La démocratie en France, c’est terminé ! Plein pouvoir à l’exécutif !
Les parlementaires ont voté par 100 voix contre 43 la prolongation de l’état d’urgence sanitaire d’ici au 1er juin 2021 et recadrable jusqu’à fin décembre 2021.
Cela signifie que c’est un homme seul entouré de son gouvernement qui décidera quand est-ce que vous aurez le droit de sortir de chez-vous et quand vous aurez le droit d’aller faire pipi. Il s’agit ni plus ni moins de la fin de la séparation des pouvoirs. A quand le jumelage entre la Corée du nord et la France ?
Entre la dictature sanitaire et ce qui se passe aux Etats-Unis en ce moment, tout est étroitement lié ; aucun journaliste au parlement pour en informer les français.
« J’assiste en direct au suicide de l’Assemblée nationale. Au nom de l’urgence sanitaire, la majorité LREM donne les pleins pouvoirs à Macron. Fin de la séparation des pouvoirs. Exit Montesquieu. On se croirait au Grand Casino de Vichy. »
Samedi dernier, un producteur de musique a été passé à tabac dans ses propres studio par trois policiers. Ceux-ci l’avaient aperçu dans la rue sans masque. Ils l’ont ensuite accusé de rébellion et d’avoir voulu prendre leurs armes. Malheureusement pour eux, tout était filmé.
Les images dévoilées et analysées par Loopsider ont tout d’une scène d’Orange mécanique. Samedi dernier, Michel, producteur de musique, regagne son studio. Seulement, celui-ci ne porte pas de masque. Apercevant trois policiers dans la rue, il se dépêche donc d’entrer pour éviter l’amende. Mais les force de l’ordre ne l’entendent pas de cette oreille et pénètrent de manière totalement illégale dans les locaux.
Situation surréaliste
Ce que les policiers ne savent pas, c’est que le hall d’entrée du studio se trouve sous vidéo surveillance. Très vite le ton monte et l’homme est roué de coups par les forces de l’ordre. Selon la victime, des insultes racistes fusent également ; celle-ci assure en effet avoir été traité de «sale nègre». Après plusieurs minutes de calvaire, Michel est secouru par de jeunes artistes présents dans le studio. Les policiers sont alors provisoirement repoussés à l’extérieur.
Une intervention digne d’une scène de braquage
Dans les minutes qui suivent, les policiers projettent du gaz lacrymogène à l’intérieur de l’édifice, ce qui est également totalement proscrit. Soutenus par de nombreux renforts, les forces de l’ordre donnent une proportion ahurissante aux événements. Dans les immeubles voisins, des riverains filment également la scène. Sur les images, on pourrait croire à une scène de braquage, mais il s’agit pourtant simplement d’un non respect de port du masque… On croit rêver.
Et la police accuse le producteur
Pire encore, après ce déroulé kafkaïen, la police accuse alors Michel de rébellion et d’avoir voulu prendre leurs armes. Or sur les images, on voit clairement que ce n’est pas le cas. Une enquête de l’IGPN a déjà été ouverte et cette nouvelle bavure risque de faire grand bruit dans le contexte explosif de la loi sécurité globale…
France : Un employé placé en garde à vue parce que il avait son masque 2 centimètres trop bas !
Il y a eu la dictature Nazi et le fascisme avant et durant la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui, nous sommes en pleine dictature sanitaire et je pense qu’elle sera pire que toutes les autres.
Le covid-19 ne fait pour ainsi dire plus de morts et seuls d’infimes cas isolés sont à déplorer de plus, il s’agit pour la plus part des cas, de personnes âgées soufrant d’autres patrologies. La pandémie est derrière et l’étau sanitaire se resserre de plus en plus. À quoi jouent-ils ?
France et réforme des retraites : C’est le loup qui promet de devenir végétarien
«Vous l’avez vue, cette publicité d’Axa, qui présente votre réforme ?»
François Ruffin : Extrait de la séance publique à l’Assemblée nationale du 17 février 2020
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, en France, on américanise à tout-va !
Pour commencer : la culture avec un cinéma et de la musique à prédominance anglo-saxonne.
Ensuite : la cuisine avec de plus en plus de « fast food ».
Puis : le langage ; en effet : il n’y a pas une phrase où l’on ne glisse pas un mot d’américain.
Et pour terminer : le système des retraites où l’on invite les français, s’ils désirent avoir une vieillesse décente, à cotiser un plan retraite dans le privé comme notamment chez Black Rock ou si non, finir ses jours avec une retraite de misère en travaillant toujours plus longtemps.
Bienvenue dans le monde néolibéral qui nous invite à bouffer si l’on ne veut pas l’être ! Plus humain que ça, tu meurs !
Politique : La France sonne le glas du contrat social
Jean-Jacques Rousseau se retournerait dans sa tombe.
Du contrat social ou Principes du droit politique est un ouvrage de philosophie politique pensé et écrit par Jean-Jacques Rousseau, publié en 1762. L’œuvre a constitué un tournant décisif pour la modernité et s’est imposée comme un des textes majeurs de la philosophie politique et sociale, en affirmant le principe de souveraineté du peuple appuyé sur les notions de liberté, d’égalité, et de volonté générale.
Vidéo :
«Vous êtes une chambre d’enregistrement»
François Ruffin
Extrait de la séance publique à l’Assemblée nationale du 28 janvier 2020.
Peine de mort rétablie en France : Ça fait 3 bon dieu d’années que je vous en parle ici…
Et c’est seulement maintenant que cette nouvelle effleure vos oreilles bandes d’endormis ! À l’époque, on me taxait de complotisme mais souvenez-vous de cette phrase de Jean de La Fontaine tirée de la fable « Le lion et le rat » : « Tout vient à point à qui sait attendre »
Un petit retour en arrière ne fera pas de mal :
«La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire:
a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue;
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.
«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions …».
Effectivement depuis 2007 , l’influence américaine s’est considérablement accrue sur les résolutions Européennes, en particulier une certaine résolution du 25 Avril 2007 , antérieure donc à la parution des modifications ci-dessus rétablissant la peine capitale.
« Ils ont jetés une grenade sur une medic qui était au sol…quel sera votre limite morale, quand Castaner vous demandera d’utiliser des balles réelles…c’est les smicards en bleu qui tapent les smicards en jaune »
Et une petite vidéo toute fraîche pondue afin de vous rafraîchir la mémoire. Elle n’est pas belle la démocratie ?
Les propriétaires immobiliers bientôt privés de leur terrain ?
Propriétaire du bien mais locataire du terrain ?
Ces lois se décident en catimini : l’été quand vous êtes sur la plage en train de vous soucier de votre apéritif et l’hiver lorsque vous réveillonnez !
Mise en garde :
À ces chères élites et ces castes qui s’autoproclament supérieures :
« Sachez qu’en brûlant la chandelle par les deux bouts et en voulant trop jouer avec le feu, on fini par se brûler les ailes. Souvenez-vous d’Icare. » (G.S / Finalscape)
Un rapport remis au Premier ministre pourrait radicalement modifier la conception du droit de propriété. Dans certaines zones, les acheteurs d’un logement neuf pourraient bientôt ne plus être propriétaires du terrain.
Héritée des droits de l’Homme de 1789, la notion de droit de propriété sera-t-elle profondément modifiée ? C’est en tout cas ce que semble souhaiter Jean-Luc Lagleize, député du Modem. Dans un rapport remis mercredi 6 novembre au Premier ministre, l’élu propose une cinquantaine de mesures dans le but de limiter la hausse des prix du logement. Parmi elles, l’une pourrait bien remettre en cause le droit de propriété. Jean-Luc Lagleize propose que, dans les zones « tendues », soient distinguées la possession d’un terrain et celle du logement construit sur ce terrain. Si le bien immobilier serait laissé au propriétaire, le terrain serait quant à lui public.
« Nous ne devons plus laisser la seule loi de l’offre et de la demande, conjuguée à la cupidité humaine traditionnelle, créer une bulle d’enrichissement de quelques-uns », argumente le député de Haute-Garonne. Pour lui, un « changement fondamental de paradigme sur le droit de propriété » est nécessaire. Revoir une notion héritée des droits de l’Homme de 1789 permettrait, selon l’élu, d’enrayer la hausse constante des prix des terrains sur lesquels sont bâtis des logements, c’est-à-dire du foncier.
Jean-Luc Lagleize dénonce une « surenchère » sur le foncier
Si aucune étude n’assure que le foncier est responsable de l’augmentation générale des prix de l’immobilier, les promoteurs s’accordent à en faire l’une des principales raisons. Si Jean-Luc Lagleize recommande la création d’observatoires publics afin de dresser un bilan, son rapport penche du côté des promoteurs. C’est dans cette optique et contre ce qu’il qualifie de « surenchère » que l’élu propose de renforcer les pouvoirs locaux, au détriment des propriétaires privés.
La mesure visant à distinguer la possession d’un terrain et celle du logement construit sur ce terrain s’inscrit pleinement dans cette démarche. Le député souhaite d’ailleurs que soient créés des organismes « fonciers » publics pour accompagner cette transformation. Ceux-ci seraient obligatoires dans les zones où l’offre ne suit pas la demande.
Une telle mesure pourrait provoquer une véritable levée de boucliers. D’autant que dans l’Hexagone, la moitié des ménages sont propriétaires. Reste que les mesures présentes dans le rapport de Jean-Luc Lagleize seront bien proposées à l’Assemblée le 28 novembre prochain.
ARRÊTONS LA CASSE DE L’HÔPITAL PUBLIC,TOUS ENSEMBLE, TOUS UNIS
Médecins, paramédicaux dans la rue le 14 novembre.
0 bloc = 0 programme !
Voilà lancé le slogan d’un personnel hospitalier qui comme une majeure partie des français se battent non plus pour leurs acquis sociaux qui fondent comme neige au soleil mais contre un évident casse et démantèlement de la classe moyenne.
Stéphane Guibert / Finalscape
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