En 30 ans, la France a perdu 80% de ses insectes impliquant au passage la mort de 400 millions d’oiseaux !
Les insectes pourraient avoir disparu de la planète d’ici 100 ans. Une synthèse de 73 études révèle que 40% des espèces d’insectes sont en déclin et un tiers sont menacées. Ce serait la pire extinction d’une espèce depuis la disparition des dinosaures selon les auteurs de la synthèse.
Les insectes sont indispensables à nos écosystèmes naturels et à notre survie : 75% des variétés de plantes que nous mangeons sont liées à la pollinisation et sans insectes, pas de pollinisation. Les seuls aliments pollinisés par le vent sont le riz et le blé.
Les animaux qui se nourrissent d’insectes comme les oiseaux, les araignées ou les reptiles ont une importance capitale pour l’équilibre de notre biodiversité et sans leur apport en nourriture, ce serait des centaines de milliers d’espèces qui disparaitraient.
L’Europe aurait perdu 80% de ses insectes en moins de 30 ans et cela a fait disparaitre 400 millions d’oiseaux.
Les insectes jouent également un rôle indispensable dans la fertilisation des sols comme le scarabée bousier qui mange les excréments en les transformant en engrais naturel.
Cette disparition des insectes est liée, selon les chercheurs, à l’agriculture intensive et à la forte utilisation des pesticides. Si l’agriculture décime les insectes, c’est à l’agriculture de changer et à nous de revoir notre mode de consommer.
Éradiquer les déchets plastiques devient une urgence : une vidéo récemment filmée à Amsterdam montre un cygne en train de se servir d’un tas de détritus pour faire son nid. Une image désolante…
Sur une berge de la ville d’Amsterdam où s’accumulent des déchets plastiques en tout genre, sacs, bouteilles et autres emballages ont trouvé une utilité malheureuse : un cygne s’en sert pour fabriquer son nid. Il y a déjà déposé ses oeufs qu’il va couver sur ce tas de détritus. Des images désolantes mais qui rappellent violemment à la réalité celui qui les regarde : le plastique a envahi nos mers, nos océans, et les animaux en souffrent tous les jours.
Plastique mortifère
Visionnée plus d’1 millions de fois, la vidéo a fortement interpellé les internautes. Dans les commentaires, les utilisateurs de Facebook déplore la “connerie humaine” et rappellent combien il est urgent d’agir.
Le plastique cause la mort de milliers d’animaux chaque année. Récemment, une campagne choc de l’ONG Sea Shepherd montrait des animaux étouffés par des sacs plastiques pour sensibiliser à cette enjeu environnemental crucial. Il y a peu, une baleine a été retrouvée morte avec 40 kg de plastique dans l’estomac.
Faire la guerre à l’ensemble du reste du monde c’est très bien.
Pourtant, sur le terrain, certains Américains, de plus en plus nombreux commencent à avoir une autre vision de la grandeur américaine qui s’apparente plutôt à une vision de déclin…
Nous sommes là dans le pays le « plus riche » de la planète.
Nous parlons ici de la première puissance du monde…
Nous parlons ici d’un pays qui a réussi tout de même à accumuler plus de 20 000 milliards de dollars de dettes!!!
Alors, où part le « pognon » se demandent les « gilets jaunes » américains, qui ont évidemment voté Trump comme le rappelle ce reportage de France 24 car si Trump a été élu, ce n’est pas le fruit du hasard.
C’est parce que la-bas comme ici, les choses ne tournent pas franchement très rond.
Nous avons exactement les mêmes problèmes en France et en Europe. Partout en réalité dans l’ancien monde dit développé c’est un effondrement lent avec une terrible détérioration progressive des infrastructures, qu’elles soient médicales et de santé ou encore d’adduction en eau potable ou même des réseaux d’électricité.
Je vous laisse donc visionner ce reportage édifiant. Les Américains font les mêmes sur nous…
Pensez votre résilience et votre autonomie, c’est le meilleur conseil à garder en tête pour affronter ce qui va se passer dans les 30 prochaines années.
La bulle de tout est en train de prendre fin, et ce ne sera pas un moment agréable.
Celles et ceux qui me suivent se diront que depuis quelques temps je fais une fixation sur les plastiques et les microparticules qui leurs sont associées, mais les mauvaises nouvelles se succèdent.
Ne voila-t-il pas que dernièrement, dans les Pyrénées, il pleut et il neige du plastique. Je mettrai en fin d’article le lien qui dévoile l’affaire.
Je m’insurge !
D’un côté, c’est touches pas à mon gosse et de l’autre on lui assure l’enfer terrestre en le gavant de plastique et de tous les artifices qui vont avec.
Je ne sais pas moi mais jusqu’où iront l’ignorance, l’hypocrisie et le déni ?
Finalement, je me dis que nous méritons ce qui nous attend et le pire est tout proche.
Voilà pour la morale mais je garde espoir :
Je suis avec trois amis sur un projet de production de plastiques à usage unique fabriqués à partir du chanvre.
Nous allons commencer par produire des sachets et sacs sous trois références, des gobelets, des couverts et des assiettes. Nous espérons en cas de succès, poursuivre avec des jetables classiques tels que bouteilles, rasoirs, stylos, briquets et autocollants publicitaires. Nous espérons fédérer des volontaires ainsi que d’éventuels sponsors.
Notre démarche ne va pas dans le sens de sauver le monde, nous ne sommes pas des messies ; car si nous volons survivre, cela incombe à chacun d’entre nous d’apporter sa pierre à l’édifice mais en cas de succès de l’entreprise, ça sera toujours un plus en faveur de notre si belle planète et des générations futures.
Il faut savoir que le plastique issu du chanvre est biodégradable en 90 jours contrairement à celui issu de l’industrie pétrolière qui lui se dégrade sur plusieurs siècles d’ou le problème que nous connaissons aujourd’hui et qui va en s’accélérant à vitesse exponentielle.
Pourquoi les industriels, ceux qui ont les moyens ne mettent-ils pas tout en œuvre pour rectifier le tir en produisant des plastiques à usage unique biodégradables à très court terme et pourquoi les consommateurs continuent-ils à les suivre les yeux fermés ?
Une bouteille en verre est réutilisable contrairement à la bouteille en pet que l’on jette après consommation. Un cabas en chanvre ne s’use pas et se bonifie au cours de sa longue vie, il en va de même pour tous les vêtements qui deviennent de plus en plus doux au fil des lavages et qui ne laissent pas de microfibres toxiques dans les eaux usées.
Mais qu’est-ce qui pousse donc l’humanité vers ce dogme mortifère du consumérisme autodestructeur ?
Selon l’Institut océanographique de Moscou, il suffirait qu’1/6ème de ces substances s’échappent dans la Baltique pour éradiquer toute forme de vie sous-marine pendant un siècle.
On connaît la pollution plastique qui ravage nos mers et océans, mais il en existe une autre, bien plus pernicieuse. Après les deux Guerres Mondiales, les Alliés ont jeté des centaines de milliers d’armes chimiques et conventionnelles au fond de la mer du Nord et la mer Baltique. Aujourd’hui, l’érosion des fuselages menace d’éradiquer la vie sous-marine.
Cent ans après la Première Guerre mondiale, les armes créés pour les deux conflits qui ont ravagé l’Europe menacent toujours l’humain et son environnement. Au total, près de trois milliards de tonnes d’armes, chimiques et conventionnelles, auraient été coulées en mer du Nord et en Baltique pour s’en débarrasser à la fin des guerres. Dans son documentaire « Menaces en mers du Nord », Jacques Lœuille nous prévient des conséquences terribles qui pourraient advenir.
Non, ce n’est pas de l’écume de mer mais… des milliers de microplastiques. Voici les images hallucinantes tournées sur une plage des îles Canaries.
Fin mars, une habitante de l’île espagnole de Tenerife a filmé une plage complètement recouverte de petits morceaux de plastique. Dispersés sur le sable par la houle, ils ressemblent de loin à de l’écume… Mais en s’approchant, on distingue très clairement des particules de différentes couleurs et textures. Ces images sont un nouveau cri d’alarme sur la pollution des océans.
Voici un article auquel j’adhère et que je relaye afin de luter contre cette pensée unique que l’on essaye de nous inculquer à coups de matraquages médiatiques concernant le réchauffement climatique qui n’est finalement que de l’enfumage. En revanche, pour ce qui est de l’environnement, de la mort de la faune et de la biodiversité, de la pollution et de la surconsommation, je tiens un tout autre discours sur lequel d’ailleurs, je reviens régulièrement sur ces pages.
Si vous êtes conquis par les analyses du GIEC lisez cet article et vous ferez partie des sceptiques qui eux seront convaincus de l’arnaque.
Stéphane Guibert / Finalscape
Il est coutumier de lire dans la presse ou d’entendre répéter dans les médias que les quelques « rares » chercheurs (NDLR : Ils sont quand même plusieurs milliers répertoriés (voir un exemple, ici, ou encore ici, une pétition auprès du gouvernement canadien) qui contestent que l’effet de serre provoqué par l’homme soit le responsable du réchauffement climatique, sont de simples déviants, incompétents, mal informés voire financés par les lobbies pétroliers comme EXXON Mobil… ou encore des « flat-earthers » (comme disent les américains : ceux qui croient encore que la terre est plate !) et même, des négationnistes comme ceux qui nient l’existence de la Shoah. Mais où en sommes nous arrivés ?
J’ouvre cette rubrique pour équilibrer le débat et vous montrer qu’il n’en est rien et que de grands experts en climatologie ou dans les sciences fondamentales de l’espace ou de la terre, se donnent beaucoup de mal pour faire entendre un tout autre discours que celui qui est propagé par le GIEC, les écologistes, relayé par la grande presse et les politiques en mal de popularité. Jusqu’au Vice-Président du GIEC, lui-même, qui n’est pas d’accord avec la Pensée Unique ! Comme vous allez le voir, les quelques contestataires que je cite ne sont pas débutants. Au contraire, ce sont tous des spécialistes chevronnés. Et ils ne mâchent pas leurs mots pour dire ce qu’ils pensent du GIEC et de ses conclusions …
Quand les multinationales se positionnent sur des thématiques environnementales, elles soulèvent le doute sur leurs réelles intentions: engagement durable ou simple technique de communication?
La présence de plastique dans l’estomac des oiseaux provoque occlusions intestinales et intoxications chimiques.
C’est un véritable fléau. Les oiseaux marins ingèrent une quantité astronomique de déchets plastiques qu’ils trouvent dans les océans, ce qui conduit irrémédiablement à leur mort. On pensait jusque-là que ce problème était lié au fait que ces oiseaux confondent les particules de plastique avec des espèces animales. Un facteur donc purement visuel. Une étude récente vient apporter une autre explication à ce phénomène.
Les chercheurs de l’université de Californie à Davis ont commencé leurs recherches en partant du constat que les oiseaux hauturiers survolent l’océan et parviennent à dénicher de la nourriture, notamment le plancton animal, grâce à leur odorat. Et l’un des indices olfactif qu’ils préfèrent provient d’une molécule : le DMS pour diméthylsulfure. Une molécule produite par la décomposition du plancton végétal lorsque le plancton animal vient le manger, rapporte le journaliste scientifique Pierre Barthélémy sur son blog Passeur de sciences.
Quand le plastique devient un leurre
Pourquoi les animaux marins seraient-ils attirés par le plastique alors qu’il n’est absolument pas composé de DMS ? C’est là que les chercheurs de l’université de Californie entrent en scène. Ils ont mené l’expérience de laisser flotter des petites perles de plastique dans l’océan, au large des côtes californiennes, pendant trois semaines. Après ce temps, ces petites billes ont été récupérées et analysées et là, les résultats sont sans appel : avant l’expérience, les perles de plastique ne dégageaient pas de DMS mais après, elles en contenaient toutes, sans exception. Pourquoi ? Les chercheurs ont mis en évidence que le plastique apparaît comme un support idéal pour ce qui est appelé « l’encrassement biologique ». Cet encrassement correspond à une sorte de pellicule d’être-vivants microscopiques qui vient se former sur les déchets plastiques et qui émet quoi ? Du DMS ! Et il apparaît que la concentration de DMS émise par le plastique « encrassé » est suffisante pour qu’un oiseau marin soit attiré, nous dit l’étude. Le plastique devient alors un leurre.