Les Européens sont longtemps restés aux frontières de l’Afrique, sur les côtes océanes, ne s’aventurant pas à l’intérieur des terres, mis à part quelques aventuriers audacieux. Ce n’est qu’à partir de la fin du XIX° siècle qu’ils s’engagent dans la conquête territoriale du continent. Si en 1880, à peine un dixième du continent noir était sous contrôle européen, vingt ans plus tard, seuls l’Ethiopie, le Maroc (conquis en 1912) et le petit Libéria y échappaient. Entre temps, les puissances occidentales se sont entendues lors de la conférence de Berlin (1884-1884) sur la répartition du gâteau. Des facteurs liés aux avancées techniques et au contexte économique de l’époque expliquent cette nouvelle étape des relations Europe-Afrique au tournant des années 1880.
Techniquement, les maladies tropicales ne représentent plus un obstacle insurmontable pour les Européens: l’usage de la quinine permet de résister au paludisme, et d’autres médicaments et vaccins rendent désormais possible leur séjour prolongé à l’intérieur des terres africaines. Des innovations en matière d’armement, notamment avec le développement d’armes légères, mobiles et semi-automatisés (canons à répétition) donnent un avantage militaire décisif aux forces européennes, particulièrement dans les batailles à découvert. Enfin, l’invention du télégraphe permet de mieux connecter les postes avancées de leurs bases arrière sur les côtes océaniques ou en métropole. Concrètement, les troupes européennes resteront peu nombreuses durant cette phase de conquête, les états-majors occidentaux s’appuyant principalement sur des auxiliaires autochtones, issus d’ethnies anciennement marginalisées ou souhaitant tout simplement bénéficier des retombées de pouvoir de la nouvelle puissance du moment, au détriment des anciennes.
Je vous présente dans ce billet deux faits historiques impliquant la France lors de massacres à l’encontre du peuple algérien.
Le premier se situe avant la guerre d’Algérie ou des civils étaient littéralement brûlés vifs dans des bains d’acide et le second, en mai 1961 qui suite à une manifestation pacifique des algériens réunissant à Paris des familles entières sans armes que Maurice Papon, préfet de police de Paris décida de réprimander par la force en torturant à mort, en ligotant certains manifestants des pieds à la tête puis les jetant dans la Seine les abandonnant à leur triste sort; ces faits ne sont révélés dans aucun manuel d’histoire et pourtant ils existent. Ils font partie de la sombre histoire de France.
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Mise à jour, le 27 février 2017 à 10:25
Certains commentaires m’accusent d’attiser la haine ou encore de faire le jeu de Macron alors qu’il n’en est rien.
Il s’agit juste pour moi de remettre l’église au milieu du village. Toutes les cultures ont leur zone d’ombre, ce n’est pas pour autant qu’il faille les occulter. Je pense que c’est dans la compréhension, la connaissance et l’auto critique que l’humanité pourra avancer et non en restant dans l’ignorance et le déni.
GS
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Les atrocités du 17 octobre 1961 :
Ce fut un massacre dont certaines antennes médiatiques indépendantes nous laissent quelques brides aujourd’hui mais que les médias Mainstream actuels se font un devoir d’enterrer à tout jamais.
Les lignes qui suivent vous relatent les faits de ces deux incidents. Ce qu’il faut garder en mémoire suite à leur lecture, c’est la manipulation médiatique dont nous sommes tous victimes, qui nous empêche de nous regarder dans les yeux et de nous remettre en question.
La France qui se prévaut d’être un pays démocratique et qui n’hésite pas à dénoncer les exactions commises dans les autres pays, oublie qu’en temps de guerre elle a utilisé les mêmes procédés décriés à grands cris aujourd’hui. Les français ont pratiqué la torture qu’ils ont utilisée comme une arme de guerre pour faire parler les plus récalcitrants.
Bien avant la guerre d’Algérie, la torture est institutionnalisée et largement exploitée par les forces coloniales françaises contre des centaines de milliers d’Algériens.
En bon gestionnaire de la crise, le gouvernement français a assuré ses arrières en votant le 31 juillet 1968 une loi d’amnistie qui va couvrir l’ensemble des infractions commises en Algérie. Celle-ci prévoit notamment que « Sont amnistiées de plein droit toutes infractions commises en relation avec les événements d’Algérie ». Cette loi s’oppose aux principes mêmes du droit international qui ne concède pas la possibilité de soustraire les auteurs de violations des droits de l’homme à la justice. Et pourtant le régime français empêchera toute victime de le poursuivre après la guerre.
En 1961, un article paru dans le journal Vérité-Liberté donne un aperçu d’un des lieux mythiques des renseignements français qui a servi à torturer des milliers d’Algériens, la ferme Ameziane. Un extrait de l’article donne toute l’étendue du calvaire vécu par la population, hommes, femmes et enfants.
« À la ferme Ameziane, centre de renseignement et d’action (C.R.A.) de Constantine, elle se pratique à l’échelle quasi industrielle.(…) C’est à la ferme Ameziane que sont conduits tous les suspects pris par les unités de l’Est algérien. L’arrestation des « suspects » se fait par rafles, sur renseignements, dénonciation, pour de simples contrôles d’identité. Un séjour s’effectue dans les conditions suivantes : à leur arrivée à la « ferme », ils sont séparés en deux groupes distincts : ceux qui doivent être interrogés immédiatement et ceux qui « attendront », à tous on fait visiter les lieux et notamment les salles de tortures « en activité » : électricité (gégène), supplice de l’eau, cellules, pendaisons, etc. Ceux qui doivent attendre sont ensuite parqués et entassés dans les anciennes écuries aménagées ou il ne leur sera donné aucune nourriture pendant deux à huit jours, et quelquefois plus encore.
Les interrogatoires,(…) sont menés systématiquement de la manière suivante : dans un premier temps, l’Officier de renseignement pose ses questions sous la forme « traditionnelle » en les accompagnant de coups de poing et de pied : l’agent provocateur, ou l’indicateur, est souvent utilisé au préalable pour des accusations précises et… préfabriquées. Ce genre d’interrogatoire peut être renouvelé. On passe ensuite à la torture proprement dite, à savoir : la pendaison (…), le supplice de l’eau (…), l’électricité (électrodes fixées aux oreilles et aux doigts), brûlures (cigarettes, etc.) (…) les cas de folies sont fréquents (…) les traces, cicatrices, suites et conséquences sont durables, certaines même permanentes (troubles nerveux par exemple) et donc aisément décelables. Plusieurs suspects sont morts chez eux le lendemain de leur retour de la « ferme ». Les interrogatoires-supplices sont souvent repris à plusieurs jours d’intervalle. Entre-temps, les suspects sont emprisonnés sans nourriture dans des cellules dont certaines ne permettent pas de s’allonger. Précisons qu’il y a parmi eux de très jeunes adolescents et des vieillards de 75, 80 ans et plus. À l’issue des interrogatoires et de l’emprisonnement à la ferme, le « suspect » (…) sera considéré comme « disparu » (lorsqu’il est mort des suites de l’interrogatoire ou abattu). »
Aujourd’hui la France se targue d’être un pays qui défend les droits de l’homme, des minorités et des opprimés partout dans le monde.
Et pour rappel, le massacre du 17 octobre à Paris, une tacha sombre dans l’histoire de France que l’état minimisa.
Le 17 octobre 1961 alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin, le FLN appelle à une manifestation pacifique dans les rues de Paris pour dénoncer le couvre-feu raciste imposé quelques jours plus tôt aux Algériens et par extension à tous les Maghrébins (obligation d’être sans cesse isolé, et interdiction aux travailleurs algériens de sortir de 20h30 à 5h30, les cafés tenus par des musulmans doivent fermer à 19h…). Cette manifestation rassemble environ 30.000 personnes.
Début de la manifestation pacifique le 17 octobre 1961 à Paris
Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.
Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement alors même que les partisans de la Nostalgérie prônent la promotion de l’oeuvre positive française durant la colonisation dans les programmes scolaires !!! [1]
Le 27 octobre 1961, Claude Bourdet, alors conseiller municipal de Paris et aussi journaliste à « France-Observateur », avait interpellé le préfet de police, Maurice Papon, en plein conseil municipal de Paris sur l’exactitude des faits qui se lisaient dans la presse parisienne, à savoir le repêchage dans la Seine de 150 cadavres d’Algériens depuis le 17 octobre 1961 entre Paris et Rouen.
Lundi 25 février 1985, une formidable déflagration se fait ressentir dans les entrailles de la terre : un coup de grisou suivi d’un coup de poussière, à 1.050 mètres de profondeur. Le drame du Puits Simon, 22 mineurs tués, une centaine blessés, est la pire catastrophe minière de Lorraine.
Par Jean-Christophe Dupuis-Remond
Pour commémorer le 30e (triste) anniversaire de la catastrophe du Puits Simon survenue lundi 25 février 1985, France 3 Lorraine réalise actuellement un webdocumentaire sur cet événement resté dans les mémoires comme la pire catastrophe minière en Lorraine : 22 morts et 269 blessés.
A travers plusieurs tableaux réalisés par notre équipe (documentaliste, journalistes, éditrice web, monteur), nous vous proposerons de comprendre ce qui s’est passé ce jour-là à 1.050 mètres de profondeur, au coeur du bassin houiller.
Comment s’est produit le drame, dans quel contexte, avec quelles conséquences pour les hommes, l’entreprise, les conditions de travail, à court et plus long terme, voila quelques-unes des questions auxquelles ce webdocumentaire, mais également une série d’articles réunis dans une page spéciale, apportera des réponses à travers des cartes, des textes, des images (photos, reportages d’époque et d’aujourd’hui) et des infographies réalisés pour l’occasion.
11 septembre 2001, l’effondrement de 3 tours, le W.T.C 1, le W.T.C 2 et le W.T.C 7.
Les innombrables théories plus complotistes les unes que les autres faisant face à une vérité officielle n’ont pas arrêté d’alimenter rumeurs et débats.
Aujourd’hui encore, bien que les familles des victimes aient réclamé l’ouverture d’enquêtes indépendantes, ces dernières piétinent et sont systématiquement entravées. Des témoignages, des documents importants et tout ce qui pourrait faire avancer les investigations disparaissent mystérieusement.
Je vous présente une vidéo qui se déroule en trois volets :
Un résumé des évènements du 11 septembre 2001 qui ne manque pas d’humour.
Un décryptage impressionnant d’images officielles qui tente à démontrer la manipulation
Quand une chaîne française du service public brise l’omerta. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce reportage fut diffusé le soir, tard, à une heure de faible audience.
La question restera encore longtemps en suspend car chaque président américain nouvellement élu assure à ces prédécesseurs une immunité totale concernant cet attentat.
Les problèmes liés à la France aujourd’hui tiennent du fait que les français ne dirigent plus leur pays.
La France est dirigée par une oligarchie depuis Bruxelles pour la commission européenne, depuis Francfort pour la banque centrale européenne et depuis Washington pour l’OTAN.
Pour la prétendue construction européenne qui nous a été imposée depuis le 25 mars 1957 nous disons qu’il ne s’agit pas d’une opération d’origine française comme on veut nous le faire croire, mais en fait d’une stratégie américaine de vassalisation du continent européen qui a été mûrement réfléchie après la seconde guerre mondiale.
D’ailleurs, à partir d’une politique qui avait été lancée dès les années 20 en Allemagne puis dans les années 30 et 40 par l’Allemagne hitlérienne et l’Italie mussolinienne et transmutée après la seconde guerre mondiale en une volonté des États-Unis de dominer le continent européen.
« En ces temps de tromperie universelle dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »
George Orwell – 1984
Quand je disais il y a dix ans que ce que Hitler n’avait pas obtenu par la force était en train de s’accomplir au travers de traités mortifères et d’une diplomatie corrompue, on me prenait pour un fou ou pour un complotiste. Il ce trouve que les faits semblent aujourd’hui me donner raison.
Mesdames et messieurs, le mot « secret » est en lui-même répugnant au sein d’une société libre et ouverte. Et en tant que peuple, par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.
Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents l’emportaient amplement sur les dangers qui sont cités pour la justifier. Même aujourd’hui, il y a peut d’intérêt à s’opposer à la menace d’une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires.
Même aujourd’hui, il y a peu de valeur dans l’assurance de la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il demeure un très grave danger d’un besoin annoncé pour davantage de sécurité pour ceux désireux d’étendre sa signification aux limites de la censure officielle et de la dissimulation.
Ce que je n’ai pas l’intention de permettre dans la mesure où c’est sous mon contrôle. Et aucun fonctionnaire de mon administration, que son rang soit plus ou moins élevé, qu’il soit civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme un prétexte pour censurer les médias, pour étouffer la dissidence, pour couvrir nos erreurs, ou dissimuler à la presse ou au public les faits qu’ils méritent de connaitre.
Nous faisons face autour du monde à une conspiration monolithique et impitoyable qui s’appuie essentiellement sur des moyens déguisés pour élargir sa sphère d’influence, sur l’infiltration plutôt que sur l’invasion, sur la subversion plutôt que sur l’élection, sur l’intimidation plutôt que le libre arbitre, la guérilla la nuit plutôt que l’armée le jour.
Il s’agit d’un système conscriptif ayant de vastes ressources humaines et matérielles pour la construction d’une machine très dense et efficace, qui combine des opérations militaires, diplomates, de renseignement, politiques, scientifiques et économiques.
Aucun président ne devrait avoir peur de l’examen public de son programme. Que de cet examen survienne la compréhension et qu’à partir de cette compréhension survienne le soutient ou l’opposition et les deux si nécessaire…
Hugo Chavez s’en prenait violemment à Israël et aux Etats-Unis suite à l’attaque d’un convoi humanitaire destiné à la Palestine. Un retour sur les faits :
Des commandos israéliens ont pris d’assaut une flottille qui se dirigeait vers la bande de Gaza avec 10 000 tonnes d’aide humanitaire, dans la nuit de dimanche à lundi. Le convoi était dans les eaux internationales lorsqu’il a été attaqué.
Au moins 9 des passagers de la flottille d’activistes propalestiniens ont été tués, selon les autorités israéliennes. Une ONG turque à Gaza a de son côté parlé de 15 morts. La majorité des victimes seraient des ressortissants turcs. La télévision israélienne évoquait en outre 26 blessés, dont 7 soldats israéliens.
Selon les organisateurs, l’aide consistait notamment en 100 maisons préfabriquées, 500 fauteuils roulants électriques ainsi que de l’équipement médical.
Les six navires avaient quitté Chypre la veille.
Israël avait prévenu les organisateurs de rebrousser chemin à défaut de quoi les bateaux seraient arraisonnés et transportés vers un port israélien d’où leurs passagers et équipages seraient renvoyés chez eux.
La cargaison devait, elle, être examinée par les autorités israéliennes avant sa distribution dans la bande de Gaza.
Voilà pour les faits et à présent son assassinat :
Il n’y avait personne dans tout l’univers que les détenteurs et dirigeants des « Etats-Unis, SA » ne rêvaient de voir mort plus que Hugo Chavez. Il était pire qu’Allende. Pire que Fidel Castro. Pire que n’importe quel dirigeant au monde ne faisant pas partie du camp Américain parce qu’il parlait en termes très crus de l’impérialisme US et de sa cruauté. Sans cesse. Constamment. En disant des choses que les chefs d’état ne sont pas censés dire. Aux Nations-Unies, en s’en prenant de manière étonnement personnelle à George Bush. A travers toute l’Amérique latine, tout en organisant la région en blocs d’opposition à l’Empire US.
La journaliste Eva Golinger (États-Unis – Venezuela) s’est interrogée à plusieurs reprises sur les circonstances suspectes entourant la mort du président vénézuélien Hugo Chávez. Le site aporrea.org cite sa déclaration: «Tout ce que Washington cherchait à atteindre au cours de l’administration de Hugo Chávez est aujourd’hui en train d’être réalisé en son absence. La maladie cancéreuse dont Chávez a souffert était inhabituellement agressive et suspecte, et chaque jour apporte plus de preuves qu’il est possible que Chávez ait été assassiné.»
Les premiers signes de cancer ont été trouvés chez Chávez en mai 2011. En juin, il a subi deux interventions chirurgicales dans un centre spécialisé à La Havane. Ses chirurgiens cubains ont trouvé et enlevé une tumeur maligne qui avait métastasé avec une persistance sinistre, en dépit de toutes les mesures préventives. De nouvelles opérations ont été nécessaires. Cet homme athlétique, qui était plein de force et physiquement robuste, est décédé le 5 mars 2013 à l’âge de 58 ans.
En s’étendant sur ce sujet, Eva Golinger écrit, «Il suffit de savoir qu’un homme qui avait été, depuis plusieurs années, l’un de ses plus proches collaborateurs, qui était souvent seul avec lui et lui a apporté sa nourriture, du café et de l’eau, est maintenant un témoin protégé aux États-Unis. Bientôt les actions secrètes de Leamsy Salazar et sa collaboration étroite avec les agences de renseignement à Washington seront dévoilées ».
Un documentaire, le cours d’histoire le plus pertinent possible en moins de 70 minutes. Vous allez comprendre la relation entre les Rockefeller, Rothschild, Nobels, la famille royale anglaise et néerlandaise, Henry Kissinger, Israël, GM, Shell, les réunions des Bilderbergs, les guerres mondiales et de pétrole ainsi que l’industrie pétrolière qui a façonné le monde depuis 150 ans. Vous allez réfléchir à Tesla et l’énergie libre !!! Vous allez faire la relation avec l’industrie pharmaceutique, la création monétaire, l’éducation, la médecine, la révolution verte et génétique, etc..
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S’il existe un complot mondial ailleurs que dans l’esprit des gens dotés d’une forte imagination, le voici.
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J’espère que ça pourra vous servir de matériel pour réveiller les plus comateux d’entre nous. Peut-être pendant le temps des fêtes? On a tous un oncle conservateur qui a tendance a préféré les œillères. 😉
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J’en profite pour vous souhaiter un joyeux temps des fêtes, quoique j’ai l’intention de revenir vous jaser quotidiennement comme d’habitude.
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Vous m’avez manqué. Je suis super heureux de réapparaître avec un beau cadeau. Ça peut paraître long 70 minutes mais il y a des mois de travail de plusieurs personnes derrière ce 70 minutes. Les fruits iront à ceux qui mettront le petit effort intellectuel. (Je ne dis pas de ne plus jamais regarder de vidéos de chatons de 3 minutes. Simplement de le regarder après le 70 minutes lol ).
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Partagez SVP. Je ne le manifesterai jamais assez.
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NB: Toutes les références sont sur le site de corbettreport.com (lien ci-bas). J’ai pris la peine de vérifier l’info présentée dans le documentaire. Ce ne sont que des faits. Il n’y a pas de controverse. Le seule débat possible est autour de l’intention. Il est très difficile de prouver que les intentions étaient mauvaises ou purement égoïstes. Peut-être désirent-ils le bien de l’humanité mais finissent les principaux bénéficiaires « par erreur » à chaque fois?
Ils viennent travailler neuf mois par année en Suisse, sans possibilité d’être rejoints par leur famille. C’est un statut particulier que celui de saisonnier. Pour ces ouvriers venus d’Espagne, c’est le chemin d’un travail et d’un salaire qui fait vivre la famille restée au pays. Mais comment abordent-ils cette situation?
Devant la caméra de Claude Goretta, des saisonniers espagnols témoignent de la difficulté de leur situation.
Après le Brexite et un désamour des Européens de plus en plus flagrant pour cette Europe du capital, un petit rappel des faits concernant la France.
Pour commencer un Jacques Chirac résolument contre et qui retourne sa veste.
Conférence de Jacques Chirac en 1979. On nous avait dit qu’on était conspirationniste de voir une domination Américaine sur l’Europe, que la construction européenne n’était absolument pas un moyen de de bâillonner et de ligoter la France. Eh bien cette vidéo montre qu’au moins depuis 1979 on sait que c’est le cas et même depuis le général De Gaulle.
Viennent ensuite en 2005, les résultats du référendum français concernant l’adhésion ou non à la constitution Européenne et le Non l’emporte à plus de 54% contre 45% pour le Oui.
Trahison par la la révision de la Constitution, nécessaire à la ratification du traité européen de Lisbonne.
Le 4 février 2008, les parlementaires qui se réunissent à Versailles adoptent la révision de la constitution qui leur permettra l’adoption du traité de Lisbonne.
Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !
Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.