Les suites de films classiques ne manquent pas, sorties des décennies plus tard. Et même si elles suscitent au mieux de l’appréhension et au pire de la haine, elles n’ont pas toutes le créateur de la propriété originale derrière elles.
Stephen King était connu pour avoir méprisé l’adaptation de Shining par Stanley Kubrick en 1980 (et a même réalisé sa propre version télévisée en 1997), mais il a choqué le monde en publiant en 2013 une suite, « Doctor Sleep ».
En 2019, le scénariste/réalisateur Mike Flanagan a cherché à concilier les vastes différences entre le roman original de King et le film de Kubrick avec une adaptation cinématographique de Doctor Sleep qui sert de suite à Shining des années 1980, mais capture également l’esprit des deux romans qui, selon King, manquait cruellement.
Les deux films restent bien reçus, mais les fans semblent profondément divisés sur celui qu’ils préfèrent. Nous avons donc pensé qu’il serait amusant de les comparer objectivement et de déterminer un gagnant définitif.
Suivant la famille Torrance à l’hôtel Overlook, Shining se concentre principalement sur Jack, Wendy et Danny. Il est très clair dès le début que la famille est dysfonctionnelle, étant donné l’alcoolisme de Jack et ses récents abus physiques envers Danny.
En ce qui concerne les arcs de personnages, ce qui s’en rapproche le plus est la descente de Jack dans la folie, à cause des fantômes de l’Overlook. Stanley Kubrick avait tendance à privilégier le style et la portée au développement des personnages, et c’est très visible ici (on peut en dire autant de 2001 : L’Odyssée de l’espace et Docteur Folamour).
Tout comme son roman source, Doctor Sleep suit en réalité trois « protagonistes », Dan, Abra et Rose the Hat. Le scénario de Flanagan fait un excellent travail en représentant les trois personnages et en les rendant tridimensionnels.
Nous comprenons la réticence de Dan à s’impliquer après sa vie difficile et son expérience à l’Overlook, nous comprenons le manque de prudence d’Abra en raison de sa jeunesse et de son inexpérience, et nous comprenons le désespoir de Rose alors qu’elle sent elle-même et son groupe dépérir.
Tout comme ses films précédents, Flanagan utilise l’horreur comme toile de fond tout en se concentrant sur le personnage. À la base, Doctor Sleep parle vraiment de Dan qui accepte le traumatisme de son passé et devient la personne qu’il sait avoir le potentiel d’être. Et tout cela est facilité par des performances brillantes de tous les côtés.
Quoi qu’il en soit, deux excellents films à voir ou à revoir.
« The Shining » VS. « Doctor Sleep »
Not recommended for children under 12 years old
There’s no shortage of sequels to classic films being released decades later. And while they’re mostly met with apprehension at best and hatred at worst, not all of them have the creator of the original property behind them.
Stephen King famously despised the 1980 Stanley Kubrick adaptation of The Shining (and even did his own TV version in 1997), but he shocked the world when in 2013 he published a sequel “Doctor Sleep”.
In 2019 screenwriter/director Mike Flanagan sought to reconcile the vast differences between King’s original novel and Kubrick’s movie with a cinematic adaptation of Doctor Sleep that serves as a sequel to 1980’s The Shining, but also captures the spirit of both novels that King felt was sorely lacking.
Both movies remain well received, but fans seem harshly divided on which one they prefer. So we thought it would be fun to objectively compare them and determine a definitive winner.
Following the Torrance family to the Overlook Hotel, The Shining mostly focuses on Jack, Wendy, and Danny. It’s very clear from the start that the family is dysfunctional, given Jack’s alcoholism and his recent physical abuse of Danny.
As far as character arcs go, the closest we get is watching Jack’s descent into madness, thanks to the ghosts of the Overlook. Stanley Kubrick tended to place style and scope over character development, and it’s very much on display here (the same can be said for 2001: A Space Odyssey and Dr. Strangelove).
Much like its source novel, Doctor Sleep really follows three “protagonists”, Dan, Abra, and Rose the Hat. Flanagan’s screenplay does a great job of portraying all three characters and making them three dimensional.
We understand Dan’s reluctance to get involved after his hard life and experience at the Overlook, we understand Abra’s lack of caution due to her youth and inexperience, and we understand Rose’s desperation as she feels herself and her group withering away.
Much like his previous films, Flanagan uses the horror as a backdrop while focusing on character. At its core, Doctor Sleep is really about Dan coming to terms with the trauma of his past, and becoming the person he knows he has the potential to be. And it’s all facilitated with brilliant performances all around.
La voix d’E.T. dans E.T. l’extra-terrestre n’est pas sortie d’un ordinateur… mais d’une grand-mère fumeuse de 60 ans!
Pat Welsh, une Californienne au caractère bien trempé, fumait deux paquets par jour. Son timbre rauque a fasciné l’équipe du film, qui l’a enregistré puis mixé avec des bruits de ratons laveurs, de chevaux et d’autres sons improbables pour donner vie au petit extraterrestre.
Et ce n’est pas tout…
En 1983, elle prête à nouveau sa voix à un autre personnage culte : Boushh, le mystérieux chasseur de primes que Leia utilise pour infiltrer le palais de Jabba dans Le Retour du Jedi.
Pat Welsh est décédée le 26 janvier 1995, à l’âge de 79 ans, des suites d’une pneumonie. Une femme peu connue… mais qui a laissé son empreinte dans deux des plus grands films de science-fiction de tous les temps.
The voice of E.T. in E.T. the Extra-Terrestrial didn’t come from a computer… but from a 60-year-old smoking grandmother!
Pat Welsh, a strong-willed Californian, smoked two packs a day. Her raspy voice fascinated the film crew, who recorded it and mixed it with the sounds of raccoons, horses, and other unlikely sounds to bring the little alien to life.
And that’s not all…
In 1983, she again lent her voice to another cult character: Boushh, the mysterious bounty hunter that Leia uses to infiltrate Jabba’s palace in Return of the Jedi.
Pat Welsh died on January 26, 1995, at the age of 79, from pneumonia.
A little-known woman… but one who left her mark on two of the greatest science fiction films of all time.
Vocea lui E.T. nu vine de la inteligența artificială
Vocea lui E.T. din E.T. Extraterestrul nu venea de la un computer… ci de la o bunică fumătoare în vârstă de 60 de ani!
Pat Welsh, o californiancă cu o voință puternică, fuma două pachete pe zi. Vocea ei răgușită a fascinat echipa de filmare, care a înregistrat-o și a amestecat-o cu sunetele ratoanelor, cailor și altor sunete neobișnuite pentru a da viață micului extraterestru.
Și asta nu e tot…
În 1983, ea și-a împrumutat din nou vocea unui alt personaj de cult: Boushh, misteriosul vânător de recompense pe care Leia îl folosește pentru a se infiltra în palatul lui Jabba în Întoarcerea Jedi-ului.
Pat Welsh a murit pe 26 ianuarie 1995, la vârsta de 79 de ani, din cauza unei pneumonii.
O femeie puțin cunoscută… dar una care și-a lăsat amprenta asupra a două dintre cele mai mari filme science fiction din toate timpurile.
Fantomas contre Scotland Yard est un film franco-italien réalisé par André Hunebelle et sorti en 1967.
Après Fantomas en 1964 et Fantomas se déchaîne en 1965, c’est le troisième et dernier volet de la trilogie d’André Hunebelle consacrée à Fantômas, le génie du crime.
Synopsis:
Fantômas revient avec une nouvelle idée : imposer aux riches (nobles comme gangsters) un impôt sur le droit de vivre. Débarqués en Écosse, le commissaire Juve, Fandor et sa fiancée ont pour mission d’attraper Fantômas. Dans un château hanté par les esprits, Juve, censé protéger les propriétaires, est lui-même victime de l’humour macabre de Fantômas, lequel use et abuse de ses masques extravagants et de son rire caverneux.
La Géoingénierie, ou chemtrails, terme prisé par les soi-disant théoriciens du complot, est désormais pleinement acceptée par les médias mainstream qui nous martèlent l’esprit en nous assurant qu’il s’agit d’une technologie destinée à nous protéger du réchauffement climatique, alors qu’il s’agit en réalité d’une vaste arnaque imputable aux industries des énergies renouvelables. Avec tout cela désormais intégré à l’inconscient collectif, tout va bien dans ce monde de bisounours.
Let’s protect the climate,
long live geoengineering
Barcodes from the sky
Geoengineering, or chemtrails, a term favored by so-called conspiracy theorists, is now fully accepted by the mainstream media, which hammers home that it’s a technology meant to protect us from global warming, when in fact it turns out to be nothing more than a vast scam we owe to the renewable energy industries. With all this now firmly entrenched in the collective unconscious, all is well in this teddy bear world.
Să protejăm clima,
trăiască geoingineria!
Coduri de bare din cer
Geoingineria, Chemtrails sau dârele chimice, un termen preferat de așa-numiții teoreticieni ai conspirației, este acum pe deplin acceptată de mass-media, care ne întipărește în minți că este o tehnologie menită să ne protejeze de încălzirea globală, ceea ce se dovedește a fi nimic mai mult decât o vastă escrocherie atribuibilă industriilor energiei regenerabile. Toate acestea intrând acum în inconștientul colectiv, totul este bine în această lume a urșilor grijulii.
Pleins d’espoirs et de rêves, les enfants de cette époque pourtant pas si lointaine étaient à des années-lumière du monde aseptisé que nous proposons aux enfants d’aujourd’hui.
Les histoires de chercheurs d’or, les enfants en ont tous entendu parler. Durant l’été 1966, de jeunes orpailleurs racontent leurs aventures sur les bords de l’Arve à Genève (Suisse). Pleins d’espoir, certains rêvent déjà de château et de Cadillac! (Vidéo)
Reminder:
« La cabane » (Vidéo)
Gold Diggers, Children in 1966
Full of hopes and dreams, the children of that not-so-distant era were light years away from the sanitized world we offer children today.
Children have all heard stories about gold prospectors. During the summer of 1966, young gold prospectors recounted their adventures on the banks of the Arve River in Geneva (Switzerland). Full of hope, some were already dreaming of castles and Cadillacs! (Video)
Reminder:
« The Cabin » (Video)
Căutătorii de aur, copii în 1966
Plini de speranțe și vise, copiii acelei epoci nu chiar atât de îndepărtate se aflau la galaxii distanță de lumea igienizată pe care o oferim copiilor de astăzi.
Copiii au auzit cu toții povești despre căutătorii de aur. În vara anului 1966, tinerii căutători de aur își povesteau aventurile de pe malurile râului Arve din Geneva, Elveția. Plini de speranță, unii visau deja la castele și Cadillac-uri! (Video)
Vapotage : une maladie pulmonaire irréversible officiellement confirmée.
Une nouvelle étape vient d’être franchie dans la compréhension des dangers du vapotage.
Des médecins et des pharmaciens, en collaboration, annoncent aujourd’hui une association directe et irréfutable entre l’utilisation de la cigarette électronique et l’apparition d’une pathologie pulmonaire chronique, grave et permanente.
En cause : le diacétyl, ou 2,3-butanedione, un agent aromatisant présent dans plusieurs e-liquides, connu pour ses saveurs sucrées (chocolat, caramel, fruits…).
Cette molécule a déjà été impliquée dans des cas de bronchiolite oblitérante, surnommée « maladie du pop-corn », une affection rare mais sévère, caractérisée par une obstruction irréversible des petites voies respiratoires.
Ce qui inquiète davantage les professionnels de santé:
La maladie touche des adolescents et de jeunes adultes, utilisateurs réguliers de la vape.
La présentation clinique est souvent non spécifique au début (toux persistante, dyspnée d’effort), mais évolue vers une atteinte irréversible.
Les lésions pulmonaires sont parfois diagnostiquées tardivement, ce qui complique la prise en charge.
Le vapotage n’est pas une alternative “saine” au tabac : contrairement à l’image véhiculée dans les médias ou sur les réseaux, la e-cigarette expose à des substances toxiques, parfois inconnues ou mal régulées.
Le recul sur les effets à long terme reste limité, mais les premiers signaux sont déjà suffisamment préoccupants pour justifier une vigilance accrue.
Informer, alerter, c’est prévenir !
Vaping: an irreversible lung disease officially confirmed.
A new step has just been taken in understanding the dangers of vaping.
Doctors and pharmacists, working together, have today announced a direct and irrefutable association between the use of electronic cigarettes and the development of chronic, serious and permanent lung disease.
The culprit: diacetyl, or 2,3-butanedione, a flavoring agent found in several e-liquids, known for its sweet flavors (chocolate, caramel, fruit, etc.).
This molecule has already been implicated in cases of bronchiolitis obliterans, nicknamed « popcorn disease, » a rare but severe condition characterized by irreversible obstruction of the small airways.
What’s of further concern to healthcare professionals:
The disease affects adolescents and young adults who regularly use vaping.
The clinical presentation is often non-specific at first (persistent cough, exertional dyspnea), but progresses to irreversible damage.
Lung lesions are sometimes diagnosed late, which complicates treatment.
Vaping is not a « healthy » alternative to tobacco: contrary to the image conveyed in the media or on social media, e-cigarettes expose users to toxic substances, some of which are unknown or poorly regulated.
While the long-term effects remain limited, the initial signs are already sufficiently concerning to warrant increased vigilance.
To inform and alert is to prevent!
Vapatul: o boală pulmonară ireversibilă confirmată oficial.
Tocmai s-a făcut un nou pas în înțelegerea pericolelor vapatului.
Medicii și farmaciștii, lucrând împreună, au anunțat astăzi o asociere directă și irefutabilă între utilizarea țigărilor electronice și dezvoltarea bolilor pulmonare cronice, grave și permanente.
Vinovatul: diacetilul sau 2,3-butandiona, un agent aromatizant găsit în mai multe lichide pentru țigări electronice, cunoscut pentru aromele sale dulci (ciocolată, caramel, fructe etc.).
Această moleculă a fost deja implicată în cazuri de bronșiolită obliterantă, supranumită „boala popcornului”, o afecțiune rară, dar severă, caracterizată prin obstrucția ireversibilă a căilor respiratorii mici.
Ceea ce îi preocupă în continuare pe profesioniștii din domeniul sănătății:
Boala afectează adolescenții și tinerii adulți care utilizează în mod regulat țigările electronice.
Tabloul clinic este adesea nespecific la început (tuse persistentă, dispnee de efort), dar progresează spre leziuni ireversibile.
Leziunile pulmonare sunt uneori diagnosticate târziu, ceea ce complică tratamentul.
Vapatul nu este o alternativă „sănătoasă” la tutun: contrar imaginii transmise în mass-media sau pe rețelele de socializare, țigările electronice expun utilizatorii la substanțe toxice, dintre care unele sunt necunoscute sau slab reglementate.
Deși efectele pe termen lung rămân limitate, semnele inițiale sunt deja suficient de îngrijorătoare pentru a justifica o vigilență sporită.
A informa și a alerta înseamnă a preveni!