Environnement : Ce ciel de plus en plus troublé par de troublantes trainées d’avions

Le ciel de Genève (Suisse) Quai Gustave-Ador, le 17 octobre 2017 à 07:30 (Photo Stéphane Guibert – Finalscape)

De plus en plus régulièrement et de plus en plus souvent, si vous prenez le temps de regarder le ciel dans votre région, vous pourrez constater qu’il se zèbre de longues trainées blanchâtres qui persistent parfois des heures durant. Ces trainées sont laissée après le passages d’avion à réaction.

Ce qui est étonnant c’est de constater la persistance de ces trainées que certains appellent « Chemtrails » et plus étonnant encore, ces trainées s’étalent dans le ciel et par temps clair, finissent par voiler la clarté du soleil.

La photo ci-dessus a été prise tôt ce matin mais déjà bien avant le lever du soleil, on pouvait distinguer ces étranges nuages laissés par les avions qui quadrillaient le ciel du nord au sud et d’est en ouest..

La vidéo qui suit peut laisser songeur : Un slideshow de Genève date de l’article et de troublantes images de Baltimore dans l’état du Maryland aux États-Unis.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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USA : Incendie en Californie, Santa Rosa, la ville transformée en cendres et les thèses conspirationnistes commencent déjà à émerger

Santa Rosa est en cendres, la ville du comté de Sonoma en Californie a été détruite.

Depuis 5 jours de violents incendies ravagent le nord de la Californie.Le bilan humain ce jeudi matin s’élevait à 23 morts. Le président américain, Donald Trump, a déclaré mardi l’état de catastrophe naturelle. Le vent empêche les 8000 sapeurs-pompiers de stopper l’avancée des feux de forêt.

Dans le même foulée, sur les réseaux sociaux, des commentaires et des images tenteraient de démontrer qu’une arme dite « Arme à énergie directe » soit à l’origine de la catastrophe.

Ce qui suit sont des propos tenus sur un compte Facebook et n’engage en rien Finalscape.

Confirmé :

Santa Rosa a été frappée avec une arme à énergie directe.
Par Rick Duarte * 13 octobre 2017 * 5 PM EST USA
Oui, vous avez bien entendu ! La première fois qu’une rosée a été utilisée était pendant la première guerre en Irak… La rosée de l’armée américaine a fait fondre la chair des corps et n’a laissé que des squelettes carbonisé… les voitures et les véhicules avaient également fondu.  La deuxième fois qu’elle a été utilisée c’était le 9/11/2001.  Plusieurs rosées ont été utilisés lors de la destruction des tours jumelles.
Ce n’est pas de la science-fiction ! C’est la vérité !
On a des gens sur le terrain à Santa Rosa qui sont en train de faire des analyses et j’attends qu’ils me recontactent  avec des détails supplémentaires.
Armes à énergie dirigée
Publié le 17 avril 2015
Une arme à énergie dirigée émet de l’énergie hautement concentrée, transférant cette énergie à une cible pour l’endommager. Les applications potentielles de cette technologie comprennent les systèmes d’armes antipersonnels, le potentiel de défense des missiles et la désactivation de véhicules légers, tels que les voitures, les drones, les jet-skis et les appareils électroniques tels que les téléphones portables.

La vidéo qui suit et qui est constituée de trois parties démontre :

  • Images officielles de la catastrophe.
  • Images tournées par un drone et qui démontrerait que les maisons ont été détruites mais que beaucoup d’arbres sont restés intactes.
  • L’étoile de la mort de Star Wars peut-elle exister ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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Environnement : Au Ghana, Une rivière « remplie de sang » stupéfie les Ghanéens

Ce samedi 7 octobre 2017, les habitants de la ville de Koforidua au Ghana ont été surpris en voyant leur rivière devenir rouge sang.

Sur les rives, de nombreux habitants se sont rassemblés pour observer le phénomène. Beaucoup ont d’abord cru que la rivière était pleine de sang, à cause d’un mauvais sort ou d’un abattage massif d’animaux. Mais la véritable explication est bien moins intéressante.

Sur les réseaux sociaux ghanéens, de nombreux internautes ont été surpris, voire choqués, face à plusieurs photos et vidéos amateurs montrant la rivière Nsukwao, dans le district New Juaben, devenir rouge pendant plusieurs heures. Chacun y est allé de son explication, parfois mystique, du sang : une punition divine, certains pensaient que c’était en fait du sang animal, d’autres plus pragmatiques ont affirmé que c’était la conséquence de déversement de produits chimiques dans l’eau.

Un pasteur s’est rendu le jour-même, le 7 octobre, aux abords de la rivière et a qualifié l’événement de « miracle » et de « signe de la colère de Dieu », a rapporté la presse locale. Lawrence Tetteh, pasteur et président du « Service international du miracle » (Worldwide Miracle Outreach) a expliqué lors d’une prière en plein air au bord du cours d’eau :

« Nous chassons tous les démons, nous disons que Koforidua doit être en paix. Il n’y aura pas de sang versé, il n’y aura rien de maléfique, les habitants de Koforidua seront bénis. Comme nous voyons cette chose dans la rivière, la rivière ressemble à du sang, quoi que ce soit et d’où que ça vienne, nous le bénissons au nom de Jésus Christ, amen !. »

Pas de « malédiction divine », de la teinture !

Mais la police locale a annoncé que la substance a l’origine du phénomène était de la teinture déversée en amont par un fabricant de ce type de produits. L’inspecteur en chef du district, Ebenezer Sekyi, a précisé au site d’information Ghanaweb que des fouilles étaient en cours dans son usine pour rassembler des preuves. Sans préciser le nom de l’entreprise responsable.

Plusieurs jeunes Ghanéens font la démonstration du versement de teinture dans la rivière, pour prouver qu’il ne s’agissait pas d’un événement paranormal. Vidéo publiée sur Facebook.

Un chef coutumier local de New Juaben, Barfuor Tutu Boateng Nyantakyi, a qualifié les déclarations des pasteurs de mensonges sans fondement. Selon lui, l’événement n’avait rien à voir avec un miracle, mais était en fait un acte criminel pour lequel le conseil traditionnel a demandé à la police d’arrêter les coupables.

 

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Environnement : Des traces radioactives de ruthénium détectées en Suisse et en Europe

La région de Cadenazzo, près de Locarno (TI). [Alessandro Della Bella – Keystone]

De mystérieuses traces de pollution au ruthénium-106 ont été détectées en Suisse et dans plusieurs pays européens ces derniers jours, sans présenter de danger pour la population. Cette substance radioactive proviendrait de Russie.

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a confirmé mardi la présence de traces de ruthénium-106 à Cadenazzo, au Tessin, la semaine passée. Identifiée le 25 septembre, la concentration de cette substance a augmenté jusqu’au 3 octobre avant de décroître.

Ces valeurs confirment celles qui ont été relevées par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) en France, ainsi qu’en Allemagne, en Italie et en Autriche.

Pas de danger

L’OFSP précise que ces concentrations sont restées inférieures aux limites et n’ont pas contaminé les denrées alimentaires.

D’après l’IRSN, qui se fonde sur des données météorologiques, la source de cette pollution radioactive se trouverait en Russie, au sud de l’Oural. Moscou n’a pour sa part fourni aucune information à ce sujet.

L’IRSN exclut la possibilité d’un accident sur un réacteur nucléaire, car d’autres substances radioactives auraient été détectées. Il pourrait s’agir d’un incident lors du traitement de déchets nucléaires.

Source :

Je profite de ce billet pour rebondir sur un sujet déjà abordé sur ce site :

« Nucléaire, la loi du mensonge »

Un reportage d’investigation sur deux accidents faisant partie des accidents les plus graves de l’histoire qui se sont produits à la centrale nucléaire de St Laurent-des-Eaux. L’un c’est produit en 1969 et l’autre en 1980. Ces faits ont été cachés au grand public et les retombées aujourd’hui affectent toujours l’environnement et la santé.

Résumé de la vidéo:

Nous sommes parti à la chasse aux radiations. Dans notre ligne de mire, des traces de contamination radio actives.

La centrale nucléaire de Saint Laurent des eaux fait partie des sites dangereux en France. Le grand public ne le sait pas mais en réalité, dans cette centrale, deux accidents nucléaires majeurs ont eu lieu.

En 1969 et en 1980

Deux événements qui font partie des dix plus graves accidents nucléaires dans le monde. Des accidents passé sous silence par EDF.

Le nucléaire a fait la promesse qu’il était une énergie propre.

Le nucléaire est une industrie qui a la mauvaise habitude de camoufler ses problèmes derrière des questions de vocabulaire.

Pour les déchets radio actifs, Recyclables et recyclés sont des termes à prendre avec précaution.

Omissions ou mensonges, le grand public n’a jamais été informé pleinement des failles du nucléaire…

Regardez ce reportage que j’ai balancé sur des serveurs que la censure n’affectera pas.

P.s. La bande son défaille à certains endroits et je vous prie de bien vouloir m’en excuser mais ce document malgré les défaillances techniques mérite d’être visionné dans son intégralité.

Pour avoir accès à certaines vidéos, il est nécessaire d’avoir un compte sur le réseau social VK (L’inscription est simple et rapide)

>>>Voir l’article initial<<<

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Saint-Martin : Un témoignage qui en dit long !

Témoignage poignant de Amori résident à Saint-Martin

Nous avons du quitter notre appartement qui est foutu, maintenant il y a des squatters et c’est le bordel. On a du se réfugier dans un autre appartement car la sécurité est nulle.

Tout ce que l’on nous a dit et promis de la part de l’état et des médias, les 3/4 sont faux.

De notre côté aussi il y a des choses qui ne sont pas vraies, au niveau des corps il y  a plein de gens qui disent qu’il y en avait de partout, c’est totalement faux, qu’il y a des gens qui se font violer dans la rue c’est totalement faux, il y a peut être des histoires mais en revanche il y a un gros problème, les pillages, les coups de feu, il y a un tas de gens qui sont armés, il y a des pauvres gendarmes qui ne sont pas du tout préparés à ce genre de situation, ils sont là, ils ne savent pas quoi faire et nous on entend des choses à la radio, que notre gouvernement nous a donné ça et ça… C’est totalement faux !

Il faut arrêter d’écouter n’importe quoi, on se fait censurer…

On a rien, on a pas eu de nourriture, on a pas eu de couvertures et j’ai des enfants avec moi…

J’ai été voir un gendarme le lendemain du cyclone je lui ai dit : Ça part en sucette, donnez-nous une arme ou quelque chose…

Il me répond : Prends tout ce que tu as, si on vient te piller tu te débrouilles.

Je lui réponds : Me débrouiller comment et il rétorque : Sauve ta vie, si tu dois tuer, tues !

Côté Hollandais, ils ont tout eu dans les deux jours qui ont suivi et on pourra le prouver, on a tout, les vidéos datées, on a tout filmé, des milliers de gens ont filmé. C’est fini les bulletins de vote, on va y aller nous !

 

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Environnement : Après le passage de l’ouragan Irma à Saint-Martin, l’analyse du Fil d’Actu

Alors que Saint-Martin se relève péniblement du passage de l’ouragan Irma, de nombreuses questions sur la manière dont l’État a « géré » la situation demeurent.

Derrière les polémiques, que doit-on retenir ? L’État a-t-il abandonné les insulaires ? Et si les solidarités nées de cet abandon étaient porteuses d’espoir ?

Ces derniers jours, les Antilles ont été balayées par Irma un ouragan de catégorie 5 à la violence et à l’amplitude totalement inédite dans cette zone de l’Océan Atlantique. Les dégâts sont immenses. A Saint-Martin, île dont une partie du territoire est français et qui héberge 35’000 de nos compatriotes, les sources parlent de 95 % des habitations détruites; et alors que les habitants se relèvent péniblement pour évaluer les dégâts, s’occuper des blessés et pour certains de leurs morts, de nombreuses voies s’élèvent pour dénoncer une mauvaise prise en charge de la situation par le gouvernement français accusé d’avoir mal évalué l’impact de l’ouragan en amont et de laisser une population démunie face à ses conséquences.

Mettons tout de suite les choses au clair, il est extrêmement difficile de savoir ce qui se passe ou ce qui c’est passé à Saint-Martin tant les tentatives d’utilisation politicienne de la situation empoisonnent la recherche des faits.

S’il est évident que certains ont intérêt à minimiser l’ampleur des dégâts d’autres n’hésitent pas à l’inverse à les exagérer à l’extrême parfois à des fins tout aussi douteuses. Aussi, nous ne nous risquerons pas à prétendre connaître « la vérité ».

Pour autant, au delà des polémiques, des questions demeurent. On peut s’étonner que tous les moyens matériels n’aient pas été mis en œuvre pour faciliter l’évacuation des citoyens quand le danger devenait indéniable. On peut aussi s’étonner du manque en approvisionnement en eau potable, en médicaments, en groupes électrogènes avant la catastrophe. On peut s’étonner que le business ait continué et continue toujours à se faire sur le dos des sinistrés et que les compagnies aériennes ne soient pas soumises à un devoir de solidarité et plus globalement, on peut s’étonner qu’il faille attendre une catastrophe pour que les pouvoirs publiques s’intéressent à Saint-Martin, une île rongée par les inégalités et parsemée de bidon villes dont il ne reste aujourd’hui plus rien !

(Le reste dans la vidéo)

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Environnement & climat : Le temps qu’il nous reste

Des phénomènes climatiques toujours plus puissants et voilà que les spéculateurs trouvent le moyen de s’enrichir sur la destruction et la mort.

L’humanité qui finira par signer sa propre extinction dans un déni magistral ne récoltera que ce qu’elle aura semé et l’inéluctable ne devrait plus tarder.

La vidéo que je vous propose dans ce billet énumère des catastrophes naturelles qui ne sont que le prémisse de ce qui dans un proche avenir devrait meubler en grande partie notre quotidien.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Environnement : Les vaches de Haute Savoie mises sur la sellette

Au Biot, un vent de Clochemerle souffle dans les pâturages. À 1 237 mètres d’altitude, au col du Corbier, les 12 vaches d’un éleveur, Sébastien Vittoz, ont déclenché l’ire de certains résidents. Tout simplement parce que les clarines que portent les mammifères autour du cou, sonnent, sonnent, comme dans la chanson d’Édith Piaf.

Après la vente de la station et le bruit des dameuses à l’origine de deux pétitions, voici qu’une troisième atterrit sur le bureau du maire, Henri-Victor Tournier.

Pour la vingtaine de résidents qui, pour la plupart, ne vivent pas toute l’année dans la station, le bruit continuel des cloches « sur les pistes et en face de nos chalets est insupportable ». Et d’ajouter dans leur argumentaire : « Certes, nous comprenons que nous vivons à la campagne et que les cloches sont une tradition. Sauf qu’il y a beaucoup de champs sur les hauteurs et qu’il n’est point nécessaire d’équiper les vaches de cloches puisqu’elles sont parquées, donc repérables. » En un mot, faudrait pas pousser grand-mère dans les orties !

« À quand une pétition pour empêcher les marmottes de siffler ? »

Les signataires enfoncent le clou : « La popularité de la station pourrait souffrir s’ils croient qu’ils n’auront pas de tranquillité pendant leur séjour ». Et de parler des randonneurs limités dans leur progression en raison des enclos à vaches alors que « la commune mène une politique de “montagne douce” ».

En montagnard averti, le maire du Biot, Henri-Victor Tournier trouve l’histoire un peu fort de café. « À quand une pétition pour empêcher les marmottes de siffler et les oiseaux de chanter ? »

Au col du Corbier, l’élu a bien pensé à une combine : remplacer les cloches par des clochettes. Mais là, la tradition pastorale en prendrait un sérieux coup. L’édile revient aussi sur les conditions d’installation de l’alpagiste : « Sébastien Vittoz a eu le courage de s’installer ici il y a 5 ans. Et puis, la montagne sans les vaches avec les clarines, ce n’est pas la montagne. Combien de touristes sont tout heureux de les prendre en photos ? »

Bref, cette histoire de vaches et de cloches, révélée la semaine dernière sur le site du Dauphiné Libéré et qui a ensuite ameuté télés et radios, donne finalement un bon coup de pub à cette petite station. Le maire se veut même écolo et tout baigner dans le développement durable. Les vaches, les moutons, les chèvres sont les tondeuses de la commune. « Oui, les animaux nous évitent d’utiliser des engins qui polluent. De fait, on fait même des économies. »

Même son de cloche si l’on ose dire à quelques encablures du Corbier. Michel Favre-Rochex permet à l’alpagiste de faire brouter son petit troupeau sur son terrain. « Ça m’aide à l’entretenir. Oui, les vaches ont des cloches, mais c’est moins bruyant que le son des Harley-Davidson. »

En attendant, le maire va inviter les résidents à la réunion du prochain conseil municipal le 14 octobre. Pour trouver une solution. Au Biot, l’amour vache n’a pas encore lieu d’être.

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Climat : La Havane, inondée « comme jamais » par l’ouragan Irma

Les violentes rafales de l’ouragan Irma ont balayé dans la nuit La Havane et ses deux millions d’habitants, provoquant d’importantes inondations et l’interruption de l’alimentation électrique.

La capitale cubaine, qui borde le détroit de Floride, a essuyé dans la nuit de puissantes bourrasques atteignant parfois plus de 150 km/h et subi des pénétrations maritimes sans précédent, ont annoncé les autorités, précisant que les effets d’Irma continueraient à être ressentis dans la capitale jusqu’à lundi.

Au niveau du Malecon, le célèbre boulevard de bord de mer havanais, « la mer a avancé comme jamais elle ne l’avait fait auparavant », a affirmé à la télévision nationale Mercedes Lopez Acea, présidente du conseil de défense national de La Havane.

Par endroits, notamment dans le quartier du Vedado, près du centre-ville, l’eau avait avancé sur plus de 500 mètres vers l’intérieur, ont constaté les journalistes de l’AFP. Certains sinistrés n’hésitaient pas à s’aventurer dans l’eau pour se signaler aux secouristes et policiers circulant dans la zone.

« Oui, nous avons eu peur. Les rafales de vent étaient très fortes, ce n’est qu’aujourd’hui, à la lumière du jour, que nous avons pu faire le point (…) Il y a pas mal de dégâts », a déclaré à l’AFP Yasel Vargas, cuisinier de 35 ans, interrogé devant sa maison dans la rue inondée de San Lazaro, dans la vieille ville.

Ernesto Loza, petit entrepreneur de 49 ans, a eu plus de chance. Assis sur le seuil de sa maison, l’eau s’est arrêtée juste au pas de sa porte. « Cela fait 49 ans que j’habite ici, c’est la première fois. Il y a toujours eu un peu de pénétration de la mer, mais jamais autant, à ce niveau ».

Par ailleurs, Mme Lopez Acea a fait état de nombreuses chutes d’arbres et de branches ainsi que de dommages sur le réseau électrique, qui demeurait coupé dimanche matin dans la plupart des quartiers.

Le système de distribution d’eau et le réseau téléphonique filaire étaient aussi perturbés, a-t-on constaté.

La responsable a aussi rapporté que des « effondrements partiels ou complets d’habitations » avaient été recensés dans la ville et la province. Mais elle n’a pu fournir de chiffre dans l’immédiat ni se prononcer sur d’éventuelles victimes.

Avant de filer samedi soir vers la Floride, l’ouragan Irma a provoqué des inondations jusque dans La Havane et semé de nombreuses destructions dans le centre et l’est de Cuba, selon les autorités cubaines. L’agriculture et les infrastructures touristiques ont subi des dommages, a-t-on ajouté de même source.

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Climat : Quand la nature nous rappel à quel point nous sommes si petit

Images impressionnantes d’une nature qui se déchaîne et nous rappel à quel point nous sommes minuscules.

A force de vouloir lui imposer notre mode de vie et de l’obliger à passer par là ou l’on veut qu’elle passe, un jour ou l’autre, cette grande dame reprendra ses droits.

L’ouragan Irma n’est que le prémisse d’une longue succession d’évènements auxquels l’on doit s’attendre ces prochaines années.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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