C’est en s’achetant une bonne conduite que les organisations Internationales comptent nous donner une leçon dans l’art de nous auto culpabiliser. « … Ayez froid, soyez pauvre, vous le faites pour le bien commun. »
Image:
Genève internationale. Le palais des Nations à Genève, siège européen des Nations Unies, reste fermé jusqu’au 12 janvier en raison d’une crise de liquidité de l’organisation. Celle-ci veut économiser sur les frais de chauffage, d’électricité et d’entretien. L’explosion des prix de l’énergie a plombé le budget de l’ONU et contraint à maintenir fermées les portes du Palais des Nations du 20 décembre jusqu’au 12 janvier, a confirmé vendredi une porte-parole de l’ONU suite à une information de la radio SFR.
Geneva: Din lipsă de bani, ONU își închide porțile
Cumpărând un comportament bun, organizațiile internaționale intenționează să ne învețe o lecție despre arta de a ne învinovăți. „…Fii rece, fii sărac, fă-o pentru binele comun.”
Imagine:
Geneva Internațională. Palatul Națiunilor din Geneva, sediul european al Națiunilor Unite, rămâne închis până pe 12 ianuarie din cauza unei crize de lichidități la organizație. Ea vrea să economisească la încălzire, electricitate și costuri de întreținere. Explozia prețurilor la energie a împovărat bugetul ONU și a forțat ușile Palatului Națiunilor să fie ținute închise între 20 decembrie și 12 ianuarie, a confirmat vineri un purtător de cuvânt al ONU, în urma informațiilor de la radio SFR.
Geneva: For lack of money, the UN closes its doors
It is by purchasing good behavior that international organizations intend to teach us a lesson in the art of blaming ourselves. “…Be cold, be poor, you do it for the common good.”
Picture:
International Geneva. The Palais des Nations in Geneva, the European headquarters of the United Nations, remains closed until January 12 due to a liquidity crisis at the organization. She wants to save on heating, electricity and maintenance costs. The explosion in energy prices has weighed down the UN budget and forced the doors of the Palais des Nations to be kept closed from December 20 until January 12, a UN spokesperson confirmed on Friday following information from SFR radio.
Le Pacte mondial sur les migrations, auquel la Suisse a décidé de ne pas encore s’associer après avoir coprésidé les négociations, a été adopté. Il a été formellement avalisé lundi matin à Marrakech en présence d’environ 160 États.
« Si certains pensent que le multilatéralisme concurrence la souveraineté, nous démontrons aujourd’hui qu’il est un acte de souveraineté », a dit le président de la Conférence, le chef de la diplomatie marocaine Nasser Bourati. Plus d’une dizaine de pays, dont la Suisse, rejettent le Pacte ou ont reporté leur décision.
Soulignant les « efforts » consentis pour parvenir à ce pacte, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a exhorté à ne « pas succomber à la peur ou aux faux narratifs » sur la migration.
S’exprimant à l’ouverture des débats, il a dénoncé les « nombreux mensonges » à propos d’un texte qui a soulevé les critiques des nationalistes et des partisans de la fermeture des frontières.
Le pacte, destiné à renforcer la coopération internationale pour une « migration sûre, ordonnée et régulière », doit encore faire l’objet d’un ultime vote de ratification le 19 décembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
Texte non contraignant
Le texte, qui n’est pas contraignant, avait été validé en juillet dernier par l’ensemble des 193 pays membres de l’ONU sauf les États-Unis. Il recense 23 objectifs de coopération, des ambitions communes et responsabilités partagées en matière de migrations et précise noir sur blanc que chaque État est libre de décider qui il souhaite accueillir, ce qui n’a pas empêché de nombreux responsables de droite et d’extrême droite de le présenter comme un encouragement à l’immigration massive.
Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse
Réaction en France sur le plateau de France 2 :
Selon Eric Ciotti, homme politique à l’origine de la Droite populaire, le pacte de Marrakech est un scandale démocratique. Il contient des mesures comme : les mêmes droits pour les migrants que pour les nationaux…
Les Casques bleu de l’ONU, notamment des soldats Français, violent femmes et enfants en les obligeant à avoir des rapports sexuels avec des animaux dans des pays déjà ébranlés par la guerre.
Une affaire en cachant une autre, l’émotion tarie, on entend plus parler de ces scandales qui ont éclaboussés l’honorable institution internationale.
Cette vidéo remonte à 2016 et mettait en évidence les dysfonctionnements de ces institutions censées pourtant apporter aide et réconfort à des populations meurtries par la guerre.
Qu’en est-il aujourd’hui ?
Il n’y a pas un jour où une affaire touchant des enfants ne soit révélée, discrètement dans les médias mainstream mais plus largement dans les médias de réinformation ou par des lanceurs d’alerte. Mais de ne plus, ou moins en parler suffit-il pour penser que tout est rentré dans l’ordre ? Rien n’est moins sûr.
Allocution de l’Ambassadeur Syrien auprès de l’ONU, Bachar al-Jaafari après l’intervention tripartite impliquant les États-Unis, la Grande Bretagne et la France dans l’agression survenue en Syrie sous le prétexte d’une attaque chimique orchestrée par le gouvernement de Bachar el-Assad sur son propre peuple.
Un discours que nous ne verrons jamais sur les médias mainstream.
Réaction de l’ambassadeur bolivien aux Nations Unies concernant Daesh.
False Flag, Hoax et Fake News, tous les coups sont permis pour les pays Occidentaux qui sont animés par une Russophobie démesurée mais, comme le démontre L’Ambassadeur Bolivien en nous rappelant cette fausse information de Colin Powell qui présenta devant le Conseil de sécurité des Nations Unies en 2003 un dossier trompeur prétendant que l’Irak était en possession d’armes chimiques et qui fut suivi par la plupart des pays occidentaux, ce qui déboucha sur l’invasion illégale d’un pays souverain en entrainant la mort de dizaines de milliers d’innocents, hommes, femmes et enfants…
Alors comment donner désormais un quelconque crédit à cette désinformation occidentale à répétition ?
La nuit du 26 Février, 41 jours après le début de la guerre, les avions et les hélicoptères américains attaquent des milliers d’irakiens civils et soldats, en fuite vers le Koweït. Le bombardement commence à minuit et dure des heures. Il n’y aura pas de rescapé.
Le lendemain, les pools des reporters filment 80 kilomètres de route jonchés de milliers de carcasses de voitures, de bus, de camions et d’une poignée de tanks.
Les cadavres ne seront jamais dénombrés.
Les États-Unis sont accusés de crime de guerre mais l’affaire ne sera jamais portée devant un tribunal international.
Pour la première fois, une agence des Nations unies a directement accusé Israël d’imposer « un régime d’apartheid » au peuple palestinien. Sous la pression d’Israël et des États-Unis, le Secrétaire général de l’ONU s’est dissocié de ce document. Après plusieurs jours de polémique, la Secrétaire générale adjointe des Nations unies, Rima Khalaf, qui l’avait mis en ligne, a démissionné.
Voilà une affaire qui embarrasse bien Antonio Guterres… Mercredi 15 mars, la Jordanienne Rima Khalaf, Secrétaire exécutive de la Commission économique et sociale pour l’Asie occidentale (CESAO ou ESCWA), l’une des cinq commissions régionales des Nations unies chargée des questions économiques et sociales dans le monde arabe, publie sur son site un rapport. Rédigé à la demande de cet organe par deux spécialistes de droit international (lire l’encadré plus bas), connus pour leur hostilité la politique d’occupation israélienne, ce rapport affirme qu' »Israël a mis en place un régime d’apartheid qui institutionnalise de façon systématique l’oppression raciale et la domination du peuple palestinien dans sa totalité« .
Israël et les Etats-Unis outrés
Dès sa publication, le rapport provoque l’ire d’Israël. Le ministère des Affaires étrangères le compare à de la « propagande nazie« . Israël et ses soutiens exhortent alors M. Guterres à dénoncer le rapport décrit comme « une attaque sans fondement destinée à isoler et à délégitimer le pays« . A leur tour, les Etats-Unis fustigent le document. « Outrée« , Nikki R. Haley, représentante de l’administration Trump à l’ONU, exige la démission de la fonctionnaire onusienne.
A plusieurs reprises, l’ONU repète alors aux journalistes que le rapport publié sur le site de la CESAO ne reflète pas les positions d’Antonio Guterres, qui « n’en avait pas eu connaissance« , puisqu’il a « été rédigé sans consulter New York« , selon le porte parole de l’ONU, Stephane Dujarric. Le Secrétaire général de l’ONU aurait ainsi demandé à Mme Khalaff de « retirer ce rapport du site Internet de la commission, non pas en raison de ce qu’il contient, mais parce que personne, au siège des Nations unies n’a été consulté avant sa publication. »
Après trois jours de vives polémiques, vendredi, le rapport n’est plus consultable sur le site de la CESAO. Lors d’une rapide conférence de presse, la Secrétaire générale adjointe de l’ONU, Rima Khalaf, annonce que face « aux incessantes pressions subies par Antonio Guterres« , elle a décidé de retirer le rapport de son site. Et de démissionner de son poste. Démission acceptée par le Secrétaire général. Une décision immédiatement saluée par l’ambassadrice américaine à l’ONU : « Lorsqu’une personne publie un rapport faux et diffamatoire au nom de l’ONU, il est de mise que la personne démissionne« . Et l’ambassadeur israélien d’exulter, estimant même que la diplomate oeuvrait depuis longtemps à nuire à son pays et que sa mise à l’écart aurait du intervenir « bien avant cette affaire« .
Qui sont les auteurs du rapport et qu’est-ce que le crime d’apartheid ?
Richard Falk au siège de l’ONU à Genève en 2001.
Richard Falk, Américain et juif agé de 82 ans, est professeur à l’université de Princeton et ancien rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme dans les territoires occupés.Virginia Tilley est professeure à l’université de l’Illinois, auteure, dans les années 2000, de nombreuses recherches en Afrique du Sud.
Selon eux, le système de discriminations institutionnalisé par Israël sur les Palestiniens est constitutif du crime d’apartheid tel que définit par la Convention Internationale anti-apartheid de 1973. Ce texte, endossé par l’Assemblée générale de l’ONU, n’a pas été ratifié par de nombreux pays occidentaux comme la France. Il définit l’apartheid comme « des actes inhumains, perpétrés dans le but d’établir et de maintenir la domination des membres d’un groupe racial sur les membres d’un autre et de les opprimer systématiquement ».
Richard Falk, l’un des auteurs du rapport et bête noire du régime israélien, s’est dit « surpris par les remous causés par ce rapport« , avant d’ajouter que Mme Khalaf était selon lui « un bouc émissaire« . « Cette étude est une étude universitaire qui essaie de son mieux d’examiner les preuves et d’analyser comment la loi peut leur être appliquée de façon professionnelle » a-t-il déclaré. » Dans cette vaste entreprise de discrédit du rapport, sans l’avoir lu ni critiqué ses fondements, j’ai aujourd’hui le sentiment d’être diffamé. »
« Agenda anti-israélien »
En conclusion, le rapport de la CESAO recommandait que la Cour de justice de la Haye se prononce sur cette question. Il appelait également les pays membres de l’ONU à soutenir la campagne BDS (« Boycottage, désinvestissement, sanctions ») pour faire pression sur Israël. Une initiative de la société civile palestinienne jugée illégale en France par un arrêt de la Cour de cassation de 2015. Selon les responsables de cette campagne, « Mme Khalaf a préféré démissionner dans la dignité plutôt que de soumettre ses principes aux campagnes de harcèlement conjointes d’Israël et des Etats-Unis« .
Depuis l’entrée en fonction de Donald TRump, qui a clairement pris position en faveur d’Israël dans le conflit, de plus en plus de Palestiniens se retrouvent découragés face à la perspective d’un Etat palestinien indépendant. L’ambassadeur israélien auprès des Nations unies, qui a été le premier à fustiger le rapport et à appeler Antonio Guterres à s’en désolidariser, s’est directement adressé à eux. « Les militants anti-israéliens n’appartiennent pas aux Nations unies » a-t-il déclaré dans un communiqué. « Il est temps de mettre fin à cette pratique selon laquelle les fonctionnaires des États-Unis utilisent leurs position pour faire avancer leur agenda anti-israélien« .
Ils veulent sexualiser nos enfants dès leur plus jeune age et avec la loi prochain e sur les droits sexuels des enfants, libéraliser la pédophilie puisque nous ne pourront plus attaquer en justice les pédophiles comme votre enfant était d’accord …..
Nos enfants doivent apprendre à lire, écrire et compter et non apprendre à se masturber à caresser leur amis .
Si vous ne comprenez pas le projet de l’école de la république par le prisme maçonnique vous ne comprendrez rien à l’accélération des actes satanique de nos dirigeants en direction nos enfants……
Vincent peillon , Hamon , Belkacem sont franc maçons pour être ministre de l’éducation Française c’est le passage obligé.
Tous les sataniques ne sont pas franc maçons mais tous les franc maçons sont sataniques, pour les petits degrés ils ne le savent même pas ils sont les idiots utiles mais servent la Kabbale et les idées anti chrétienne de la synagogues qui a créée cette secte religieuse et anti-religieuse sauf pour celle du judaïsme.
Le conseil économique et social des Nations unies a donné son feu vert pour que l’Arabie Saoudite, pourtant adepte de la charia, intègre la commission des droits des femmes de l’ONU.
« C’est comme désigner un pyromane chef des pompiers de la ville. » La remarque est pour le moins ironique. Elle est celle de Hillel Neuer, directeur exécutif de l’organisation UN Watch, ONG suisse qui s’est donné pour mission de… « d’assurer que l’ONU respecte sa propre Charte et que les Droits de l’Homme soient accessibles à tous ».
Toujours est-il que la Commission de la condition de la femme des Nations unies (CSW), qui promeut le droit des femmes partout dans le monde, compte un nouveau membre : et c’est bien bel et bien l’Arabie saoudite, pays régi par la charia. 47 des 54 états membres du conseil économique et social des Nations unies ont approuvé cette entrée.
Le 24 avril 2017, en fin d’après-midi et sous un soleil radieux, une poignée d’hommes et de femmes sympathisants de la cause syrienne ce sont rendus devant le palais des Nations Unie à Genève afin de soutenir la cause syrienne.
Pour rappel, voici leurs revendications :
(1) Les Etats-Unis ne sont pas en mesure de justifier cette action au titre de la légitime défense, prévue à l’article 51 de la Charte de l’ONU
(2) Les Etats-Unis ne peuvent faire état d’une quelconque autorisation du Conseil de l’ONU, le débat étant en cours à New York
(3) Les Etats-Unis ne peuvent évidemment pas anticiper les résultats d’une enquête internationale diligentée par l’Organisation internationale pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC basée à La Haye), qui demeure la seule habilitée à la conduire en application de la Convention d’interdiction des armes chimiques de 1993 à laquelle la Syrie n’a adhéré qu’en 2013
(4) Se fonder sur les seules affirmations des Services de renseignement US et occidentaux pour apporter la preuve de l’implication du régime syrien est plus que cynique si l’on se souvient des mensonges proférés par ces mêmes Services à propos de la présence d’armes de destruction massive en Irak.
L’INGERENCE AGRESSIVE ET UNILATERALE DES ETATS-UNIS NE RENDRA PAS LES SYRIENS MAÎTRES DE LEUR AVENIR!
Après 6 ans de destruction, alimentés par une guerre par procuration internationale, bien des pays occidentaux ont salué les frappes du Président Donald Trump contre une base militaire syrienne. Persuadés de leur «omniscience morale» en vertu de laquelle, le monde «libre» peut désigner impunément la colombe et le vautour, les Etats-Unis ont tenu leur rôle de «gendarme du monde» en accusant unilatéralement le gouvernement syrien d’avoir utilisé des armes chimiques contre sa propre population dans la localité de Khan Cheikhoun le 5 avril.
Ce faisant, et en prenant en otage les droits de l’homme et jouant sur la récupération politique, Trump se risque à une escalade de la violence pouvant avoir des conséquences désastreuses non seulement pour le peuple syrien mais aussi pour toute la communauté internationale. La frappe aérienne état-unienne constitue une infraction flagrante du droit international sur l’usage de la force.
Syrie : A qui profite le crime ?
En ces temps de guerre quasi mondiale, il est intéressant de se rendre compte des enjeux économiques colossaux qui se jouent en Syrie et il faut saluer le courage des journalistes qui font là, un travail admirable.
GLOIRE À LA RÉSISTANCE !!! 😎
La résolution de l’ONU sur les colonies israéliennes adoptée
—
Le début de la fin pour le territoire palestinien nommé Israël
—
Une résolution réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens a été adoptée vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des États-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto.
—
Dans un renversement de leur position habituelle sur ce dossier, les États-Unis se sont abstenus. Les 14 autres membres du Conseil de sécurité ont eux voté en faveur du texte.
—
Il s’agit d’«un grand camouflet» pour Israël, a immédiatement réagi Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne. «Il s’agit d’une condamnation internationale unanime de la colonisation et d’un fort soutien à une solution à deux États», a-t-il ajouté
—
Le vote, qui a été accueilli par des applaudissements, avait été réclamé par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela.
—
Ces quatre pays se sont impliqués après la volte-face du Caire qui avait proposé mercredi soir cette résolution rédigée par les Palestiniens et présentée au nom du groupe arabe à l’ONU. Mais l’Égypte avait demandé jeudi le report du vote initial, après une intervention du président élu américain Donald Trump auprès du président Abdel Fattah al-Sissi.
—
Ce texte qui exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est», a déclenché une offensive diplomatique de la part de l’État hébreu qui s’est immédiatement tourné vers son allié américain.
—
Washington a en effet utilisé son droit de veto trente fois pour bloquer des résolutions concernant Israël et les Palestiniens, selon l’organisation Security Council Report.
—
C’est en 2009, concernant un appel à un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis se sont abstenus pour la dernière fois lors d’un vote au Conseil de sécurité quel qu’en soit le thème.
—
En 2011, ils avaient opposé leur veto à une résolution similaire au projet égyptien. Mais cinq ans plus tard, la position de l’administration de Barack Obama, qui entretient des relations notoirement exécrables avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, faisait l’objet de nombreuses spéculations.
—
Il est finalement apparu clair aux Israéliens qu’à quelques jours de céder le pouvoir à Donald Trump –dont l’une des promesses de campagne est de reconnaître Jérusalem comme «capitale indivisible» d’Israël–, l’équipe Obama n’avait pas l’intention de faire usage de son droit de veto.
—
«Quand ils ont eu connaissance du fait que (l’administration américaine actuelle) ne mettrait pas son veto à cette résolution, des responsables israéliens ont pris contact avec des membres de l’équipe de transition de M. Trump pour demander l’aide du président élu», a affirmé vendredi à l’AFP un responsable israélien sous couvert d’anonymat.
—
Donald Trump qui avait très vite plaidé pour un veto américain dans une rare prise de position pour un président élu, a alors appelé le président Sissi, selon un communiqué de la présidence égyptienne.
—
«Les deux dirigeants se sont mis d’accord sur l’importance de donner à la nouvelle administration américaine (que dirigera M. Trump à partir du 20 janvier) une chance de gérer tous les aspects de la cause palestinienne pour arriver à un accord complet» sur le dossier, d’après ce communiqué.
—
Le retournement du président égyptien a surpris, mais il fait suite à de nombreuses preuves d’admiration pour M. Trump. Cet ancien officier de l’armée avait renversé son prédécesseur islamiste en 2013, un acte condamné par M. Obama.
—
Un haut responsable israélien a aussi accusé vendredi Barack Obama et son secrétaire d’Etat John Kerry d’être à l’origine du projet de résolution égyptien.
—
«L’administration américaine a secrètement concocté avec les Palestiniens une résolution anti-israélienne radicale, derrière le dos d’Israël, qui encouragerait le terrorisme et les boycotts», a-t-il déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat.
—
Par ailleurs, le président élu Donald Trump a fait savoir vendredi que «les choses seront différentes à l’ONU» après son arrivée à la Maison Blanche dans un mois. «Concernant l’ONU, les choses seront différentes après le 20 janvier», a simplement tweeté M. Trump.
—
«Le texte que nous avons ne se concentre pas exclusivement sur les colonies. Il condamne également la violence et le terrorisme. Il appelle aussi à éviter toute incitation émanant du côté palestinien, donc c’est un texte équilibré», a cependant jugé l’ambassadeur de France auprès des Nations unies, François Delattre.
—
«L’objectif principal que nous avons ici est de préserver et de réaffirmer une solution à deux États» palestinien et israélien qui cohabiteraient dans la paix et la sécurité, a expliqué M. Delattre.
—
Le projet égyptien considère à ce sujet que la colonisation est «dangereuse pour la viabilité d’une solution à deux États».
—
La colonisation est vue comme un frein majeur au processus de paix, les constructions israéliennes étant effectuées sur des terres qui pourraient appartenir à un futur État palestinien.
—
Les Nations unies la considèrent comme illégale au regard du droit international et ont appelé à plusieurs reprises Israël à y mettre fin. Malgré cela, des responsables onusiens ont constaté une augmentation des constructions ces derniers mois et certains responsables israéliens voient l’élection de Donald Trump comme une opportunité d’étendre la colonisation.
—
Le début de la fin pour le territoire palestinien nommé Israël
—
Une résolution réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens a été adoptée vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des États-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto.
—
Dans un renversement de leur position habituelle sur ce dossier, les États-Unis se sont abstenus. Les 14 autres membres du Conseil de sécurité ont eux voté en faveur du texte.
—
Il s’agit d’«un grand camouflet» pour Israël, a immédiatement réagi Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne. «Il s’agit d’une condamnation internationale unanime de la colonisation et d’un fort soutien à une solution à deux États», a-t-il ajouté
—
Le vote, qui a été accueilli par des applaudissements, avait été réclamé par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela.
—
Ces quatre pays se sont impliqués après la volte-face du Caire qui avait proposé mercredi soir cette résolution rédigée par les Palestiniens et présentée au nom du groupe arabe à l’ONU. Mais l’Égypte avait demandé jeudi le report du vote initial, après une intervention du président élu américain Donald Trump auprès du président Abdel Fattah al-Sissi.
—
Ce texte qui exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est», a déclenché une offensive diplomatique de la part de l’État hébreu qui s’est immédiatement tourné vers son allié américain.
—
Washington a en effet utilisé son droit de veto trente fois pour bloquer des résolutions concernant Israël et les Palestiniens, selon l’organisation Security Council Report.
—
C’est en 2009, concernant un appel à un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis se sont abstenus pour la dernière fois lors d’un vote au Conseil de sécurité quel qu’en soit le thème.
—
En 2011, ils avaient opposé leur veto à une résolution similaire au projet égyptien. Mais cinq ans plus tard, la position de l’administration de Barack Obama, qui entretient des relations notoirement exécrables avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, faisait l’objet de nombreuses spéculations.
—
Il est finalement apparu clair aux Israéliens qu’à quelques jours de céder le pouvoir à Donald Trump –dont l’une des promesses de campagne est de reconnaître Jérusalem comme «capitale indivisible» d’Israël–, l’équipe Obama n’avait pas l’intention de faire usage de son droit de veto.
—
«Quand ils ont eu connaissance du fait que (l’administration américaine actuelle) ne mettrait pas son veto à cette résolution, des responsables israéliens ont pris contact avec des membres de l’équipe de transition de M. Trump pour demander l’aide du président élu», a affirmé vendredi à l’AFP un responsable israélien sous couvert d’anonymat.
—
Donald Trump qui avait très vite plaidé pour un veto américain dans une rare prise de position pour un président élu, a alors appelé le président Sissi, selon un communiqué de la présidence égyptienne.
—
«Les deux dirigeants se sont mis d’accord sur l’importance de donner à la nouvelle administration américaine (que dirigera M. Trump à partir du 20 janvier) une chance de gérer tous les aspects de la cause palestinienne pour arriver à un accord complet» sur le dossier, d’après ce communiqué.
—
Le retournement du président égyptien a surpris, mais il fait suite à de nombreuses preuves d’admiration pour M. Trump. Cet ancien officier de l’armée avait renversé son prédécesseur islamiste en 2013, un acte condamné par M. Obama.
—
Un haut responsable israélien a aussi accusé vendredi Barack Obama et son secrétaire d’Etat John Kerry d’être à l’origine du projet de résolution égyptien.
—
«L’administration américaine a secrètement concocté avec les Palestiniens une résolution anti-israélienne radicale, derrière le dos d’Israël, qui encouragerait le terrorisme et les boycotts», a-t-il déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat.
—
Par ailleurs, le président élu Donald Trump a fait savoir vendredi que «les choses seront différentes à l’ONU» après son arrivée à la Maison Blanche dans un mois. «Concernant l’ONU, les choses seront différentes après le 20 janvier», a simplement tweeté M. Trump.
—
«Le texte que nous avons ne se concentre pas exclusivement sur les colonies. Il condamne également la violence et le terrorisme. Il appelle aussi à éviter toute incitation émanant du côté palestinien, donc c’est un texte équilibré», a cependant jugé l’ambassadeur de France auprès des Nations unies, François Delattre.
—
«L’objectif principal que nous avons ici est de préserver et de réaffirmer une solution à deux États» palestinien et israélien qui cohabiteraient dans la paix et la sécurité, a expliqué M. Delattre.
—
Le projet égyptien considère à ce sujet que la colonisation est «dangereuse pour la viabilité d’une solution à deux États».
—
La colonisation est vue comme un frein majeur au processus de paix, les constructions israéliennes étant effectuées sur des terres qui pourraient appartenir à un futur État palestinien.
—
Les Nations unies la considèrent comme illégale au regard du droit international et ont appelé à plusieurs reprises Israël à y mettre fin. Malgré cela, des responsables onusiens ont constaté une augmentation des constructions ces derniers mois et certains responsables israéliens voient l’élection de Donald Trump comme une opportunité d’étendre la colonisation.
×
Hello!
Click one of our contacts below to chat on WhatsApp