RETOUR EN ARRIÈRE : Et si la Syrie était un bluff !?
Une petite vidéo qui nous en pause des questions !
Myret Zaki et Serge Enderlin sur la Syrie: ce que vaut la thèse du complot occidental. 19/06/12
Myret Zaki et Serge Enderlin sur la Syrie: ce que vaut la thèse du complot occidental. 19/06/12
Cette vidéo à de fortes chances d’être censurée assez rapidement. Téléchargée et re-postée sur le réseau social russe VK, je vous laisse la visionner et vous faire votre propre opinion.
Une nappe phréatique en dessous du Niger vient d’être découverte. Elle serait à même de suffire à la population mondiale durant deux siècles ! L’eau est un élément géostratégique majeur et les convoitises se profilent à l’horizon.
Jean-Luc Michel, géopoliticien depuis Bruxelles nous donne son point de vue sur les crises humanitaires en centre Afrique.
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
Caroline Galactéros était sur le plateau de l’émission « Interdit d’interdire« .
« C’est très facile d’aller dire que Bachar el-Assad a 400’000 morts sur la conscience, nous aussi ! Nous avons armé, soutenu, entraîné, formé toutes ces espèces de milices qui sont des succésdanés de ce qu’il y a de pire, des gens qui ont fait s’effondrer les tours du World Trade Center tout ça ! On a la mémoire extrêmement courte (…) »
Crédit vidéo : RT Ftance >>>
Toutes celles et ceux qui aspirent à une autre vérité que celle déversée au quotidien par les médias mainstream sont systématiquement taxés de complotisme. C’est le cas pour Michel Collon qui lors d’une émission tardive diffusée sur France 3, dévoile les pratiques scandaleuses de la France dans les pays d’Afrique les plus riches en ressources naturelles mais ou chaque jour, ce sont des milliers d’africains, hommes, femmes et enfants qui « crèvent » soit de malnutrition, soit car ils n’ont pas accès à l’eau potable, soit pour avoir été assassinés au nom de la liberté etc…
La vérité blesse, surtout pour celles et ceux qui nous mentent au quotidien !
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
Crédit Vidéo : France Télévision
Sur cette image, extraite de la vidéo diffusée par l’armée américaine, on voit un petit bateau s’approcher du pétrolier japonais. Selon les américains, il s’agit d’une intervention iranienne, preuve de leur culpabilité.
INTERNATIONAL – Les États-Unis ont accusé sans détour l’Iran d’être “responsable” des attaques du jeudi 13 juin contre deux pétroliers en mer d’Oman, s’appuyant notamment sur des images diffusées par l’armée. Un incident aux circonstances encore floues mais qui fait craindre un nouvel embrasement dans le Golfe.
Pétrolier en feu, opérations de sauvetage de dizaines de marins: deux tankers, norvégien et japonais, ont été la cible d’une attaque dans un passage maritime stratégique mondial, ce qui a immédiatement fait grimper les prix du pétrole.
La tension était déjà élevée depuis de précédentes attaques, il y un mois quasiment jour pour jour, contre quatre navires au large des Émirats arabes unis, acte pour lequel Téhéran avait déjà été montré du doigt par Washington. Mais, à l’époque, l’administration de Donald Trump avait pris plusieurs jours avant de parvenir à cette conclusion. Jeudi, sa réaction a été immédiate.
“Le gouvernement des États-Unis estime que la République islamique d’Iran est responsable des attaques de ce jour en mer d’Oman”, a lancé le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo lors d’une allocution solennelle, accusant Téhéran de vouloir empêcher le passage du pétrole par le détroit d’Ormuz pour perturber le marché mondial.
Il a évoqué, à l’appui de ses accusations, des informations récoltées par les services de renseignement, “les armes utilisées”, les précédentes attaques contre des navires et le fait qu’aucun des groupes alliés de l’Iran dans la région n’ait les moyens d’atteindre “un tel niveau de sophistication”.
Surtout, l’accusation américaine s’appuie sur une vidéo diffusée par l’US Navy (et visible ci-dessous), capturée par un avion militaire américain alors qu’il survolait la zone. On y voit un petit bateau s’approcher du tanker japonais, puis, un homme semble retirer un objet collé à la coque du navire. Selon un responsable américain, il s’agirait d’une une mine non explosée sur le flanc d’un des pétroliers, bien que cette source n’ait toutefois pas été en mesure d’évoquer un lien entre cet engin et l’Iran à ce stade.
Pour Mike Pompeo, ces actes “représentent une menace claire pour la paix et la sécurité internationales, une attaque flagrante contre la liberté de navigation et une escalade des tensions inacceptable de la part de l’Iran”.
La coalition dirigée par l’Arabie saoudite qui intervient militairement au Yémen contre les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, a aussi dénoncé une “escalade majeure”, mettant en cause, au moins indirectement, le régime iranien.
L’Iran avait pourtant auparavant exprimé ses “inquiétudes” après des “incidents suspects”, indiquant avoir secouru 44 membres d’équipage des deux pétroliers après des appels de détresse. Ce vendredi matin, après la diffusion de la vidéo par les États-Unis, Téhéran a fermement démenti des accusations “sans fondement”, menaçant de s’affranchir de nouveau de certaines restrictions à son programme nucléaire.
“Que les États-Unis aient immédiatement sauté sur l’occasion pour lancer des allégations contre l’Iran (sans) le début d’une preuve fondée ou circonstancielle fait apparaître en pleine lumière le fait que (Washington et ses alliés arabes) sont passés au plan B: celui du sabotage diplomatique (…) et du maquillage de son #TerrorismeEconomique contre l’Iran”, écrit le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif sur Twitter.
La région subit depuis plus d’un mois une escalade des tensions entre les États-Unis et l’Iran. Washington, qui ne cesse de durcir ses sanctions économiques et diplomatiques contre Téhéran après avoir claqué la porte il y a un an de l’accord international de 2015 sur le nucléaire iranien, a soudainement multiplié début mai les déploiements militaires au Moyen-Orient, accusant le régime iranien de préparer des attaques “imminentes” contre des intérêts américains.
Selon le commandement central américain (Centcom), chargé notamment du Moyen-Orient, l’USS Mason a fait route vers le navire japonais attaqué “pour fournir de l’assistance”. Ce destroyeur lance-missiles doit rejoindre l’USS Bainbridge, qui a secouru les 21 membres d’équipage du Kokuka Courageous.
Le chef de l’ONU Antonio Guterres a averti jeudi que le monde ne pouvait pas se permettre un conflit majeur dans le Golfe. Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni en urgence à huis clos. L’ambassadeur américain Jonathan Cohen a répété que tous les éléments semblaient désigner l’Iran, ont rapporté des diplomates. “Il faut que le Conseil de sécurité reste saisi du sujet”, a fait valoir Jonathan Cohen. “Si on ne réagit pas, d’autres attaques sont possibles”.
“L’Iran rejette catégoriquement les accusations infondées des Etats-Unis et les condamne dans les termes les plus forts”, a répliqué la mission iranienne auprès de l’ONU dans un communiqué jeudi soir. Le secrétaire général de la Ligue arabe Ahmed Aboul Gheit a dénoncé “une évolution dangereuse” au Moyen-Orient.
Les circonstances des attaques sont encore très imprécises.
À Oslo, les autorités maritimes ont fait état de trois explosions à bord d’un pétrolier norvégien. Battant pavillon des îles Marshall et propriété du groupe norvégien Frontline, le pétrolier “Front Altair” a été “attaqué” entre les Emirats et l’Iran ”à 06H03 locales”, ont-elles indiqué, précisant qu’aucun membre d’équipage n’avait été blessé et que ce tanker de 111.000 tonnes était en flammes. La télévision d’Etat iranienne Irib a montré des images spectaculaires d’une épaisse colonne de fumée noire s’élevant du navire.
Le Kokuka Courageous, un méthanier, a essuyé des tirs mais son équipage a été sauvé -un marin a toutefois été légèrement blessé- et sa cargaison de méthanol est intacte, a affirmé son opérateur japonais Kokuka Sangyo. Le navire se dirigeait vendredi vers le port omanais de Khor Fakkan.
Malgré son accusation directe contre l’Iran, l’administration américaine n’a annoncé aucune nouvelle mesure de représailles. Elle a même, d’une certaine manière, réitéré son appel au dialogue que venait de repousser le Guide suprême iranien.
L’ayatollah Khamenei a ainsi rejeté jeudi tout dialogue avec Donald Trump, qui “ne mérite pas qu’on échange des messages avec lui”.
Le président des États-Unis a tweeté de son côté qu’il était “trop tôt pour ne serait-ce qu’envisager de trouver un accord”. “Ils ne sont pas prêts et nous non plus”, a-t-il écrit, après avoir multiplié les appels du pied ces dernières semaines. Mais, selon Mike Pompeo, Washington souhaite toujours que Téhéran revienne à la table des négociations “le moment venu”.
Un clip du comité international de la croix-rouge appel au bannissement des armes nucléaires avec un titre inquiétant et une vidéo post-apocalyptique.
G.S / FINALSCAPE
Et pour rappel :
Terrifiant. Les images des essais nucléaires américains, effectués entre 1945 et 1962, qui viennent d’être déclassifiées, montrent les effets dévastateurs, de la bombe H. Qu’elles aient lieu dans le Pacifique, le désert du Nevada ou en altitude, ces explosions rappellent les plus impressionnantes scènes de films de science-fiction. Sauf qu’il s’agit ici de la réalité.
L’image est incroyable. Une boule de feu, gigantesque, rapide, qui enfle et file vers la surface de notre planète. En dessous, un relief, qui semble en comparaison minuscule, bientôt happé par l’explosion nucléaire initiée en altitude.
Les États-Unis ont mené plus de 200 essais nucléaires entre 1945 et 1962. Lesquels ont été filmés sous tous les angles pour les besoins de la science et de l’armée américaine. Ces images étaient jusqu’ici classées « confidentiel défense ». Elles viennent d’être déclassifiées, à l’image de la vidéo présentée ci-dessous :
Toutes témoignent de la violence, de la disproportion, de l’énormité d’une explosion nucléaire, alors même que les armes qui existaient alors étaient bien moins puissantes que celles aujourd’hui détenues par les États-Unis, la Russie, la France, la Chine, le Royaume-Uni, Israël, l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
Pas moins de 6 500 films ont été localisés par le laboratoire national de Lawrence Livermore. De son côté, le physicien spécialiste des armes Greg Spriggs a restauré les pellicules, certaines ayant souffert du temps, comme l’explique le Huffington Post.
4 200 films ont été numérisés, 750 déclassifiés et un premier échantillon de ces vidéos a été publié sur YouTube.
La bombe larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945, avait une puissance de 15 kilotonnes (soit l’équivalent de 15 000 tonnes de TNT). La plus forte bombe utilisée par les Américains, lors de l’opération « Teapot » (essais nucléaires atmosphériques au-dessus du désert du Nevada), en 1955, était de 43 kilotonnes. La plus forte bombe nucléaire aujourd’hui disponible a une puissance de 57 mégatonnes – soit 1 325 fois plus que celle de cette vidéo :
seconde guerre mondiale : Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki les 6 et 9 août 1945
Extrait du film : « L’empire du soleil » de Steven Spielberg (1987)
Stéphane Guibert / Finalscape
Analyse très pertinente de ce qui se passe dans le monde et que je vous invite à écouter ne serais-ce que pour avoir une vision dissidente (ouvrir les yeux) sur une autre réalité que celle que les médias de masse s’acharnent à nous imposer.
La Syrie reste le front le plus dangereux, c’est dans ce pays que les grands empires Russe et Américain se sont affrontés le plus violemment. Il y a quelques semaines, le président américain D. Trump a été forcé de retirer ses troupes de Syrie car son aviation ne pouvait plus attaquer l’armée syrienne protégée par le système de protection aérienne Russe. Jusqu’à maintenant, la stratégie américaine étais simple : maintenir le chaos en Syrie en empêchant l’armé syrienne de libérer les villes qui étaient aux mains de Daesh ; mais grâce à la présence des S-400 russes, les américains et les israéliens ne peuvent plus bombarder les positions syriennes.
Trump a du effectuer ce que l’on appelle : un repli stratégique, il a envoyé ses troupes ailleurs, comme en Irak par exemple en attendant l’occasion de pouvoir frapper à nouveau mais les américains sont désemparés, ils ne savent plus quoi faire pour intervenir en Syrie ; alors ils ressortent la vieille « fake news » de l’attaque chimique mais plus personne n’y croit. Le président syrien est soutenu par son peuple et est en train de gagner la guerre. Pourquoi commettrait-il des massacres contre son propre peuple ?
Les États-Unis font également face à la Chine, en mer de Chine méridionale. La Chine prétend que les îles et archipelles de cette mer lui appartiennent. L’armée américaine y a envoyé récemment un navire de guerre afin de provoquer la Chine et ce n’est pas la première fois. Il se peut très bien qu’un jour ou l’autre, ses confrontations se terminent très mal. Il pourrait y avoir un accrochage et donc un début de guerre entre ces deux pays. À ce sujet, le président chinois a déclaré à son armée de se tenir prête à la guerre…
Le reste dans la vidéo
Stéphane Guibert / Finalscape
Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a répondu aux questions de RT France, du Figaro et de Paris Match.
Les djihadistes en Syrie sont-ils les alliés objectifs de l’OTAN ?
Il aura fallu sept ans de guerre atroce contre l’état Syrien, avec toutes les conséquences néfastes que l’on connait ou pas pour le peuple et sur tous les plans pour qu’ enfin, les peuples occidentaux et ceux du monde entier comprennent qu’il s’agit en fait d’une guerre de l’Occident contre la Syrie qui est, rappelons-le, un pays souverain.
(Vidéo)
La guerre conjointe des USA, de l’OTAN et des monarchies arabes contre le Yémen tourne au génocide. Réticente jusqu’ici à prendre position dans cette guerre dont l’un des objectifs majeurs consiste à interdire à la Russie et à la Chine d’accéder à la mer Rouge, Moscou vient de se repositionner. Le ministre russe des Affaires étrangères exige désormais la fin de la guerre.
Que doit-on en déduire ? Les Russes veulent-ils envoyer des armes ou intervenir directement comme en Syrie ?
Luc Michel, géopoliticien, intervient sur ce sujet.
Syrie, la guerre touche-t-elle à sa fin après 7 ans de destructions, de violences et d’exils ?
Aux yeux de l’occident, le Président Bachar el-Assad est un dictateur qui a du sang sur les mains mais une partie des syriens le voient comme un rempart qui a réussi à vaincre la barbarie islamiste, il espère être in fine le vainqueur de cette guerre alors qu’une partie du pays donne des signes de normalisation.
Crédit vidéo : Radio télévision Suisse
Click one of our contacts below to chat on WhatsApp