La 5G : Un danger pour notre santé et pour l’environnement ?

Mise à jour : lundi 25 mars 2019 – 19:37 –

La 5G, un danger pour notre santé et pour l’environnement ?

Infrarouge est une émission à l’écoute de son public. Vous avez été très nombreux, et très nombreuses, à nous envoyer des mails pour nous dire : « Faites une émission : les dangers de la 5G » ! Et bien on va le faire, ça sera mercredi. On ne va pas se demander si on risque d’être espionnés par les chinois, ça on l’a déjà fait, on va se demander quels sont les risques pour la santé de ces technologies qui aujourd’hui posent beaucoup de questions, créent des inquiétudes et des incertitudes. Et puis on va se demander de manière générale si on est pas un peu fous de vouloir d’un côté protéger la planète, et de l’autre, connecter tout ce qui bouge avec tout ce qui bouge en permanence.

Ca sera le débat d’infrarouge mercredi 27 mars à 21:15. Une émission à ne pas manquer ou à voir sur RTS Play et TV5 Monde.

Elle est au cœur de toutes les discussions et déchaîne les passions sur les réseaux sociaux: la 5G suscite à la fois toutes les craintes et tous les espoirs.

Du côté des espoirs, une technologie sans fil de 5e génération, 100 fois plus rapide que la précédente, et la perspective de connecter tous les objets entre eux ou presque.

Du côté des craintes, une technologie déployée très vite, trop vite peut-être, alors que sa dangerosité pour la santé reste encore incertaine.

Alors 5G, tous grillés? C’est le débat connecté d’Infrarouge, mercredi soir 27 mars, en direct à 21h15, avec vos messages sur les réseaux sociaux.

Présentation: Alexis Favre

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : Désastre du vaccin contre la dengue Dengvaxia, nous avions vu juste (il y a déjà 5 ans!)

Des dizaines d’enfants sont morts à la suite d’une campagne de vaccination aux Philippines. Le Dengvaxia produit par un laboratoire français devra répondre devant la justice.

Il est important de le signaler, en cette époque où les « experts » officiels acculés et leurs amis des médias, se plaisent à fustiger les « antivaccins » comme ils les appellent, ceux qui seraient soi disant dans le complotisme, le non sérieux absolu etc etc. Sauf qu’il ne fallait pas être devin pour annoncer que le vaccin contre la dengue, promu avec la complicité de l’OMS, serait un désastre et un danger de plus pour toutes les populations qui le recevraient. Et c’est ce que notre collectif citoyen indépendant avait dit et expliqué, arguments scientifiques à l’appui dès 2012.

(Vidéo)

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Santé publique : Psychiatrie, la vérité sur ses abus

Qu’a fait la psychiatrie pour qu’on veuille divulguer la vérité sur ses abus ?

La réponse à cette question se trouve dans le film documentaire Psychiatrie: la vérité sur ses abus.

Cette réponse reflète les 200 ans d’histoire de la psychiatrie et l’impact dramatique qu’elle a sur la société d’aujourd’hui.

Les choses n’ont guère changé depuis les premiers jours de la psychiatrie, où les psychiatres enchaînaient, flagellaient, privaient de nourriture ou torturaient leurs patients pour obtenir une soumission totale. A l’époque, comme à l’heure actuelle, son but était de contrôler l’individu, non pas de traiter la folie. Les traitements psychiatriques brutaux ont évolué et sont encore utilisés aujourd’hui: les électrochocs, la psychochirurgie et les psychotropes débilitants en sont la preuve.

Dès le moment où la psychiatrie est sortie des asiles pour commencer à exercer son emprise sur la société, les résultats se sont avérés désastreux. La psychiatrie d’aujourd’hui, motivée par sa mission de « traquer l’argent », pour citer un président contemporain de l’Association américaine de psychiatrie, est une industrie orientée vers le profit et corrompue qui entraîne mort et destruction dans son sillage.

Il s’agit d’un langage cru, mais qui repose sur des faits concrets et indubitables – des faits que vous devez connaître.

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Santé publique & virus VIH : Devoir de mémoire envers les victimes du sang contaminé

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Mise à jour : samedi 16 février 2019 – 21:15 –

Le temps efface bien des blessures mais les cicatrices laissées par l’injustice restent indélébiles. Devoir de mémoire envers toutes les victimes qui ont été touchées par le sang contaminé durant les années 80,90 et dont les principaux responsables n’ont jamais été inquiétés.

L’affaire du sang contaminé est un drame sanitaire, considéré comme un scandale, ayant touché plusieurs pays dans les années 1980 et 1990 à la suite d’infections par transfusion sanguine. En raison de mesures de sécurité inexistantes ou inefficaces, de nombreuses personnes ont été contaminées par le VIH ou l’hépatite C à la suite d’une transfusion sanguine.

L’épidémie du SIDA fut initialement identifiée dans les années 1980. Par la suite, de nombreuses années de recherche ont été nécessaires avant de découvrir le VIH et de comprendre ses modes de transmission, notamment par le sang. Le délai avant l’adoption de mesures de prévention adéquates a provoqué la contamination, souvent fatale, de plusieurs centaines de personnes. (Source Wikipédia)

Rappel des faits pour la France :

Lorsqu’elle boucle son dossier en mai 1999, la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy a accumulé des dizaines de milliers de pièces à conviction. 134 tomes dont il ne reste aujourd’hui pratiquement rien. La juge avait alors identifié 570 victimes : des transfusés et des hémophiles contaminés par le SIDA à cause de produits sanguins non contrôlés et distribués au milieu des années 80.

Un premier procès à lieu en 1992, c’est celui du Docteur Michel Garretta qui fut condamné à 4 ans de prison ferme. Mais qui savait et qui a laissé faire ? Pour les victimes, le gouvernement de l’époque était forcément informé et c’est en 1994 qu’un procès débute à l’encontre de hauts responsables du gouvernement pour complicité d’empoisonnement, un crime passible de la réclusion à perpétuité. Les victimes devront attendre 1999 pour voir juger : Laurent Fabius, Georgina Dufoix et Edmond Hervé ; ce dernier sera le seul condamné sans peine d’emprisonnement.

Au dessus du Docteur Garretta et en dessous des trois ministres, il y avait l’appareil d’État, 23 hauts fonctionnaires et conseillers qui eux, n’auront jamais à s’expliquer devant un tribunal.

Stéphane Guibert / Finalscape

Voir aussi : Ces oubliés du sang contaminé >>>

 

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Santé publique & vaccins : Entre intérêts financiers et santé, de quel côté penche la balance ?

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Débat houleux  sur les 11 vaccins obligatoires entre le pharmacien Serge Rader qui polémise sur la dangerosité de la vaccination massive sur des nouveaux nés et le pédiatre Aldo Naouri .

Théorie du complot ? Le secret lié au silence des autorités concernant la dangerosité des 11 vaccins inoculés à des nourrissons serait dû aux intérêts pharaoniques qu’empochent chaque années les multinationales de la pharmacom.

Il est indubitable que de nombreux accidents graves et décès soient directement liés aux vaccins mais l’industrie pharmaceutique se défend de ces allégations en disant que grâce à ces injections, ce sont des millions de vies qui sont sauvées chaque année de par le monde.

Entre intérêts financiers et santé, de quel côté penche la balance ?

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit vidéo : CNEWS

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Santé publique : Vaccins, la santé n’a de prix que celui des bénéfices de la pharmacom

Toujours plus de méfiance autour des vaccins ainsi que des adjuvants qu’ils contiennent et qui selon certaines sources seraient responsables de maladies et de décès survenus chez des nouveaux nés.

Les lanceurs d’alerte ne cessent de nous mettre en garde quant aux retombées dévastatrices que la vaccination engendre : effets secondaires, maladies, décès … Les adjuvants seraient responsables d’une vague de décès soudaine parmi les nouveaux nés vaccinés. L’industrie pharmaceutique plébiscitée par les grands médias et les gouvernements se défend de ces allégations en disant que sans vaccination lors d’épidémies, les décès seraient beaucoup plus nombreux.

En poussant un peu plus loin la théorie du complot, au point où on en est, reste à savoir si les épidémies ne sont pas elles-mêmes provoquées par une industrie pharmaceutique en mal de dividendes. L’avenir le dira probablement.

Les vaccins, qui croire et que croire : une vidéo à ne pas manquer.

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Santé publique : Un pharmacien Suisse propose une alternative naturelle à un médicament contre les refroidissements

UN PHARMACIEN VAUDOIS FAIT TOUSSER NEOCITRAN

En fin d’article : Les dangers du paracétamol et des antidouleurs.

Alexandre Lo Russo a critiqué le fameux traitement sur les réseaux sociaux et propose une recette simple pour le remplacer. Cela n’a pas plu au distributeur.

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Santé publique : Phagothérapie VS antibiotiques, le traitement de la dernière chance

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Les bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient causer dix millions de morts par an d’ici 2050. Face à l’urgence, on redécouvre les phages, des virus tueurs de bactéries. Des médecins les utilisent en France et en Belgique, mais pas en Suisse..

La phagothérapie représente un espoir sérieux et une alternative aux antibiotiques y compris en médecine vétérinaire, dans l’élevage par exemple ; et même dans les cultures, un phage contrôle le « feu bactérien » plutôt que des pesticides toxiques. Cela fait rêver mais c’est possible.

« La phagothérapie est une technologie qui a fait ses preuves et qui sera utilisée par la médecine de demain. Il est alors  incontestable de dire qu’il s’agit là non pas de la solution mais d’une solution à l’instar des antibiotiques auxquels des bactéries telles que la mucoviscidose résistent et la médecine traditionnelle ne l’utilise pas encore. Il y a de quoi se poser des questions. » (ndlr.)

Merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) et à toute l’équipe du magazine santé « 36.9 » pour ce reportage passionnant.

G.S /Finalscape

Sur VK

Sur Youtube

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Retour sur l’article >>>

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Santé publique et laboratoires pharmaceutiques : Ils veulent nous faire avaler la pilule à tout prix

Entre les maladies inventées ou les maladies exagérées, tous les moyens sont bons pour nous faire passer à la caisse.

Pas mal critiquée sur les réseaux sociaux, la vidéo qui suit met en avant 5 points importants sur la prise de médicaments en France. Il faut mentionner que des points mis en avant dans ce document : le cholestérol et l’investissement des laboratoires pour influencer certains médecins ont bien été vérifiés lors d’un numéro de l’émission cash investigation : « Les vendeurs de maladie », émission qui passe haut la main tous les testes en matière d’informations fiables.

Une étude faite sur la population américaine montre comment en changeant la virgule ou un chiffre d’un seuil, le nombre de patients augmente considérablement.

Deux exemples :

Autrefois on était diabétique au delà de 140 milligrammes par litre de sang mais en 1997, un comité de l’O.M.S a abaissé le seuil à 126 du coup, 1’700’00 américains supplémentaires sont catalogués comme diabétiques.

en 1998, le seuil passe de 240 à 200, soit 42’600’000 patients de plus autrement dit, 86 % de clients en plus pour les firmes pharmaceutiques.

Voir l’article >>> Article consulté plusieurs milliers de fois.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

 

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Cancer, immunothérapie : Une découverte qui pourrait fondamentalement changer la donne

Lorsque notre organisme subit des attaques de bactéries, de germes ou de virus, nos globules blanc contrattaquent ou envoient des anticorps afin de luter contre les agressions.

En ce qui concerne les cellules cancéreuses, ces dernières envoient aux globules blanc une sorte de somnifère en les rendant inopérants.

Deux chercheurs ont mis au point un médicament qui réveille les globules blancs leur permettant de détruire le cancer.

Le 39è Président des États-Unis Jimmy Carter qui était atteint d’un cancer incurable, a été guéri par le biais de ce traitement qui à l’époque en était au stade expérimental.

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