D’un côté, il est demandé aux citoyens de trier scrupuleusement leurs déchets, les sacs poubelles sont même parfois taxés et au final, ces mêmes déchets sont déversés sauvagement dans la nature.
Une vidéo éloquente filmée par ce courageux chauffeur qui n’hésite pas à se mettre en avant pour en dénoncer le scandale.
Alors que notre civilisation est sur le point de s’effondrer, nous continuons comme si de rien n’était à user et abuser des énergies fossiles. Le chanvre qui pousse partout, qui n’a besoin d’aucun traitement ni d’arrosage et qui peut être utilisé pour produire tout ce qui s’obtient par le pétrole, continue à être diabolisé. Cherchez l’erreur !!!
Souvent confondu, le chanvre est une plante magique. Elle n’a aucune valeur récréative, par contre, elle a un énorme potentiel écologique car on peut presque tout faire avec :
Alors que le coton utilise 16% de tous les pesticides et 30’000 litres d’eau pour un simple kilo, le chanvre ne demande ni arrosage, ni pesticide et ses fibres donnent un tissu de très bonne qualité.
Le plastic de chanvre est 100% biodégradable. Il peut être moulé dans n’importe quelle forme et même utilisé par les imprimantes 3D.
Très isolant, très léger, super résistant au feu, il peut aussi être utilisé dans la construction.
Et pour rappel :
Cette plante miraculeuse et qui peut pousser partout a effectivement été diabolisé puis interdite. Il faut surtout savoir que toute l’économie des États-Unis était basée sur la culture du chanvre et que jusqu’en 1’800 les taxes pouvaient même être payées avec cette matière première. Cerise sur le gâteau, il était même illégal de ne pas en faire pousser.
Que c’est-il passé ?
En 1930, les États-Unis ont inventé le mot marijuana en disant qu’il s’agissait d’une drogue dangereuse venant du Mexique.
Qui est derrière cette prohibition ?
Je ne vous surprendrai pas en vous disant que les industries pétrolières, forestières, pharmaceutiques et textiles qui sont à l’origine de cette propagande avaient tout intérêt à voir disparaître cette manne pour ainsi dire gratuite.
Que peut-on obtenir avec le chanvre ?
Pour ainsi dire, tout ! On peut remplacer presque tous les produits provenant de l’industrie pétrolière comme par exemple, le biodiesel; on peut avec la résine fabriquer un plastique bio dégradable. Pour la petite histoire, un des modèles de voitures d’ Henry Ford de 1941 était construit en résine de chanvre qui est dix fois plus solide que l’acier et roulait au biodiesel de chanvre.
Le papier fabriqué avec du chanvre.
En 1916 le gouvernement américain disait que depuis les années 40 tout le papier serait fabriqué avec du chanvre afin d’endiguer le massacre des forêts. Une étude démontrait que 4’o46 m² de chanvre à la production équivaut à 16’592 m² de forêts. petite anecdote, la constitution américaine a été rédigée sur du papier de chanvre. La fabrication du papier ne demande pas de blanchissement au chlore. ce papier peut être recyclé entre 7 et 8 fois en comparaison au papier issu du bois qui lui ne peut pas être recyclé au delà de 3 fois.
Le chanvre peut être utilisé dans la construction. Une maison faite en chanvre sera 6 fois plus solide qu’une maison construite en béton tout en n’en pesant que la moitié et en étant trois fois plus souple. Imaginez donc des maisons faites en cette matière dans des régions sujettes à des secousses sismiques importantes telles que le Japon par exemple. De plus, le chanvre est auto isolant ce qui implique beaucoup d’économies d’énergie. Il résiste à la pourriture, au fongus et aux insectes, ininflammable il résiste aussi à l’humidité.
Le chanvre est une des plantes ayant le plus de vertus médicinales telles que des fonctions anti psychotiques, anti épileptiques, anti cancer, anti bactérien, anti diabétique, stimulation des os, anti inflammatoires etc… Les bienfaits médicaux ne s’obtiennent pas en le fumant mais en le vaporisant ou en le mangeant.
La culture de chanvre ne demande aucun traitement particulier ce qui bannit tous les intervenants chimiques dont a besoin l’agriculture made in Monsanto. La fleur femelle du chanvre est un insecticide naturel qui tue purement et simplement l’insecte parasite qui s’y aventurerait. La fibre de chanvre permet la fabrication de tout ce qui est issu de l’industrie textile.
Découvrez cette vidéo de Gabriel Luneau humaniste et écologiste convaincu.
Vous avez déjà vu des panneaux solaires standards, ils sont noirs ou bleus foncés et ils sont plus utiles que esthétiques. mais de nouvelles technologies sont développées en Suisse.
Laure Emmanuelle travaille au centre Suisse d’électronique et de micro technique à Neuchâtel (CSEM), ses chercheurs ont développé une technique pour changer la couleur des panneaux solaires, on peut utiliser toutes les couleurs et même des photos pour les couvrir.
Cette technologie permet d’intégrer des panneaux solaires où cela n’aurait pas été possible à cause de la protection du patrimoine par exemple. La production est simple :
On soude des cellules photovoltaïques ensemble avant de les « emballer » pour les protéger. Maintenant, toutes les surfaces imaginables peuvent produire de l’électricité.
Dans ce premier épisode, Marc et Jonas rencontrent Yannick qui souhaite rénover sa maison pour augmenter son confort et payer moins de charges. Embarqué dans le bus solaire, il découvrira trois solutions suisses innovantes et totalement durables. De quoi en savoir plus sur les moyens d’habiter dans l’air du temps.
A force de tirer sur la corde, elle finira par céder, à force de scier la branche sur laquelle nous sommes assis, elle finira par tomber !
Mise à jour : 3 juillet 2018 – 11:55
Julien Wosnitza pense que l’effondrement de notre civilisation est inévitable et publie un manifeste pour nous interpeller à agir.
Notre civilisation devrait prendre fin d’ici à 2030. Nous détruisons notre environnement et pour Julien Wonsnitza, il est impossible d’y remédier politiquement. Les Américains devraient diviser leur niveau de vie par 15 et les Européens par 6 ou par 10.
Diviser notre niveau de vie par 6 ou 10 correspond à ce que les Français aient le niveau de vie aujourd’hui d’un Tibétain ou d’un Bhoutanais et on imagine bien qu’un politique qui aurait une campagne axée sur le fait de diviser le niveau de vie des Français ou des Européens ou des Américains et le calquer sur celui des Bhoutanais n’aurait aucune chance de se faire élire.
Les pays émergents attendent des occidentaux qu’ils montrent l’exemple.
L’effondrement pourrait survenir à tout moment.
Le directeur du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution (GIEC) donne trois ans à la civilisation avant de s’effondrer !
[Effondrement/Collapse]
La question de l’effondrement de notre société est évoquée pour le première fois de façon claire par le 1er ministre Edouard Philippe.
Pour lutter contre la déforestation au Kenya, une ONG teste les «seed bombs», des bombes de graines. La «guérilla agricole» au secours des arbres.
Cette bombe végétale va peut-être aider à reforester le Kenya. On peut semer ces « seed bomb » depuis un hélicoptère et reboiser le pays au rythme d’un millier de graines par minute.
Pendant dix ans (1960/1971), l’armée américaine a déversé sur le sol vietnamien des milliers de tonnes « d’agent orange » herbicide composé de dioxine et fabriqué par la firme Monsanto, la même qui veut aujourd’hui imposer à travers le monde la culture de ses OGM.
Et pour rappel :
40 ans après, l’agent orange de Monsanto continue à faire des ravages !
40 ans après la guerre du Vietnam, l’herbicide de Monsanto « Agent Orange » qui était utilisé et largué par des avions (Chemtrails) afin de détruire la végétation servant de refuge aux ennemis américains continue à faire des ravages sur la population.
Le fabricant de ce produit Monsanto continue à réfuter sa part de responsabilité sur les méfaits de ce poison hautement toxique sur tout l’écho système et la population locale. Pourtant cela ne l’empêche pas de persister et signer car son tristement célèbre herbicide Roundup contient cette fameuse substance incriminée au Vietnam par la communauté scientifique, la dioxine.
Les mutations génétique se poursuivent génération après génération en se transmettant de la mère au nourrisson.
Celles et ceux qui ont déjà été témoins de ce phénomène de toiles d’araignées tombant du ciel seront intéressés par ce billet, les autres aussi d’ailleurs.
La première vidéo présentée est un montage extrait de l’émission du Youtubeur Silvano Trotta, intitulée : « La vérité cachée des chemtrails » qui est insérée en fin d’article.
Ce premier document s’intéresse plus particulièrement à ce phénomène de toiles d’araignées qui descendent du ciel ; il s’agit en fait de polymères, perturbateurs endocriniens issus de l’interaction entre deux métaux, l’aluminium et le mercure.
Une expérience très intéressante vous démontre comment interagissent ces deux métaux hautement toxiques pour l’environnement et la santé humaine et vous comprendrez alors comment peuvent se concrétiser ces pluie de fausses toiles d’araignées qui se produisent un peu partout à travers le monde.
A noter que la composition du carburant n’est pas la même pour les avions à (polymères) que pour les avions qui ne laissent que les trainées dites : contrails ou chemtrails.
Jacques Le Verger, Ingénieure agronome se bat depuis 2015 pour homologuer un produit 100% bio qu’il a mis au point et qui est une alternative au Glyphosate.
Ce produit a pourtant fait ses preuves avec la marine nationale qui l’a testé sur ses sites. Un sous-traitant de la SNCF chargé de l’entretien des voies c’est mis sur les rangs. Depuis longtemps, l’entreprise cherchait elle aussi une alternative au Glyphosate pour désherber les 300 kilomètres de sa ligne, Bordeaux Tours ce qui a été reffusé, le produit n’ayant pas reçu l’autorisation de sa mise sur le marché.
L’ingénieur qui a déjà investi 1 million d’euros pour développer son produit a même obtenu une certification de l’INERIS, qui la jugé parfaitement inoffensif pour l’homme et pour l’environnement.
Et pour rappel : En 2015, une petite entreprise française ne parvenait pas à vendre son désherbant bio.
(Première publication : 12 novembre 2017 sur ce site)
Jacques Le Verger, créateur de l’entreprise Osmobio, à Loudéac, a mis au point un herbicide qui s’avérerait sans dangers, selon les premières études réalisées. (Photo d’archives Didier Déniel)
OsmoBio, désherbant 100% bio qui pourrait être une alternative intéressante face aux fameux Roundup de Monsanto et pourtant, en 2015, cette petite entreprise bretonne dirigée de main de maître par Jacques Le Verger ne parvenait pas à vendre son produit. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Stéphane Guibert
Où en est rendu Jacques Le Verger, ce Loudéacien qui a inventé un désherbant “naturel” et jugé sans risque ? En plein débat sur le glyphosate, il compte déposer un nouveau dossier à l’Anses, au premier semestre 2018, afin de commercialiser son produit. Après moult années de combat pour convaincre.
Ce mercredi, à Bruxelles, la Commission européenne a décidé de remettre à plus tard son vote sur le renouvellement de l’autorisation du glyphosate, l’herbicide tant contesté. Ce mercredi, à Loudéac, Jacques Le Verger, patron de l’entreprise Osmobio, continue d’œuvrer pour que sa solution alternative – un désherbant prometteur – puisse être commercialisée.
Plus d’un million d’euros engagés
Depuis 2009, sa petite société a engagé plus d’un million d’euros pour mener à bien les études idoines dans le but de convaincre l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) de l’absence de danger de sa trouvaille. Il y a deux ans, l’Anses estimait son premier dossier incomplet.
A la suite de cela, “nous avons changé notre approche du produit, plus concentré, afin de réduire son coût et son impact écologique, en diminuant les ressources en plantes dont nous avons besoin”. Le diplômé d’agronomie doit en effet isoler “cinq à six actifs” végétaux pour formuler son produit qui a été testé par la Direction des routes de l’Ouest (Diro) de 2011 à 2013. Des tests qui se sont avérés “concluants”.
Concrètement, Jacques Le Verger compte confier ce nouveau dosage à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) en début d’année 2018. En juillet 2012, ce grand laboratoire public avait conclu, pour la première formule, à une absence de risques pour l’homme et l’environnement. Si les résultats s’avèrent aussi bons, le gérant d’Osmobio remettra ensuite un dossier complet à l’Anses. A la clé, au moins trois mois d’études de toxicité.
Tout s’accélère pour trouver une alternative au glyphosate
Malgré toutes ces années passées à voir des obstacles se dresser les uns après les autres, Jacques Le Verger garde confiance. Et peut-être plus encore aujourd’hui. Il observe le débat sur le glyphosate et le besoin toujours plus urgent d’une solution de substitution. “Je pense que cela va accélérer le processus d’étude des produits alternatifs, c’est nécessaire”, estime-t-il.
Ne craint-il pas de voir des géants de l’agrochimie lui passer devant ? “Je reste réaliste mais je considère que l’on a toujours un temps d’avance concernant l’utilisation d’extraits de plantes. Et notre produit se révèle très proche du glyphosate en terme d’efficacité”, affirme le patron loudéacien. “Il y aura plusieurs désherbants sur le marché, les consommateurs feront des comparaisons et j’espère que le nôtre sera reconnu comme performant, écologique et économique”, complète-t-il.
Quant aux désherbants “naturels” (aux acides pélargonique ou acétique) déjà en vente en jardinerie, ils ne trouvent – évidemment – pas grâce aux yeux de l’ingénieur : “Ils ne remplissent pas la fonction de désherbage : il n’y a pas d’action sur la racine, les plantes redémarrent de plus belle”.
Reste à savoir d’où viendra la solution miracle contre les herbes folles – si elle existe. Peut-être du cœur même de la Bretagne, à Loudéac…
Le ministre de l’Agriculture refuse l’interdiction légale du glyphosate.
Pour Delphine Batho, ancienne ministre de l’Écologie et Présidente de Génération écologie : »il y a une ingérence inacceptable des lobbies dans la démocratie »
Un amendement concernant l’interdiction du Glyphosate en France est tombé entre les mains de l’UIPP, qui regroupe Monsanto-Bayer, BASF, Syngenta entre autres, plus de 90 heures avant qu’il ne soit porté à la connaissance de l’Assemblée nationale.
5 questions sont alors soulevées :
Qu’est-ce que le Glyphosate ?
Pourquoi se battre pour l’interdire ?
Est-ce que le gouvernement Macron a rétropédalé sur ses positions ?
Qu’est-il reproché à Bayer-Monsanto ?
Comment peut-on combattre les lobbies à l’assemblée ?
Retour sur son coup de gueule à l’Assemblée.
Il faut garder à l’esprit que ce produit se retrouve dans nos aliments et dans l’eau que nous buvons, que sa biodégradabilité dans notre environnement est excessivement lente, on parle de plusieurs décennies , que ses méfaits se répercuterons sur les générations à naître et tout ça, pour un profit immédiat.
Sur la vidéo qui suit, les effets des pesticides et des insecticides sur les abeilles et leurs larves en gestation :
Les abeilles trépassent à l’intérieur de la ruche et sont exfiltrées les unes après les autres par leurs consœurs. A l’intérieur de la ruche, le pollen toxique participe à l’alimentation des larves dans leurs alvéoles de cire et c’est là qu’intervient sournoisement le bloqueur de mue, le second insecticide du mélange. Intoxiquées par le pollen, de nombreuses larves ne parviendront pas à se transformer en nymphes et ne deviendront jamais des ouvrières.
C’est un désastre écologique sans précédent que nous vivons et qui remet en question notre propre survie.
Des tonnes de microplastiques se retrouvent dans l’Arctique, zone inhabitée. Quelles sont les conséquences de cette pollution ? L’équipe de Tara Expéditions tente de trouver des réponses.
Comment des microplastiques sont-ils arrivés dans l’Arctique ?
L’expédition de recherche scientifique Tara a mis en évidence la présence de débris de plastique flottant jusque dans l’océan Arctique. Pourtant, cette zone est inhabitée. Selon Romain Troublé, directeur de la fondation Tara :
« Les microplastiques viennent de la terre, de nos rivières, de nos fleuves, ils flottent donc ils coulent avec l’eau dans la mer, ils se fragmentent avec le temps, avec les rayons du soleil et une fois qu’ils se retrouvent dans la mer ils se mettent à dériver comme les courants marins. »
Charriés par le Gulf Stream, le courant Atlantique nord, plusieurs centaines de tonnes de plastique arrivent dans les eaux de surface arctiques depuis l’Europe et les États-Unis. 300 milliards de micro-fragments de la taille d’un grain de riz qui pourraient bouleverser notre écosystème.
« Le microplastique interagit en permanence avec les microalgues, les virus, les bactéries dans la mer et finalement, il se fait coloniser par ces microalgues et ça fini par sentir la nourriture, c’est mangé par des petits organismes puis des plus gros et encore des plus gros et aujourd’hui, on a pas la réponse on ne sait pas à quel point c’est nocif, la recherche qui va se développer dans les années qui viennent va être de comprendre jusqu’où cette pollution affecte l’écosystème, affecte la chaîne alimentaire. Est-ce que ça va jusqu’à dans notre assiette ? »
Cela ne fait que quelques décennies que l’humanité utilise du plastique et la pollution générée est déjà un problème mondial jusque dans les zones les plus isolées. Les scientifiques de la fondation Tara analysent maintenant les effets des débris plastiques sur les océans.
C’est par nos comportement que nous ferons plier les industriels. Joli coup de gueule sur les aberrations dans l’utilisation du plastique.