Europe : la grande liquidation démocratique

La brutale répression du printemps grec en juillet 2015, l’enlisement en Espagne de Podemos après des débuts politiques prometteurs, le gouvernement du Bloc de gauche portugais sous surveillance étroite de la BCE, cinq mois de protestation contre la loi El Khomri, le Brexit…

Autant d événements en apparence très divers et que rien ne semble lier. Pourtant, ils renvoient tous à leur manière à la question lancinante et récurrente qui hante la construction européenne depuis ses débuts, celle de la démocratie, de son exercice et tout simplement de son avenir sur un continent qui l a vue naître.
Cet ouvrage veut révéler comment les étapes de la construction ont parcouru un étrange chemin marqué par la mise à distance de plus en plus brutale des peuples, jusqu à leur mise sous tutelle. L’acmé de cette violente dépossession s’est traduite par une brutalité inédite en temps de paix à l égard de la Grèce, devenue le laboratoire de la fabrique monstrueuse d un libéralisme désormais autoritaire.

L’Union européenne, dans ce voyage au bout de la nuit démocratique, peut-elle survivre ? L Angleterre, quittant le navire Européen, désignerait-elle alors l’avenir de l Union européenne : une future désintégration ?

Certes, des élections sont tenues, mais, étrangement, il n’est plus possible de déroger aux « réformes structurelles » pour élargir les frontières de la marchandisation. Le social n’est plus qu’une concession de la situation économique. Comment expliquer alors que l’Union européenne procède à cette apparente liquidation démocratique ? Dans ce voyage au bout de la nuit démocratique, l’UE peut-elle survivre ? Dans cet essai, Frédéric Farah explique comment les étapes de la construction ont parcouru un étrange chemin marqué par la mise à distance de plus en plus brutale des peuples, jusqu’à leur mise sous tutelle.

Analyse: «Est-ce qu’on ne pourrait pas en France, réunir autour d’une table des Pros et des Antis Euro pour discuter et montrer des arguments, enfin de vrais arguments…» Olivier Delamarche (Économiste)

Dans le même registre, Olivier Delamarche nous  parle de Macron comme de l’hologramme de Hollande.

Les questions suivantes sont abordées :

  • Pouvez-vous nous donner votre opinion sur les résultats du premier tour des élections présidentielles et comment percevez-vous les victoires d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen ?
  • Emmanuel Macron a rassuré les marchés et les acteurs  économiques. Comment analysez-vous la réaction des marchés ? « On a évité le pire » selon les commentateurs.
  • Les deux candidats seront-ils en mesure d’appliquer leurs programmes respectifs, au moins de manière partielle ?

Cela fait des lustres que nous ne sommes plus en démocratie en France et ce n’est pas avec l’élection de Monsieur Macron que nous allons y retourner.

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Le Blitzkrieg, stratégie guerrière allemande utilisée aujourd’hui par le gouvernement français contre son propre peuple

Le Blitzkrieg (signifiant en allemand « guerre éclair »), prononcé [blitskʁiɡ], est une stratégie offensive visant à emporter une victoire décisive par l’engagement localisé et limité dans le temps d’un puissant ensemble de forces mécanisées, terrestres et aériennes dans l’optique de frapper en profondeur la capacité militaire, économique ou politique de l’ennemi.

Cette stratégie est utilisée aujourd’hui par le gouvernement français et son ennemi n’est autre que son propre peuple.

 Malgré le soutien massif des médias, de l’establishment, du patronnat, des universitaires, le résultat d’Emmanuel Macron à l’élection n’est pas spectaculaire et une forte opposition se prépare, explique l’essayiste Jean Bricmont.

RT France : Comment voyez-vous le quinquennat d’Emmanuel Macron qui vient d’être élu à la présidence de la République ?

Jean Bricmont (J. B.) : La seule chose que l’on puisse commenter pour le moment, c’est la façon dont il a été élu. Il a été élu avec le soutien massif des médias dès le premier tour, et au deuxième tour, avec celui, quasi-intégral, de l’establishment, du patronnat, des intellectuels, des universitaires, etc. Les présidents des universités ont même envoyé des courriers aux étudiants en leur demandant de voter pour Emmanuel Macron ce qui donne une idée de la mobilisation pro-macronienne et de la violation des principes démocratiques. Les médias étaient tout à fait partisans. On a eu droit à un Blitzkrieg médiatique.

« Les souverainistes ont perdu une bataille mais ils n’ont pas perdu la guerre »

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L’historien israélien Shlomo Sand remet en place Macron concernant son amalgame entre “anti-sionisme” et “antisémitisme”

Avant tout et pour rappel, la déclaration de Macron sur le sionisme :

L’historien juif israélien, Shlomo Sand, qui avait récemment déclaré «  J’ai honte d’être Israélien  », a donné une véritable leçon de vocabulaire à Emmanuel Macron, qui a repris à son compte, lors de la visite de Netanyahou, le chantage à l’antisémitisme, en condamnant sans aucun fondement l’anti-sionisme.

Lettre ouverte à M. le Président de la République française
vendredi 21 juillet 2017 par Shlomo Sand

Par Shlomo Sand, historien israélien (Traduit de l’hébreu par Michel Bilis). Publié dans le club de Médiapart, le 21 juillet 2017.

L’historien israélien Shlomo Sand interpelle Emmanuel Macron sur son discours, tenu en présence de Benjamin Netanyahou, pour la commémoration de la rafle du Vél’ d’Hiv : «  L’ancien étudiant en philosophie, l’assistant de Paul Ricœur a-t-il si peu lu de livres d’histoire, au point d’ignorer que nombre de juifs, ou de descendants de filiation juive se sont toujours opposés au sionisme sans, pour autant, être antisémites ?  »

En commençant à lire votre discours sur la commémoration de la rafle du Vel’d’hiv, j’ai éprouvé de la reconnaissance envers vous. En effet, au regard d’une longue tradition de dirigeants politiques, de droite, comme de gauche, qui, au passé et au présent, se sont défaussés quant à la participation et à la responsabilité de la France dans la déportation des personnes d’origine juive vers les camps de la mort, vous avez pris une position claire et dénuée d’ambiguïté : oui la France est responsable de la déportation, oui il y a bien eu un antisémitisme, en France, avant et après la seconde guerre mondiale.
Oui, il faut continuer à combattre toutes les formes de racisme. J’ai vu ces positions comme étant en continuité avec votre courageuse déclaration faite en Algérie, selon laquelle le colonialisme constitue un crime contre l’humanité.

Pour être tout à fait franc, j’ai été plutôt agacé par le fait que vous ayez invité Benjamin Netanyahou, qui est incontestablement à ranger dans la catégorie des oppresseurs, et ne saurait donc s’afficher en représentant des victimes d’hier. Certes, je connais depuis longtemps l’impossibilité de séparer la mémoire de la politique. Peut-être déployez-vous une stratégie sophistiquée, encore non révélée, visant à contribuer à la réalisation d’un compromis équitable, au Proche-Orient ?

J’ai cessé de vous comprendre lorsqu’au cours de votre discours, vous avez déclaré que :

«  L’antisionisme… est la forme réinventée de l’antisémitisme  ». Cette déclaration avait-elle pour but de complaire à votre invité, ou bien est-ce purement et simplement une marque d’inculture politique ? L’ancien étudiant en philosophie, l’assistant de Paul Ricœur a-t-il si peu lu de livres d’histoire, au point d’ignorer que nombre de juifs, ou de descendants de filiation juive se sont toujours opposés au sionisme sans, pour autant, être antisémites ? Je fais ici référence à presque tous les anciens grands rabbins, mais aussi, aux prises de position d’une partie du judaïsme orthodoxe contemporain. J’ai également en mémoire des personnalités telles Marek Edelman, l’un des dirigeants rescapé de l’insurrection du ghetto de Varsovie, ou encore les communistes d’origine juive, résistants du groupe Manouchian, qui ont péri. Je pense aussi à mon ami et professeur : Pierre Vidal-Naquet, et à d’autres grands historiens ou sociologues comme Eric Hobsbawm et Maxime Rodinson dont les écrits et le souvenir me sont chers, ou encore à Edgar Morin. Enfin, je me demande si, sincèrement, vous attendez des Palestiniens qu’ils ne soient pas antisionistes !

Je suppose, toutefois, que vous n’appréciez pas particulièrement les gens de gauche, ni, peut-être, les Palestiniens ; aussi, sachant que vous avez travaillé à la banque Rothschild, je livre ici une citation de Nathan Rothschild, président de l’union des synagogues en Grande-Bretagne, et premier juif à avoir été nommé Lord au Royaume Uni, dont il devint également la gouverneur de la banque. Dans une lettre adressée, en 1903, à Théodore Herzl, le talentueux banquier écrit : «  Je vous le dis en toute franchise : je tremble à l’idée de la fondation d’une colonie juive au plein sens du terme. Une telle colonie deviendrait un ghetto, avec tous les préjugés d’un ghetto. Un petit, tout petit, Etat juif, dévot et non libéral, qui rejettera le Chrétien et l’étranger. » Rothschild s’est, peut-être, trompé dans sa prophétie, mais une chose est sûre, cependant : il n’était pas antisémite !

Il y a eu, et il y a, bien sûr, des antisionistes qui sont aussi des antisémites, mais je suis également certain que l’on trouve des antisémites parmi les thuriféraires du sionisme. Je puis aussi vous assurer que nombre de sionistes sont des racistes dont la structure mentale ne diffère pas de celle de parfaits judéophobes : ils recherchent sans relâche un ADN juif (ce, jusqu’à l’université où j’enseigne).

Pour clarifier ce qu’est un point de vue antisioniste, il importe, cependant, de commencer par convenir de la définition, ou, à tout le moins, d’une série de caractéristiques du concept : « sionisme  » ; ce à quoi, je vais m’employer le plus brièvement possible.

Tout d’abord, le sionisme n’est pas le judaïsme, contre lequel il constitue même une révolte radicale. Tout au long des siècles, les juifs pieux ont nourri une profonde ferveur envers leur terre sainte, plus particulièrement pour Jérusalem, mais ils s’en sont tenus au précepte talmudique qui leur intimait de ne pas y émigrer collectivement, avant la venue du Messie. En effet, la terre n’appartient pas aux juifs mais à Dieu. Dieu a donné et Dieu a repris, et lorsqu’il le voudra, il enverra le Messie pour restituer. Quand le sionisme est apparu, il a enlevé de son siège le « Tout Puissant », pour lui substituer le sujet humain actif.

Chacun de nous peut se prononcer sur le point de savoir si le projet de créer un Etat juif exclusif sur un morceau de territoire ultra-majoritairement peuplé d’Arabes, est une idée morale. En 1917, la Palestine comptait 700.000 musulmans et chrétiens arabes et environ 60.000 juifs dont la moitié étaient opposés au sionisme. Jusqu’alors, les masses du peuple yiddish, voulant fuir les pogroms de l’empire Russe, avaient préféré émigrer vers le continent américain, que deux millions atteignirent effectivement, échappant ainsi aux persécutions nazies (et à celles du régime de Vichy).

En 1948, il y avait en Palestine : 650 000 juifs et 1,3 million de musulmans et chrétiens arabes dont 700.000 devinrent des réfugiés : c’est sur ces bases démographiques qu’est né l’Etat d’Israël. Malgré cela, et dans le contexte de l’extermination des juifs d’Europe, nombre d’antisionistes sont parvenus à la conclusion que si l’on ne veut pas créer de nouvelles tragédies, il convient de considérer l’État d’Israël comme un fait accompli irréversible. Un enfant né d’un viol a bien le droit de vivre, mais que se passe-t-il si cet enfant marche sur les traces de son père ?

Et vint l’année 1967 : depuis lors Israël règne sur 5,5 millions de Palestiniens, privés de droits civiques, politiques et sociaux. Ils sont assujettis par Israël à un contrôle militaire : pour une partie d’entre eux, dans une sorte de « réserve d’Indiens » en Cisjordanie, tandis que d’autres sont enfermés dans un « réserve de barbelés  » à Gaza (70% de ceux-ci sont des réfugiés ou des descendants de réfugiés). Israël, qui ne cesse de proclamer son désir de paix, considère les territoires conquis en 1967 comme faisant intégralement partie de « la terre d’Israël », et s’y comporte selon son bon vouloir : jusqu’à présent, 600 000 colons israéliens juifs y ont été installés….et cela n’est pas terminé !

Est-cela le sionisme d’aujourd’hui ? Non ! Répondront mes amis de la gauche sioniste qui ne cesse de se rétrécir, et ils diront qu’il faut mettre fin à la dynamique de la colonisation sioniste, qu’un petit État palestinien étroit doit être constitué à côté de l’État d’Israël, que l’objectif du sionisme était de fonder un État où les juifs exerceront la souveraineté sur eux-mêmes, et non pas de conquérir dans sa totalité « l’antique patrie  ». Et le plus dangereux dans tout cela, à leurs yeux : l’annexion des territoires occupé constitue une menace pour Israël en tant qu’État juif.

Voici précisément le moment de vous expliquer pourquoi je vous écris, et pourquoi, je me définis comme non-sioniste, ou antisioniste, sans pour autant devenir antijuif. Votre parti politique inscrit, dans son intitulé : « La République », c’est pourquoi je présume que vous êtes un fervent républicain. Et dussé-je vous étonner : c’est aussi mon cas. Donc, étant démocrate et républicain, je ne puis, comme le font sans exception tous les sionistes, de droite comme de gauche, soutenir un État juif. Le Ministère de l’Intérieur israélien recense 75% de ses citoyens comme juifs, 21% comme musulmans et chrétiens arabes et 4% comme « autres  » (sic). Or, selon l’esprit de ses lois, Israël n’appartient pas à l’ensemble des Israéliens, mais aux juifs du monde entier qui n’ont pas l’intention de venir y vivre. Ainsi, par exemple, Israël appartient beaucoup plus à Bernard Henry-Lévy et à Alain Finkielkraut qu’à mes étudiants palestino-israéliens qui s’expriment en hébreu, parfois mieux que moi-même ! Israël espère aussi qu’un jour viendra où tous les gens du CRIF, et leurs « supporters  » y émigreront ! Je connais même des français antisémites que cette perspective enchante ! En revanche, on a pu entendre deux ministres israéliens, proches de Benjamin Nétanyahou, émettre l’idée selon laquelle il faut encourager le « transfert » des Israéliens arabes, sans que personne n’ait émis la demande qu’ils démissionnent de leurs fonctions.

Voilà pourquoi, Monsieur le Président, je ne peux pas être sioniste. Je suis un citoyen désireux que l’État dans lequel il vit soit une République israélienne, et non pas un Etat communautaire juif. Descendant de juifs qui ont tant souffert de discriminations, je ne veux pas vivre dans un État, qui, par son autodéfinition, fait de moi un citoyen doté de privilèges. A votre avis, Monsieur le Président : cela fait-il de moi un antisémite ?

Shlomo Sand, historien israélien

(Traduit de l’hébreu par Michel Bilis)

Source Mediapart

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Le Sionisme est une religion et gare aux antisionistes !

Je reviens un instant sur mon article précédent, « Le sionisme » et sur ce que je dis depuis des années :

Nous sommes devenus les esclaves de ce qui devrait nous servir et les banques sont aujourd’hui des églises dont le mortier des hôtels est issu du sang de l’innocence.

Par sa déclaration, Macron ne fait que conforter ce que je clamais haut et fort il y a plus de 30 ans dans une nouvelle que j’avais intitulé « Lettre à Dieu ».

Hier, il était encore temps; aujourd’hui, le ver est dans le fruit !

Déclaration d’Emmanuel Macron sur le sionisme :

« Nous ne cèderons rien à l’antisionisme car il est la forme réinventée de l’antisémitisme »

Eh oui, les faits sont là et bien établis. On ne touche pas au pouvoir de l’argent et tout ce qui l’accompagne : corruption, dévastation et destruction sans être aujourd’hui taxé d’antisémitisme.

Le mot « GRAVISSIME » n’a même plus de sens.

Pour Finalscape, Stéphane Guibert

 

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Emmanuel Macron : Nous ne cèderons rien à l’antisionisme

Histoire de se mettre bien en forme tôt le matin :

Alors que le sionisme n’est ni une religion ni une nationalité, mais c’est l’idéologie de la domination par l’argent, ex banquier de Rotschild, homme politique propulsé aux sommets du pouvoir par les lobbies de la finance,

Emmanuel Macron président de la France déclare :

« Nous ne cèderons rien à l’antisionisme car il est la forme réinventée de l’antisémitisme » fin de citation.

En plein dans son élément.

Pour Finalscape, Stéphane Guibert

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Politique, Gérard Filoche : Macron est une anomalie de l’histoire !

Quand Macron devint ministre des finances sous Hollande, je postais cette image sur les réseaux sociaux :

Gérard Filoche :
Macron est une anomalie de l’histoire !
Avec Macron, c’est probablement un des pire régimes qui s’annonce et que l’on aura eu depuis la seconde guerre mondiale !

Les dés sont pipés !

Le patronat se frotte les mains, les ouvriers n’ont plus qu’à retrousser leurs manches et la fermer, ils ont voté, c’est ça la démocratie néolibérale !

Pauvres, apprenez à le rester et à le devenir encore davantage car les réformes qui s’annoncent vous concernent directement.

Macron veut libérer le travail, qu’en pensez-vous ?

Gérard Filoche :

Comment pouvez-vous dire qu’il veut libérer le travail ? Il veut exploiter davantage les travailleurs. Pour cela, il veut :

  • Permettre que les patrons puissent les licencier, les menacer.
  • Il veut que leurs CDI soient moins solides.
  • Que les licenciements soient plus rapides.
  • Qu’il n’y ait pas (même pour les patrons voyous et délinquants qui n’ont pas de motifs) qu’il n’y ait pas de répression contre eux aux prudhommes.
  • Il se fout aussi de l’hygiène et de la sécurité des conditions de travail puisqu’il veut quasiment faire disparaître les CHSCT (Comité d’hygiène, de Sécurité des conditions de travail).

Macron n’a jamais travaillé lui-même, c’est un trader et il voit le travail comme un trader voit les pépètes, l’argent.

Que pensez-vous de notre nouveau président ?

Gérard Filoche :

Emmanuel Macron c’est une anomalie de l’histoire, je ne sais pas comment la France a pu arriver à ce que par un mécanisme institutionnel, un homme de cabinet réussisse un putsch et quant il est président, il s’arroge tous les droits.

C’est probablement un des pires régimes qui s’annonce et qu’on aura eu depuis la seconde guerre mondiale, d’ailleurs il veut défaire tout ce qu’a fait le Conseil National de la Résistance. Il veut notamment casser le salaire brut. Les gens ne savent pas toujours, ils ne regardent pas forcément le haut de leur fiche de paie mais c’est ce qui leur permet de vivre toute la vie, le salaire brut. Avec le salaire net on vit au mois le mois, avec le salaire brut on vit toute la vie. C’est ce qui protège des aléas : du chômage, de la maladie, de l’accident et de la retraite. Et tout ceci va disparaître du bulletin de paie dans une manipulation assez gigantesque au mois de janvier 2018. En même temps, il ne veut pas de prélèvement de l’impôt à la source pour donner l’illusion aux gens que d’un côté il augmente un peut le salaire net et que de l’autre il baisse beaucoup le salaire brut. C’est un cadeau de probablement 450 milliards au MEDEF, le plus grand hold-up qui n’ait jamais été fait jusqu’à là contre les travailleurs.

Le reste dans la vidéo.

Gérard filoche lance une bouteille à la mer mais le plus ironique dans tout cela c’est que le mal est fait, les français (enfin certains français) ont voté pour leur propre bourreau. Je compatis pour celles et ceux qui devront subir, celles et ceux qui ce sont abstenus, celles et ceux qui on voté blanc ou encore voté pour un autre candidat.

Pour les « Macrophils », les victimes du système, les « Touches pas mon poste », les « Pokémons Go », les selfistes en tous genres, les matérialistes insatisfaits,  je leur souhaite ce qu’ils méritent à savoir :

Payer le prix de leur ignorance, de leur inintelligence, de leur égocentrisme démesuré, de leur arrogance sans borne et de leurs dénis démesurés. Ils font partie de ces gens qui ont tout eu sur un simple claquement de doigts, ces gens qui croient que l’abondance est sans limite. Pour ces gens-là, l’heure du désenchantement a sonné et bien plus durement que pour les autres, celles et ceux qui savent désormais à quoi s’en tenir et pour qui l’heure de la résistance est à synchroniser entre tous.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Politique et polémique : Macron est un banquier pourri et une enflure bancaire !

Pour Pierre Jovanovic cela ne fait pas l’ombre d’un doute, Macron est un banquier pourri et une enflure bancaire !

En moins d’une minute, Pierre Jovanovic démonte La coqueluche de l’élite financière de notre monde, Emmanuel Macron.

Monsieur Macron se présente aux élections. C’est un banquier pourri qui n’a pas vu la crise arriver. Toute cette « crise des Subprimes« , il en fait partie, il l’a créé, il fait partie du système et maintenant il vient nous expliquer comment on va en sortir. Il nous prend pour des crétins !

Il n’a absolument aucun mérite, Monsieur Macron est une enflure (enflé, ce n’est pas une insulte cela va dans le sens de enflé), c’est une enflure bancaire, c’est un produit créé par Goldman sachs, et il ne faut pas oublier que ce sont les banquiers de Goldman Sachs qui ont organisé le dîner de Londres afin de financer Macron; ils ont été ses premiers donateurs. (Source : Médiapart)

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Dès la rentrée, 11 vaccins plein d’aluminium pour vos enfants ou alors deux ans de prison pour vous !

En France, dans 5 mois, vous aurez le choix entre injecter 11 super-vaccins chargés d’aluminium à votre enfant, ou aller vous-même en prison.

11 vaccins vont devenir obligatoires dès 2018. C’est Emmanuel Macron qui l’a décidé le 4 juillet 2017 sans aucune concertation et sans savoir ce qu’un cocktail pareil pouvait produire sur un nouveau né.

Macron a donné des ordres pour que la loi soit votée au plus tard le 24 juillet 2017, la veille des vacances parlementaires. Ce n’est pas un hasard si Macron s’empresse de faire passer cette mesure et voici pourquoi :

L’obligation de prendre 11 vaccins n’est que la première partie de leur plan. Aujourd’hui, seuls 3 vaccins sont obligatoires en France pour les nourrissons :

(Diphtérie, tétanos, polyomélyte), ça fait déjà 9 doses (vaccins plus rappels) injectées la première année de la vie du bébé. Mais avec 11 vaccins, ce sont 25 à 40 doses qui doivent être encaissées par leur système immunitaire immature. (Avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé).

C’est un cadeau de plusieurs centaines de millions d’euros par an pour les labos selon la ministre de la santé elle-même.

Or, personne à ce jour n’a étudié les risques d’injecter autant de vaccins en aussi peut de temps et aucun scientifique ne sait ce que peuvent donner à court et moyen terme, l’injection d’autant de vaccins en termes d’allergies, de maladies auto-immunes, sclérose en plaque ou autres.

(Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre.)

Le Docteur Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux chez Sanofi, avoue lui-même :

« On ne sait pas comment marchent les vaccins »

Rendre obligatoires 11 vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique de l’hérédité de celui qui la reçoit et les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.

Pourquoi Macron agit-il si vite et qu’est-ce qui le conduit à donner les Français comme cobayes à Big Pharma ?

Quelle est sa motivation secrète pour piétiner le code civil qui place au-dessus de tout le consentement libre et éclairé du malade ?

Cette affaire révèle au grand jour l’enjeu véritable des élections de 2017. En vérité, derrière cette folie vaccinatoire se cache la collusion entre Macron, des grands patrons et des hauts fonctionnaires sans scrupule. Depuis des années le secret était parfaitement gardé.

Jusqu’à aujourd’hui !

Soyons clair :

  • Les personnes impliquées ne s’attendaient pas à ce que les détails de leur plan soient dévoilés.
  • Tout ceci est le premier coup de poignard de Macron et depuis son élection, il règne en petit dictateur.
  • Le gouvernement est à sa botte. Le parlement est muselé.
  • Il a la police et les tribunaux pour exécuter ses décisions.
  • Les Français ne l’intéressent plus.
  • Pour des millions de Français qui ont espéré avec son élection, c’est la douche froide.
  • Aucun débat, aucune modération, plus aucun dialogue entre le peuple et ses élus.
  • Juste de la violence et du rapport de force.

On s’attendait à ce qu’il passe en force afin de démolir le code du travail mais il fait pire : Il s’en prend d’abord aux nourrissons.

On nous a fait miroiter une république « apaisée » et il n’aura fallu que quelques semaines pour que les élites reprennent les armes contre le peuple mais dans leur précipitation, ils ont dévoilé leurs véritables intentions et cette maladresse a révélé que celui qui c’est installé à l’Élysée le 14 mai 2017 n’était pas le vainqueur d’une élection libre et régulière mais le pantin d’un groupe de financiers et d’industriels et 99.98% des Français ne reconnaitront jamais cette vérité qui dérange.

La désignation de Macron (Sans doute un des événements les plus importants de notre époque) a été organisé il y a dix ans à huis clos dans un palais de la république.

Le reste dans la vidéo qui est à regarder et à partager sans modération !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Politique : Emmanuel Macron et ce que ne vous disent pas les médias

Ils ont tous des cadavres dans les placards que ce soit avant, pendant et même après leur mandat.

Emmanuel Macron ne fait pas exception à la règle mais par les temps qui courent ou le capital se sent pris le couteau sous la gorge, sentant ses jours comptés, Emmanuel Macron, la coqueluche d’un électorat soumis aux médias mainstream, cet homme faisant figure de proue d’un système désormais reconnu comme étant défaillant et quasi moribond serait-il le dernier président d’un système politique inlassablement recommencé depuis des décennies de quinquennat ?

Voici de quoi éclairer les éternelles idiotes victimes d’un système qui c’est bien rigolé d’elles des années durant !

Qui est Emmanuel Macron ?

  • Macron, c’est l’ancien conseiller économique d’Hollande avant de devenir son ministre de l’économie.
  • C’est celui qui a fait passer sa loi travail et sa loi Macron à coup de 49.3 et qui doit ou dit vouloir aller encore plus loin.

Son bilan à l’heure actuelle ?

  • 600’000 chômeurs supplémentaires.
  • Alstom, fleuron français, vendu au géant américain General Electrics qui a aussi tôt supprimé 800 postes en France; il laisse une très lourde facture derrière lui. Il a été incapable de budgéter ses projets divers : (Salaires des fonctionnaires, plan pour l’emploi, les prisons, les policiers, Alstom, les jeunes, les intermittents etc…) Echec sur échec !
  • La France n’a cessé de perdre des parts de marché dans le commerce mondial sous son mandat, passant de 6 à 3 %. L’Euro n’y a rien changé.
  • Alors même qu’il l’a nié lors du débat, il est bien le ministre qui a engagé la vente de SFR à Patrick Drahi en octobre 2014. Cette vente a entrainé des licenciements par milliers, dégradations des conditions de travail, colère syndicale et départ des abonnés. Le nouveau propriétaire de SFR, Patrick Drahi, est aussi propriétaire de BFM, Libération, RMC, l’Express ainsi que d’autres grands médias qui n’ont cessé de faire campagne pour Macron.
  • Macron c’est celui qui a « oublié »  ses 3’000’000 d’Euros gagnés en 1 an et qui n’apparaissent plus dans sa déclaration de patrimoine. Aujourd’hui, Macron « serait » soupçonné d’évasion fiscale via des comptes offshore. Il rejette ses accusations en bloc.
  • Macron c’est celui qui vous parle de valeur du travail alors qu’il a été projeté à la banque Rothschild dès la fin de son parcours à l’ENA.
  • Macron c’est celui qui veut réduire l’impôt sur les grandes fortunes. Pour qui ? Pour Vous ?
  • C’est sous son mandat en 2015, que l’espérance de vie en France a reculé pour la première fois depuis 1969.
  • Macron c’est celui qui a avoué sur l’antenne de RTL ne pas avoir de programme contre le terrorisme.
  • Il est soutenu par l’UOIF, une structure liée aux frères musulmans et balance en off sur Beur FM son admiration pour Mohamed Saou, un islamiste radical.
  • Macron c’est celui qui est allé voir Angela Merkel, son mentor, pour la féliciter pour son accueil de 1’500’000 réfugiés dans son pays après 11 attentats perpétrés en Allemagne en 2016 dont 8 par des réfugiés.
  • Macron c’est celui qui affirme que rétablir les frontières, c’est faire le jeu du terrorisme.
  • Macron c’est celui qui a dit qu’il n’y avait pas de culture et d’art français et qu’avant l’Europe, la France était une « vallée de larmes et de sang ».
  • Macron c’est celui qui veut soumettre les français aux technocrates de Bruxelles qui, je le rappelle, ne sont pas élus par les peuples.
  • Macron c’est celui qui a affirmé que l’Europe actuelle était un modèle pour le reste du monde et que la France est le seul pays européen à ne pas avoir vaincu le chômage.
  • Macron c’est celui qui, lors d’un congrès des syndicats agricoles, a comparé les patrons à des éleveurs et les employés à du bétail.
  • Macron c’est celui qui considère que de déchirer la chemise d’un patron est bien plus grave que le licenciement massif de français et de délocalisation massive des entreprises.
  • Macron c’est celui qui nous explique que sans les « Uber », les chauffeurs de taxi seraient en train de dealer de la drogue.
  • Macron, c’est celui qui dit à deux boulangers (qui travaillent entre 40 et 48 heures par semaine) qu’il faut travailler pour se payer son costume Gucci à 15’000 Euros.
  • Macron c’est celui qui a traité les ouvrières GAD d’illettrées et les ouvriers du bassin du Nord d’alcooliques…

Le reste dans la vidéo.

Politique, politique…

On aime, on aime pas, reconnaissons que tout est fait pour embrouiller.

Personnellement je ne suis pas du tout Macron, j’estime qu’il fait partie d’un système capitaliste cannibale et qu’à terme, les gens n’auront plus qu’à se soumettre, payer, bosser et mourir.

Ce système n’a pas dit son dernier mot et avant de mourir, c’est par centaines de milliers que d’innocentes victimes vont succomber sous son implacable rouleau compresseur.

La vidéo qui suit est uniquement là à titre indicatif et en tant que rédacteur je n’adhère à aucun parti politique.

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

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Politique : J’ai voté pour macron parce que ? … Ah oui, parce qu’il est séduisant

Dernière mise à jour : 29 juillet 2018 – 11:25

Politique : « J’ai voté pour macron parce que ? … Ah oui, parce qu’il est séduisant ! »

Les Français seraient-ils victime de ce qu’on a coutume d’appeler « La beauté du Diable » ?

Personnellement, je n’ai rien contre le personnage de Macron bien au contraire même. J’ai une grande admiration pour un homme qui soutenu par toute une clique de lobbyistes  plus fortunés les uns que les autres a su se placer au bon endroit, la France et au bon moment, celui ou apparemment les français sont plus nuls que jamais et ce, afin d’atteindre les plus hauts sommets de la république.

Bravo Macron !

A vous qui avez  encore de la lucidité, je viens de concocter une petite vidéo qui démontre à quel point la France a touché le fond et c’est édifiant !

A mon avis, mieux vaut en rire.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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