Médecine & Santé : Le dernier bastion de la médecine indépendante dynamité

Le dernier bastion de la médecine indépendante dynamité

La collaboration Cochrane, un réseau mondial de scientifiques et de médecins, s’est toujours portée garante des évaluations pharmaco-critiques des médicaments, des tests de médicaments et des vaccins. Ces dernières années, cependant, des tentatives ont été faites pour affaiblir l’indépendance de cette association. En septembre 2018, le co-fondateur, médecin et scientifique Peter C. Gøtzsche a été exclu en tant que membre de la collaboration Cochrane.

Le dernier bastion de la médecine indépendante dynamité Peter C. Gøtzsche, médecin et scientifique, a été cofondateur et scientifique principal de la collaboration Cochrane, un réseau mondial de scientifiques et de médecins basé à Londres.

Jusqu’à présent, Cochrane jouissait d’une excellente réputation en tant que réseau de scientifiques indépendants de l’industrie pharmaceutique. Mais en septembre 2018, l’adhésion du professeur Gøtzsche à la Collaboration Cochrane a été retirée sans que le grand public ne s’en rende compte.

Le professeur Gøtzsche est devenu internationalement connu pour son livre « Médecine mortelle et crime organisé : comment l’industrie pharmaceutique corrompt le système de soins de santé » Sur la couverture du livre, le contenu est résumé comme suit : « Ce livre parle du côté obscur de l’industrie pharmaceutique, de la façon dont les médicaments sont découverts, produits, commercialisés et contrôlés. Il montre en détail comment les scientifiques falsifient les données pour défendre leurs opinions. Lorsqu’il s’agit de structures criminelles, les groupes pharmaceutiques ne sont en rien inférieurs à la mafia. Et il n’y a probablement pas d’autre industrie qui a plus de vies humaines sur la conscience. »

Depuis sa création il y a 25 ans, la Collaboration Cochrane a garanti pour l’industrie des évaluations critiques d’une gamme de médicaments, de tests de dépistage de médicaments et de vaccins, y compris le vaccin contre le VPH, qui est censé être efficace contre le cancer du col de l’utérus. Toutefois, au cours des dernières années, il y a eu de plus en plus d’indices que des tentatives ont été faites pour affaiblir l’indépendance et l’attitude critique de la Collaboration Cochrane à l’égard de l’industrie.

En septembre 2016, on a appris que la « Fondation Bill & Melinda Gates » avait fait un don de plus d’un million de dollars à Cochrane. Selon Hans Tolzin, journaliste médical et critique en matière de vaccination, la Fondation Gates finance des campagnes de vaccination dans le monde entier et détient d’importantes parts auprès de fabricants de vaccins. Ainsi la Fondation Gates bénéficie directement de ces campagnes de vaccination !

Le professeur Gøtzsche a été licencié à la suite d’une « révision » d’une « évaluation indépendante des avantages et des risques » de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus qu’avait faite la collaboration Cochrane. René Gräber, expert en naturopathie, a déclaré : « Là où la question commence à devenir absurde, c’est lorsque cette analyse « indépendante » implique exactement les auteurs qui ont déjà été payés par l’industrie pour les publications à évaluer. S’opposant à cette étude de la Collaboration Cochrane, le Dr Gøtzsche et deux autres collègues ont publié dans le célèbre « British Medical Journal » une « révision » correspondante. Il a critiqué, entre autres, les points suivants :

1) Environ la moitié de tous les travaux sérieux a été dissimulée.

2) L’efficacité de la vaccination contre le VPH est évaluée sur la base de paramètres de remplacement et non sur des données actuelles qui montreraient que la vaccination permet de prévenir directement le cancer.

3) L’enquête détourne des données qui étudient les effets secondaires graves et durables de la vaccination contre le VPH.

4) Toutes les études incluses dans l’évaluation étaient des publications payées par l’industrie.

La conclusion des trois auteurs est qu’il n’y a aucune raison d`accorder du crédit à cette étude, qui classe la vaccination anti-VPH comme sûre et efficace. Cette hypothèse s’explique par le fait que toutes les études sont soutenues par l’industrie et donc unilatérales. »

À travers cette contre-publication, Gøtzsche est resté fidèle à sa réputation d’avoir une attitude critique et indépendante vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Néanmoins, la collaboration Cochrane l’a exclu en tant que membre après un vote de l’organe directeur. Et cela, précisément avec le prétexte qu’il avait nui à la réputation du réseau par sa déclaration critique et indépendante ! L’industrie pharmaceutique a donc réussi à se débarrasser de l’un des critiques les plus compétents et en même temps les plus véhéments et les plus influents de la collaboration Cochrane. C’est ainsi qu’en quelque sorte ce dernier bastion d’une science médicale indépendante a été détruit et conquis par l’industrie pharmaceutique.

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Santé publique & virus VIH : Devoir de mémoire envers les victimes du sang contaminé

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Mise à jour : samedi 16 février 2019 – 21:15 –

Le temps efface bien des blessures mais les cicatrices laissées par l’injustice restent indélébiles. Devoir de mémoire envers toutes les victimes qui ont été touchées par le sang contaminé durant les années 80,90 et dont les principaux responsables n’ont jamais été inquiétés.

L’affaire du sang contaminé est un drame sanitaire, considéré comme un scandale, ayant touché plusieurs pays dans les années 1980 et 1990 à la suite d’infections par transfusion sanguine. En raison de mesures de sécurité inexistantes ou inefficaces, de nombreuses personnes ont été contaminées par le VIH ou l’hépatite C à la suite d’une transfusion sanguine.

L’épidémie du SIDA fut initialement identifiée dans les années 1980. Par la suite, de nombreuses années de recherche ont été nécessaires avant de découvrir le VIH et de comprendre ses modes de transmission, notamment par le sang. Le délai avant l’adoption de mesures de prévention adéquates a provoqué la contamination, souvent fatale, de plusieurs centaines de personnes. (Source Wikipédia)

Rappel des faits pour la France :

Lorsqu’elle boucle son dossier en mai 1999, la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy a accumulé des dizaines de milliers de pièces à conviction. 134 tomes dont il ne reste aujourd’hui pratiquement rien. La juge avait alors identifié 570 victimes : des transfusés et des hémophiles contaminés par le SIDA à cause de produits sanguins non contrôlés et distribués au milieu des années 80.

Un premier procès à lieu en 1992, c’est celui du Docteur Michel Garretta qui fut condamné à 4 ans de prison ferme. Mais qui savait et qui a laissé faire ? Pour les victimes, le gouvernement de l’époque était forcément informé et c’est en 1994 qu’un procès débute à l’encontre de hauts responsables du gouvernement pour complicité d’empoisonnement, un crime passible de la réclusion à perpétuité. Les victimes devront attendre 1999 pour voir juger : Laurent Fabius, Georgina Dufoix et Edmond Hervé ; ce dernier sera le seul condamné sans peine d’emprisonnement.

Au dessus du Docteur Garretta et en dessous des trois ministres, il y avait l’appareil d’État, 23 hauts fonctionnaires et conseillers qui eux, n’auront jamais à s’expliquer devant un tribunal.

Stéphane Guibert / Finalscape

Voir aussi : Ces oubliés du sang contaminé >>>

 

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Santé publique & vaccins : Entre intérêts financiers et santé, de quel côté penche la balance ?

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Débat houleux  sur les 11 vaccins obligatoires entre le pharmacien Serge Rader qui polémise sur la dangerosité de la vaccination massive sur des nouveaux nés et le pédiatre Aldo Naouri .

Théorie du complot ? Le secret lié au silence des autorités concernant la dangerosité des 11 vaccins inoculés à des nourrissons serait dû aux intérêts pharaoniques qu’empochent chaque années les multinationales de la pharmacom.

Il est indubitable que de nombreux accidents graves et décès soient directement liés aux vaccins mais l’industrie pharmaceutique se défend de ces allégations en disant que grâce à ces injections, ce sont des millions de vies qui sont sauvées chaque année de par le monde.

Entre intérêts financiers et santé, de quel côté penche la balance ?

Stéphane Guibert / Finalscape

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Santé publique : Vaccins, la santé n’a de prix que celui des bénéfices de la pharmacom

Toujours plus de méfiance autour des vaccins ainsi que des adjuvants qu’ils contiennent et qui selon certaines sources seraient responsables de maladies et de décès survenus chez des nouveaux nés.

Les lanceurs d’alerte ne cessent de nous mettre en garde quant aux retombées dévastatrices que la vaccination engendre : effets secondaires, maladies, décès … Les adjuvants seraient responsables d’une vague de décès soudaine parmi les nouveaux nés vaccinés. L’industrie pharmaceutique plébiscitée par les grands médias et les gouvernements se défend de ces allégations en disant que sans vaccination lors d’épidémies, les décès seraient beaucoup plus nombreux.

En poussant un peu plus loin la théorie du complot, au point où on en est, reste à savoir si les épidémies ne sont pas elles-mêmes provoquées par une industrie pharmaceutique en mal de dividendes. L’avenir le dira probablement.

Les vaccins, qui croire et que croire : une vidéo à ne pas manquer.

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Santé publique : Un pharmacien Suisse propose une alternative naturelle à un médicament contre les refroidissements

UN PHARMACIEN VAUDOIS FAIT TOUSSER NEOCITRAN

En fin d’article : Les dangers du paracétamol et des antidouleurs.

Alexandre Lo Russo a critiqué le fameux traitement sur les réseaux sociaux et propose une recette simple pour le remplacer. Cela n’a pas plu au distributeur.

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Santé publique : Phagothérapie VS antibiotiques, le traitement de la dernière chance

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Les bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient causer dix millions de morts par an d’ici 2050. Face à l’urgence, on redécouvre les phages, des virus tueurs de bactéries. Des médecins les utilisent en France et en Belgique, mais pas en Suisse..

La phagothérapie représente un espoir sérieux et une alternative aux antibiotiques y compris en médecine vétérinaire, dans l’élevage par exemple ; et même dans les cultures, un phage contrôle le « feu bactérien » plutôt que des pesticides toxiques. Cela fait rêver mais c’est possible.

« La phagothérapie est une technologie qui a fait ses preuves et qui sera utilisée par la médecine de demain. Il est alors  incontestable de dire qu’il s’agit là non pas de la solution mais d’une solution à l’instar des antibiotiques auxquels des bactéries telles que la mucoviscidose résistent et la médecine traditionnelle ne l’utilise pas encore. Il y a de quoi se poser des questions. » (ndlr.)

Merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) et à toute l’équipe du magazine santé « 36.9 » pour ce reportage passionnant.

G.S /Finalscape

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Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Retour sur l’article >>>

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Manipulations et mensonges : De faux agriculteurs pour plébisciter le glyphosate

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Des groupes de faux agriculteurs ont été créés dans au moins sept pays par un lobby de la société Monsanto. Ces groupes se prononçaient en faveur du glyphosate.

Jusqu’où iront-elles ses multinationales pour nous enfumer et nous faire avaler leurs poisons ? Il est clair que de rendre malade puis soigner et non guérir est un marché juteux.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Alimentation et santé : Mon Amie l’ortie

Connaissez-vous les propriétés nutritives de l’ortie, cette plante que beaucoup d’entre nous considèrent comme une mauvaise herbe ?

Cette plante qui comme le chanvre possède d’incroyables vertus permet de soulager ou de se prémunir de beaucoup de maux.

Les feuilles sont : anti-inflammatoires, reminéralisantes,  elles contiennent de la vitamine c, elles sont anti-anémiques, riches en nutriments ; pour 100 grammes d’orties séchées on obtient 40 grammes de protéines équilibrées, elles sont excellentes pour drainer les reins. Les racines sont très bonnes contre les problèmes de prostate. Il faut ajouter à cela, ce qui n’est pas mentionné dans la vidéo que mélangées à une lotion légèrement alcoolisée comme de l’eau de Cologne, les orties seront un excellent anti-pelliculaire.

Et le plus grand avantage, elles sont gratuites et poussent partout.

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Stéphane Guibert / Finalscape

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Santé publique et laboratoires pharmaceutiques : Ils veulent nous faire avaler la pilule à tout prix

Entre les maladies inventées ou les maladies exagérées, tous les moyens sont bons pour nous faire passer à la caisse.

Pas mal critiquée sur les réseaux sociaux, la vidéo qui suit met en avant 5 points importants sur la prise de médicaments en France. Il faut mentionner que des points mis en avant dans ce document : le cholestérol et l’investissement des laboratoires pour influencer certains médecins ont bien été vérifiés lors d’un numéro de l’émission cash investigation : « Les vendeurs de maladie », émission qui passe haut la main tous les testes en matière d’informations fiables.

Une étude faite sur la population américaine montre comment en changeant la virgule ou un chiffre d’un seuil, le nombre de patients augmente considérablement.

Deux exemples :

Autrefois on était diabétique au delà de 140 milligrammes par litre de sang mais en 1997, un comité de l’O.M.S a abaissé le seuil à 126 du coup, 1’700’00 américains supplémentaires sont catalogués comme diabétiques.

en 1998, le seuil passe de 240 à 200, soit 42’600’000 patients de plus autrement dit, 86 % de clients en plus pour les firmes pharmaceutiques.

Voir l’article >>> Article consulté plusieurs milliers de fois.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

 

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Cancer, immunothérapie : Une découverte qui pourrait fondamentalement changer la donne

Lorsque notre organisme subit des attaques de bactéries, de germes ou de virus, nos globules blanc contrattaquent ou envoient des anticorps afin de luter contre les agressions.

En ce qui concerne les cellules cancéreuses, ces dernières envoient aux globules blanc une sorte de somnifère en les rendant inopérants.

Deux chercheurs ont mis au point un médicament qui réveille les globules blancs leur permettant de détruire le cancer.

Le 39è Président des États-Unis Jimmy Carter qui était atteint d’un cancer incurable, a été guéri par le biais de ce traitement qui à l’époque en était au stade expérimental.

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