« La Réforme Fiscale va se traduire par des coupes massives dans les services publics »
La France pour ne citer que ce pays est en plein dedans avec des milliards de cadeaux faits aux multinationales et aux actionnaires ; concernant la Suisse, cela se voit déjà dans le canton de Neuchâtel qui est pionnier en la matière avec entre autres : la fermeture de la haute école de musique, le doublement des frais d’écolage dans les écoles professionnelles supérieures, ou encore la réduction de l’argent de poche des pensionnaires dans les EMS… C’est un total de 4 milliards de cadeau fiscal fait à ceux qui en ont le moins besoin.
Les caisses sans caissières ce n’est pas d’hier ; en Suisse, la chaîne de supermarchés Migros proposait déjà cette alternative à ses clients il y a 50 ans mais à la différence c’est qu’à l’époque, ce système palliait à un manque de personnel qualifié alors qu’aujourd’hui, c’est sur le personnel qualifié qu’on lésine.
Extraordinaires archives de 1969.
On pensait déjà à des caisses sans caissières! Le patron de Migros à l’époque avec à sa solde 105’000 employés, promettait que les caissières survivraient à la robotisation.
Le géant américain de la musique, Universal Music, accuse la candidate israélienne Netta Barzilaï d’avoir plagié le titre “Seven Nation” du groupe White Stripes pour sa chanson “Toy” avec laquelle elle a remporté le dernier concours de l’Eurovision, révèle mardi le site israélien d’information Walla.
Selon Walla, le major du disque a adressé il y a deux semaines aux producteurs de Netta un courrier juridique préalable au lancement d’un procès. Les producteurs, prenant très au sérieux la menace, ont dépêché une équipe juridique à Los Angeles pour tenter de trouver un accord.
En cas de plagiat avéré, les conséquences pourraient être “catastrophiques” pour Israël. Le règlement du concours de l’Eurovision stipule expressément que la chanson inscrite est “une œuvre originale (composition/texte) et qu’il ne s’agit en aucune façon d’un plagiat”. Israël risque de se voir retirer sa victoire et l’organisation du prochain concours.
Des semaines avant le début de l’Eurovision, des internautes avaient déjà fait le rapprochement entre les deux titres.
Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
C’était en 2014, la Suisse jouait son Va-tout à l’Eurosong avec ce groupe un tantinet déjanté Sebalter dont le titre “Hunter of stars” (Chasseur d’étoiles) mettait en jeu les couleurs de la Suisse.
Écoutons l’intervention de Reginald Maître lors d’une assemblée générale de la BNS (Banque Nationale Suisse) :
« L’UBS, deux fois sauvée de la faillite par la Banque Nationale Suisse ; cette banque scélérate condamnée maintes fois sur le plan international à des amandes énormes pour des fautes avérées et sauvée à deux reprises par la BNS et la confédération. Cette banque commerciale qui a bénéficié de l’intervention de la BNS pour lui éviter par deux fois la faillite, actuellement, cette banque gesticule avec la Deutsche Bank pour éviter probablement une troisième faillite et aujourd’hui, notre collectif demande en tant qu’actionnaires et citoyens : Mais laissez-les sombrer et préservez votre probité, votre travail pour la Suisse et non pas pour ces scélérats de banquiers !
Il y a près de dix ans, le 16 octobre 2008, la Confédération et la Banque nationale suisse (BNS) ont sauvé UBS, alors au bord du précipice en raison de ses investissements hasardeux dans les subprimes. Si le sauvetage a été longuement préparé, il a été une surprise et un choc pour le public. Et Berne est intervenu une seconde fois pour sauver la banque, alors en délicatesse avec le fisc américain.
A l’origine de ce tremblement de terre helvétique, une autre secousse sismique avait agité les marchés financiers mondiaux et contribué à fragiliser UBS: la faillite le 15 septembre de la prestigieuse banque d’affaires américaine Lehman Brothers.
Préparation de longue date
Le sauvetage de la banque aux trois clés – dont la direction se ventait encore début octobre d’avoir habilement navigué les écueils de la crise – a été loin d’être un bricolage de dernière minute. Les autorités suisses avaient en effet tiré les leçons de la faillite de la compagnie nationale Swissair en 2001 et commencé à élaborer dès l’année suivante des plans de sauvetage pour les grandes banques.
Après l’échec des mesures de recapitalisation menées tout au long de l’année 2008, UBS s’est trouvée acculée et a demandé l’aide de la Confédération. Celle-ci a élaboré un ambitieux plan de sauvetage, conjointement avec la BNS et la Commission fédérale des banques (CFB).
Les autorités helvétiques ont alors annoncé lors d’une conférence de presse historique recapitaliser UBS et la délester de ses actifs toxiques. La Confédération a injecté 6 milliards de francs sous forme d’un emprunt à conversion et le groupe a été autorisé à transférer jusqu’à 60 milliards de dollars de titres illiquides à Stabfund, la banque de défaisance gérée par la BNS.
Au final, la valeur totale des actifs transférés s’est élevée à 38,7 milliards. Pour UBS, l’exercice 2008 s’est soldé par une perte nette de 21,3 milliards de francs.
Un ex-salarié d’UBS passe à table
Mais le drame n’est pas pour autant clos, les Etats-Unis s’apprêtant à écrire le deuxième chapitre du séisme qui a secoué la place financière suisse, la fin du secret bancaire – inscrit dans la loi suisse et pierre angulaire de la gestion de fortune helvétique. Tout a commencé avec les révélations à la justice américaine d’un ex-conseiller clientèle d’UBS, Bradley Birkenfeld, accusé d’aide à la soustraction fiscale. L’ex-employé de la banque aux trois clés a livré de précieuses informations aux juges en échange de leur clémence.
Pour éviter qu’UBS ne se retrouve devant la justice américaine et perde sa licence bancaire, le Conseil fédéral a envoyé en juin 2008 une délégation à Washington. En février 2009, la première livraison de quelque 4450 données de clients américains ayant échappé au fisc sonne le glas du secret bancaire suisse. La banque a payé au total 780 millions de dollars aux autorités américaines pour clore l’enquête.
Depuis, le groupe a considérablement réduit la voilure, tant au niveau global que dans la banque d’affaires. Alors qu’en 2007, quelque 22’000 personnes sur un total de 84’000 travaillaient encore pour cette division, elles n’étaient plus que 5000 sur un ensemble de 61’000 dix ans plus tard. Le nombre de salariés de l’unité Corporate Center, qui est notamment chargée de faire appliquer la régulation, est par contre passé de 7000 à 25’000. (ats/nxp)
Mieux vaut tard que jamais : Le Mea culpa d’une actionnaire de la BNS (Banque Nationale Suisse) qui reconnait que des milliards de Francs investis par l’établissement bancaire national partent dans les armes de guerre.
Gérard Jolimay est à la tête du collectif genevois en faveur d’une micro-taxe. CHRISTIAN BONZON
TAXES • Abolir la TVA, l’impôt fédéral direct et le droit de timbre pour les remplacer par une micro-taxe sur les transactions financières électroniques: c’est l’objectif d’un collectif de citoyens et d’élus genevois qui veut lancer une initiative fédérale. L’Etat s’oppose.
Explications :
«Avant, je prêchais dans le désert, mais désormais la dynamique est là. Les citoyens sont de plus en plus nombreux à me rejoindre. Notre but est de transformer la société en rétablissant une justice fiscale.» Gérard Jolimay, président du PDC Chêne-Bougeries, en est convaincu: la micro-taxe permettrait une répartition plus équitable des impôts. Son principe est simple. D’abord, la suppression de la TVA, de l’impôt fédéral direct et du droit de timbre. En remplacement, toutes les transactions financières électroniques seraient taxées à hauteur de 0,5%. La vente d’actions et d’obligations, les factures de restaurant réglées avec une carte de crédit, mais aussi les retraits au bancomat et le versement des salaires, seraient notamment concernés.
Banques dans le collimateur
Pour Marc Chesney, directeur du Département banque et finance de l’Université de Zurich et père fondateur de la micro-taxe, cette solution comporte de nombreux avantages: «Elle simplifie le système fiscal archaïque, complexe et bureaucratique. Tout en réduisant les charges des ménages et des PME. Enfin, elle limite les activités de la finance-casino.» Dans le collimateur, les banques et plus spécialement le trading spéculatif.
En taxant davantage les établissements financiers et moins les particuliers et les entreprises, un collectif de citoyens et d’élus genevois, qui vient d’être créé, espère fédérer un nombre suffisant d’électeurs pour faire aboutir une initiative fédérale. Gérard Jolimay y croit dur comme fer: «L’Etat est aussi gagnant puisqu’il pourra se dédouaner d’une organisation lourde et coûteuse en remplaçant certains impôts par une taxe automatique, sans infrastructure et encaissée immédiatement.»
Tirer une balle dans le pied
Du côté de l’Etat justement, la microtaxe est loin de faire l’unanimité comme le confirme Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat en charge du Département des finances: «C’est une réflexion que nous n’avons pas menée au sein du Conseil d’Etat. A titre personnel, j’y suis plutôt opposée si cette taxe devait être ajoutée aux impôts existants. Je rappelle à cet égard que Genève est déjà le canton qui utilise le plus son potentiel fiscal.» Avant de préciser: «Une telle micro-taxe qui impacterait non seulement les transactions financières, mais également tous les paiements électroniques, serait susceptible de prétériter notre canton en comparaison avec le reste de la Suisse et avec les autres pays.» Autrement dit, s’attaquer à la place financière reviendrait à se tirer une balle dans le pied. Ce que les autorités ne seront jamais prêtes à faire, sauf si elles s’y retrouvent contraintes en cas d’acceptation de la future initiative fédérale.
Roger Federer est le sportif qui gagne le plus d’argent grâce aux sponsors. Découvrez les chiffres de ce business vertigineux.
Roger Federer est entré de son vivant dans la légende des grands. C’est non seulement une réussite sportive sans égal mais également la réussite d’un homme d’affaires discret.
En 2017, il dépasse la barre symbolique des 100 millions de dollars de gains en tournois ; mais c’est avec les contrats publicitaires qu’il gagne le plus d’argent, environ 60 millions de dollars chaque année.
Roger Federer est le sportif qui a les revenus de sponsoring les plus élevés au monde : Rolex, Gillette, Crédit Suisse, Moët & Chandon, Wilson, Jura, NetJets, Lindt, Barilla … et depuis l’an dernier, il est habillé par Uniqllo, avec un contrat de 10 ans portant sur la somme faramineuse de 300 millions. Le magazine Forbes lui a articulé une fortune globale de 600 millions de dollars.
Découvrons cet homme dont la simplicité et l’accessibilité on fait de lui une icône internationale.
Et pour rappel :
En août 1998, Roger Federer vient de remporter le simple juniors des Internationaux d’Angleterre à Wimbledon.
Il n’est pas encore classé à l’ATP mais rêve d’entrer un jour dans le top 100 des meilleurs jours mondiaux! Rencontré lors du tournoi Challenger du club genevois du Drizia, ce jeune Bâlois pétri de talent fait preuve d’humilité: il cite le joueur qu’il admire et qu’il aimerait rencontrer, Pete Sampras…
Swisscom a annoncé mercredi la mise en service de la 5G sur 102 sites répartis dans 54 localités, dont Genève, Lausanne, Estavayer-le-Lac, Champéry et Berne. D’ici la fin de l’année, le premier opérateur helvétique dit vouloir couvrir tout le pays.
La Suisse compte pour l’heure 338 antennes 5G, d’après les données de la Confédération. A titre de comparaison, on retrouve 10’762 antennes 4G réparties sur le territoire. Naviguez sur notre carte, ci-dessous, pour voir leurs emplacements précis.
Nouvelles constructions gelées
La couverture de l’ensemble du pays passe par la construction de nouvelles antennes, mais celles-ci font face à de plus en plus d’oppositions. Les craintes portent sur les possibles effets de la 5G sur la santé.
Le Jura a annoncé mercredi avoir gelé toute construction d’antennes sur son territoire dans l’attente d’une étude de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV).
Les européistes s’emploient avec acharnement à ne rien laisser à leurs opposants. Une manifestation au cœur de Londres rassemblant des centaines de milliers d’europhiles, comme cela est étonnant !
Les médias, ces chers médias mainstream qui pour la quasi totalité appartiennent à des groupes financiers que l’Europe avantage, cela ne vous met-il pas la puce à l’oreille ? Ces mêmes médias parlent-ils avec la même fougue des europhobes ? Évidemment Non !
La France est entrée dans l’UE avec le mortifère traité de Lisbonne ratifié en 2007 alors que le peuple s’y était opposé en 2005, la Suisse va entrer dans l’UE avec le mortifère accord cadre qui lui est imposé par un odieux chantage d’équivalence boursière etc … La dictature dans toute sa splendeur.
On fait voter et revoter jusqu’au résultat escompté. La prochaine étape, pourquoi pas l’interdiction pure et simple du droit de vote ? Est-il nécessaire de vous rappeler que ce que subit le peuple européen est décidé par une clique de technocrates non élus, tapis dans des couloirs bruxellois obscurs et qui sont tous à la bote de financiers sans scrupules ? Avez-vous bien compris ou faut-il que l’on vous prive d’un repas sur deux pour que vous réagissiez ?