Gilets jaunes : Affaire Dettinger et affaire Benalla, le deux poids et deux mesures de la justice Française

Mise à jour : jeudi 17 janvier 2019 – 18:10 –

La garde à vue de l’ancien boxeur professionnel Christophe Dettinger, a été prolongée mardi par le parquet de Paris. Il est soupçonné d’avoir agressé deux gendarmes samedi à Paris lors de «l’acte VIII» des «gilets jaunes».

À la décharge de l’inculpé, une manifestante témoigne que sans l’intervention de Christophe Dettinger au moment des faits elle serait probablement morte aujourd’hui.

C’est pendant le matraquage du témoin par un CRS lors de l’acte 8 des Gilets jaunes à Paris que l’ancien boxeur français serait intervenu d’où l’incident qui devait mener à son arrestation.

Si la justice suit son cours, une enquête devrait permettre de faire la lumière sur cette affaire et statuer à charge ou à décharge ; toutefois, rappelons que lors de la manifestation du premier mai 2018, il avait été reproché à Benalla de s’être substitué à la police en s’équipant du matériel des forces de l’ordre puis en matraquant violemment des manifestants.  Bien qu’une enquête ait été diligentée, Benalla est toujours libre de ses mouvements et est même en possession de deux passeports diplomatiques.

La justice perd-elle la tête en cinquième république, ferait-elle deux poids et deux mesures ?

Faut-il rappeler que :

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

Le pouvoir judiciaire ne perd pas la tête, il est tout simplement sous la coupe du pouvoir exécutif ce qui lui permet de jouir d’une totale impunité.

Par définition, un pays n’ayant pas de constitution est une dictature.

Rappelons également que la France a renoncé à la convention Européenne des droits de l’homme >>>

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

Contrevérité !

Une vidéo vient entacher la version du Gilet jaune qui témoigne en faveur de Christophe Dettinger. Du coup, il devient difficile de se faire une opinion objective.

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SCANDALE DE LA CAGNOTTE TRUQUÉE PRO-GOUVERNEMENTALE

Le Youtubeur Boris Le Lay décrypte le scandale de la cagnotte ouverte en faveur des forces de l’ordre, chiffres à l’appui et dénonce un complot flagrant du système en place.

Il invite les français à verser quelques euros sur la plateforme  Leetchi afin qu’ils puissent se constituer partie civile devant la justice.

Sur Youtube

Sur VK

Où le bât blesse :

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.(Dans ce cas très précis, le pouvoir judiciaire doit désormais dépendre de l’exécutif. Comprenez-vous ce que cela signifie ?)

Faute de constitution, la France est bel et bien devenue une dictature molle mais qui au fil des réformes se durcit de jour en jour.

Stéphane Guibert / Finalscape

« La police nationale n’a pas besoin de cagnotte », a déclaré le directeur général de la police nationale (DGPN), Éric Morvan sur France Inter, Il a précisé que l’inspection générale de la police nationale (IGPN) avait reçu près de 200 signalements sur sa plateforme permettant à des particuliers estimant avoir été victimes ou témoins de violences policières d’alerter la police des polices.

Je pense que lui aussi comme Michel Delpuech, le préfet de police de Paris pourrait être sur la sellette comme, quelques LERM qu’on veut congédier et d’autres déjà mis dehors ou qui sont déjà partis d’eux-mêmes, à quand le röhmputsch, ça fait froid dans le dos…..

Monsieur Collomb est parti quand même de façon rapide mais après avoir parlé de révolution… Que notre Seigneur nous protège tous car nous rentrons dans les tribulations.

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L’Union Européenne est, et sera toujours gouvernée par l’Allemagne pour servir les U.S.A

Je disais alors que le peuple Suisse refusait l’adhésion du pays à l’EEE lors des votations du 6 décembre 1992 :

« L’Europe d’aujourd’hui n’est qu’une continuité de ce qui c’est passé durant la seconde guerre mondiale et ce que Hitler n’avait pas réussi à obtenir par la force était en train d’aboutir par la diplomatie, à l’insu des peuples. »

L’Europe promise n’est qu’une chimère, un mensonge qui ne sert qu’à une économie néolibérale et dont les seuls bénéficiaires sont les riches qui se gavent au détriment de celles et ceux qui ne peuvent même plus se nourrir correctement.

Lors du refus par le peuple d’adhérer à l’EEE, Jean-Pascal Delamuraz déclarait qu’il s’agissait d’un dimanche noir pour l’économie Suisse alors qu’avec le temps, on le sait, l’économie de ce pays se porte très bien.

 

Vidéo : Intervention entre autres de Charles Gave et Étienne Chouard

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Destituer Macron c’est en mettre un autre à sa place et ça sera sûrement pire

On n’a pas besoin de virer Macron.  Si on ne change pas les institutions on aura un autre tyran à la place.

« Notre problème ce n’est pas Macron, notre problème ce sont les institutions qui permettent d’avoir Macron ».

Selon Étienne Chouard, le mouvement des Gilets jaunes se trompe de cible et si la constitution n’est pas changée, le système leur mettra un nouveau Macron. Il met d’ailleurs en garde les Français en leur disant que ce qui se produit en ce moment est voulu par les élites et qu’en essayant de renverser le gouvernement, il risque fortement de se produire un bain de sang qui justifiera justement une dictature.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Scène surréaliste en France

Students sit on the ground after being arrested by police in the garden of a pavilion and an associated house close at the Saint-Exupery high school in Mantes-la-Jolie in the Yvelines, following clashes in which 146 people were arrested on December 6, 2018. Elsewhere in France, clashes have also erupted around several institutions in the wake of mobilisation by the « yellow vest » or « Gilets jaunes » who have been protesting against rising oil prices and living costs. / AFP / Céline AGNIEL

Au total, 153 personnes ont été interpellées à Mantes-la-Jolie (Yvelines), jeudi 6 décembre, selon le procureur de la République de Versailles, Vincent Lesclous, à cause de nouveaux incidents survenus à proximité du lycée Saint-Exupéry, où deux voitures ont été incendiées et où des affrontements ont éclaté avec la police.

Les interpellés, des étudiants pour la plupart, sont soupçonnés de « participation à un attroupement armé », a détaillé le commissaire de la ville, Arnaud Verhille, assurant avoir voulu ainsi « interrompre un processus incontrôlé ». Dans les Yvelines, au total 189 jeunes, âgés de 12 à 20 ans, ont été placés en garde à vue, selon le procureur de Versailles, et plus de 700 dans toute la France selon le ministère de l’intérieur.

Des images des interpellations, dont l’authenticité a été confirmée à l’Agence France-Presse et au Monde, ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Elles montrent des rangées de dizaines d’élèves à genoux, les mains croisées derrière la tête, sous la surveillance de policiers casqués, armés de matraques et de boucliers. Certains sont alignés, le front contre un mur. Sur une des vidéos, une personne commente : « Voilà une classe qui se tient sage. » Les images ont été tournées en face du lycée Saint-Exupéry à Mantes-la-Jolie, et ont suscité de vives réactions.

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France : Il était une fois la constitution (Vidéo)

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

Il faut savoir que l’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

Ce qui revient à dire que techniquement parlant et on peu le dire aussi, officiellement, depuis le 1 er janvier 2017, la constitution de la Cinquième République n’est plus valable.

Il faut également savoir qu’en l’absence de constitution, sauf à admettre l’état de dictature, l’élection présidentielle est impossible. Techniquement, une élection présidentielle ne pourrait pas avoir lieu ou alors serait invalidée par la loi.

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Lanceurs d’alerte en danger – Loi secret des affaires, on y est !

Élites et multinationales main dans la main contre le droit d’informer, contre la démocratie !

Lanceurs d’alerte sous pression, dépouillés de leurs droits sociaux, menacés et parfois même assassinés, loi sur le secret des affaires, tout se goupille et tout est désormais en place pour nous enlever un des droits les plus fondamentaux en démocratie, celui d’être informé.

Les témoignages sont édifiants et accablants. Cette Europe ultralibérale qui a été imposée à la France et ce, malgré le référendum de 2005 dévoile au fil des lois qui se votent en catimini, son véritable visage.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

 

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Économie : Quand les États couchent avec le monde de la finance

Pourquoi des coupes budgétaires, pourquoi s’en prend-t-on aux retraites, aux droits des chômeurs, pourquoi les primes d’assurances maladie prennent-elles l’ascenseur ? Prémisses d’un ordre mondial régi par le capital.

L’État est un appareil de contraintes au service des nouvelles classes dirigeantes et dominantes.

Nous vivons sous la dictature planétaire du capital financier et globalisé des banques et des multinationales qui imposent leurs lois à tous les États du monde et dont la surdétermination est d’imposer leurs volontés. Les États perdent leur souveraineté comme neige qui fond au soleil. C’est la logique du capital qui gouverne la planète avec toutes les conséquences désastreuses qui se répercutent sur les peuples et l’environnement.

Un ancien président de la banque mondiale déclarait que le but de l’histoire devait mener vers un gouvernement mondial sans État ou en d’autres thermes, une autorégulation du marché. Les peuples seront expulsés de leur propre histoire et la main invisible du capital gouvernera le monde selon des lois prétendument naturelles.

Deux mots pour résumer : Dictature, Esclavagisme.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Multinationales : Le pouvoir hors-les-lois.

Multinationales : Le pouvoir hors-les-lois.

Ce qui se passe depuis des décennies au nez et à la barbe des peuples n’est rien d’autre qu’un transfert du pouvoir entre les mains des banques et des multinationales !

Alain Deneault, philosophe québécois, auteur de “La Médiocratie” et “Le totalitarisme pervers” nous explique le fonctionnement des multinationales qui lancent avec la complicité de nos élites une nouvelle offensive contre la démocratie avec la merveilleuse loi « secret des affaires« .

G.S

Crédit vidéo : DataGueule

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Dette : L’insupportable pouvoir des banques et leur dictature

L’insupportable pouvoir des banques par la dette.

Comment cela marche-t-il ?

Vous demandez un crédit de 20’000 Euros à votre banque  pour l’achat d’une voiture et votre banquier vous l’accorde ; comment cela fonctionne-t-il ?

Ne croyez pas que votre banquier va gentiment mettre 20’000.- Euros en liquide sur votre compte non ! C’est par la magie d’un jeu d’écriture informatique qu’il va créditer votre compte sans pour autant sortir un sou de sa poche et c’est vous qui en remboursant laborieusement votre emprunt chaque mois allez créer l’argent en question sans oublier les intérêts faramineux que la banque ramasse au passage. Je vous parle ici de banques privées alors que normalement, la prérogative de battre monnaie appartient au peuple et à la nation et c’est d’ailleurs ce qui fait sa souveraineté.

Ce qui est en train de se passer sous notre nez et notre barbe n’est rien d’autre qu’un transfert de pouvoir entre les mains des banques et des multinationales !

Ce que font les banques privées je dis bien et le répète, les Banques Privées en  créant de l’argent et en s’enrichissant  sur votre dette n’est rien d’autre que du vol et du racket ! 

Je vous mets au défi d’essayer de faire la même chose  et vous verrez ou vous finirez…!

Le système ne peut pas perdurer ainsi éternellement et il faut s’attendre à l’éclatement d’une bulle qui selon certains économistes et ils sont de plus en plus nombreux à être de cet avis sera dévastatrice, encore bien plus que la crise des subprimes en 2008.

Je vous rappelle que Bruxelles discute très sérieusement d’un gel préventif des comptes afin d’éviter les Bank Run et qu’en cas de faillite, une banque peut désormais se saisir de vos avoirs et ce, dans un cadre tout ce qu’il y a de plus légal. De plus, la garantie que les comptes en banques d’un montant inférieur à 100’000.- Euros soit hors de danger est utopiste pour la simple et bonne raison que le fond de garantie prévu à cet effet par l’U.E n’excède pas les 65 milliards d’Euros pour toute l’Europe alors que rien qu’en France, l’épargne atteint déjà 100 milliards d’Euros.

N’oublions pas non plus cette directive européenne passée en catimini qui prévoit la fin du cash à partir de 2018 !

Il faut vraiment que nous prenions conscience que si nous ne faisons rien aujourd’hui pour résister à cette dictature qui se met en place, nous serons passible de double trahison :

La première, d’avoir trahi les générations passées en restant passifs et ainsi ruinant à néant les efforts parfois aux prix de vies qui ont permis d’obtenir les acquis sociaux qui partent aujourd’hui en poussière.

La seconde, d’avoir trahi les générations futures qui de par notre passivité les auront réduites en esclavage.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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