Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l’Ariège révèlent des scientifiques

Celles et ceux qui me suivent se diront que depuis quelques temps je fais une fixation sur les plastiques et les microparticules qui leurs sont associées, mais les mauvaises nouvelles se succèdent.

Ne voila-t-il pas que dernièrement, dans les Pyrénées, il pleut et il neige du plastique. Je mettrai en fin d’article le lien qui dévoile l’affaire.

Je m’insurge !

D’un côté, c’est touches pas à mon gosse et de l’autre on lui assure l’enfer terrestre en le gavant de plastique et de tous les artifices qui vont avec.

Je ne sais pas moi mais jusqu’où iront l’ignorance, l’hypocrisie et le déni ?

Finalement, je me dis que nous méritons ce qui nous attend et le pire est tout proche.

Voilà pour la morale mais je garde espoir :

Je suis avec trois amis sur un projet de production de plastiques à usage unique fabriqués à partir du chanvre.

Nous allons commencer par produire des sachets et sacs sous trois références, des gobelets, des couverts et des assiettes. Nous espérons en cas de succès, poursuivre avec des jetables classiques tels que bouteilles, rasoirs, stylos, briquets et autocollants publicitaires. Nous espérons fédérer des volontaires ainsi que d’éventuels sponsors.

Notre démarche ne va pas dans le sens de sauver le monde, nous ne sommes pas des messies ; car si nous volons survivre, cela incombe à chacun d’entre nous d’apporter sa pierre à l’édifice mais en cas de succès de l’entreprise, ça sera toujours un plus en faveur de notre si belle planète et des générations futures.

Il faut savoir que le plastique issu du chanvre est biodégradable en 90 jours contrairement à celui issu de l’industrie pétrolière qui lui se dégrade sur plusieurs siècles d’ou le problème que nous connaissons aujourd’hui et qui va en s’accélérant à vitesse exponentielle.

Pourquoi les industriels, ceux qui ont les moyens ne mettent-ils pas tout en œuvre pour rectifier le tir en produisant des plastiques à usage unique biodégradables à très court terme et pourquoi les consommateurs continuent-ils à les suivre les yeux fermés ?

Une bouteille en verre est réutilisable contrairement à la bouteille en pet que l’on jette après consommation. Un cabas en chanvre ne s’use pas et se bonifie au cours de sa longue vie,  il en va de même pour tous les vêtements qui deviennent de plus en plus doux au fil des lavages et qui ne laissent pas de microfibres toxiques dans les eaux usées.

Mais qu’est-ce qui pousse donc l’humanité vers ce dogme mortifère du consumérisme autodestructeur ?

POLLUTION :

Des chercheurs ont retrouvé une quantité «non négligeable» de microplastiques dans un coin des Pyrénées ariégeoises censé être épargné par ce type de pollution. >>>

Voir aussi :

Les bienfaits du chanvre et les raisons de sa diabolisation >>>

Mike Oldfield : « Earth Moving »

Une chanson pour Gaïa que j’ai sous-titré en français.

Merci à Mike Oldfield pour son aimable autorisation.

Many tanks to Mike Oldfield for his kindly permission.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Environnement : Plus de 3 milliards de tonnes de bombes chimiques présentes dans la mer du Nord et la mer Baltique

Selon l’Institut océanographique de Moscou, il suffirait qu’1/6ème de ces substances s’échappent dans la Baltique pour éradiquer toute forme de vie sous-marine pendant un siècle.

On connaît la pollution plastique qui ravage nos mers et océans, mais il en existe une autre, bien plus pernicieuse. Après les deux Guerres Mondiales, les Alliés ont jeté des centaines de milliers d’armes chimiques et conventionnelles au fond de la mer du Nord et la mer Baltique. Aujourd’hui, l’érosion des fuselages menace d’éradiquer la vie sous-marine.

Cent ans après la Première Guerre mondiale, les armes créés pour les deux conflits qui ont ravagé l’Europe menacent toujours l’humain et son environnement. Au total, près de trois milliards de tonnes d’armes, chimiques et conventionnelles, auraient été coulées en mer du Nord et en Baltique pour s’en débarrasser à la fin des guerres. Dans son documentaire « Menaces en mers du Nord », Jacques Lœuille nous prévient des conséquences terribles qui pourraient advenir.

Vidéo.

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Environnement : Des photographies inquiétantes des Caraïbes montrent une mer de plastique et de polystyrène

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Mise à jour : lundi 15 avril 2019 – 20:37 –

Des photographies inquiétantes des Caraïbes montrent une mer de plastique et de polystyrène.

La mobilisation des jeunes en faveur du climat est tout à leur honneur bien que le réchauffement climatique dû à l’activité humaine soit selon de plus en plus de scientifiques, de l’enfumage ; mais là n’est pas le sujet de cet article.

On se bat corps et âme pour le climat en occultant du même coup la bombe environnementale qui est prête à nous exploser en pleine figure.

On empoisonne la terre avec des pesticides, on pollue les océans avec des plastiques, on manipule le climat avec la bio-industrie, en ampute le poumon de la terre avec l’huile de palme, on détruit la faune et la biodiversité avec l’agriculture intensive etc …

On est en train de faire de notre maison, la terre, une planète hostile à la vie.

(Vidéos)

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Environnement : Alerte aux microplastiques à Tenerife dans les îles Canaries (Vidéo)

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Non, ce n’est pas de l’écume de mer mais… des milliers de microplastiques. Voici les images hallucinantes tournées sur une plage des îles Canaries.

Fin mars, une habitante de l’île espagnole de Tenerife a filmé une plage complètement recouverte de petits morceaux de plastique. Dispersés sur le sable par la houle, ils ressemblent de loin à de l’écume… Mais en s’approchant, on distingue très clairement des particules de différentes couleurs et textures. Ces images sont un nouveau cri d’alarme sur la pollution des océans.

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Climat : La pensée unique commence par le réchauffement climatique, cause humaine contre l’humain lui-même

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Mise à jour : samedi 13 avril 2019 – 02:08 –

Voici un article auquel j’adhère et que je relaye afin de luter contre cette pensée unique que l’on essaye de nous inculquer à coups de matraquages médiatiques concernant le réchauffement climatique qui n’est finalement que de l’enfumage. En revanche, pour ce qui est de l’environnement, de la mort de la faune et de la biodiversité, de la pollution et de la surconsommation, je tiens un tout autre discours sur lequel d’ailleurs, je reviens régulièrement sur ces pages.

Si vous êtes conquis par les analyses du GIEC lisez cet article et vous ferez partie des sceptiques qui eux seront convaincus de l’arnaque.

Stéphane Guibert / Finalscape

Il est coutumier de lire dans la presse ou d’entendre répéter dans les médias que les quelques « rares » chercheurs (NDLR : Ils sont quand même plusieurs milliers répertoriés (voir un exemple, ici, ou encore ici, une pétition auprès du gouvernement canadien) qui contestent que l’effet de serre provoqué par l’homme soit le responsable du réchauffement climatique, sont de simples déviants, incompétents, mal informés voire financés par les lobbies pétroliers comme EXXON Mobil… ou encore des « flat-earthers » (comme disent les américains : ceux qui croient encore que la terre est plate !) et même, des négationnistes comme ceux qui nient l’existence de la Shoah. Mais où en sommes nous arrivés ?

J’ouvre cette rubrique pour équilibrer le débat et vous montrer qu’il n’en est rien et que de grands experts en climatologie ou dans les sciences fondamentales de l’espace ou de la terre, se donnent beaucoup de mal pour faire entendre un tout autre discours que celui qui est propagé par le GIEC, les écologistes, relayé par la grande presse et les politiques en mal de popularité. Jusqu’au Vice-Président du GIEC, lui-même, qui n’est pas d’accord avec la Pensée Unique ! Comme vous allez le voir, les quelques contestataires que je cite ne sont pas débutants. Au contraire, ce sont tous des spécialistes chevronnés. Et ils ne mâchent pas leurs mots pour dire ce qu’ils pensent du GIEC et de ses conclusions …

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Environnement : Pourquoi les oiseaux marins ingèrent-ils du plastique ?

La présence de plastique dans l’estomac des oiseaux provoque occlusions intestinales et intoxications chimiques. 

C’est un véritable fléau. Les oiseaux marins ingèrent une quantité astronomique de déchets plastiques qu’ils trouvent dans les océans, ce qui conduit irrémédiablement à leur mort. On pensait jusque-là que ce problème était lié au fait que ces oiseaux confondent les particules de plastique avec des espèces animales. Un facteur donc purement visuel. Une étude récente vient apporter une autre explication à ce phénomène. 

Les chercheurs de l’université de Californie à Davis ont commencé leurs recherches en partant du constat que les oiseaux hauturiers survolent l’océan et parviennent à dénicher de la nourriture, notamment le plancton animal, grâce à leur odorat. Et l’un des indices olfactif qu’ils préfèrent provient d’une molécule : le DMS pour diméthylsulfure. Une molécule produite par la décomposition du plancton végétal lorsque le plancton animal vient le manger, rapporte le journaliste scientifique Pierre Barthélémy sur son blog Passeur de sciences. 

Quand le plastique devient un leurre

Pourquoi les animaux marins seraient-ils attirés par le plastique alors qu’il n’est absolument pas composé de DMS ? C’est là que les chercheurs de l’université de Californie entrent en scène. Ils ont mené l’expérience de laisser flotter des petites perles de plastique dans l’océan, au large des côtes californiennes, pendant trois semaines. Après ce temps, ces petites billes ont été récupérées et analysées et là, les résultats sont sans appel : avant l’expérience, les perles de plastique ne dégageaient pas de DMS mais après, elles en contenaient toutes, sans exception. Pourquoi ? Les chercheurs ont mis en évidence que le plastique apparaît comme un support idéal pour ce qui est appelé « l’encrassement biologique ». Cet encrassement correspond à une sorte de pellicule d’être-vivants microscopiques qui vient se former sur les déchets plastiques et qui émet quoi ? Du DMS ! Et il apparaît que la concentration de DMS émise par le plastique « encrassé » est suffisante pour qu’un oiseau marin soit attiré, nous dit l’étude. Le plastique devient alors un leurre.

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Environnement : Stocamine, la bombe à retardement et un somptueux cadeau suicidaire pour la génération à venir

Stocamine, la bombe à retardement !

La planète est en overdose de tout ce que la gent humaine lui fait subir et il n’y a pas un jour où n’éclate un scandale sanitaire ou environnemental. En voici un, bien gratiné, bien musclé ne demandant qu’à nous exploser en plein visage.

Stocamine : société créée en 1991, spécialisée dans l’entreposage des déchets que l’on ne sait pas recycler et qui potentiellement représentent un danger pour l’environnement et notre santé nous met face de par son ingérence à traiter le problème, à nos responsabilités avec ce constat alarmant qui une fois de plus  nous incite à remettre en question notre gestion désastreuses de l’entreposage des déchets toxiques.

C’est en Alsace, à Wittelsheim qu’il y a 20 ans, la France décidait d’entreposer 40 tonnes de déchets toxiques composés d’arsenic, d’amiante, de chrome, de résidus de pesticides … Cela devait être temporaire mais le gouvernement français vient de décider que tous ces déchets ne seront jamais remontés à la surface. (Superbe cadeau pour les générations à venir).

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La 5G : Un danger pour notre santé et pour l’environnement ?

Mise à jour : lundi 25 mars 2019 – 19:37 –

La 5G, un danger pour notre santé et pour l’environnement ?

Infrarouge est une émission à l’écoute de son public. Vous avez été très nombreux, et très nombreuses, à nous envoyer des mails pour nous dire : « Faites une émission : les dangers de la 5G » ! Et bien on va le faire, ça sera mercredi. On ne va pas se demander si on risque d’être espionnés par les chinois, ça on l’a déjà fait, on va se demander quels sont les risques pour la santé de ces technologies qui aujourd’hui posent beaucoup de questions, créent des inquiétudes et des incertitudes. Et puis on va se demander de manière générale si on est pas un peu fous de vouloir d’un côté protéger la planète, et de l’autre, connecter tout ce qui bouge avec tout ce qui bouge en permanence.

Ca sera le débat d’infrarouge mercredi 27 mars à 21:15. Une émission à ne pas manquer ou à voir sur RTS Play et TV5 Monde.

Elle est au cœur de toutes les discussions et déchaîne les passions sur les réseaux sociaux: la 5G suscite à la fois toutes les craintes et tous les espoirs.

Du côté des espoirs, une technologie sans fil de 5e génération, 100 fois plus rapide que la précédente, et la perspective de connecter tous les objets entre eux ou presque.

Du côté des craintes, une technologie déployée très vite, trop vite peut-être, alors que sa dangerosité pour la santé reste encore incertaine.

Alors 5G, tous grillés? C’est le débat connecté d’Infrarouge, mercredi soir 27 mars, en direct à 21h15, avec vos messages sur les réseaux sociaux.

Présentation: Alexis Favre

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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La débauche sexuelle au service de la débauche climatique : Stop à l’instrumentalisation de la jeunesse !

IL FAUT ARRÊTER CETTE MYSTIFICATION DU CLIMAT PRENANT EN OTAGE LA JEUNESSE !

On en est rendu bien bas ! Proposer de se faire encxxx ou de se faire sucer le Clxxx plutôt que le climat !

Laissez-moi dans un premier temps vous relayer ces quelques lignes qui à défaut de vous convaincre quand à l’imposture de cette mystification climatique instrumentalisant les jeunes de la planète entière sur le climat aura, je l’espère, l’avantage d’éveiller votre questionnement.

G.S / FINALSCAPE

Une escroquerie médiatique : « LES jeunes manifestent pour le climat »

S’il faut suivre les médias, nous sommes tenus de croire à l’existence d’une organisation internationale des « jeunes » dont personne ne soupçonnait l’existence — une organisation occulte donc —, suffisamment puissante pour commander dans « 112 pays » une révolte des intéressés. En tenant compte que l’annonce la mobilisation générale s’est faite avant la tenue du moindre attroupement, une explication plus plausible s’impose : les médias de 112 pays ont reçu la consigne de relayer un mot d’ordre pour mobiliser les jeunes les plus crédules. De fait, on a assisté toute la journée à un matraquage de la grande presse, à un rabattage gigantesque et totalement disproportionné si on observe la mobilisation réelle sur le terrain.

Cet évènement illustre parfaitement les techniques de manipulation de masse utilisées depuis l’aube de la Révolution de 1789. Par delà les prétextes invoqués (ici la protection du climat) il y toujours l’objectif occulte de réaliser l’unité d’une société sans recours à ce qui unit naturellement : l’autorité soumise la loi naturelle. Afin de créer cette unité artificielle, on recoure à deux procédés mis en évidence par le sociologue Augustin Cochin pour décrire la substitution de la société naturelle par ce qu’il appelle « les sociétés de pensée »

Il faudrait commencer à devenir adulte en se disant qu’en ne suivant pas le troupeau, on ne devient pas forcément l’idiot du village, bien au contraire ! (ndlr)

Et à présent, sans ménagement et sans détour, le véritable visage de la pauvre Greta Thunberg  instrumentalisée :

Depuis environ cinq mois, une jeune Suédoise de 16 ans, autiste Asperger, se retrouve sous les projecteurs médiatiques du monde entier. Elle fait la « grève de l’école » pour se faire entendre et son combat est juste. Il s’agit pour elle de passer un message aux milliardaires, aux décideurs politiques, que ce soit à la COP24 en Pologne ou dernièrement à Davos afin qu’ils respectent leurs engagements sur le climat. Son dernier discours a ému quasiment tous les militants écologistes de la planète :

Derrière ces moments forts, on trouve un petit génie suédois des « public-relations »,Ingmar Rentzhog. L’envers du conte de fées est moins joli, mais plus intéressant.

Le journaliste d’investigation suédois Andreas Henriksson est, d’après mes recherches, le premier à avoir enquêté sur ce sujet et son article a été publié sur le blog de Rebecca Weidmo Uvell, le 11 décembre 2018.

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