Alimentation : Riz en plastique, poisson éponge, laitue synthétique, œufs plastifiés … Et maintenant le pain

Le compte Facebook associé à cette vidéo suggère d’arrêter de manger industriel et de se tourner vers la nature.

Si l’on en croit ces images, on peut en effet se faire du souci. Cela me rappelle le scandale de l’huile de vidange révélé d’abord par le Figaro mais très peu relayé par les médias mainstream, qui, en 2007, avait été incorporée à des vinaigrettes et des huiles alimentaires en Europe et de la stupéfiante décision de l’UE de rehausser l’acceptance de ces poisons dans l’alimentation à raison de 10%.

G.S

Pour rappel : 2007, le scandale des huiles de moteur dans les huiles végétales !

Déjà publié sur ce site avant son crash volontaire, aviez-vous entendu parler de ce scandale très peut relaté dans les médias Mainstream concernant un lot de quarante mille tonnes d’huile de vidange mélangée à des huiles destinées à la consommation ?

Non ? !

Alors sachez aussi que depuis cette même année, l’union européenne incapable de retirer tous les aliments contaminés déjà mis en vente à rehaussé l’acceptance en matière d’huile frelatée à 10%. Ce qui revient à dire que la vinaigrette que vous avez acheté dans l’hyper du coin peut contenir 10% d’huile de vidange et ce, en toute légalité.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Et la confirmation :

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Alimentation et Santé : Faire plier les industriels nous incombe

Dans le cadre d’une démarche personnelle « C’est à nous de faire plier les industriels » je suis à la recherche de producteurs de charcuterie sans Nitrite de sodium afin de les répertorier et de les référencer pour faciliter à celles et ceux qui cherchent une alternative aux grandes surfaces une manière de se nourrir sainement.

Vous pouvez contacter le site au moyen du lien de contact dans le menu de gauche

D’avance merci.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Alimentation : Nitrite de sodium dans la charcuterie, suite du dossier après une initiative personnelle en Suisse

Suite à une initiative personnelle invitant une chaîne de supermarchés Suisse à proposer à sa clientèle une alternative à l’additif E 250 (Le nitrite de sodium) hautement cancérogène que l’on retrouve notamment dans la charcuterie, voici le récapitulatif d’un échange de mails :

Mais avant tout et pour rappel :

Nitrite de Sodium :

Conservateur chimique qui serait exclusivement mélangé avec du chlorure de sodium et et qui se transforme dans l’estomac en Nitrosamine. Il est surtout utilisée pour les charcuteries.  Les risques encourus sont :

  • Hyperactivité
  • Asthme
  • Insomnies
  • Nausées
  • Vertiges
  • Baisse de tension
  • Cancer

Voir aussi « Additif E 249 » qui devrait être évité.

Mail envoyé le 19 décembre 2017 :

Le nitrite de sodium, additif E250, c’est ce qui donne à la charcuterie son aspect si appétissant. Seulement voilà, cet additif  est à l’origine de milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année.

Dans le cadre d’une démarche personnelle : « C’est à nous consommateurs de faire plier les industriels », voici une lettre que j’ai fait parvenir à une grande chaîne de supermarchés en Suisse.

Bonjour ;

Je suis l’auteur d’un blog passablement visité en Suisse et de par le monde. Il y a quelques temps, j’ai publié un article sur le nitrite de sodium (Auditif E250) qui sert à donner à la charcuterie l’aspect qu’on lui connaît.

Cet additif a malheureusement des conséquences désastreuses sur la santé publique, il est à l’origine de milliers de cancers colorectaux chaque année rien qu’en Europe.

L’alternative de la viande sans additif E250 existe en le supprimant purement et simplement.

Les industriels qui ne veulent pas lâcher l’affaire se défendent en prétendant que sans cet additif il y a un risque de botulisme, il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite de sodium ça existe comme par exemple au Danemark et les gens qui consomment la viande sont en parfaite santé. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite de sodium et depuis, les autorités de la santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

J’aurais une suggestion à vous faire :

Dans le cadre d’une campagne « Le client a le choix de ce qu’il mange » pourquoi ne pas proposer un rayon de viande sans nitrite de sodium ?

Je pense que vous seriez le précurseur des grandes surfaces en Suisse dans ce domaine tout en laissant le choix à vos clients et selon l’impact, adapter votre offre par la suite.

Je vous mets en lien l’url de l’article.

Bien à vous

Stéphane Guibert

Je tiens à remercier l’équipe du magasine « Cash investigation » qui m’a permis de me documenter sur le sujet

La réponse de la chaîne de supermarchés sera publiée ici avec tous les liens.
>>>Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium<<<

Réponse reçue le 29 décembre 2017 :

Monsieur,

Nous avons bien reçu votre prise de contact et nous vous en remercions.

Nous sommes naturellement très heureux que vous ayez été bien conseillé dans le magasin et que vous preniez le temps de nous écrire au sujet de cette thématique. Autant le dire tout de suite: il existe des méthodes permettant de conserver la viande sans sel nitrité et Migros propose aussi de tels produits dans son assortiment (voir à ce propos le texte ci-dessous).

Voici notre prise de position sur cette thématique en général:

L’utilisation de conservateurs – nitrates et nitrites – est un préalable incontournable au salage et, aussi, à la saumure avec la constitution de l’arôme typique de saumure des produits à base de viande. Mais ils ont aussi et surtout un effet de conservation sur les produits et sont, aujourd’hui, restés le moyen le plus efficace pour prévenir la survenance d’intoxications alimentaires dangereuses pour la santé qui sont engendrées par la toxine de la bactérie Clostridium botulinum. La pasteurisation ne permet pas d’exterminer ces bactéries qui, en tant que spores, résistent aussi aux températures très élevées. Il est permis de supposer que la suppression du traitement d’articles à base de viande à l’aide de sel de saumure nitrité ferait même augmenter le nombre des maladies dangereuses. C’est pourquoi, aujourd’hui, le nitrate et le nitrite figurent respectivement parmi les ingrédients les plus importants dans les denrées alimentaires.

L’additif E250 (nitrite de sodium) a, donc, une innocuité totale sur le plan de la santé et, conformément à l’ordonnance du DFE sur l’agriculture biologique, il est aussi autorisé dans les produits bio.
L’inconvénient du sel nitrité réside dans le fait que la digestion des salaisons produit des nitrosamines dangereuses auxquelles on reproche un effet cancérogène. Pour protéger la santé, la législation fixe en conséquence des quantités maximales de sel nitrité dans les charcuteries. De plus, les charcuteries saumurées devraient être consommées avec modération, comme le rappellent les recommandations actuelles pour une alimentation saine (voir à ce propos la pyramide alimentaire suisse sous le lien http://www.sge-ssn.ch/fr/toi-et-moi/boire-et-manger/equilibre-alimentaire/pyramide-alimentaire-suisse/).

Les sels de saumure (nitrate/nitrite) sont importants pour la couleur, le goût et la sécurité des charcuteries. Les produits fabriqués sans sels de saumure ont une couleur brune et peu de goût. De tels produits ne seraient guère acceptés par notre clientèle.

D’un point de vue technologique, il n’existe que peu d’alternatives aujourd’hui:

  • Les produits non saumurés peuvent être colorés, p. ex. avec du jus de betterave rouge. La couleur devient ainsi plus agréable, mais le goût change peu. Pour nous, ce n’est pas une option.
  • Il est possible d’utiliser des poudres de légumes naturellement riches en nitrate/nitrite et qui peuvent être déclarées, non pas comme additif (avec un numéro E), mais comme extrait d’épice ou extraits de légumes. L’effet serait le même, tout comme les quantités contenues dans le produit. Nous considérons cette possibilité technologique comme trompeuse; c’est pourquoi elle n’est pas non plus une option pour nous.
  • Le jambons de Parme (d’Italie) qui sont coûteux en raison de leur durée de maturation, ne doivent leur conservabilité qu’à du sel et à beaucoup de temps (temps de maturation > 12 mois).

Voir aussi : Les multiples dangers des additifs alimentaires

Merci A Migros pour cette réponse.

A Suivre…

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

 

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Santé publique :10 aliments fabriqués en Chine qui sont remplis de plastique, de pesticides et de produits chimiques cancérigènes

La Chine est bien connue pour ne pas respecter les standards Européens en matière de sécurité alimentaire entre autres. Je relaye ici un article publié en 2015 qui énumère les aliments en provenance de Chine pouvant porter préjudice à notre santé.

En fin d’article, des vidéos édifiantes sur la coloration des aliments ainsi que sur la gélatine injectée aux gambas afin de leur faire prendre 20% de poids en plus.

G.S

1. Le poisson Tilapia:

Le tilapia est un poisson d’élevage courant en Chine. Ces poissons sont parmi les pires, les plus toxiques et malsains que vous pouvez rencontrer. Un tilapia mange de tout, comparable à un poisson nettoyeur et la pisciculture est une petite piscine d’eau avec des déchets dans laquelle les poissons vivent. C’est l’un des pires achats de poissons que vous pourriez faire et il est bien connu qu’en Chine les producteurs de fruits de mer ne laisseront même pas leurs enfants manger les fruits de mer qu’ils produisent, ce qui devrait vous mettre la puce à l’oreille. 80% du Tilapia vient de Chine.

2. La morue:

La morue est un autre type de poisson qui est élevé en Chine. Ce poisson n’est pas sain et vit dans ses propres déchets. N’achetez pas de la morue d’élevage.

3. Le jus de pomme chinois:

Croyez-le ou non, environ 50% du jus de pomme produit mondialement provient de Chine. La Chine est le pays qui produit le plus de pesticides dans le monde et ils n’ont même pas commencé à s’occuper du problème des résidus de pesticides ou des produits chimiques sur les aliments. Je recommande d’éviter complètement le jus de pomme, pour vous et vos enfants. Le jus de fruits est trop riche en sucre et c’est mieux de le mélanger avec du jus de légumes pour vos niveaux de sucre dans le sang.

4. Les champignons industriels:

Des inspecteurs ont trouvé des champignons contaminés en provenance de Chine. Certains fabricants en Chine vont même jusqu’à étiqueter ces champignons industriels en bio pour augmenter leurs profits. Si vous faites une recherche sur Google, vous trouverez qu’il y a beaucoup de « champignons mystères » en Chine, complètement contrefaits. Faites de votre mieux pour connaître la source, achetez bio et local !

5. L’ail chinois:

Des inspecteurs ont également constaté de l’ail contaminé en provenance de Chine. L’ail de Chine est abondamment pulvérisé de produits chimiques et cet ail laisse un arrière-goût désagréable, celui d’une concoction chimique.

6. Le poulet:

De nombreux experts de la sécurité alimentaire sont concernés par la qualité du poulet chinois car la Chine est un pays où la grippe aviaire et les maladies d’origine alimentaire sont fréquentes. De plus, la Chine produit plus de pesticides que tout autre pays dans le monde et est polluée par non seulement cela, mais aussi par la production de masse et l’industrie.

7. Le riz en plastique:

Du faux riz en plastique est produit en Chine. On croit qu’il est en fait fabriqué à partir de pommes de terre et une fausse résine synthétique. Lorsque le riz est bouilli il reste dur et ne cuit pas comme le riz normal. On pense que les effets à long terme de cet aliment peuvent être cancéreux.

8. De la boue (vendue en tant que poivre noir):

Un vendeur en Chine a recueilli de la boue et l’a vendu en tant que poivre noir, et a également pris la farine et l’a vendue en tant que poivre blanc. Appelez ça comme vous voulez et vendez-le! Les Chinois ne possèdent pas beaucoup de contrôle dans leurs systèmes de réglementation et de sécurité alimentaires. Non pas que ceux-ci sont toujours bons, il suffit de regarder la France! nous avons des normes mais des normes très faibles, au mieux.

9. Le sel industriel:

Le sel industriel est impropre à la consommation humaine mais le sel industriel a été vendu comme sel de table pendant 13 ans! Le sel industriel peut causer des problèmes mentaux et physiques, des problèmes d’hypothyroïdie ainsi que des troubles du système reproducteur.

10. Les petits pois:

Encore un autre scénario fou d’un autre monde. Ces petits pois ont été trouvés en 2005 en Chine, et peuvent être produits encore aujourd’hui. Ces faux pois ont été créés à partir de pois mange-tout, de haricots de soja, avec un colorant vert et du métabisulfite de sodium (une substance chimique qui est utilisée comme agent de blanchiment et comme agent de conservation). Ce colorant est interdit car il peut causer le cancer, ainsi qu’inhiber la capacité naturelle du corps à absorber le calcium. Ces petits pois ne ramolissent pas non plus quand ils sont bouillis et l’eau prend une couleur verte pas naturelle. Donc, évitez les pois en provenance de Chine.

Et pour rappel : Les gambas gonflés à la gélatine en Chine et au Vietnam :

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L’image du jour : Juste incroyable !

Non vous ne rêvez pas.

E 110, E 102 peuvent avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention des enfants.

Cette image remonte à 2012, qu’en est-il aujourd’hui ?

Le groupe ANS évalue la sécurité des nouveaux additifs alimentaires mais aussi toute nouvelle utilisation d’additifs alimentaires autorisés. Depuis 2009, le groupe scientifique procède également à la réévaluation de tous les additifs alimentaires ayant été autorisés dans l’UE avant le 20 janvier 2009; la fin de ce travail majeur est prévue pour 2020.

G.S

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Santé publique : Ce que l’industrie pharmaceutique ne veut pas que vous sachiez, le jeûne renforce les cellules saines et affaiblit les cellules cancéreuses

Quelle idée saugrenue que celle de parler de jeûner alors que nous sommes dans une période festive et que les gens ont tendance à manger bien plus que d’habitude. C’est justement le but de cet article en cette période de l’année. Lorsque les fêtes seront derrière nous, ne serait-il pas intéressant de se pencher sur les bienfaits thérapeutiques d’une privation de nourriture ?

Le jeûne protège des effets secondaires néfastes de la chimiothérapie.

Voici un fabuleux cadeau de Noël pour celles et ceux qui l’ignoreraient encore, le jeûne pratiqué dans un cadre médical est une puissante thérapie qui permet de soigner d’innombrables maladies.

J’ai déjà publié un article sur le sujet et voici un rappel décrit étape par étape :

Pour commencer, que se passe-t-il dan notre corps lorsque l’on pratique le jeûne ?

L’organisme qui doit se  nourrir de lui-même dispose de 3 carburants : Le glucose, les protéines et les lipides. Le carburant essentiel c’est le glucose celui qui est indispensable au corps pour fonctionner car le cerveau ne peut s’en passer. Après 24 heures de jeûne, le stock de glucose est épuisé c’est alors que l’organisme réagit en fabricant du glucose à partir des protéines provenant en grande partie des muscles ; il va également puiser dans ses réserves de lipides, les graisses, afin de créer un substitut de glucose. Ce carburant du jeune se nome corps cétoniques et ce sont désormais ces corps cétoniques qui vont alimenter le cerveau. L’opération s’effectue dans le foie qui est une fantastique usine de transformation de l’organisme.

Le jeûne est bénéfique pour l’organisme dans le traitement de multiples maladies comme le confirme dans un premier temps un banquier qui suite à de nombreux voyages d’affaire en Russie, lors de la signature de contrats, il est de coutume dans ce pays de manger et d’arroser abondamment les évènements. Après de nombreuses années d’un régime à excès, la santé du banquier c’est dégradée au niveau du foie et du sang. Son foie avait significativement gonflé et les analyses de sang préoccupantes. Suite à une cure de jeûne dans l’établissement spécialisé la clinique Buchinger en Allemagne sur les rives du lac de Constance, le foie du banquier avait repris une taille normale et les analyse de sang satisfaisantes.

Ensuite, cette interprète, Pauline qui vient pour la seconde fois dans la clinique et qui souffre de graves rhumatismes confirme également que dès la première cure ou elle était arrivée dans un état d’épuisement total, pensait qu’elle allait atteindre un stade grabataire et qu’elle finirait dans une chaise roulante.

Le jeûne en la purifiant lui a donné l’énergie et le ressort nécessaire pour rebondir. Elle pensait aussi qu’elle serait abonnée à vie aux médicaments que l’on donne pour ce genre de pathologie, anti-inflammatoires, cortisone etc… Aujourd’hui, la femme c’est complètement débarrassée de son régime médicamenteux.

La maladie du siècle le cancer :

Des recherches ont été faites dans un laboratoire de Californie puis répétées à plusieurs reprises dans d’autres laboratoires sur des rats. Il s’avère que le mécanisme du jeûne chez le rats est commun au notre. Un exemple, la chimiothérapie, ce poison destiné à détruire le cancer est injecté à des doses trois à cinq fois supérieures que les doses autorisées chez les humains à toute une série de rats atteints de tumeurs.  Les rongeurs sont séparées en deux groupes. Le premier est nourri normalement, le second  jeûne durant 48 heures. Les rats vont-ils résister à ce traitement dévastateur et les résultats seront-ils différents pour les deux groupes ?

Les résultats  sont édifiants. Après seulement deux jours, les individus ayant jeûné sont en parfaite santé, ceux qui ont mangé normalement sont morts pour la plus part et seul 35% d’entre eux ont survécu mais se trouvent dans un état proche de la mort. Des organes vitaux tels que le cœur et le cerveau ont été gravement endommagés par le traitement.

Comment évoluent les cellules du corps humain lors d’un jeûne et plus particulièrement lors d’une chimiothérapie ?

Lors d’expériences, des cellules de foie, de cœur et de muscles sont prélevées. Leur fil d’ADN est étudié et l’on se rend compte que les gènes de ces cellules dirigent leur travail, ils sont donc normaux. Après deux jours de jeûne, on constate un changement radical de l’expression des gènes de ces mêmes cellules, certains sont sur exprimés, d’autres, sous-exprimés. Les gènes modifient les fonctions des cellules qui se mettent en mode de protection. Bouleversement total et très rapide, comme si cette capacité provenait d’une mémoire remontant à la nuit des temps. Les cellules se protègent donc par un reflex  appelé atavique. Mais si le jeûne protège les cellules saines qu’en est-il des cellules cancéreuses ? En comparant des cellules saines à des cellules cancéreuses, après deux jours de jeûne les gènes des  cellules cancéreuses s’expriment de façon opposée à ceux des cellules saines. Les cellules cancéreuses ont subit des modifications génétiques, elles ont perdu la mémoire de l’évolution, les mécanismes de protection ne se mettent pas en place.

Les cellules cancéreuses détestent ce genre d’environnement où il y a peu de sucre, peu de facteurs de croissance. Non seulement elles ne sont pas protégées mais elles deviennent aussi plus sensibles à la chimiothérapie. Elles peuvent même mourir, en tous cas, leur croissance est ralentie. Le jeûne peut donc ralentir leur croissance même sans chimiothérapie.

L’industrie pharmaceutique qui ne voit pas d’intérêt financier dans les bienfaits de la thérapie du jeûne ne va certainement pas en faire de la publicité.

Pour terminer, le témoignage d’une juge dans le comté de Los Angeles qui, atteinte d’un cancer du sein confirme que sur les cinq chimiothérapies qu’on lui avait administré,  les effets secondaires ont été nettement diminués lors de deux séances qu’avait précédé un jeûne.

Je pense qu’il vaut la peine de se pencher sur une manière de se soigner que notre corps nous fourni et que consommer peut également se conjuguer avec une façon de s’alimenter plus saine et plus responsable.

Le documentaire complet :

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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Alimentation : Nitrite de sodium dans la charcuterie, des milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année pourraient être évités

Le nitrite de sodium, additif E250, c’est ce qui donne à la charcuterie son aspect si appétissant. Seulement voilà, cet additif  est à l’origine de milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année.

Dans le cadre d’une démarche personnelle : « C’est à nous consommateurs de faire plier les industriels », voici une lettre que j’ai fait parvenir à une grande chaîne de supermarchés en Suisse.

Bonjour ;

Je suis l’auteur d’un blog passablement visité en Suisse et de par le monde. Il y a quelques temps, j’ai publié un article sur le nitrite de sodium (Auditif E250) qui sert à donner à la charcuterie l’aspect qu’on lui connaît.

Cet additif a malheureusement des conséquences désastreuses sur la santé publique, il est à l’origine de milliers de cancers colorectaux chaque année rien qu’en Europe.

L’alternative de la viande sans additif E250 existe en le supprimant purement et simplement.

Les industriels qui ne veulent pas lâcher l’affaire se défendent en prétendant que sans cet additif il y a un risque de botulisme, il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite de sodium ça existe comme par exemple au Danemark et les gens qui consomment la viande sont en parfaite santé. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite de sodium et depuis, les autorités de la santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

J’aurais une suggestion à vous faire :

Dans le cadre d’une campagne « Le client a le choix de ce qu’il mange » pourquoi ne pas proposer un rayon de viande sans nitrite de sodium ?

Je pense que vous seriez le précurseur des grandes surfaces en Suisse dans ce domaine tout en laissant le choix à vos clients et selon l’impact, adapter votre offre par la suite.

Je vous mets en lien l’url de l’article.

Bien à vous

Stéphane Guibert

Je tiens à remercier l’équipe du magasine « Cash investigation » qui m’a permis de me documenter sur le sujet

La réponse de la chaîne de supermarchés sera publiée ici avec tous les liens.
>>>Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium<<<

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

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Alimentation & Santé : Attention au saumon d’élevage de Norvège

Le saumon est un poisson que beaucoup de gens apprécient sur le plan gastronomique et au niveau de la santé car sa graisse est riche en oméga 3. Il y a quelques années encore, les saumons pullulaient de telle sorte qu’en Norvège par exemple, les ouvriers se plaignaient d’en avoir tous les jours à la cantine de leur entreprise.

Suite à des pêches intensives, à des maladies causées par des pollutions de toutes sortes, ce poisson se raréfie à tel point qu’aujourd’hui il est considéré comme un met de luxe que l’on sert en principe lors de grandes occasions. Afin de parer à ce problème de rareté, la pêche traditionnelle ayant  été interdite, l’homme a pensé de créer des fermes d’élevage dont la Norvège est le premier producteur mondial.

Afin de répondre à une demande toujours plus grandissante de saumon à bas prix, ces fermes entassent des milliers d’individus qui ne peuvent évoluer comme dans leur milieu naturel et dont l’eau est souillée par leurs déjections ce qui détruit totalement la flore et la faune marine locale.

Ce phénomène de surpopulation a favorisé l’apparition d’un parasite appelé  Le pou de mer. Et pour luter contre ce parasite, la Norvège qui ne fait pas partie de l’Union européenne utilise un produit, le Diflubenzuron qui est interdit dans la zone européenne.

Pour des raisons sanitaires, en 2013, le gouvernement norvégien a conseillé à sa population et plus particulièrement aux bébés et aux femmes enceintes de ne pas consommer de saumon plus de 2 fois par semaine car il y avait des risques alors que ce met est le plat national.

Selon Anne Libe Bjorke, pédiatre en Norvège :

« Nous savons que ces poissons gras contiennent des éléments polluants extrêmement dangereux particulièrement pour le développement cérébral. En consommer augmente aussi les risques de cancer, de diabète et d’obésité. Ce qui est sûr c’est que vous ne devez pas en manger si vous êtes un enfant en bas âge ou une jeune femme, vous ne devez pas manger ce type de nourriture polluée tant que vous n’avez pas eu d’enfant et vous ne devez pas en donner à votre enfant. »

Retrouvons Natacha Polony pour une explication plus détaillée.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Pour rappel : Alimentation et mensonges : Avez-vous entendu parler de la Miraculine, cette baie qui peut remplacer le sucre sans aucune addiction ni dommage pour la santé ?

Alors que l’obésité aux U.S.A. devient un problème majeur avec 1 personne sur 3 qui en souffre, à Chicago, berceau de Mc Donald’s, une solution contre l’obésité permet de se faire plaisir sans prendre un seul kilo : la Miraculine !

Une chaîne de fast food s’est emparée du concept. Son slogan « Enjoy your vices », qui signifie en français « succombez à la gourmandise ».
Ce fast food a été créé par un chef cuisiner reconnu Omaro Kantu. La chaîne propose donc donuts , cup cakes, soda avec 0 calorie ! Dans cette partie on peutapercevoir l’effet de surprise et d’amusement que peut avoir les effets de la miraculine que l’on découvre pour la 1èere fois.

Vidéo :

Le reportage s’intéresse alors plus précisément à  l’histoire de labaie du miracle.

Après un bref rappel sur sa découverte en 1750, par des botanistes européens en mission d’exploration en Afrique de l’Ouest  dans un des pays les plus dynamiques d’Afrique, le Ghana. Au Ghana, tout le monde connaît la baie du miracle … surtout les enfants.

Le reportage nous fait ensuite découvrir  un entrepreneur ghanéen. Kodzo  Benomio, ingénieur en biochimie de formation, et après avoir exercé dans l’industrie pharmaceutique, est devenu  le plus gros cultivateur du pays  de baie du miracle.

Le reportage se poursuit sur la visite de ces  plantations au Ghana.

Résumé de la seconde partie :

On découvre dans ce début de 2ème. partie le fonctionnement des plantations de baies miracles au Ghana. Une des principales difficultés est que la cueillette de ces centaines d’hectares de fruits miracles ne peut se faire à l’aide de machine… la cueillette doit donc se faire à la main.

On découvre ensuite le laboratoire un peu rudimentaire  de cet entrepreneur et le déroulement de la transformation de la baie miracle en miraculine.

Pour commencer, on broie les fruits pour obtenir un jus très concentré, il faut 3 kg de fruit pour obtenir 1 litre de jus. Ce jus est ensuite congelé puis  déshydraté . Au bout de quelques jours, le processus de déshydratation se termine, on obtient de la poudre qui permettra de fabriquer les comprimés.
Le producteur indique alors à la caméra du journaliste que le seul moyen qu’il a trouvé pour vendre sa production est internet.

Complot, espionnage, homme de pouvoir et géant de l’agroalimentaire.

Dans cette partie, les journalistes s’intéressent  à  l’histoire moderne de la miraculine en occident.

On découvre alors un portrait et interview du scientifique américain Robert Harvey dans les années 1970 qui croit dur comme fer en la miraculine.

Les possibilités étant d’après lui  énorme puisque « les obèses  en surpoids pourraient enfin manger quelque chose de sucré, mais sans sucre » il créa la société  « Miralin » .

Les journalistes décident de creuser cette histoire, Robert Harvey étant décédé il décide de questionner Donald K Emery  qui était associé dans cette affaire.

Aujourd’hui  retraité, Donald  indique que Miralin était pour eux  un grand rêve, il voyait en la miraculine  la possibilité de commercialiser un des premiers édulcorants en concurrençant l’industrie du sucre. Donal et Robert trouvent des partenaires qui leur permettent d’investir plus de 8 millions de $ (équivalent à 40 millions de $ d’aujourd’hui).

En 1974, la gamme qui comprend  (boisson thé glacé assaisonnement pour salade, etc…) est enfin prête. Malheureusement, cet aboutissement n’est en réalité que le début de leurs ennuis.

S’en suit un épisode où Donald raconte que Robert lui avait confié être espionné. Il raconte également le cambriolage de leurs locaux  ou visiblement l’on recherché des documents. Pour achever leur rêve, la FDA, l’autorité toute puissante  de l’Etat américain en matière d’alimentation leur interdira la commercialisation de miraculine sur le sol américain avec des prétextes fallacieux.

La FDA leur reproche de ne  pas avoir études scientifiques qui permettent de déterminer que le fruit puisse être mis sur le marché et puisse répondre à toutes les exigences de sécurité.

Résumé de la dernière partie :

Cette dernière partie va se concentrer essentiellement sur l’analyse des archives de la société Miralin par les journalistes de D8.

Tout les documents ont été légués par le fils de Robert Harvey (décédé en 2012)  à l université Worcester région de Boston.

Le journaliste  se rend donc dans ces locaux à la recherche de documents qui pourraient permettre de comprendre (ou pas) l’attitude de la FDA à l’encontre de la société Miralin.

Après plusieurs heures  de recherches, le journaliste  trouve au total 7 études  indépendantes réalisées  à la demande de la société Miralin qui arrivent toute à la conclusion que la mircaline ne présente aucun danger pour la santé de l’homme.

Tous les scientifiques sont donc unanimes pas de toxicité !

* Mais pourquoi la FDA a-t-elle interdit la mise sur la marché de la miraculine ?*

Sont alors évoqué  le lobby du sucre qui aurait eu la peau de la société Miralin, des intérêts personnels au sein de la FDA… ou tout simplementune histoire de corruption au sein de la FDA.

Ce qui est pour le moins troublant, c’est que la FDA  à par contre au même autorisé la mise sur le marché de l’aspartame à la même époque dont on  connaît le possible effet toxique et cancérigène sur le cerveau.

Après ces révélations, l’aspartame a d’ailleurs été rapidement interdit.

Le laboratoire SEARLE, propriétaire de la molécule, contre attaquera et embauchera un lobbyiste du nom de  Donald Rumsfeld.
Donald Rumsfeld, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche et futur ministre de la Défense du gouvernement GW Bush.  Avec succès, le laboratoire SEARLE récupérera son autorisation en 1983.

Suite à ces incohérences,  la polémique rebondit  quelques années plus tard  au plus haut niveau  de l’état américain.

Lors de la  Commission  d’Enquête du sénat  le 3/11/198, le docteur toxicologue de la FDA, Jacqueline Veret, indiquera que les études concernant l’aspartame ont été truquées.

Le scandale ébranle la FDA, mais aucune sanction n’est prise contre la FDA ou l’aspartame.

Deux poids , deux mesures…

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Alimentation & Santé : L’apport de sucre dans les céréales industrielles

Ces bonnes céréales qui font le bonheur de nos têtes blondes ainsi que celui de ceux qui les fabriquent sans oublier l’industrie pharmaceutique qui au passage engendre des bénéfices pharamineux à force de soigner les consommateurs innocents qui, faisant confiance à leurs parents avalent trop souvent n’importe quoi et qui, arrivés à l’age adulte tombent malades.

C’est pas parce que c’est bon que c’est forcément sain et à force d’excès c’est d’ailleurs comme ça dans tout, on se retrouve avec de nombreuses victimes de diabète, d’obésité ou toutes autres maladies causées par un excès de sucre ainsi que de graisses saturées et rares sont celles et ceux qui en réchappent.

Manger de tout soit mais avec modération et en privilégiant si possible le local et les produits frais.

Il est tout de même intéressant de savoir que les céréales et en particulier les céréales fourrées c’est 43% de sucre ou, pour donner un exemple, c’est comme si on mangeait un morceau de pain avec 3 cubes de sucre pour l’accompagner.

Dans ce système ou on nous laisse encore la possibilité de manger comme on le désire pour autant qu’on en ait les moyens, c’est à nous, consommateurs, de faire pencher la balance en notre faveur en évitant de nous comporter comme un troupeau de moutons dociles faisant la queue devant l’abattoir mais en consommant intelligemment.

Bon appétit.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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