Je bénis la viande quand j’en mange et c’est pas souvent, un veau, une vache, ils sont morts de toutes manières mais quand je vois ce qui suit, « Au secours », comment en sommes-nous arrivés là?
Bon appétit !
L’être humain est omnivore soit, mais pas dans ces conditions !
Bande de saloperies inhumaines, vous faites franchement pitié !!!!!!! Et comment pouvez-vous vous regarder dans un miroir ?
Ça va trop loin, ça va vraiment trop loin et il faut que cela cesse !
EST-IL NÉCESSAIRE DE LE RAPPELER OU VOS OEILLERES VOUS AURAIENT-ELLES ARRACHÉ TOUTES COMPASSIONS ?
En ce qui me concerne, ces images me font vomir et en me regardant dans le miroir le matin, je me demande si je suis bien à ma place en tant qu’être humain.
Je pleure sur la Palestine, la Syrie, le Yémen et toutes les populations qui sont sacrifiées au nom d’un profit immédiat. Pauvre monde de fous.
Consommer tant qu’il y en a et bien à vous !
Profond respect à toutes celles et ceux qui lutent contre cette injustice. Ils sont peu nombreux mais leur implication est primordiale. Un grand Merci.
Vidéo :
C’EST HUMAINEMENT INSUPPORTABLE
LA SOUFFRANCE ET LA PERSÉCUTION SONT QUOTIDIENNES, UN PROFOND DÉSESPOIR .
LE PEUPLE PALESTINIEN ENDURE CE MASSACRE AVEC COURAGE ET PERSÉVÉRANCE. ILS EXISTENT ET RÉSISTENT MALGRÉ UNE EXISTENCE INTOLÉRABLE AU QUOTIDIEN.
Petite piqûre de rappel : Quand l’empathie est au rendez-vous
On ne parle pas ici de politique mais bel et bien de compassion et d’empathie. C’est le sujet du billet.
Sincérité ou cinéma ? Les messages s’en donnent à cœur joie sur la toile. J’ai contacté la journaliste pour plus d’informations. Affaire à suivre …
En direct, la journaliste américaine Rachel Maddow reçoit l’information que les bébés de migrants sont envoyés dans des centres de détention par l’administration Trump.
La présentatrice TV Rachel Maddow s’effondre en larmes lorsqu’elle apprend le sort des enfants migrants dans son pays qui sont enfermés dans des cages, séparés de leurs parents, près de la frontière mexicaine :
“C’est incroyable ! L’administration Trump a envoyé des bébés et des jeunes enfants dans au moins trois refuges pour âge tendre au sud du Texas. les avocats et fournisseurs médicaux … On va arrêter là … Désolé, c’est tout pour ce soir, on se retrouve demain.”
Évacuation d’un squat de migrants à Bagnolet : la vidéo qui révèle des violences policières
Une séquence brève mais ultraviolente
les images inédites de l’évacuation par la police d’un squat de migrants à Bagnolet (93) en juin dernier.
Un document amateur, tourné par un riverain et que nous diffusons, montre des images de migrants frappés à coups de matraque, de pied et de poing au visage.
Ce dimanche, la police semble avoir pour consigne de frapper le plus possible et le plus fort possible, tirant même des bombes lacrymogènes dans le métro à bout portant. Le bilan pourrait être l’un des plus lourds depuis le début de la mobilisation.
L’individu dont l’interpellation violente à Nantes avait suscité l’indignation, a été retrouvé. Bruno Kaïk, 51 ans, témoigne de son hospitalisation après avoir été retrouvé inconscient sur la voie publique. Sa version contredit celle de la police.
Contacté par la cellule du quotidien, le Service d’information et de communication de la police (Sicop) avait affirmé, le 5 août, que Bruno Kaïk avait «jeté une bouteille en verre contre un policier». Un acte que reconnait le principal intéressé. «J’ai jeté cette bouteille en verre vide, alors que j’étais à une trentaine de mètres des policiers, dans leur direction. Effectivement, elle a éclaté devant les policiers, à quelques mètres d’eux, mais c’était plus symbolique qu’autre chose. Il n’y avait aucune intention de blesser. Dans tous les cas, leur réaction a été complètement disproportionnée», explique-t-il à CheckNews.
Bruno Kaïk «violemment strangulé jusqu’à l’étouffement» ?
Mais surtout, il conteste la version du Sicop selon laquelle son hospitalisation après l’interpellation serait due au fait «qu’il était incommodé par les gaz lacrymogènes». «A l’abri des camions, où j’ai été traîné ensuite, j’ai reçu d’autres coups. J’ai été violemment strangulé jusqu’à l’étouffement par un membre de la BAC. Avant de m’évanouir et de rester inconscient pendant plusieurs minutes», réplique Bruno Kaïk, toujours auprès de Libération. C’est d’après lui la violence des agents de la brigade qui aurait conduit à sa prise en charge par les pompiers.
Après son interpellation filmée dans un contexte tendu, une autre vidéo montre Bruno Kaïk suffoquer, menotté, au pied d’un agent.
Hospitalisé au CHU de Nantes pendant plusieurs heures, le quinquagénaire a transmis au site du quotidien son rapport d’observation médical dans lequel il est fait état que celui-ci a été retrouvé «inconscient sur la voie publique», ce qui l’a conduit à être «amené par les pompiers en urgence». Autre point de divergence, donc, puisque les forces de l’ordre affirmaient l’avoir amené elles-mêmes à l’hôpital.
Le document précise par ailleurs l’absence de «prise de toxiques» pouvant être à l’origine de sa perte de connaissance. Bruno Kaïk confirme : «Ce qui a conduit à mon inconscience, ce sont bel et bien les maltraitances policières».
Bruno Kaïk rapporte à CheckNews vouloir porter plainte contre «toute la chaîne de commandement, de l’officier de la BAC jusqu’au président de la République, qui est le chef des armées et a autorisé ces dérives».
Si l’AFP, de son côté, avait noté, citant le Sicop, que le certificat médical produit mentionnait «0 jour d’ITT», l’interpellé explique au quotidien : «Je ne suis pas salarié, je n’ai donc pas demandé d’arrêt de travail.» Ce père de famille se définit comme «fervent adepte de la non-technologie», assurant qu’il n’avait pris part à aucune manifestation des Gilets Jaunes. «Je suis en train de devenir une figure de la contestation, mais ce n’était pas du tout l’objectif», conclut-il, toujours auprès de CheckNews.
Après plusieurs heures d’hospitalisation, Bruno Kaïk a ensuite été placé en garde à vue durant 24 heures, puis relâché. Une enquête préliminaire se poursuit.
Chaque année, 300 000 enfants sont mis sous protection de l’État. Pourtant, ces mesures les mettent parfois encore plus en danger qu’ils ne l’étaient…
Parce que chaque enfant devrait être protégé, voici une vidéo édifiante, affligeante, mais dont on peut espérer qu’elle fera bouger les choses. Pour le magazine Pièces à conviction, un journaliste s’est infiltré dans un foyer d’accueil d’urgences. Son objectif ? Voir de ses propres yeux ce qui s’y passait. Résultat ? Une enquête essentielle qui brise un tabou grave.
Manque de personnel encadrant, mauvais traitements, violences entre jeunes, ce que ce journaliste a vu et les témoignages qu’il a pu recueillir laissent sans voix. Extrait :
Ce sont des milliers de familles qui chaque année sont déchirées, broyées, dépecées et piétinées par le rouleau compresseur de l’administration. Un avocat bien courageux, Michel Amas lance son coup de gueule et tire la sonnette d’alarme.
Jiddu Krishnamurti disait : « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade »
MALI ET HOMMAGE AUX VICTIMES
Ce n’est pas la photo d’un enfant couché paisiblement comme en voit un peu partout en Afrique.
Non, c’est pas non plus un enfant enrobé dans le pagne de sa mère.
Cet ange est une victime de la barbarie humaine.
Ce bébé est une victime de la bêtise humaine.
Il a été tué, sa mère, son père, ses frères, ses sœurs et son village aussi.
Il ne se couvre pas les yeux parce qu’il a peur, non, il exprime sa honte.
Sa honte face à ce qu’est devenu l’humanité.
Sa honte face à la lâcheté de ceux qui l’ont assassiné sans égard à son âge.
Il ira se plaindre, il se plaindre chez Dieu.
Son histoire s’est éteinte sans commencer.
Lui, c’est l’une de la centaine de victimes de Sobane Da dans la région de Mopti au Mali.
Lui, c’est l’une des milliers de victimes civiles des conflits au Mali.
Lui, c’est pas un nombre, c’est pas un chiffre, c’est pas une statistique, c’est un être humain mort, mort sans savoir pourquoi !
Hommage à toutes les victimes des conflits absurdes au Mali.