Politique : J’ai voté pour macron parce que ? … Ah oui, parce qu’il est séduisant

Dernière mise à jour : 29 juillet 2018 – 11:25

Politique : « J’ai voté pour macron parce que ? … Ah oui, parce qu’il est séduisant ! »

Les Français seraient-ils victime de ce qu’on a coutume d’appeler « La beauté du Diable » ?

Personnellement, je n’ai rien contre le personnage de Macron bien au contraire même. J’ai une grande admiration pour un homme qui soutenu par toute une clique de lobbyistes  plus fortunés les uns que les autres a su se placer au bon endroit, la France et au bon moment, celui ou apparemment les français sont plus nuls que jamais et ce, afin d’atteindre les plus hauts sommets de la république.

Bravo Macron !

A vous qui avez  encore de la lucidité, je viens de concocter une petite vidéo qui démontre à quel point la France a touché le fond et c’est édifiant !

A mon avis, mieux vaut en rire.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Economie : Explication du projet d’Emmanuel Macron et son  » CDI de mission  » qui s’avère être un magnifique bonus pour le patronat.

Dans une logique implacable ou tout est programmé par avance :

Merveilleux cadeau fait aux entreprises que ce « Contrat de projet »,  « CDI MISSION » ou « CDI de chantier ». Il s’agit de trois noms différents pour un seul et même thème auquel ont déjà recours les employeurs du bâtiment et le gouvernement souhaite l’étendre à d’autres secteurs.

Comment cela fonctionne-t-il ?

On embauche une personne en CDI pour une mission précise et pour un laps de temps défini, et quand le travail se termine, l’employeur peut licencier pour motif personnel, la fin du travail peut justifier le licenciement, le salarié concerné ne pourra pas prétendre à un reclassement comme dans le cadre d’un licenciement économique ni aller aux prud’hommes étant donné que tout est écrit dans son contrat.

Voilà 10 ans que le MEDEF réclame cette généralisation dans l’industrie et dans l’informatique et ce vœu pieux à de grandes chances d’être exhaussé.

Pourtant, ce système est fortement critiqué, posant une multitudes de questions et pour commencer, il y aurait le risque que l’employeur se serve de cette nouvelle mesure afin de prolonger la période d’essai, il peut ensuite s’en servir pour faire baisser artificiellement son taux d’embauches en CDD. En ce qui concerne le salarié, cela va devenir très difficile de prétendre à un prêt bancaire ou de louer un appartement pour ne citer que ces deux exemples car les banquiers et les propriétaires ne sont pas friands de ce genre de contrats.

Le CDD français est très protecteur et les salariés qui en bénéficient ont une prime en fin de contrat qui avec la mise en application de ce nouveau système sauterait. Il s’agit donc d’une procédure qui vise à assouplir le CDD, beaucoup plus que changer le CDI. Cela permet que tout devienne moins couteux et moins contraignant pour les entreprises…

Elle est pas belle la vie ?

On fait chanter les employés leur disant que s’ils refusent de travailler plus pour gagner moins, on délocalise, on ratiboise les primes ici et là (ni vu ni connu), on parle ici d’un CDI Mission, il ne manque plus que les coups de fouets pour motiver les salariés.

Franchement, elle est pas belle la vie ?

La main de votre serviteur

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Géopolitique : Macron et Trump prêts à travailler à une «réponse commune» en cas d’attaque chimique en Syrie

Emmanuel Macron et Donald Trump prêt à attaquer la Syrie ensemble ?

L’Elysée a annoncé que les présidents français et américain Emmanuel Macron et Donald Trump, qui se sont entretenus par téléphone le 27 juin, avaient souligné «la nécessité de travailler à une réponse commune en cas d’attaque chimique en Syrie».

Emmanuel Macron et Donald Trump se sont entretenus par téléphone le 27 juin selon un communiqué de l’Elysée qui précise qu’ils auraient ensemble évoqué la possibilité d’une action commune contre la Syrie en cas d’attaque chimique de l’armée.

La veille, le 26 juin, les Etats-Unis avaient accusé le gouvernement syrien de préparer une nouvelle attaque chimique, et s’étaient dits prêts à intervenir militairement comme ils l’ont fait après l’attaque chimique présumée à Khan Sheikoun, au nord de la Syrie, qui a fait au moins 88 morts début avril.

 

Selon le Pentagone, l’avertissement américain a été motivé par une activité suspecte sur la base aérienne syrienne d’où était partie la précédente attaque.

Quid de la France ?

Juste après l’attaque chimique présumée le président Trump avait ordonné des frappes contre une base de l’aviation syrienne dans la nuit du 6 au 7 avril. Il n’aurait pas prévenu la France de cette opération, selon une source diplomatique.

En août 2013, une attaque aux armes chimiques près de Damas qui a fait plus de 1 400 morts selon le renseignement américain et dont l’origine n’a jamais été établie avec certitude, a failli déclencher une intervention militaire conjointe américaine et française, au titre de la «ligne rouge» conçue par Barack Obama.

Mais le président américain de l’époque avait renoncé au dernier moment, préférant sceller un accord avec Moscou sur démantèlement de l’arsenal chimique syrien. Paris en avait conçu une amertume durable contre son allié américain.

Recevant fin mai le président russe Vladimir Poutine à Versailles Emmanuel Macron avait repris ce principe de ligne rouge et affirmé que Paris répliquerait, y compris seul, en cas d’attaque chimique commise par l’armée syrienne.

Moscou fulmine

Le Kremlin a jugé «inadmissibles» les menaces de représailles lancées par la Maison Blanche contre la Syrie. «Nous considérons comme inacceptables de telles menaces contre le gouvernement syrien», a déclaré à des journalistes le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov ajoutant ne pas connaître les «raisons» ou preuves pouvant motiver les accusations de Washington.

Source :

Beaucoup de remous diplomatiques autour de la possibilité d’une attaque chimique imminente en Syrie ce mardi. Alors que le président syrien visitait une base militaire russe en Syrie, Donald Trump et Emmanuel Macron se sont mis d’accord au téléphone pour agir de concert contre Damas si une telle attaque avait lieu.

Lundi soir, la Maison Blanche a déclaré qu’elle ferait payer “le prix fort” à Bachar El Assad en cas de nouvelle attaque chimique.

“L’objectif actuel, a déclaré Nikki Haley, l’ambassadrice américaine aux Nations Unies, est non seulement d’envoyer un message à Assad mais aussi de dire à l’Iran et à la Russie que si cela arrive à nouveau, nous vous donnons un avertissement. Et mon espoir est que ce message du Président pousse la Russie et l’Iran à y réfléchir à deux fois”.

Côté russe justement, on juge que ces menaces américaines contre Damas sont “inadmissibles”. Le Kremlin a d’ailleurs déclaré que “l’attaque chimique d’avril qui avait fait 88 morts, dont 31 enfants:http://fr.euronews.com/2017/04/26/attaque-chimique-en-syrie-la-france-presente-un-rapport-qui-accuse-damas, “ne pouvait pas être attribuée aux forces armées syriennes”, faute d’“enquête impartiale.”

Une activité suspecte a été détectée ce mardi soir sur la base aérienne syrienne d’où était partie la précédente attaque, selon le Pentagone.

Washington avait en représailles tiré des dizaines de missiles Tomahawk sur des objectifs militaires syriens, suscitant la colère de Moscou.

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Politique : Du « Bla Bla » mais ce qui est concret par contre, c’est qu’Israël a désormais un pied bien assis dans la politique Française.

Benyamin Nétanyahou a un candidat favori au second tour des législatives françaises : Meyer Habib. C’est son ami de longue date, son intermédiaire privilégié auprès des dirigeants français.

Le 25 mai, le premier ministre israélien a même enregistré une vidéo de soutien, tout sourire à ses côtés, diffusé sur le compte Twitter du candidat. Cela suffira-t-il ? Meyer Habib (UDI) joue gros dans la 8e circonscription des Français de l’étranger.

Il a été devancé au premier tour par Florence Drory, la candidate adoubée par La République en marche (35,51 % des voix, contre 36,73 %).

Eh bien c’est chose faite, le voici désormais dans la place.

Avec l’avenue de Meyer Habib, les plus complotistes nous diront qu’il s’agit là d’un plan longuement mûri  pour la mise en place, en France, d’un certain Nouvel Ordre Mondial, le remaniement du Moyen-Orient, Le Grand Israël etc…

Lentement mais surement l’oiseau fait son nid et désormais, avec l’arrivée de Meyer Habib au gouvernement français, les sionistes ont un pion précieux bien placé sur l’échiquier de la politique internationale.

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

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Quand la France abattait un avion italien pensant qu’il transportait Kadhafi

Cette affaire démontre à quel point les Occidentaux voyous sont stupides, tellement arrogants qu’ils pensent qu’un tel crime ne sera jamais découvert. Il est vrai qu’ils prendront des précautions : assassiner tous les témoins un à un. Après les 82 passagers, une demi douzaine d’autres cadavres n’empêcheront pas de dormir les politiciens au pouvoir et certainement pas le commandement de l’OTAN. Sans oublier les dissimulations, censures, mensonges, tromperies des autorités concernant les faits et le déroulé de l’enquête, totalement dirigée par les criminels commanditaires de l’assassinat de Kadhafi.

Malgré toutes ces preuves et ces affaires gravissimes, il y aura toujours des naïfs et des imbéciles pour continuer à croire aux versions officielles comme si ces massacres n’avaient jamais eu lieu ! Comme si ces expériences historiques capitales n’avaient servi absolument à rien…

Tragédie d’Ustica : la revanche posthume de Kadhafi 


La sombre histoire du vol Itavia 870, 82 passagers, abattus en plein vol en 1980 par des chasseurs français qui l’ont confondu avec l’avion de Kadhafi…
Dans la nuit du 27 juin 1980, le vol Itavia 870 (un DC 9 immatriculé I-TIGI) a décollé de Bologne en Italie à destination de Palerme en Sicile. Il transportait 77 passagers, 2 pilotes et 2 membres de personnel de cabine. Les passagers comprenaient 64 adultes, 11 enfants âgés de 2 à 11 ans, et deux enfants de moins de deux ans.
Comme à son habitude, le vol Itavia 870 a mis le cap sur la côte sud de l’Italie. À 20h59, il a brutalement disparu des écrans-radar des contrôleurs aériens italiens. L’équipage n’avait signalé aucun problème technique ou une quelconque situation d’urgence.
À un moment donné l’avion était là, la seconde d’après il avait disparu. les 81 passagers sont morts et les débris de l’appareil ont sombré en mer.
De prime abord, les circonstances de sa disparition semblaient inexplicables.

Le vol s’est parfaitement déroulé jusqu’à ce que l’avion explose sans faire aucun survivant. Interrogées par les médias, les autorités italiennes ont d’abord laissé entendre que le vol 870 aurait pu être victime d’un attentat terroriste. Plausible dans un premier temps, cette thèse a vite été abandonnée en l’absence de toute revendication d’un possible attentat.

Les médias sont donc retournés aux nouvelles. Comme s’ils avaient reçu des consignes du sommet de l’État, les autorités se sont tues et aucune information complémentaire officielle n’a pu être obtenue sur l’affaire. Bien entendu, cela a aiguisé la curiosité de la presse et alimenté ses soupçons selon lesquels, la réalité devait être tenue secrète. Des soupçons qui n’ont pas tardé à se confirmer lorsque toutes les portes se sont refermées les unes après les autres, plus personne ne souhaitant évoquer la question.
Plus troublant encore, les enregistrements des données radar ont disparu ou ont été détruits.
D’autres informations techniques manquaient également ou étaient devenues soudainement inaccessibles. Plus effrayant encore, des témoins-clé ont commencé à décéder dans d’étranges circonstances : d’accidents de circulation, de suicides ou encore de crises cardiaques. Il s’en est suivi une décennie de dissimulation de la part des instances supérieures d’au moins 3 gouvernements. Une dissimulation qui perdure aujourd’hui… Bref, tous les ingrédients d’un scénario hollywoodien à ceci près qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais de la réalité.
De l’obscurité à la lumière
L’histoire du vol Itavia 870 est une longue succession de maladresses, d’erreurs, de dissimulations ayant impliqué, d’une part, 3 gouvernements, et d’autre part, un gouvernement qui leur était hostile, celui du dictateur libyen Muammar Kadhafi. Dans une large mesure, les détails de ce qui s’est passé cette nuit là demeurent mystérieux. Toutefois, des éléments de preuve sont apparus récemment qui apportent des éclaircissements sur ce secret longuement gardé. La chute du gouvernement Kadhafi en 2011 a permis d’entre-ouvrir les archives secrètes de l’Etat libyen. Là, parmi les innombrables projets terroristes, les accords internationaux et les terribles malentendus diplomatiques, on a retrouvé des informations détaillées sur la nuit du 27 juin 1980.
Les raisons de l’attaque
En 1980, la communauté internationale était mobilisée contre un gouvernement qui devenait de plus en plus agressif, sous la direction du colonel Muammar Kadhafi. Aux USA, l’administration Carter était engagée dans la course présidentielle contre Ronald Reagan, ex-acteur et ancien gouverneur de Californie. En Europe, l’OTAN était largement absorbée par la guerre froide. L’Union Soviétique venait d’envahir l’Afghanistan. Le monde semblait sur le point d’entrer en conflit.
Pour toutes ces nations, la Libye devenait un problème de plus en plus inquiétant en Méditerranée. Les forces de Kadhafi s’employaient de plus en plus activement à déstabiliser les gouvernements de la région, y compris certaines anciennes colonies françaises en Afrique du Nord. Aux yeux du gouvernement français, il était temps d’éliminer le problème Kadhafi.
Un assassinat de portée internationale
Si l’on en croit les documents découverts en Libye, l’opportunité d’assassiner Kadhafi s’est présentée dans la nuit du 27 juin 1980 alors qu’il traversait la Méditerranée en provenance d’Europe pour regagner son pays à bord de son Tupolev. Une paire de Mirages français avait été mobilisée pour une mission spéciale : intercepter et détruire en vol l’avion de Kadhafi, offrant à toutes les parties concernées, la possibilité de nier ensuite toute responsabilité dans l’affaire. Si tout allait bien, l’épave s’abîmerait en mer et le problème libyen, serait résolu une fois pour toutes.

Dès le départ, les choses ne se sont pas déroulées selon les plans. Ce qui devait être une simple interception, s’est transformé en un engagement aérien confus, impliquant des chasseurs de 4 pays. Les avions français, libyen, italiens et américains ont convergé vers un point précis au sud des côtes italiennes. C’est dans cette mêlée que s’est retrouvé le vol Itavia 870, ignorant tout du drame qui allait se jouer.

Ce que les Français ignoraient depuis le départ c’est que leur tentative d’assassinat était vouée à l’échec. D’après les documents libyens récemment découverts, Kadhafi avait été informé du complot à la dernière minute par une source des services secrets italiens, le SISMI. C’est pour cette raison qu’il a demandé à son équipage de détourner son vol vers Malte. Il était notoire qu’à l’époque, le SISMI était très influent grâce à ses contacts de haut niveau en Libye. L’Italie a conservé des relations étroites avec Kadhafi pendant de nombreuses années. C’est par exemple Bettino Craxi qui a téléphoné à Kadhafi en 1986 pour l’informer du raid imminent de F111 américains. Ce fut une nouvelle fois grâce à l’aide italienne qu’il pu quitter sa résidence quelques minutes avant l’attaque.
Au cours de cette nuit de 1980, au moment précis ou Kadhafi décida de dérouter son avion vers Malte, un MiG23 de l’armée de l’air libyenne faisait route au Nord à sa rencontre afin de l’escorter jusqu’en Libye. Dans la confusion, Ezedine Koal le pilote du MIG n’a pas reçu l’ordre de faire demi-tour et de rentrer à sa base. Au lieu de cela, il a poursuivi son vol vers le Nord au dessus de la Méditerranée, à la recherche du Tupolev de Kadhafi et a été rapidement repéré par les radars de l’OTAN. Selon les plans prévus dans cette éventualité, l’armée de l’air italienne et la Navy américaine ont immédiatement dépêché des intercepteurs alors qu’il s’approchait de l’espace aérien italien.
Soudain, un combat aérien dans la confusion
Quelques minutes plus tard, le MIG-23 libyen était en vue des côtes de Sicile. Ensemble, 3 chasseurs F-104 italiens et au moins un Corsair A-7 II (probablement un vol de deux avions) sont apparus séparément venant de l’Est. Les deux chasseurs français Mirage fonçaient en provenance du Nord avec l’intention de remplir leur mission meurtrière de telle sorte que 7 voire 9 chasseurs de l’OTAN convergeaient vers un même point dans le ciel sombre au dessus de la Méditerranée. Ignorant tout de cette concentration, le vol Itavia 870 poursuivait sa route.
C’est apparemment le MIG-23 libyen qui a aperçu le premier le DC-9 civil sur son radar. Il volait cap au Sud comme prévu. Pour le pilote libyen, il était exactement au lieu prévu du rendez-vous. Il a donc manœuvré son MIG-23 pour se placer à proximité de l’avion de ligne qu’il a vraisemblablement confondu avec le Tupolev de Kadhafi dans l’obscurité. Pour les pilotes des chasseurs français, la paire d’avions qui venait de se former correspondait à ce que prévoyait leur ordre de mission : une cible de la taille d’un avion de ligne, clairement, le Tupolev de Kadhafi, escorté par un seul chasseur libyen qui l’avait rejoint en provenance du Sud. Les deux appareils volant maintenant cap au Sud en direction de la Libye.
Aucun tir de semonce n’a été tiré. C’était supposé être un assassinat pur et simple. L’un des 2 pilotes français à lancer un missile air-air en direction de la plus grosse des cibles. Il a fait mouche et touché l’avant du vol Itavia 870 d’un tir parfait. L’avion de ligne n’avait aucune chance de s’en tirer. Il a littéralement explosé en vol. Alors qu’ils surveillaient la boule de feu qui apparaissait par intermittente dans le lointain, les deux pilotes des Mirage français ont réalisé sur leur radar embarqué que le MIG-23 libyen manœuvrait pour se placer en position de contre-attaque.
Il n’y avait donc qu’une seule chose à faire, le descendre également.
Finir le travail en descendant le MIG-23
À la vue de l’impact du missile sur l’avion de ligne tout proche, Ezedine Koal, le pilote du MIG-23 libyen s’est écarté, à la recherche d’un avion ennemi. Où qu’il pointe le nez de son appareil, son radar révélait la présence de toujours plus de chasseurs ennemis. 3 F-104S Starfighters étaient visibles d’un côté pendant qu’un ou deux Corsair A-7 de l’US Navy arrivaient d’une autre direction. 2 chasseurs français Mirage fonçaient du Nord, leurs radars déclenchant le système de réception d’alerte précoce à l’intérieur du MIG indiquant qu’ils s’apprêtaient à ouvrir le feu. Ezedine Koal était seul et en grand danger. Peu d’options s’offraient à lui en dehors d’engager le combat et de tenter de fuir plein Sud. Ses chances de survie étaient minces. Les intentions hostiles des avions ennemis ne faisaient aucun doute ; après tout ils venaient juste de descendre et dans son esprit d’assassiner le Colonel Kadhafi lui-même, l’homme qu’il était supposé escorter et protéger.
La suite fut une série confuse de manœuvres et de contre manœuvres à grande vitesse dans le ciel nocturne italien. Les chasseurs français et le libyen se sont affrontés au dessus de l’eau pendant que les appareils italiens et de l’US Navy tournaient autour. Le combat s’est déplacé vers l’Est au dessus de la terre ferme jusqu’à ce que le MIG-23 finisse par être touché où qu’il percute les montagnes invisibles plus bas. Il s’est écrasé en percutant les montagnes de Calabre à Castelsilano et Ezedine Koal n’a pas survécu.
Leur mission accomplie, les chasseurs français Mirage ont remis cap au Nord pour rentrer en France. La destruction du MIG leur garantissait qu’il n’existait aucun témoin de leur assassinat de Muammar Kadhafi.
Ce qui s’est passé ensuite et la dissimulation de l’interception
Kadhafi a survécu à la tentative aérienne d’assassinat. Il vivra jusqu’au « printemps Arabe » libyen de 2011. La France n’évoquera jamais publiquement les événements de cette nuit là. Tout comme l’Italie qui optera pour une politique de silence et de dissimulation. Observateurs extérieurs non-européens, les USA garderont également le silence. Face au silence assourdissant des autorités, les médias désigneront la disparition du Vol 870 par le Massacre d’Ustica (« Strage di Ustica » du nom d’un île proche de la mer Tyrrhénienne).
Le 18 juillet 1980 soit 21 jours après l’opération, l’épave du MIG-23 libyen a été localisée dans les montages de Sila. Le corps du pilote Ezedine Koal  encore attaché au siège éjectable, fut identifié grâce à son nom inscrit sur son casque. Les autorités italiennes se sont opposées à ce que deux reporters puissent prendre des photos de la scène. Ils furent appréhendés et relâchés en échange de la confiscation de leurs pellicules.
En dépit de ces ultimes efforts de dissimulation, la presse ne tarda pas à découvrir que le corps du pilote libyen était décomposé, confirmant que son décès remontait à 3 semaines, date de la disparition du vol 870. La concomitance des 2 évènements ne tarda pas à attiser la curiosité de la presse. Le corps du pilote fut rapatrié en Libye après avoir été enterré un moment en Italie.
D’étranges coïncidences et quelques décès inexpliqués  
La dissimulation a duré jusqu’à ce que les enregistrements radars des événements de cette nuit là disparaissent. Il aurait pu s’agir d’une coïncidence. De même les obstacles de toutes sortes et les dissimulations ont retardé l’examen des débris du DC-9 et la rédaction d’un rapport d’enquête pendant 9 ans. Un délai exceptionnellement long en matière d’accident aérien. Le rapport a conclu que « toutes les preuves examinées confirment que l’accident du DC-9 a été causé par l’explosion d’un missile près du nez de l’appareil. En l’état actuel des connaissances, il n’a pas été possible de déterminer le type, l’origine et l’identité du missile ».
La revue Aviation Week and Space Technology compléta le rapport en indiquant que les dommages causés au fuselage de l’appareil étaient compatibles avec ceux provoqués par un missile air-air. Les doutes quant à une implication militaire dans les évènements s’évanouissaient peu à peu. Mais de quelle armée pouvait-il s’agir ? Les libyens pouvaient-ils s’être rendus coupables d’un acte de terrorisme aérien air-air ? S’agissait-il de quelqu’un d’autre ? Très vite les partis politiques de gauche se mirent à affirmer que la US Navy avait abattu l’appareil accidentellement.
Des témoins-clé décèdent de manière inopinée
Plus inquiétant encore quoi qu’il pu s’agir là encore d’une coïncidence, bon nombre de ceux qui étaient de service cette nuit là et qui auraient été des témoins clé des événements, sont décédés dans d’étranges circonstances.
Pierangelo Teoldi le commandant de la base dont ont décollé les intercepteurs italiens F-104S est mort soudainement dans un accident de circulation.
Mario Alberto Dettori et Franco Parisi, deux contrôleurs
aériens ayant assisté à la scène sur leur écran-radar se sont suicidés par pendaison (choix personnel discutable compte tenu de la douleur qu’elle provoque).
L’un de leurs collègues, Maurizio Gari est décédé d’une attaque cardiaque. Il avait 37 ans.
Un 4ème contrôleur aérien, Antonio Muzio, ayant eu connaissance des faits intervenus cette nuit là a été retrouvé assassiné.
Finalement,  Mario Naldini et Ivo Nutarelli, 2 des 3 pilotes italiens ayant participé à l’interception du MIG-23, sont décédés au cours d’une collision lors d’une fête aérienne sur la base de Ramstein en Allemagne. Pour de nombreux conspirationnistes, ces morts en série ne peuvent être le fait du hasard.
Le mot de la fin sur le vol 870 ?
Une enquête formelle a finalement été lancée par un juge italien Rosario Priore qui s’est rapidement heurté aux obstacles mis en travers de son chemin par des personnalités politiques italiennes et des membres de l’OTAN. Ses conclusions ont fait état de la dissimulation mise en œuvre, et 4 généraux italiens se sont retrouvés accusés de haute trahison pour s’être opposés à l’enquête. L’accusation a finalement été abandonnée.
En juillet 2006, les fragments de l’appareil du vol 870 ont été rassemblés et livrés à Bologne depuis la base aérienne Pratica di Mare située près de Rome. Un an plus tard, en juin 2007, le fuselage reconstitué à été exposé dans le tout nouveau Musée de la Mémoire d’Ustica à Bologne. Il constitue le témoignage silencieux de ce qui a probablement été une tentative d’assassinat qui a échoué – terriblement – et provoqué la mort de 81 innocents civils et d’un pilote libyen de MIG.
C’est en 2008 que l’ancien président italien Francisco Cossiga a pris l’initiative de confirmer que le vol Itavia 870 a été descendu par des chasseurs français.
Un aveu qui a fait l’effet d’une bombe bien que les détails de l’opération n’aient pas encore été rendus publics. Peu de temps après, des réparations ont été demandées à la France. Moins de deux ans plus tard, le président Cossiga décédait d’insuffisances respiratoires.
En 2011, les tribunaux italiens ont exigé du gouvernement italien qu’il paye 127 millions de dollars de réparation aux familles des victimes. La lumière se fait peu à peu sur la véritable histoire de ce qui s’est déroulé dans le ciel au dessus de la mer Tyrrhénienne. A la suite de la publication des derniers éléments des archives gouvernementales libyennes, la seule question qui subsiste est de savoir à quel moment les autorités publiques accepteront de reconnaître leur responsabilité dans ce qui s’est passé et de confirmer ou d’infirmer la séquence des événements décrites dans les documents libyens.
32 ans constituent peut être un délai suffisant pour que la vérité soit enfin révélée.

Menadefense.net 
Traduit de l’article : « An assassination of international proportions – 27 juin 1980 and a cover-up by NATO : Civilian jet with 81 civilians shot by french Mirage instead of Qaddafi plane over Sicily » par Thomas Van Hare dans FlyHistoricWings de juin 2012. 

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Histoire : Marseille bombardée le 27 mai 1944 par les Américains

le 2 7 Mai 1 9 4 4

Rappel d’un événement douloureux de Marseille :

Plus de huit cents bombes sont larguées de très haute altitude par cent vingt forteresses volantes, faisant 1976 morts, près de 3000 blessés et plus de 20 000 sinistrés.

C’est ce que relate Serge Brouqui dans son livre Marseille bombardée le 27 mai 1944
Le 27 mai 1944, onze jours avant le Débarquement en Normandie, 134 bombardiers lourds de la 15e Air Force Américaine, attaquent les installations ferroviaires de Marseille entraînant d’importantes destructions dans la ville et de lourdes pertes parmi la population civile.
Dans cet ouvrage de référence, le seul à ce jour entièrement consacré à ce tragique événement, l’auteur s’attache à replacer cette opération militaire dans le contexte de l’époque.
Marseille était-elle un objectif stratégique ? Les Américains ont-ils voulu empêcher la population Marseillaise de se soulever contre l’occupant et le régime de Vichy ?
Fruit de patientes recherches, MARSEILLE BOMBARDEE  apporte des réponses aux questions que de nombreux Marseillaises et Marseillais se posent depuis plus de cinquante ans.
Traitant sans complaisance un sujet encore sensible, Serge Brouqui, témoigne dans ce livre de son intérêt pour l’une des pages les plus sombres de l’Histoire de Marseille.

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Brigitte Macron a été mariée à un certain … Mais qui est vraiment ce banquier de profession, issu d’un milieu bourgeois.

Quand elle rencontre le jeune Emmanuel Macron, Brigitte est mariée à un certain André-Louis Auzière avec qui elle a trois enfants.

Emmanuel et Brigitte Macron, c’est 24 ans d’écart et presque autant d’amour. Avant de rencontrer Emmanuel, celle que l’on surnome « Bibi » mène une toute autre vie.  A l’époque, rient ne la destinait à devenir une potentielle future dame de Frrance., en effet : elle est alors professeur de français, mariée à André-Louis Auzière, le père de ses trois enfants, Sébastien, Laurence et Tifaine.

Qui est André-Louis Auzière, l’ex-mari de Brigitte Macron ?

Dans sa première vie, Brigitte Macron a été mariée à un certain André-Louis Auzière. Ensemble ils ont eu trois enfants, Sébas­tien, Laurence et Tiphaine. Mais qui est ce banquier qui l’a séduite lorsqu’elle était jeune fille ?

Le 7 mai prochain, la France a élu son époux président de la Répu­blique face à Marine Le Pen. Brigitte Macron a-t-elle pu imagi­ner son fabu­leux destin le jour où elle a rencon­tré Emma­nuel Macron ? Sûre­ment que non ! À l’époque mariée et mère de trois enfants, cette profes­seure de français d’Amiens a pour­tant bel et bien succombé aux charmes de son étudiant, malgré les 24 ans qui les séparent.

À cette époque, elle vit encore avec André-Louis Auzière, le père de ses enfants, Sébas­tien, Laurence et Tiphaine. Mais qui est vrai­ment ce banquier de profes­sion, issu d’un milieu bour­geois. Né à Éséka au Came­roun en 1951, André-Louis Auzière passe ses premières années dans cette ancienne colo­nie française, où son père, commis­saire aux comptes, travaille. De retour en France, il fait la rencontre d’une certaine Brigitte Trogneux, de deux ans sa cadette, qu’il épouse le 22 juin 1974.

La céré­mo­nie est célé­brée au Touquet, où la famille de son épouse possède une propriété. Le couple a tout pour être heureux et part s’instal­ler l’année suivante à Stras­bourg, où André-Louis a été muté. Les deux tour­te­reaux commencent alors à fonder une famille. En 1975, naît leur fils Sébas­tien. Puis, deux ans plus tard, c’est au tour de Laurence de voir le jour, la même année qu’Emma­nuel Macron, un de ses futurs cama­rades de classe

Les années passent et la famille Auzière revient dans la ville natale de Brigitte, Amiens, où elle accou­chera en 1984 de Tiphaine, aujourd’hui soutien incon­di­tion­nel du candi­dat d’En Marche. Celle que la presse étran­gère surnomme « Bibi » a une vie de famille bien rangée où rien ne dépas­se… Jusqu’à l’année 1993, date de sa rencontre avec Emma­nuel Macron, alors âgé de 16 ans. Que s’est-il passé dans la tête de cette respec­table profes­seure, qui a décidé de tout plaquer pour vivre un amour impos­sible ?

Selon Anne Fulda, auteure du livre Emma­nuel Macron, un jeune homme si parfait, la vie trop parfaite de Brigitte aux côtés de son mari a fini par la lasser. Si elle évite d’évoquer André-Louis Auzière « par pudeur », cela ne fait aucun doute que « ce dernier ne la rendait certai­ne­ment pas heureuse ». En face, elle est séduite par la fougue et l’intel­li­gence de son étudiant et finira par craquer pour lui, malgré l’oppo­si­tion de la mère du jeune homme.

À l’époque, la rumeur de cette rela­tion fait beau­coup de bruit à Amiens, au point d’arri­ver aux oreilles d’André-Louis Auzière. Et alors que les parents d’Emma­nuel Macron envoient leur fils pour­suivre ses études à Paris, le couple se sépare. La future Brigitte Macron part elle aussi s’instal­ler à Paris. Dans la capi­tale, elle finit par retrou­ver son jeune amou­reux, étudiant à l’ENA, avec qui elle s’instal­lera en 2004… Puis, en 2007, Emma­nuel Macron épouse sa Brigitte au Touquet, là-même où 33 ans plus tôt, elle avait dit oui à André-Louis Auzière.

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Macron veut prolonger l’état d’urgence jusqu’en novembre et adopter une nouvelle loi sécuritaire

Le président de la République a fait savoir qu’il demanderait aux chambres de prolonger l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre. Emmanuel Macron a aussi déclarer vouloir une nouvelle loi pour renforcer «la sécurité face à la menace terroriste».

Emmanuel Macron demandera au Parlement la prolongation de l’état d’urgence, qui devait arriver à échéance le 15 juillet, jusqu’au 1er novembre.

«Le président de la République a décidé que le Parlement serait saisi d’une prolongation de l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre», a déclaré la présidence à l’issue d’un Conseil de défense, avant d’annoncer que «dans les prochaines semaines» un texte législatif pour renforcer «la sécurité face à la menace terroriste hors état d’urgence» sera étudié par les chambres.

«Pour concrétiser ses engagements», Emmanuel Macron a également «donné des instructions pour la mise en place du centre de coordination des services engagés dans la lutte contre le terrorisme, dont l’organisation sera arrêtée, sous son autorité, par le Conseil de défense et de sécurité d’ici au 7 juin», a poursuivi la présidence.

Toujours selon l’Elysée, Emmanuel Macron a une nouvelle fois «souligné la solidarité qui unit la France et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme» après l’attentat qui a fait 22 morts dont des enfants, à la sortie d’un concert le 22 mai au soir à Manchester.

«Le Conseil a examiné les moyens d’apporter toute l’assistance possible à l’enquête menée par les autorités britanniques», a ajouté la présidence, précisant qu’Emmanuel Macron avait étudié les implications de cette nouvelle attaque terroriste sur les mesures de protection mises en œuvre pour assurer la sécurité des Français et contribuer à celle des partenaires de la France.

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Histoire : 8 Mai 1945 : Massacre de Sétif !

Le jour même où la France est libérée, elle réaffirme dans le sang sa domination coloniale en Algérie : 45.000 morts à Sétif, Guelma, Kherrata et dans tout le Constantinois…

Le 8 mai 1945 signifie la fin du nazisme. Il correspond aussi à l’un des moments les plus sanglants de l’histoire nationale. La répression colonialiste venait d’y faire ses premiers accrocs face à une population farouchement déterminée à se promouvoir aux nobles idéaux de paix et d’indépendance.

Faim, famine, chômage et misère semblaient résumer la condition sociale de la population musulmane algérienne colonisée par la France, population surtout agricole souvent déplacée car les colons s’étaient saisis des meilleures terres, et de plus dans une période de guerre, de sécheresse et de récoltes décimées par les acarides. « Des hommes souffrent de la faim et demandent la justice… Leur faim est injuste. » écrivait Albert Camus début 1945 dans Combat.

Le 8 mai 1945 fut un mardi pas comme les autres en Algérie. Les gens massacrés ne l’étaient pas pour diversité d’avis, mais à cause d’un idéal. La liberté. Ailleurs, il fut célébré dans les interstices de la capitulation de l’état-major allemand. La fin de la Seconde Guerre mondiale, où pourtant 150.000 Algériens s’étaient engagés dans l’armée aux côtés de de Gaulle. Ce fut la fin d’une guerre. Cela pour les Européens. Mais pour d’autres, en Algérie, à Sétif, Guelma, Kherrata, Constantine et un peu partout, ce fut la fête dans l’atrocité d’une colonisation et d’un impérialisme qui ne venait en ce 8 mai qu’annoncer le plan de redressement des volontés farouches et éprises de ce saut libertaire.

Sétif
Fontaine Ain El Fouara

Sétif, mardi 8 mai 1945

Dès 8 heures du matin, une foule estimée aux environs de 10.000 personnes était rassemblée devant la mosquée de la gare. Puis elle entamait son élan rue des Etats-Unis pour se diriger vers le centre-ville, rue Georges Clémenceau… Pacifiques, dépités et désarmés, les paisibles manifestants scandaient des slogans de paix et de liberté. « Indépendance », « Libérez Messali Hadj », « L’Algérie est à nous ». Ils s’étaient donnés pour consigne de faire sortir pour la première fois le drapeau algérien. La riposte fut sanglante.

Pourtant, profitant du jour du marché hebdomadaire, ce 8 mai 1945, les organisateurs avaient rappelé aux paysans venus des villages de déposer tout ce qui pouvait être une arme (couteau, hache, faux…). Derrière les drapeaux des alliés, c’étaient les écoliers et les jeunes scouts qui étaient au premier rang suivis des porteurs de la gerbe de fleurs, et les militants suivaient juste derrière pour éviter tout débordement de la masse paysanne.

A la vue d’un drapeau algérien vert et blanc, qui avait été déployé en cours de route, les policiers avaient jailli du barrage et avaient attaqué la foule pour s’emparer du drapeau. Un militant avait expliqué que le drapeau étant sacré, il est impossible de le remiser une fois sorti. Le maire socialiste de la ville supplie de ne pas tirer. Mais c’est à ce moment que tout dérape quand un inspecteur tire, tue celui qui portait ce drapeau à ce moment-là et deux coups de feu en soutien de la part d’Européens partent du café de France. Dans la panique provoquée par les premiers coups de feu, à d’autres fenêtres des Européens tirent à leur tour sur la foule.

« On a tiré sur un jeune scout » ! Ce jeune « scout » fut le premier martyr de ces incidents : Saâl Bouzid, 22 ans, venait par son souffle d’indiquer sur la voie du sacrifice la voie de la liberté. K. Z., âgé alors de 16 ans, affirme non sans amertume à ce propos : « Il gisait mourant par-devant le terrain qui sert actuellement d’assiette foncière au siège de la wilaya. Nous l’avons transporté jusqu’au docteur Mostefaï… et puis… » L’émotion l’étouffe et l’empêche de continuer…

Bien que la panique ait gagné l’ensemble des manifestants, un militant avait sonné le clairon pour que la gerbe de fleurs soit déposée. Cela se passait à 10 heures du matin. Le car de la gendarmerie ayant eu du retard était arrivé en fonçant en direction des manifestants fauchant les présents.

Surgit alors la préparation du massacre des Algériens. Une milice d’Européens est formée à qui on donne des armes ; l’armée, la police et la gendarmerie sont déployées… C’est une véritable chasse à toutes personnes musulmanes.

Le 9 mai, à Sétif, ce sont 35 Algériens qui ont été abattus parce qu’ils ne savaient pas qu’un couvre feu avait été établi. Le rapport du commissaire divisionnaire, M. Bergé, expliquait que chaque mouvement jugé suspect provoquait le tir : « les musulmans ne peuvent circuler sauf s’ils portent un brassard blanc délivré par les autorités et justifications d’un emploi dans un service public. »

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Économie : Le remboursement des intérêts de la dette en France implique une croissance de 4.7 %

La croissance de la France stagne à 0.7 % alors que durant les années 50 – 60 elle était 10 fois supérieure. C’est durant ces années fastes qu’on été mises en places des assurances sociales telles que le chômage, la maladie etc… On essaye de vous faire croire aujourd’hui qu’en gagnant 10 fois moins on va réussir à vivre avec le même train de vie. Aucun homme politique n’a le courage de le dire et c’est la que le bât blesse.

le moment va venir ou il va falloir expliquer clairement aux gens qu’un ménage ne peut pas vivre de la même manière avec un salaire de 10’000 Euros qu’avec un salaire de 1’000 Euros et il en va de même pour un pays.

Le simple remboursement des intérêts de la dette française implique une croissance de 4.7 % !

Où vont la France, l’Europe et l’Euro ?

Olivier Delamarche économiste et invité sur le plateau du média indépendant Meta TV nous ouvre les yeux sur un désastre économique imminent.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La vidéo dans son intégralité sur Youtube :

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