Brexit : L’apocalypse Britannique n’aura pas lieu bien au contraire !

Brexit : L’apocalypse Britannique n’aura pas lieu bien au contraire !

Contrairement à ce que nous annonçaient les médias européïstes, l’après Brexit n’aura pas la peau  de la grande-Bretagne et c’est même tout l’inverse qui va se produire.

L’après coronavirus sera plus destructeur et meurtrier que toutes les pandémies réunies. Préparez-vous les amis de Panurge car le meilleur reste à venir et là, je me marre ! (ndlr.)

Dans le cadre de la fausse crise sanitaire, bouc émissaire de la vraie crise financière, la banque centrale d’Angleterre va directement financer les prochaines dépenses du gouvernement britannique, sans passer par les banques privées.

En d’autres termes, pour relancer l’économie britannique elle va faire marcher la planche à billet. Pendant ce temps la banque centrale européenne va injecter 1000 milliards d’euros dans le système financier, avec pour conséquence directe une aggravation des conditions sociales de ses habitants.

Comme en Grèce, tous les peuples de l’UE vont mordre la poussière, et la reine va leur mettre bien profond. L’entretien intégral, sur RT France, de l’économiste Philippe Murer le 12 avril 2020.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Crédit vidéo : RT France

Interview complète >>>

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Suisse : Le conseil fédéral voudrait adhérer à l’Union européenne

« A la fin, le Conseil fédéral veut adhérer à l’UE. »

C’est un débat qui revient cycliquement depuis 1992

Alors que le Royaume-Unit vient de vivre son Brexit, qu’en France on parle de plus en plus du Frexit, idem avec l’Italie et de plus en plus de pays membres, en Suisse, on tourne en rond depuis 1992.

Céline Amaudruz a défendu, face à Simonetta Sommaruga, l’initiative de limitation qui vise la fin de la libre circulation des personnes. Un texte primordial pour les relations bilatérales avec l’UE et sur laquelle les Suisse voteront le 17 mai.

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse

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L’UE c’est fini ! Le dernier discours de N. Farage au Parlement européen (VOSTFR)

L’UE c’est fini ! Le dernier discours de N. Farage au Parlement européen (VO. ST. FR)

L’Europe c’est fini !

Eh oui ! qui s’y frotte s’y pique !

Discours historique que je vous conseil de télécharger pour la postérité.

Vidéo :

Nigel Farage lors de son dernier discours au Parlement européen.

En voilà un qui en a et je n’ai pas peur de le dire !

Stéphane Guibert / Finalscape

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Nigel Farage: “L’Union européenne ne survivra pas au Brexit !… Et ça, j’en suis CERTAIN !!”

Mise à jour : Mercredi 30 janvier 2020 – 15:30 –

Nigel Farage: “L’Union européenne ne survivra pas au Brexit !… Et ça, j’en suis CERTAIN !!”

Brexit, le glas de l’Europe à sonné !

Et c’est tant mieux. Chapeau bas à la Grande Bretagne qui a su s’extirper des griffes du tiran. (ndlr.)

Nigel Farage: “A 23h vendredi, ce sera le point de non retour. Je me vois remonter ces quelques marches il y a quelques années en arrivant à Bruxelles et aujourd’hui alors là personne n’aurait pu imaginer cela, mais voilà, ça y est. Moi, j’ai toujours voulu sortir de l’Union européenne. Nous de notre côté, on a beaucoup de travail mais oui je suis très heureux.”

Journaliste: “Que pensez-vous des députés anglais qui vont perdre leur place au sein de Bruxelles ?”

Nigel Farage: “Absolument, les pauvres députés européens…. Où vont-ils avoir des voitures avec chauffeurs ? Où vont-ils avoir d’aussi bons repas ? Où vont-ils avoir d’aussi bons salaires ? Ohh les pauvres… Mais nous les anglais, nous allons être enfin indépendants, libres. Nous allons gérer nos affaires comme bon nous semble. Non vraiment, je me sens très optimiste ! Les anglais vont avoir le vent en poupe et je peux vous dire que le Brexit va être à l’origine de beaucoup de débats en Europe. Et c’est la raison pour laquelle ça va être un moment historique, mais je dois vous dire que l’Union européenne ne survivra pas au Brexit !”

Journaliste: “Qu’est-ce qui va vous manquer le plus à Bruxelles ?”

Nigel Farage: “Eh bien le côté théâtral et tous les problèmes dramatiques !”

Du côté du « Frexit », qu’en est-il ?

Point de vue de François Asselineau, président de l’UPR, seul parti politique à prôner la sortie de l’euro et de l’OTAN.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Traités européens :  On en voilait pas, ils nous ont été imposés et en sortir est impossible.

Traités européens :  On en voilait pas, ils nous ont été imposés et en sortir est impossible.

Politiquement parlant, l’Europe est une voie sans issue !

« Dans le cadre d’y voir claire même si il fait nuit »

Parmi les dix commandements de l’UE il est inscrit :

  • Manger des OGM tu devras !
  • Baisser ton salaire tu subiras !
  • Vendre ton patrimoine au plus offrant il sera !
  • Renoncer à ta culture et tes origines il t’en coûtera !
  • Retraité et misérable tu finiras !
  • Faire un trait sur ta souveraineté tu consentiras !

Et le plus beau reste à venir !

Stéphane Guibert / Finalscape

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L’arnaque de l’union européenne

L’arnaque de l’UE après la ratification du traité de Lisbonne par Nicolas Sarkozy en 2007

Et pour rappel :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Crédit vidéo : La vrai démocratie >>>

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Manifestations en France : Les Gilets jaunes ne ciblent pas les bonnes personnes

Image : Ce sondage représentatif remonte à 2015. Il est clair qu’aujourd’hui le camp du « Non » a nettement progressé. (G.S)

UNION EUROPÉENNE

Une vidéo qui explique clairement d’où vient le problème en France

La vidéo est très claire et explicite. Elle explique à celles et ceux qui ne l’auraient pas encore compris que manifester contre les pantins qui sont au pouvoir ne sert strictement à rien car ils ne font qu’appliquer les directives de Bruxelles.

Ce qu’il faut aussi et surtout rappeler c’est que lors du référendum de 2005 où les français votèrent à plus de 54% contre l’adhésion du pays à l’EEE, deux ans plus tard, en 2007, Sarkozy ratifia le traité de Lisbonne ce qui par forfaiture fit intégrer  ou si vous préférer, avaler la France par l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Ecologie : le gouvernement se moque t’il des français?

Ecologie: le gouvernement se moque t’il des français?

CETA, on ne peut pas faire une chose et son contraire.

François Asselineau qui n’est plus à présenter revient sur l’ambiguïté de la présence de Greta Thunberg et du vote favorable pour le CETA à l’Assemblée nationale le même jour.

En deux mots :

Entre l’Union Européenne et l’écologie, il faut choisir et selon François Asselineau, l’Union européenne a déjà ratifié le CETA qui est appliqué à 95% et le vote de l’Assemblée nationale ne fait que se conformer à la volonté de l’UE.

G.S / FINALSCAPE

Crédit vidéo : Sud radio >>>

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Pierre Hillard : Le divorce de la France avec l’Europe, l’euro et l’O.T.A.N

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Le divorce de la France avec l’Europe, l’euro et l’O.T.A.N

Docteur en science politique et (spécialiste du Mondialisme), monsieur Pierre HILLARD soutient officiellement le programme de François ASSELINEAU pour une libération nationale de la France en sortant de L’UE, de l’euro et de L’O.T.A.N.

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Suisse VS UE : L’Union européenne n’accorde pas l’équivalence boursière à la Suisse

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Le chantage ne prend pas, la guerre économique est déclarée entre l’ue et la Suisse !

L’Union européenne ne reconduira pas l’équivalence boursière, temporairement accordée à la Suisse jusqu’à fin juin. Le conseiller fédéral Ignazio Cassis a confirmé cette décision jeudi à la radio alémanique SRF. La Confédération a mis en place des rétorsions.

Les banques et les intermédiaires financiers basés dans l’Union européenne ne pourront plus traiter directement des actions cotées sur les Bourses suisses à partir du 1er juillet, alors qu’ils génèrent plus de la moitié des échanges sur les marchés d’actions helvétiques.

En réponse, le Département fédéral des finances (DFF) a annoncé jeudi soir l’activation de la mesure visant à protéger l’infrastructure boursière suisse, en raison de l’absence de prolongation d’équivalence de la part de l’Union européenne (UE).

Les plates-formes de négociation ayant leur siège dans l’UE se voient ainsi interdire « de proposer ou de permettre la négociation de certains titres de participation de sociétés ayant leur siège en Suisse », et ce à dater de lundi (1er juillet) prochain.

« La mise en œuvre de la mesure sera accompagnée et surveillée de près par les autorités suisses », prévient le DFF.

Une solution temporaire ?

Ignazio Cassis a indiqué espérer que ces mesures ne seront qu’une solution temporaire. Le chef du Département des affaires étrangères parle d’un malentendu, l’Union européenne accusant la Suisse de jouer la montre. « Nous ne pouvons pas simplement décider au Conseil fédéral et dire ‘c’est comme ça et pas autrement' », a ajouté le Tessinois à la radio SRF.

Bruxelles pose comme condition à la prolongation de l’équivalence des progrès dans les discussions sur l’accord-cadre plus large entre l’UE et la Suisse, qui n’a pas encore été entériné par Berne.

>> L’analyse: « la fin de l’équivalence boursière est un cap sérieux. Une période glaciaire s’est ouverte aujourd’hui »

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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