L’Europe empêtrée dans des bourbiers sociétaux, économicopolitiques, stratégiques et géopolitiques n’a plus d’autre alternative que de viser une guerre contre la Russie. La corruption au sein de l’hémicycle Bruxellois atteint un paroxysme sans précédent.
Ce sont des gens non élus et Ursula von der Leyen la première qui décident du destin de 450,4 millions d’habitants.
L’insurrection gronde dans les pays qui, bon gré ou malgré se sont affiliés à cette entité européenne moribonde dessinée par les 3 pères fondateurs qui ne sont rien d’autre que d’anciens Nazis ou collabos.
Walter Hallstein, architecte de l’Europe communautaire, premier président de la Commission européenne, était… un ancien nazi.
Lorsque la vérité rattrape l’histoire…
Thierry Ardisson: L’histoire de France qu’on enseigne à l’école est fausse! (Vidéo)
Du conditionnement de l’humanité à l’esclavage
Tout est dit en une minute (Vidéo)
Le conditionnement du consommateur jetable idéal commence dès la maternelle, et ceux qui ne l’ont pas encore assimilé le font soit volontairement, soit leur QI ne dépasse pas celui d’une étoile de mer. Heureusement, certains des plus jeunes, ceux qui se démarquent semblent l’avoir enfin compris. Ils le crient haut et fort sur les réseaux sociaux. (Vidéos)
Wake up Néo!
Thierry Ardisson: The French history taught in schools is false! (Video)
From the conditioning of humanity to slavery
Everything is said in one minute
Conditioning (the perfect disposable consumer) begins in kindergarten, and those who haven’t yet assimilated it either do it on purpose or their IQ doesn’t exceed that of a starfish. Fortunately, some of the youngest, I’m talking about those who stand out from the crowd, seem to have finally understood. They’re shouting it out loud and clear via social media. (Videos)
Wake up Néo!
Thierry Ardisson: Istoria franceză predată în școli este falsă! (Video)
De la condiționarea umanității la sclavie
Totul se spune într-un minut (Video)
Condiționarea consumatorului ideal de unică folosință începe la grădiniță, iar cei care nu au asimilat-o încă fie o fac de bunăvoie, fie IQ-ul lor nu este mai mare decât cel al unei stele de mare. Din fericire, unii dintre cei mai tineri, cei care ies în evidență, par să fi înțeles în sfârșit acest lucru. O strigă tare și răspicat pe rețelele de socializare. (Videoclipuri)
15 juillet 1914 : La France adopte l’impôt sur le revenu
Plus de 110 ans d’histoire et de racket
France:
Le président de la République Raymond Poincaré obtient de la majorité parlementaire, hostile à la guerre, qu’elle renonce à abroger la loi du 19 juillet 1913 prolongeant le service militaire à trois ans.
En contrepartie, il lui concède l’impôt progressif sur le revenu. Il est adopté par la Chambre des députés le 15 juillet 1914…
President Raymond Poincaré obtained from the parliamentary majority, hostile to the war, a decision to abandon the repeal of the law of 19 July 1913 extending military service to three years.
In exchange, he granted him a progressive income tax. It was adopted by the Chamber of Deputies on July 15, 1914…
Președintele Raymond Poincaré a obținut de la majoritatea parlamentară, ostilă războiului, o decizie de abandonare a abrogarii legii din 19 iulie 1913 care prelungia serviciul militar la trei ani.
În schimb, i-a acordat un impozit progresiv pe venit. Acesta a fost adoptat de Camera Deputaților la 15 iulie 1914…
Arbre généalogique inter croisé des tirants ayant causé le plus de morts dans la catégorie « Crimes contre l’humanité »
Pour pouvoir se projeter dans l’avenir, il faut savoir son histoire.
Revenons sur le roi Leopold 2, roi des Belges avec ce rappel:
Plusieurs statues du roi Léopold II ont été vandalisées à Bruxelles et des pétitions réclamant leur retrait récoltent des milliers de signatures.
Voici comment Léopold II a fait régner la terreur en RDC.
Discours du roi des belges Léopold II aux missionnaires blancs en missions de déstructuration et de pillage de l’Afrique.
Histoire et littérature: Les deux lunes de la planète Mars
Imaginez-vous feuilleter un livre écrit en 1726, bien avant que les télescopes ne révèlent les secrets les plus subtils du système solaire, et tomber sur un passage qui semble étrangement prophétique. Dans le troisième voyage des Voyages de Gulliver, Jonathan Swift décrit la découverte de deux lunes en orbite autour de Mars par des astronomes sur l’île flottante de Laputa. Il détaille leurs distances à la planète et même leur vitesse de rotation – remarquablement proche des caractéristiques réelles de Phobos et Deimos. Mais voici le hic :
Ces lunes martiennes n’ont été découvertes qu’en 1877, 151 ans après la rédaction de l’histoire de Swift. Et les mesures précises de leurs orbites sont arrivées encore plus tard. Comment Swift aurait-il pu décrire quelque chose qui ne serait visible que des générations plus tard ? N’était-ce que pure imagination, ou un indice d’étrangeté – comme des visions entrevues dans des rêves, la perte de connaissances anciennes, ou même… des rumeurs de voyage dans le temps ? Le mystère persiste, projetant une ombre curieuse à travers les siècles.
History and Literature: The Two Moons of the Planet Mars
Imagine flipping through a book written in 1726, long before telescopes revealed the finer secrets of the solar system, and stumbling upon a passage that seems strangely prophetic. In the third trip of Gulliver’s Voyages, Jonathan Swift describes astronomers on the floating island of Laputa discovering two moons orbiting Mars. He details their distances from the planet and even how fast they spin – remarkably close to the real characteristics of Phobos and Deimos. But here’s the twist:
Those Martian moons weren’t discovered until 1877, 151 years after Swift wrote her story. And the precise measurements of their orbits came even later. How could Swift have described something that would not be seen for generations? It was pure imagination, or a hint to something strange – like visions glanced through dreams, loss of ancient knowledge, or even… whispers of time travel? The mystery persists, casting a curious shadow through the centuries..
Istorie și literatură: Cele două luni ale planetei Marte
Imaginați-vă că răsfoiți o carte scrisă în 1726, cu mult înainte ca telescoapele să dezvăluie cele mai subtile secrete ale sistemului solar și vă dați peste un pasaj care pare ciudat de profetic. În a treia călătorie din Călătoriile lui Gulliver, Jonathan Swift descrie descoperirea a două luni care orbitează Marte de către astronomi pe insula plutitoare Laputa. El detaliază distanțele lor față de planetă și chiar vitezele lor de rotație, remarcabil de apropiate de caracteristicile din viața reală ale lui Phobos și Deimos. Dar iată lucrul ciudat:
Aceste luni marțiane nu au fost descoperite decât în 1877, la 151 de ani după ce Swift și-a scris povestea. Și măsurători precise ale orbitelor lor au venit chiar mai târziu. Cum ar fi putut Swift să descrie ceva care avea să fie vizibil doar generații mai târziu? A fost imaginație pură, sau un indiciu de ciudățenie – ca niște viziuni întrezărite în vise, pierderea cunoștințelor antice sau chiar… zvonuri despre călătorii în timp? Misterul persistă, aruncând o umbră curioasă peste secole.
Rappelez-vous qu’avec les films western ils ont réussi à faire croire au monde entier que les méchants étaient les indiens.
Amintiți-vă că cu filmele occidentale au reușit să facă întreaga lume să creadă că băieții răi erau indienii.
Remember that with the western movies they succeeded in making the whole world believe that the bad guys were the Indians.
Le massacre des Amérindiens
Pour ne jamais oublier
L’un des plus grands génocides de l’histoire de l’humanité et pire encore celui-ci continue tranquillement.
Les amérindiens sont parqués principalement dans des zoos réserves au états-unis d’Amérique.
Le cinéma des années soixante en a fait des barbares sauvages qui agressaient les pauvres colons esseulé dans leurs forts… ce qui est assez loin de la réalité historique. Aujourd’hui leur seul droit est de conserver le silence.
Avant l’arrivée des colons, huit millions d’Amérindiens vivaient parmi soixante millions de bisons (Carl et Lewis traverseront des troupeaux s’étendant sur plus de 20 kilomètres) et deux millions de loups sur un espace de 9.364.000km carré, actuel Etats-Unis d’Amérique.. Soit six bisons par km carré, un homme par 2 km carré et un loup par 5 km carré.
The massacre of the Amerindians
To never forget
One of the greatest genocides in human history and even worse this one continues quietly.
Native Americans are kept mainly in zoo reservations in the United States of America.
The cinema of the sixties turned them into savage barbarians who attacked the poor lonely settlers in their forts… which is quite far from historical reality. Today their only right is to remain silent.
Before the arrival of the settlers, eight million Amerindians lived among sixty million bison (Carl and Lewis will cross herds extending over more than 20 kilometers) and two million wolves over an area of 9,364,000 km square, current States -United of America .. That is six bison per square km, one man per 2 square km and one wolf per 5 square km.
Masacrul Amerindienilor
Să nu uite niciodată
Unul dintre cele mai mari genocide din istoria omenirii și chiar mai rău, acesta continuă în liniște.
Americanii nativi sunt păstrați în principal în rezervațiile de grădini zoologice din Statele Unite ale Americii.
Cinematograful anilor șaizeci a făcut din ei barbari sălbatici care au atacat bieții coloniști singuri în forturile lor … ceea ce este destul de departe de realitatea istorică. Astăzi singurul lor drept este să rămână tăcut.
Înainte de sosirea coloniștilor, opt milioane de nativi americani trăiau printre șaizeci de milioane de bizoni (Carl și Lewis vor traversa turme de peste 20 de kilometri) și două milioane de lupi într-un spațiu de 9.364.000km pătrat, Adică șase bizoni pe km pătrați, un bărbat pe 2 km pătrați și un lup pe 5 km pătrați.
En 1945, un bombardier US s’encastre dans le 79e étage de l’Empire State Building
En 1945, Le Figaro évoque en Une un accident aérien qui a causé la mort de 15 personnes au 79e étage de la plus haute tour de New York. Le quotidien s’interroge sur une éventuelle attaque-suicide japonaise.
En ce 29 juillet 1945, Le Figaro qui couvre largement le procès du maréchal Pétain, accorde cependant un petit espace en Une à cet incroyable et dramatique fait divers américain. L’Empire State Building, qui est alors le plus haut bâtiment du monde venait en effet d’être frappé la veille de plein fouet par un avion bombardier à hauteur des 78e et 79e étages (et non le 86e comme indiqué dans le titre). Bilan: 14 morts dont 3 membres d’équipage et 11 personnes travaillant dans l’immeuble.
Alors que la Seconde guerre mondiale s’est achevée en Europe le 8 mai, le Japon, lui, ne s’est toujours pas rendu à ce moment-là. Une situation qui pousse le Figaro à s’intéresser à la thèse d’un éventuel avion-suicide japonais. Mais la piste principale est déjà celle de l’accident dû au brouillard. «En plein brouillard, hier, à New York, un avion s’est jeté sur le sommet d’un gratte-ciel. Nul dans la demi-obscurité ne put être le témoin de ce drame affreux (…). Le choc fut épouvantable mais à ce moment le ciel était si bas qu’on distinguait à peine les derniers étages de l’immeuble.»
Le type d’avion est immédiatement identifié comme un «bombardier militaire bi-moteur» et la suite dira qu’il s’agissait bien d’un accident puisque l’avion était un B-25 Mitchell américain. Selon la légende, les conditions météo étaient tellement délicates ce matin-là que le pilote de l’avion aurait dit aux contrôleurs aériens: «…c’est très difficile, je ne vois même pas l’Empire State…»
Toutes similitudes avec les évènements du 11 septembre 2001 serait fortuite et pure coïncidence .
In 1945, a US bomber crashed into the 79th floor of the Empire State Building.
In 1945, Le Figaro reported on its front page a plane crash that killed 15 people on the 79th floor of New York’s tallest tower. The newspaper speculated about a possible Japanese suicide attack.
On July 29, 1945, Le Figaro, which extensively covered the trial of Marshal Pétain, nevertheless gave a small front page to this incredible and dramatic American news. The Empire State Building, then the tallest building in the world, had in fact been hit the day before by a bomber at the height of the 78th and 79th floors (and not the 86th as the headline indicated). The toll: 14 dead, including 3 crew members and 11 people working in the building.
While World War II ended in Europe on May 8, Japan still hadn’t surrendered at that point. This situation prompted Le Figaro to explore the theory of a possible Japanese suicide plane. But the main theory is already that of an accident caused by fog. « In the middle of the fog yesterday in New York, a plane crashed into the top of a skyscraper. No one in the semi-darkness could witness this terrible tragedy (…). The impact was terrible, but at the time the sky was so low that the top floors of the building could barely be seen. »
The aircraft type was immediately identified as a « twin-engine military bomber, » and later it was said that it was indeed an accident, as the aircraft was an American B-25 Mitchell. Legend has it that the weather conditions were so difficult that morning that the pilot told air traffic controllers, « …it’s very difficult, I can’t even see the Empire State… »
Any similarities with the events of September 11, 2001 would be fortuitous and purely coincidental.
În 1945, un bombardier american s-a prăbușit la etajul 79 al Empire State Building.
În 1945, Le Figaro a raportat pe prima pagină un accident aerian care a provocat moartea a 15 persoane la etajul 79 al celui mai înalt turn din New York. Cotidianul pune sub semnul întrebării un posibil atac sinucigaș japonez.
În această 29 iulie 1945, Le Figaro, care a acoperit pe larg procesul Mareșalului Pétain, a acordat totuși un mic spațiu pe prima pagină acestei incredibile și dramatice știri americane. Clădirea Empire State, care era atunci cea mai înaltă clădire din lume, fusese de fapt lovită cu o zi înainte de un avion bombardier la înălțimea etajelor 78 și 79 (și nu cea de-a 86-lea, așa cum este indicat în titlu). Rezultatul: 14 morți, inclusiv 3 membri ai echipajului și 11 persoane care lucrează în clădire.
În timp ce al Doilea Război Mondial sa încheiat în Europa pe 8 mai, Japonia încă nu se predase. O situație care l-a determinat pe Le Figaro să se intereseze de teoria unui posibil avion sinucigaș japonez. Dar pista principală este deja cea a accidentului din cauza ceții. « În mijlocul ceții, ieri, la New York, un avion s-a prăbușit în vârful unui zgârie-nori. Nimeni în semiîntuneric nu a putut fi martor la această dramă teribilă (…). Șocul a fost teribil, dar în acel moment cerul era atât de jos încât etajele superioare ale clădirii abia se vedeau.
Tipul de aeronavă a fost imediat identificat ca fiind un „bombardier militar cu două motoare” iar ulterior s-a dezvăluit că a fost într-adevăr un accident, deoarece aeronava era un B-25 Mitchell american. Potrivit legendei, condițiile meteo erau atât de grele în acea dimineață încât pilotul avionului le-a spus controlorilor de trafic aerian: „…e foarte greu, nici măcar nu văd Empire State…”
Orice asemănări cu evenimentele din 11 septembrie 2001 ar fi întâmplătoare și pur întâmplătoare.
Merci à la Sainte Russie de perpétuer ce sens de l’engagement pour l’humanité.
27 millions de Russes sont morts pour libérer l’Europe des Nazis. 77 ans plus tard, l’Europe arme des Nazis pour tuer des Russes. La mémoire sélective.
« Si les médias avaient diffusé les images de tous les bombardements Ukrainiens sur les populations Russophones du Donbass depuis 7 ans, aujourd’hui tout le monde acclamerait Vladimir Poutine. »
Ce sont 8 ans de bombardements sur le Donbass!
Plus de 15’000 morts, 25’000 blessés et 1’500’000 déplacés (ONU.) Et maintenant vous êtes surpris par l’intervention Russe…
HYPOCRISIE OU CRETINERIE?
Bon défilé du 9 mai sur la Place Rouge à tous mes amis de Russie.
Russia: When History Catches Up With Us…
Thank you to Holy Russia for perpetuating this sense of commitment to humanity.
27 million Russians died to liberate Europe from the Nazis. 77 years later, Europe is arming Nazis to kill Russians. Selective memory.
« If the media had broadcast the images of all the Ukrainian bombings on the populations of Donbass for 7 years, today everyone would be cheering Vladimir Putin. »
These are 8 years of bombings on Donbass!
More than 15,000 dead, 25,000 injured and 1,500,000 displaced (UN). And now you are surprised by the Russian intervention…
HYPOCRISY OR STUPIDITY?
Happy May 9th parade on Red Square to all my friends in Russia.
Rusia: Când istoria ne ajunge din urmă…
Mulțumesc Sfintei Rusii pentru perpetuarea acestui simț al angajamentului față de umanitate.
27 de milioane de ruși au murit pentru a elibera Europa de naziști. 77 de ani mai târziu, Europa înarmează naziștii pentru a ucide ruși. Memorie selectiva.
„Dacă mass-media ar fi difuzat timp de 7 ani imaginile tuturor bombardamentelor ucrainene asupra populațiilor din Donbass, astăzi toată lumea l-ar aplauda pe Vladimir Putin”.
Sunt 8 ani de bombardamente pe Donbass!
Peste 15.000 de morți, 25.000 de răniți și 1.500.000 de strămuți (ONU) Și acum ești surprins de intervenția rusă…
IPOCRIZIE SAU PROSTIE?
Paradă fericită de 9 mai pe Piața Roșie tuturor prietenilor mei din Rusia.
Le mot « gringo » évoque souvent l’image stéréotypée du mexicain moustachu au grand sombrero des vieux films de western, mais sa véritable origine reste souvent méconnue. Deux théories principales émergent quant à son apparition.
Selon la première version, pendant la guerre entre les États-Unis et le Mexique à la fin du XIXe siècle, les soldats américains portaient des uniformes verts, ce qui aurait inspiré les cris de leurs généraux « GREENS GO ! », moqués par les Mexicains avec le mot « gringo ».
Une autre théorie suggère que les soldats américains avançaient en chantant une chanson intitulée « Green Grow the Lilacs », ce qui aurait également donné naissance au terme « gringo ».
Quelle que soit l’origine exacte, le mot « gringo » s’est rapidement intégré dans le langage courant au Mexique, puis dans le reste de l’Amérique Latine, y compris au Pérou. Utilisé généralement de manière neutre, il désigne souvent un étranger, en particulier blanc, originaire d’Amérique du Nord ou d’Europe, dont la langue maternelle n’est pas l’espagnol.
En somme, le mot « gringo » est bien plus que son image stéréotypée. Il est le reflet d’une histoire complexe et souvent méconnue, mais aussi d’une culture vivante et dynamique. Alors la prochaine fois que vous entendrez ce mot, rappelez-vous qu’il porte en lui toute une histoire et une richesse culturelle à découvrir.
The origin of the word « Gringo »
The word « gringo » often evokes the stereotypical image of the mustachioed Mexican in a large sombrero from old western movies, but its true origins often remain unknown. Two main theories emerge regarding its origin.
According to the first version, during the war between the United States and Mexico in the late 19th century, American soldiers wore green uniforms, which is said to have inspired their generals to shout « GREENS GO! », mocked by the Mexicans with the word « gringo. »
Another theory suggests that American soldiers advanced while singing a song called « Green Grow the Lilacs, » which also gave rise to the term « gringo. »
Whatever its exact origin, the word « gringo » quickly became part of everyday language in Mexico and later in the rest of Latin America, including Peru. Generally used neutrally, it often refers to a foreigner, particularly a white foreigner from North America or Europe, whose native language is not Spanish.
In short, the word « gringo » is much more than its stereotypical image. It reflects a complex and often misunderstood history, but also a vibrant and dynamic culture. So the next time you hear this word, remember that it carries within it a whole history and cultural richness to be discovered.
Originea cuvântului „Gringo”
Cuvântul „gringo” evocă adesea imagini ale mexicanului cu mustață stereotip într-un sombrero mare din filmele western vechi, dar adevăratele sale origini rămân adesea necunoscute. În ceea ce privește aspectul său, apar două teorii principale.
Potrivit primei versiuni, în timpul războiului dintre Statele Unite și Mexic de la sfârșitul secolului al XIX-lea, soldații americani purtau uniforme verzi, despre care se spune că i-ar fi inspirat pe generali să strige „VERZI GO!”, batjocorit de mexicani cu cuvântul „gringo”.
O altă teorie sugerează că soldații americani au avansat în timp ce cântau un cântec numit „Green Grow the Lilacs”, care a dat naștere și termenului „gringo”.
Oricare ar fi originea exactă, cuvântul „gringo” a devenit rapid parte a limbajului de zi cu zi în Mexic și mai târziu în restul Americii Latine, inclusiv în Peru. Folosit în general neutru, se referă adesea la un străin, în special o persoană albă, din America de Nord sau Europa, a cărui limbă maternă nu este spaniola.
Pe scurt, cuvântul „gringo” este mult mai mult decât imaginea sa stereotipă. Ea reflectă o istorie complexă și adesea puțin cunoscută, dar și o cultură vie și dinamică. Așa că data viitoare când veți auzi acest cuvânt, amintiți-vă că poartă în el o întreagă istorie și bogăție culturală de descoperit.