Téhéran a fermement démenti des accusations “sans fondement”, menaçant de s’affranchir de nouveau de certaines restrictions à son programme nucléaire.

“Que les États-Unis aient immédiatement sauté sur l’occasion pour lancer des allégations contre l’Iran (sans) le début d’une preuve fondée ou circonstancielle fait apparaître en pleine lumière le fait que (Washington et ses alliés arabes) sont passés au plan B: celui du sabotage diplomatique (…) et du maquillage de son #TerrorismeEconomique contre l’Iran”, écrit le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif sur Twitter.

La région subit depuis plus d’un mois une escalade des tensions entre les États-Unis et l’Iran. Washington, qui ne cesse de durcir ses sanctions économiques et diplomatiques contre Téhéran après avoir claqué la porte il y a un an de l’accord international de 2015 sur le nucléaire iranien, a soudainement multiplié début mai les déploiements militaires au Moyen-Orient, accusant le régime iranien de préparer des attaques “imminentes” contre des intérêts américains.

Selon le commandement central américain (Centcom), chargé notamment du Moyen-Orient, l’USS Mason a fait route vers le navire japonais attaqué “pour fournir de l’assistance”. Ce destroyeur lance-missiles doit rejoindre l’USS Bainbridge, qui a secouru les 21 membres d’équipage du Kokuka Courageous.

Le chef de l’ONU Antonio Guterres a averti jeudi que le monde ne pouvait pas se permettre un conflit majeur dans le Golfe. Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni en urgence à huis clos. L’ambassadeur américain Jonathan Cohen a répété que tous les éléments semblaient désigner l’Iran, ont rapporté des diplomates. “Il faut que le Conseil de sécurité reste saisi du sujet”, a fait valoir Jonathan Cohen. “Si on ne réagit pas, d’autres attaques sont possibles”.

“L’Iran rejette catégoriquement les accusations infondées des Etats-Unis et les condamne dans les termes les plus forts”, a répliqué la mission iranienne auprès de l’ONU dans un communiqué jeudi soir. Le secrétaire général de la Ligue arabe Ahmed Aboul Gheit a dénoncé “une évolution dangereuse” au Moyen-Orient.

Un dialogue plus qu’incertain

Les circonstances des attaques sont encore très imprécises.

À Oslo, les autorités maritimes ont fait état de trois explosions à bord d’un pétrolier norvégien. Battant pavillon des îles Marshall et propriété du groupe norvégien Frontline, le pétrolier “Front Altair” a été “attaqué” entre les Emirats et l’Iran ”à 06H03 locales”, ont-elles indiqué, précisant qu’aucun membre d’équipage n’avait été blessé et que ce tanker de 111.000 tonnes était en flammes. La télévision d’Etat iranienne Irib a montré des images spectaculaires d’une épaisse colonne de fumée noire s’élevant du navire.

Le Kokuka Courageous, un méthanier, a essuyé des tirs mais son équipage a été sauvé -un marin a toutefois été légèrement blessé- et sa cargaison de méthanol est intacte, a affirmé son opérateur japonais Kokuka Sangyo. Le navire se dirigeait vendredi vers le port omanais de Khor Fakkan.

Malgré son accusation directe contre l’Iran, l’administration américaine n’a annoncé aucune nouvelle mesure de représailles. Elle a même, d’une certaine manière, réitéré son appel au dialogue que venait de repousser le Guide suprême iranien.

L’ayatollah Khamenei a ainsi rejeté jeudi tout dialogue avec Donald Trump, qui “ne mérite pas qu’on échange des messages avec lui”.

Le président des États-Unis a tweeté de son côté qu’il était “trop tôt pour ne serait-ce qu’envisager de trouver un accord”. “Ils ne sont pas prêts et nous non plus”, a-t-il écrit, après avoir multiplié les appels du pied ces dernières semaines. Mais, selon Mike Pompeo, Washington souhaite toujours que Téhéran revienne à la table des négociations “le moment venu”.

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Économie : UBS, banque scélérate sauvée deux fois de la faillite

UBS, une troisième faillite à l’horizon ?

Écoutons l’intervention de Reginald Maître lors d’une assemblée générale de la BNS (Banque Nationale Suisse) :

« L’UBS, deux fois sauvée de la faillite par la Banque Nationale Suisse ; cette banque scélérate condamnée maintes fois sur le plan international à des amandes énormes pour des fautes avérées et sauvée à deux reprises par la BNS et la confédération. Cette banque commerciale qui a bénéficié de l’intervention de la BNS pour lui éviter par deux fois la faillite, actuellement, cette banque gesticule avec la Deutsche Bank pour éviter probablement une troisième faillite et aujourd’hui, notre collectif demande en tant qu’actionnaires et citoyens : Mais laissez-les sombrer et préservez votre probité, votre travail pour la Suisse et non pas pour ces scélérats de banquiers !

Il y a près de dix ans, le 16 octobre 2008, la Confédération et la Banque nationale suisse (BNS) ont sauvé UBS, alors au bord du précipice en raison de ses investissements hasardeux dans les subprimes. Si le sauvetage a été longuement préparé, il a été une surprise et un choc pour le public. Et Berne est intervenu une seconde fois pour sauver la banque, alors en délicatesse avec le fisc américain.

A l’origine de ce tremblement de terre helvétique, une autre secousse sismique avait agité les marchés financiers mondiaux et contribué à fragiliser UBS: la faillite le 15 septembre de la prestigieuse banque d’affaires américaine Lehman Brothers.

Préparation de longue date

Le sauvetage de la banque aux trois clés – dont la direction se ventait encore début octobre d’avoir habilement navigué les écueils de la crise – a été loin d’être un bricolage de dernière minute. Les autorités suisses avaient en effet tiré les leçons de la faillite de la compagnie nationale Swissair en 2001 et commencé à élaborer dès l’année suivante des plans de sauvetage pour les grandes banques.

Après l’échec des mesures de recapitalisation menées tout au long de l’année 2008, UBS s’est trouvée acculée et a demandé l’aide de la Confédération. Celle-ci a élaboré un ambitieux plan de sauvetage, conjointement avec la BNS et la Commission fédérale des banques (CFB).

Les autorités helvétiques ont alors annoncé lors d’une conférence de presse historique recapitaliser UBS et la délester de ses actifs toxiques. La Confédération a injecté 6 milliards de francs sous forme d’un emprunt à conversion et le groupe a été autorisé à transférer jusqu’à 60 milliards de dollars de titres illiquides à Stabfund, la banque de défaisance gérée par la BNS.

Au final, la valeur totale des actifs transférés s’est élevée à 38,7 milliards. Pour UBS, l’exercice 2008 s’est soldé par une perte nette de 21,3 milliards de francs.

Un ex-salarié d’UBS passe à table

Mais le drame n’est pas pour autant clos, les Etats-Unis s’apprêtant à écrire le deuxième chapitre du séisme qui a secoué la place financière suisse, la fin du secret bancaire – inscrit dans la loi suisse et pierre angulaire de la gestion de fortune helvétique. Tout a commencé avec les révélations à la justice américaine d’un ex-conseiller clientèle d’UBS, Bradley Birkenfeld, accusé d’aide à la soustraction fiscale. L’ex-employé de la banque aux trois clés a livré de précieuses informations aux juges en échange de leur clémence.

Pour éviter qu’UBS ne se retrouve devant la justice américaine et perde sa licence bancaire, le Conseil fédéral a envoyé en juin 2008 une délégation à Washington. En février 2009, la première livraison de quelque 4450 données de clients américains ayant échappé au fisc sonne le glas du secret bancaire suisse. La banque a payé au total 780 millions de dollars aux autorités américaines pour clore l’enquête.

Depuis, le groupe a considérablement réduit la voilure, tant au niveau global que dans la banque d’affaires. Alors qu’en 2007, quelque 22’000 personnes sur un total de 84’000 travaillaient encore pour cette division, elles n’étaient plus que 5000 sur un ensemble de 61’000 dix ans plus tard. Le nombre de salariés de l’unité Corporate Center, qui est notamment chargée de faire appliquer la régulation, est par contre passé de 7000 à 25’000. (ats/nxp)

 

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6 minutes pour comprendre l’Europe

La France, ce magnifique pays qui à l’insu de son peuple, n’a plus de constitution depuis le 1er janvier 2017, n’a plus droit à l’information d’investigation et a été embarqué contre son gré dans la plus grande escroquerie de tous les temps.

Prenez 6 minutes pour celles et ceux qui ne le sauraient pas encore et même pour les autres, afin de savoir par qui l’Europe est dirigée et pour les intérêts de qui.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Le monde sous le joug de la finance : George Soros, le visage du mondialisme!

Il n’est pas le seul spéculateur de haut niveau. Au cours de toute sa vie il a été le garçon de course dévoué de l’establishment financier anglo-américain, et a conduit des opérations de saccage contre les nations des pays de l’Est, et contre la souveraineté des nations.

Son coup de maître avec la Livre anglaise

C’est ainsi qu’en Septembre 1992 il a détruit la Livre Sterling contre la Banque d’Angleterre attaquant aussi la Lire italienne et raflant au passage un profit de 1200 millions de dollars. Il s’en est vanté ensuite dans une interview télévisée. Il réussit à se financer à hauteur de 40 000 millions de dollars en Allemagne. Et sait comment emprunter 1000 millions de dollars en ne payant que 5% d’intérêt.

Les liens de Soros avec l’oligarchie britannique, et notamment les Rothschild, sont forts. Ceux-ci voulaient miner la Bundesbank, alors qu’en même temps ils considéraient la livre sterling comme très surévaluée.

Soros a des lignes de crédit préférentielles avec des banques comme Citibank, liée à son fond Quantum, et a des accès privilégiés avec Eretz Yisroel de l’ex Ariel Sharon. Ceux-ci lui ont indiqué comment battre la Bundesbank et détruire la livre anglaise.

Soros et son fond Open Society

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« Il n’y a pas un pays au monde où on fait ça ! » L’énorme colère de Jean-Luc Mélenchon après la perquisition de son domicile.

Dernière mise à jour : mercredi 17 octobre – 18:40 –

L’énorme colère de Jean-Luc Mélenchon après la perquisition de son domicile.

Le leader de la France insoumise a vu son domicile perquisitionné ce mardi matin dans le cadre de deux affaires. Il s’indigne.

Des perquisitions ont eu lieu mardi matin aux sièges de La France insoumise (LFI) et du Parti de gauche, ainsi que chez Jean-Luc Mélenchon et d’anciens assistants du député LFI, a fait savoir La France insoumise mardi.

Selon une source proche du dossier, ces perquisitions sont menées par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions dans le cadre de deux enquêtes préliminaires ouvertes par le parquet de Paris.

La première concerne de présumés emplois fictifs d’assistants parlementaires européens. La seconde porte sur les comptes de campagne de M. Mélenchon pendant la présidentielle suite au signalement du président de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques.

Réaction du parti

LFI a dénoncé un «coup de force politique, policier et judiciaire contre Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise», et une «attaque sur la base d’éléments fantaisistes».

«Nous sommes perquisitionnés chez tout le monde. La secrétaire générale du groupe à l’Assemblée, mes anciens assistants qui ont vu débouler aussi les flics à 07H00 du matin, on leur prend leurs téléphones, on leur prend leurs ordinateurs. Au siège du Parti de gauche dont je suis membre, au siège du mouvement la France insoumise», a protesté M. Mélenchon dans une vidéo postée sur Facebook.

«Voilà le début du nouveau ministre de l’Intérieur (Christophe Castaner) et du ministre de la Justice (Nicole Belloubet), voilà ce qu’ils sont en train de faire dans tout le pays, pour intimider et faire peur. Je vous demande de ne pas avoir peur, et de protester, parce que ce n’est pas de la justice, ça n’est pas de la police», a-t-il ajouté.

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Yémen : C’est dans une quasi indifférence que ce pays endure aujourd’hui une des pires catastrophes humanitaires de tous les temps

Le Yémen vit une des pires catastrophes humanitaires au monde et les enfants en sont les principales victimes.

400’000 souffrent de malnutrition et 5 millions sont menacés par la famine. L’ONU reconnait son incapacité à faire face :

« Nous perdons notre combat contre la famine. Nous pourrions approcher un point de non-retour. »

Marc Lowcock, directeur des affaires humanitaires à l’ONU

Depuis 2015, le Yémen est ravagé par la guerre qui a fait plus de 10’000 morts. Le pays est exsangue. Aujourd’hui, 3 yéménites sur 4 ont besoin d’assistance notamment alimentaire et le pire est peut-être à venir à cause des combats dans le port d’Hodeïa, seul point d’entrée de l’aide humanitaire.

D’ici deux mois, le pays aura épuisé la plupart de ses vivres et selon le directeur de l’organisation « CARE International »

Et pour rappel :

Le Yémen est menacé par la plus grande famine de ces dernières décennies. Les Nations unies lancent un cri d’alarme. Des millions d’habitants pourraient mourir. Les enfants sont particulièrement menacés.

Des images qui ne sont plus exceptionnelles au Yémen, des images d’enfants affamés, presque inertes. Dans ce pays, un enfant meurt toutes les 10 minutes. 7 mio. de personnes souffrent de la faim et 21 mio. ont besoin d’aide humanitaire d’urgence.

Depuis plusieurs jours, le pays est soumis à un blocus total de la part de son voisin saoudien suite à un tir de missile qui a visé Riad. Les ports, les routes et les aéroports sont fermés afin d’éviter que les rebelles yéménites puissent se réarmer; mais c’est également la nourriture, le carburant, les médicaments et l’aide humanitaire qui ne sont désormais plus acheminés. Pour l’O.N.U, il faut lever ce blocus immédiatement.

Selon Mark Lowcock, secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires de l’O.N.U :

« Si ces mesures ne sont pas levées, il y aura une famine au Yémen, mais pas la famine qu’on a vu il y a quelques mois au Soudan du sud où des dizaines de milliers de personnes étaient touchées, pas comme celle qui a couté la vie à 250’000 personnes en Somalie en 2011. Ca sera la pire famine que le monde ait connu ces dernières décennies avec des millions de victimes. »

Une levée du blocus permettrait de tenter de gérer l’urgence mais sur le long terme, c’est bien une solution politique et diplomatique que les yéménites espèrent pour mettre fin à une guerre qui oppose depuis deux ans déjà forces gouvernementales et rebelles soutenus l’un par l’Arabie Saoudite et l’autre par l’Iran les deux grands ennemis du Moyen-Orient.

G.S / FINALSCAPE

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Pesticides : L’hystérie des multinationales

Rachel Carson est la première scientifique à alerter sur les pesticides. En 1962, elle publie une bombe éditoriale : « Printemps silencieux ». Elle explique que pour la première fois dans l’histoire des hommes :  « Il va falloir s’habituer à vivre avec des produits toxiques dans nos organismes ».

Dans les années 1950, Rachel Carson est une biologiste marine reconnue, elle a écrit 3 livres sur la vie des océans, tous des Best-sellers. Comme elle avait une formation scientifique, elle a commencé à regarder de plus près et elle a mis le doigt sur quelque chose de fantastique, c’est à dire, la contamination des milieux naturels par les pesticides qui dans ces années là étaient considérés comme Le miracle.

En 1962, elle publie une bombe éditoriale, une enquête controversée : « Silent spring » (Le printemps silencieux). Ce titre a été choisi parce qu’il s’agit d’un printemps où l’on entend plus chanter les oiseaux. C’est un livre qui pour la première fois dans l’histoire de l’humanité dit qu’il allait falloir s’habituer à vivre avec des produits toxiques dans notre organisme.

Le livre est inattaquable sur le plan scientifique ; malheureusement, cela tombe à un mauvais moment. L’industrie des pesticides étant devenue très puissante, Monsanto (eh oui, encore lui!) prend la mouche étant donné que ses intérêts financiers sont en jeu et commence une campagne de désinformation et de disqualification de Rachel Carson aux États-Unis qui est horrible et hystérique. On la dit lesbienne, on la soupçonne d’avoir une motivation politique et on va la traiter publiquement d’agent du K.G.B. En France, la même chose.

Il y a une levée de boucliers énorme de tous les milieux lobbyistes français contre Rachel Carson alors que dans cette édition française de 1963, il y a une préface rédigée par Roger Heim qui est directeur du Muséum National d’histoire naturelle et président de l’académie des sciences ; c’est une sorte de sommité scientifique de l’époque (…)

Rien n’a changé aujourd’hui puisqu’à partir du moment ou, suite à des révélations une firme qui pourrait voir ses intérêts financiers mis en danger déploie des moyens similaires et, le monde des affaires étant merveilleusement bien fait, voici qu’une loi « Secrets des affaires » a été mise en place.

G.S / FINALSCAPE

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La Russie accusée de l’implication du crash du Vol MH17 abattu au-dessus de l’Ukraine en 2014, retour sur les faits

La Russie accusée de l’implication du crash du Vol MH17 abattu au-dessus de l’Ukraine en 2014, retour sur les faits

Préambule avec l’article publié par RT Français, le 25 mai 2018

Vol MH17 abattu : les Pays-Bas et l’Australie jugent la Russie «responsable», le Kremlin dément.

Selon une déclaration du gouvernement néerlandais, les Pays-Bas et l’Australie tiennent la Russie pour responsable de la catastrophe du vol MH17 abattu par un missile au-dessus de l’Ukraine en 2014. Le Kremlin rejette l’ensemble de ces allégations.

Les Pays-Bas et l’Australie tiennent la Russie responsable de la catastrophe du vol MH17 abattu par un missile au-dessus de l’Ukraine en 2014, a annoncé le 25 mai le gouvernement néerlandais, une déclaration qui pourrait ouvrir la voie à des poursuites judiciaires.

Les deux pays, dont de nombreux ressortissants étaient parmi les 298 victimes, «tiennent la Russie responsable pour sa participation dans la destruction» de l’avion de Malaysia Airlines, a fait savoir le gouvernement néerlandais. Les deux pays peuvent désormais soumettre ce dossier complexe devant une organisation ou juge international, selon la même source.

Cette déclaration intervient au lendemain des conclusions des enquêteurs internationaux, qui ont établi que le missile Bouk qui a abattu l’avion provenait de la 53e brigade anti-aérienne russe basée à Koursk. L’avion de la compagnie Malaysia Airlines reliant Amsterdam à Kuala Lumpur avait été abattu au-dessus de l’Est de l’Ukraine le 17 juillet 2014. L’ensemble des 298 personnes présentes à son bord, en majorité des Néerlandais, avaient péri.

«La destruction du vol MH17 a causé des souffrances irréparables», a souligné le ministre néerlandais des Affaires étrangères Stef Blok au lendemain des conclusions de l’équipe des enquêteurs internationaux (JIT). «En se basant sur les conclusions de la JIT, il est maintenant évident pour les Pays-Bas et l’Australie que la Russie est responsable pour le déploiement du système de missiles Bouk utilisé pour abattre l’avion», a-t-il ajouté. «Le gouvernement agit ainsi pour rendre la Russie officiellement responsable», a-t-il souligné.

La Russie a une nouvelle fois nié le 24 mai toute implication dans le drame en affirmant qu’aucun missile russe n’avait franchi la frontière russo-ukrainienne. Pour le ministère des Affaires étrangères, il s’agit «d’accusations gratuites visant à discréditer [le] pays devant la communauté internationale».

Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, la Russie n’a pas été conviée à participer à l’enquête à part entière et ne peut donc se fier aux résultats.

Détails à suivre…

Source : RT France

Et pour rappel :

Le journal russe Soverchenno Secretno (Top Secret) vient de publier un article concernant le crash du MH17 dans le Donbass il y a trois ans (version en anglais de l’article complet sur FLB), qui pourrait considérablement aider à faire la lumière sur ce qui s’est passé ce jour-là.

Pour rappel, le 17 juillet 2014, le vol MH17 de la Malaysian Airlines reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, avec 298 personnes à son bord, est abattu dans le ciel du Donbass, et s’écrase près du village de Grabovo (à l’Est de Donetsk).

La carlingue de l’avion fumait encore que les accusations contre la République Populaire de Donetsk (RPD), et surtout contre la Russie fusaient de toute part, avant même qu’une enquête sérieuse ne soit menée. L’armée ukrainienne bombardera d’ailleurs à plusieurs reprises la zone du site du crash, empêchant les enquêteurs de travailler correctement.

Le comité d’enquête international mis sur pied, travaille en étroite collaboration avec le SBU (les services de sécurité ukrainiens), et beaucoup d’éléments de « preuve » sont fournis par eux alors même que l’Ukraine faisait partie des suspects (c’est comme si un policier suspecté de meurtre aidait à mener l’enquête sur ce meurtre). Les éléments apportés par la Russie furent systématiquement écartés et l’enquête fut menée dans le plus grand secret, jetant ainsi bien plus que des doutes sur les conclusions de la commission.

Ses rapports intermédiaire puis final mettront un temps incroyables à être publiés, et leur manque de preuves solides sera relevé et battu en brèche successivement par Almaz Anteï, le fabricant des missiles BUK incriminés dès le départ, par les autorités russes, puis par des enquêteurs privés comme Max van der Werff et des groupes de volontaires comme Anti-Bellingcat, qui publiera deux rapports démontant tout l’argumentaire des rapports de Bellingcat (l’expert de canapé) qui ont servi de base au comité d’enquête international pour élaborer son dernier rapport (sic).

Lors de la sortie du rapport final en septembre 2016, qui accuse la Russie, le porte-parole du ministère russe de la Défense avait souligné le côté plus que bancal de l’enquête.

« Toutes les données présentées aujourd’hui lors du point presse de l’équipe d’enquêteurs ont deux sources: Internet et le renseignement ukrainien. Ainsi, l’objectivité de ces données ainsi que des conclusions tirées ne peuvent pas ne pas éveiller des doutes », a déclaré le porte-parole du ministère Igor Konachenkov.

L’implication du renseignement ukrainien, prend une tout autre dimension quand on regarde l’article de Soverchenno Secretno. Quatre copies de documents, présentés comme émanant du SBU, et concernant le crash du MH17, y sont montrés.

Si l’authenticité des documents originaux doit encore être prouvée par des experts, une analyse préliminaire des copies par un ancien agent de la Loubyanka a conclu que le mode de rédaction de ces ordres était conforme à la méthodologie enseignée dans les écoles du KGB, dont beaucoup d’agents actuels du SBU sont issus. J’ai fait parvenir de mon côté les copies des documents à un ancien militaire qui connaît bien les services de sécurité russes et ukrainiens. Pour lui, il y a 80 % de chances que les documents soient authentiques. Ce n’est qu’après son avis positif, que j’ai décidé de faire cet article.

Car ce que révèlent ces documents n’est ni plus ni moins que la tentative des services de sécurité ukrainiens (SBU) de dissimuler la vérité sur ce qui s’est passé le 17 juillet 2014 dans le ciel du Donbass. Ces ordres, télégrammes cryptés, et décrets ordonnent d’identifier et d’arrêter les témoins oculaires, y compris des soldats ukrainiens, de prendre des « mesures préventives » contre eux, de détruire toutes les preuves qui indiquent la présence d’un avion de combat menant des missions dans cette zone là le jour du crash, et enfin de détruire les preuves qu’une opération spéciale a eu lieu.

Si ces documents sont vrais, alors il y a dans les archives du SBU de quoi faire tomber tout le gouvernement ukrainien et les envoyer devant un tribunal. La fuite semble venir de l’intérieur, d’agents qui veulent voir leurs supérieurs tomber. Bien sûr pour obtenir les originaux, ils demandent une compensation financière que le journal russe ne peut leur fournir.

Résultat, pour l’instant, seules les copies sont à notre disposition pour analyse. Il y aurait là matière à creuser pour des spécialistes des « leaks », qui pourraient obtenir des documents électroniques clairement identifiables, confirmant ou infirmant ces quatre copies de documents. C’est d’ailleurs le sens du lancement par Soverchenno Secretno d’une enquête publique, appelant à l’aide tous les volontaires qui pourraient faire avancer la récolte de preuves. Pour que la vérité éclate et que justice soit faite pour les 298 victimes.

Les documents s’étalent du 20 au 28 juillet 2014.

Le premier, daté du 20 juillet, concerne un témoin oculaire qui dit avoir vu le MH17 être abattu par un avion de combat ukrainien. Le chef du bureau du SBU de Lougansk demande de lancer une enquête de contre intelligence sur ce témoin qui possède des informations pouvant porter préjudice à l’état ukrainien. On ne sait pas si ce témoin a été retrouvé ni ce qui lui est arrivé.

Le deuxième document est daté du 24 juillet 2014. Il concerne de nouveau des témoins oculaires de la scène, y compris un militaire.

« Il a été établi qu’il y a effectivement des témoins du tir contre l’avion civil, certaines personnes sont identifiées et détenues, mais dans le même temps le bureau a reçu des informations selon lesquelles l’un des soldats qui se trouve sur le territoire de la région de Lougansk a enregistré l’événement en vidéo.
À cet égard, nous vous demandons d’identifier et d’arrêter le soldat qui a fait un enregistrement vidéo de l’événement. »

D’après la source du journal, le soldat en question, un sergent nommé Vyacheslav, serait mort peu de temps après, tué par un sniper en dehors de la zone de combat, et l’ensemble de ses affaires personnelles auraient été saisies par le SBU. Le journal lance dans son article un appel au supérieur hiérarchique de ce sergent à l’époque, afin qu’il transmette les images que le sergent lui aurait fournies avant sa mort.

Le troisième document, est lui aussi daté du 24 juillet 2014. Il contient un ordre tout ce qu’il y a de plus clair concernant les éventuels témoins.

« Dans le cadre de l’OAT, prendre des mesures spéciales pour détruire les preuves de l’opération spéciale. Obtenir des informations sur la présence de témoins potentiels parmi les habitants du district, les soldats et d’autres. Prendre des mesures préventives efficaces. »

Rien que le nom « mesures préventives » fait déjà trembler pour les pauvres témoins concernés.

Le quatrième est daté du 28 juillet 2014. Il comporte le trident ukrainien en logo en haut et à gauche et un tampon du SBU en bas.

Il contient plusieurs ordres, dont celui de détruire toutes les preuves de violation de la loi par les soldats ukrainiens, de prendre des mesures préventives contre les témoins oculaires, de détruire toutes les preuves de la présence d’un avion de combat ukrainien dans cette zone le 17 juillet 2014, et enfin de mener une rotation et de prendre des mesures préventives vis à vis des soldats de l’armée de l’air qui ont effectué des vols dans la zone concernée, en particulier les soldats de la brigade No. A-4104, venant de la ville de Chouguev dans la région de Kharkov.

Bientôt trois ans après cette tragédie, cette fuite de documents du SBU vient relancer les doutes légitimes sur l’enquête officielle. Si l’authenticité de ces documents est confirmée, alors toute l’enquête internationale, qui s’est largement basée sur les éléments de « preuves » apportés par le SBU, sera totalement discréditée, et ses conclusions invalidées.

Si ces documents sont vrais, cela expliquerait l’acharnement de l’enquête à se focaliser sur le tir d’un missile BUK au détriment de toutes les autres hypothèses (entre autre celle de l’avion de combat), cela expliquerait aussi l’absence de données radar ukrainiennes sous prétexte de panne ou d’indisponibilité de tous les radars civils et militaires de la zone (les radars auraient-ils vus quelque chose qu’ils ne devaient pas voir ?).

Car si c’est bien un avion de combat qui a abattu le MH17, alors il n’y a qu’un seul coupable possible : l’armée ukrainienne. Les accusations farfelues contre la Russie ou la RPD tomberaient comme un château de cartes, et les occidentaux auraient le plus grand mal à justifier leur soutien à l’Ukraine après un scandale pareil.

Il est temps que la vérité soit dévoilée sur cette catastrophe, pour que les familles de victimes obtiennent justice, et que les coupables soient punis. J’espère que toutes les personnes de bonne volonté vont se rassembler autour de l’équipe du journal Soverchenno Secretno afin de les aider à obtenir les documents originaux, à les faire authentifier, et à en obtenir d’autres pour avoir enfin les preuves de ce qui s’est réellement passé le 17 juillet 2014 au dessus du Donbass.

Christelle Néant

Et pour rappel :

On se souviendra du Crash du vol MH 17 de la compagnie Malaysia Airlines, un vol international régulier reliant Amsterdam à Kuala Lumpur et qui avait été abattu en vol le dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine où un conflit armé était en cours mais le survol n’était pas interdit aux avions civils. Aucun survivant n’avait été retrouvé parmi les 283 passagers et 15 membres de l’équipage. Le parquet néerlandais avait annoncé le 28 septembre 2016 que l’enquête pénale internationale qu’il coordonnait avec des enquêteurs venus de Belgique, d’Australie, de Malaisie et d’Ukraine, avait confirmé que le missile avait été tiré depuis un territoire alors contrôlé par les séparatistes pro russes, après avoir été acheminé depuis la Russie.

Cet attentat avait d’ailleurs contribué à la mise en place de la résolution 758 votée en toute hâte par le congrès US le 4 décembre 2014  avant que la dite enquête ne fusse terminée.

Je rappelle que la résolution 758 permet au président Obama et au commandant des armées de déclarer la guerre à la Russie sans passer par le congrès. A toutes fins utiles je remet en ligne en fin d’article, la vidéo qui l’atteste.

Voici à présent une vidéo qui semble démontrer très clairement que le crash du vol MH17 ait été un coup monté pour une fois de plus accabler la Russie et faire monter de quelques crans encore les tentions entre l’OTAN et ses alliés contre la Russie.

Attention à la dureté de certaine images !

Résolution 758 :

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Yémen : Humanitaire et vente d’armes à l’Arabie Saoudite, la France dans une situation embarrassante

Alors que le Yémen vit une crise humanitaire sans précédent, Florence Parly ministre des armées très mal a l’aise, en remet une couche sur la vente d’arme à l’Arabie Saoudite : la gêne est palpable.

« la France réclames des accès humanitaire pour la population yéménite »…mais on continue de vendre des armes à l’Arabie Saoudite.

G.S

Et pour rappel :

Le Yémen est menacé par la plus grande famine de ces dernières décennies. Les Nations unies lancent un cri d’alarme. Des millions d’habitants pourraient mourir. Les enfants sont particulièrement menacés.

Des images qui ne sont plus exceptionnelles au Yémen, des images d’enfants affamés, presque inertes. Dans ce pays, un enfant meurt toutes les 10 minutes. 7 mio. de personnes souffrent de la faim et 21 mio. ont besoin d’aide humanitaire d’urgence.

Depuis plusieurs jours, le pays est soumis à un blocus total de la part de son voisin saoudien suite à un tir de missile qui a visé Riad. Les ports, les routes et les aéroports sont fermés afin d’éviter que les rebelles yéménites puissent se réarmer; mais c’est également la nourriture, le carburant, les médicaments et l’aide humanitaire qui ne sont désormais plus acheminés. Pour l’O.N.U, il faut lever ce blocus immédiatement.

Selon Mark Lowcock, secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires de l’O.N.U :

« Si ces mesures ne sont pas levées, il y aura une famine au Yémen, mais pas la famine qu’on a vu il y a quelques mois au Soudan du sud où des dizaines de milliers de personnes étaient touchées, pas comme celle qui a couté la vie à 250’000 personnes en Somalie en 2011. Ca sera la pire famine que le monde ait connu ces dernières décennies avec des millions de victimes. »

Une levée du blocus permettrait de tenter de gérer l’urgence mais sur le long terme, c’est bien une solution politique et diplomatique que les yéménites espèrent pour mettre fin à une guerre qui oppose depuis deux ans déjà forces gouvernementales et rebelles soutenus l’un par l’Arabie Saoudite et l’autre par l’Iran les deux grands ennemis du Moyen-Orient.

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