« L’âme qui aspire à l’éternité doit se soustraire au joug de la mort. Toi, vagabond au seuil des ténèbres, viens! »
Frayeur (Paura nella città dei morti viventi) est un film d’épouvante fantastique italien réalisé par Lucio Fulci et sorti en 1980. Il s’agit du premier volet de la trilogie de la mort, complétée l’année suivante par L’Au-delà et La Maison près du cimetière.
The zombie fair
Scare!
“The soul that aspires to eternity must escape the yoke of death. You, wanderer on the threshold of darkness, come!”
City of the leaving dead (Paura nella città dei morti vivei) is an Italian fantasy horror film directed by Lucio Fulci and released in 1980. It is the first part of the Death trilogy, completed the following year by The Au- beyond and The House near the cemetery.
Robin williams, un ami qui m’a donné son épaule pour pleurer
« Au delà de nos rêves »
Tu n’avais pas besoin d’en finir….. Tu n’avais qu’à voir les bons amis, au bon moment. Tu me manques.
« J’ai toujours pensé que le pire truc qui pouvait nous arriver dans une vie, c’est de finir sa vie tout seul… mais c’est faux. Le pire truc qui pourrait nous arriver c’est finir notre vie entouré de personnes qui nous font sentir seul… »
Robin Williams
Laisses-moi t’immortaliser Robin, laisses-moi te dire à quel point j’aurais été fier d’être ton ami.
Film complet, version française et originale.
Robin Williams, a friend who gave me his shoulder to cry on.
« What Dreams May Come »
You didn’t need to end it all… You just needed to see the right friends at the right time. I miss you.
« I always thought that the worst thing that could happen to us in life is to end up alone… but that’s wrong. The worst thing that could happen to us is to end our lives surrounded by people who make us feel alone… »
Pour avoir refusé l’armée, j’ai été enfermé 3 fois 4 mois en Suisse. De cette expérience j’aurai pu écrire un livre de 800 pages en 3 tomes. mais aucun éditeur n’en aurait voulu.
Un criminel qui passe 3 semaines en prison écrit un livre sur son expérience carcérale et l’ouvrage s’arrache en rupture de stock….
Cherchez l’erreur!
Ce monde est malade, malade, malade……!
Plus tu es bon, plus tu seras suspecté et plus tu es une pourriture, plus tu seras acclamé.
Je me demande ce que j’ai fait de mal à la vie pour mériter de tomber dans cet asyle de fous à ciel ouvert….
Ken Laszlo, de son vrai nom Gianni Laszlo Coraini, est un chanteur italien d’italo disco né en 1954 à Florence. Il connut un succès notable dans les années 1980.
Il doit sa renommée européenne au titre qu’il sortit en 1984, Hey Hey Guy (Le clip vidéo a été tourné à Paris La Défense) et à ses deux simples suivants, Tonight (Vidéo clip réalisé à Paris, en partie, au musée Grévin, sous le viaduc et le quai d’Austerlitz, et devant le grand bassin du château de Versailles) et Don’t Cry.
Par la suite, il sortit de nombreux autres singles, tout aussi bien sous le nom de Ken Laszlo qu’en usant d’autres pseudonymes, tels que Ric Fellini, DJ NRG ou Ricky Maltese.
Avec l’aimable autorisation du label Memory records.
Ken Laszlo : « Hey Hey Guy »
Ken Laszlo, whose real name is Gianni Laszlo Coraini, is an Italian singer from « The Best of italo disco » generation, he was born in 1954 in Florence and enjoyed notable success in the 1980s.
He owes his European fame to the title he released in 1984, Hey Hey Guy (The video clip was shot in Paris La Défense) and his next two singles, Tonight (Video clip made in Paris, in part, at the Musée Grévin , under the viaduct and the Quai d’Austerlitz, and in front of the large basin of the Palace of Versailles) and Don’t Cry.
Subsequently, he released many other singles, both under the name Ken Laszlo and using other pseudonyms, such as Ric Fellini, DJ NRG or Ricky Maltese.
Many thanks to Memory Records for the kindly permission.
Forces de l’ordre contre sa propre population, t’es sérieux là!?
La France et la Suisse ont une histoire commune: La liberté!
Un dictateur reste un dictateur. L’UE ne le cache même plus. Liberté d’expression labélisée, des pièces jaunes en copinage, des retraites qui fondent comme neige au soleil, des chômeurs stigmatisés comme des criminels…… Jusqu’où ira l’indécence?
Frexit?
Vous n’êtes pas dans l’UE mes amis, vous avez voté contre en 2005. Votre lute est autant de coups d’épée dans l’eau. Vous vous faites manipuler, vous êtes utilisé et votre rébellion sert le système.
Il serait peut-être temps de regarder la vérité en face et de revoir votre copie.
En tant que Suisse, mes racines sont en France ne serais-ce que sur le plan linguistique. J’aime profondément ce pays.
Unity is strength
Law enforcement against its own population, are you serious?!
France and Switzerland share a common history: Freedom!
A dictator is still a dictator. The EU doesn’t even try to hide it anymore. Freedom of expression is labeled as such, handouts are given as favors, pensions are melting away like snow in the sun, the unemployed are stigmatized like criminals… How far will this indecency go?
Frexit?
You’re not in the EU, my friends; you voted against it in 2005. Your struggle is a waste of time. You’re being manipulated, used, and your rebellion only serves the system.
Perhaps it’s time to face the truth and revise your approach.
As a Swiss person, my roots are in France, if only linguistically. I deeply love this country.
Edwin van der Laag, un graphiste responsable de toutes les pochettes de disques du groupe « Laserdance, » Il s’est lancé dans la création musicale. Armé d’Atari ST, de Cubase et de quelques synthétiseurs, il commence à créer ses premiers morceaux. Plus tard, il a été soutenu par Huib Shippers, connu du projet Trilithon.
Dans cet article:
Syntech: « Soundly computed »
Laser dance « Shotgun (Into the Night) »
Koto « Dragon’s legend »
Merci à ZYX Records.
« Soundly computed »
Edwin van der Laag, a graphic designer responsible for all the record covers of the band « Laserdance, » He threw himself into music creation. Armed with Atari ST, Cubase and a few synthesizers, he began to create his first tracks. Later, he was supported by Huib Shippers, known from the Trilithon project.
En déclarant que son administration venait d’accomplir ce que personne avant lui n’avait été capable de réaliser, le président Donald Trump a annoncé une réduction drastique des prix des médicaments allant de 4 à 600 %.
Donald Trump défend les intérêts de son pays et de son peuple. Qui le blâmerait pour cela?
Note de la rédaction:
J’ai vécu dans ce pays pendant plus d’un an et j’étais sur le point d’obtenir ma carte verte. C’est pour le mariage de ma sœur que je suis retournée en Suisse et j’y suis finalement restée. Aujourd’hui, je le regrette.
USA: Drastic drop in drug prices
« Make America Great Again »
By declaring that his administration had just accomplished what no one before him had been able to achieve, President Donald Trump announced a drastic reduction in drug prices ranging from 4 to 600%.
Donald Trump is defending the interests of his country and his people. Who could blame him for that?
Editor’s note:
I lived in that country for over a year and was about to get my green card. It was for my sister’s wedding that I returned to Switzerland and ended up staying. Today I regret it.
Enregistré aux Electric Lady Studios à New York (sauf Life is Just a Game, enregistré aux A & M Studios à Los Angeles) et mixé aux A & M Studios à Los Angeles, l’album est paru en 1976 sous le label Nemperor, un label de Warner, et fut distribué par Atlantic Recording Corporation.
Stanley Clarke, né le à Philadelphie, est un musicien américain. Il joue essentiellement de la contrebasse et de la basse électrique.
Note de la rédaction:
Écoutez-le sans modération, et à plein volume!
Merci à Stanley Clarke et au label Epic Records pour l’aimable autorisation.
« School days »
Stanley Clarke
Recorded at Electric Lady Studios in New York (except Life is Just a Game, recorded at A&M Studios in Los Angeles) and mixed at A&M Studios in Los Angeles, the album was released in 1976 under the Nemperor label, a label of Warner, and was distributed by Atlantic Recording Corporation.
Stanley Clarke, born June 30, 1951 in Philadelphia, is an American musician. He mainly plays double bass and electric bass.
Editor’s note:
Listen to him without moderation, with the volume turned all the way up!
Many thanks to Stanley Clarke and Epic Records for the kind permission.
« Mec, tu m’as transporté, tu m’as fait rêver tu m’as illuminé avec ta musique. Nile, je te dois bien plus qu’une page, je te dois le compositeur que je suis aujourd’hui et laisse moi te dire à quel point je t’en suis reconnaissant. »
G.S
C’est Chic comprend le tube signature du groupe « Le Freak », qui a dominé le palmarès US Hot 100, le R&B américain et US Club Play en octobre 1978, se vendant à six millions d’exemplaires aux États-Unis. L’album contient également le single à succès « I Want Your Love » (numéro 5 R&B, numéro 7 Pop, numéro 4 UK).
Un des fondateurs du groupe:
Nile Gregory Rodgers Jr. (né le 19 septembre 1952) est un musicien, auteur-compositeur, guitariste et producteur de disques américain. Cofondateur de Chic, il a écrit, produit et joué sur des disques qui se sont vendus à plus de 750 millions d’albums et 100 millions de singles dans le monde.
On le retrouve également chez Daft Punk avec le titre « Get lucky »
Merci à Motown Records pour l’amitié.
« Le Freak C’est chic »
Nile Rogers
« Man, you transported me, you made me dream, you illuminated me with your music. Nile, I owe you much more than a page, I owe you the composer that I am today and let me tell you how grateful I am. »
G.S
C’est Chic includes the band’s signature hit « Le Freak », which topped the US Hot 100 chart, US R&B, and US Club Play in October 1978, selling six million copies in the US. The album also contains the hit single « I Want Your Love » (number 5 R&B, number 7 Pop, number 4 UK).
One of the founders of the group:
Nile Gregory Rodgers Jr. (born September 19, 1952) is an American musician, songwriter, guitarist and record producer. The co-founder of Chic, he has written, produced, and performed on records that have sold more than 750 million albums and 100 million singles worldwide.
He is also found in the group Daft Punk with the title « Get lucky »