C’est sur la chaîne Suisse, RTS qu’était diffusée l’émission « A Bon Entendeur » et qui publiait une enquête sur les huiles d’olives, titre du sujet : « Huile d’olive extra vierge : une appellation qui se mérite ! »
Compte rendu de l’émission :
C’est normalement la meilleure, la plus saine des huiles d’olive. Régulièrement, des prélèvements et des contrôles sont effectués pour vérifier si cette appellation n’est pas usurpée, car une huile d’olive doit remplir plusieurs conditions pour s’intituler « extra vierge ». Or ce n’est pas toujours le cas ! Les chimistes cantonaux viennent d’en déclasser plusieurs. Le point sur ces toutes nouvelles analyses avec Patrick Edder, chimiste cantonal genevois.
Sujet très intéressant jusqu’à la fin ou des huiles qui avaient été analysées et reconnues non conformes pour cette appellation d’huile d’olives extra vierge pressée à froid et ce pour différents motifs n’avaient pu être mentionnées à l’antenne pour des raisons de loi.
En France, cette loi, « Secret des affaires » qui a été adoptée par l’Assemblée tout récemment a fait polémique car elle met gravement en danger la démocratie, privant ainsi les consommateurs de l’accès à l’information en donnant carte blanche aux industriels pour toutes les magouilles et les dérives.
Ce sont des émissions comme « Cash investigation », « Envoyé spécial » etc … qui ne pourront tout simplement plus être produites.
Cette loi qui à l’origine était appliquée afin de protéger les industriels contre l’espionnage a été élargie aux journalisme d’investigation et aux lanceurs d’alerte.
Pour ce qui est de la Suisse, je me suis donc intéressé à ce texte de loi qui stipule :
Il existe un intérêt objectif au maintien du secret. Cet intérêt est examiné au cas par
cas par l’autorité. Un intérêt objectif à la confidentialité existe lorsque :
le fait en question a une valeur économique pour l’entreprise, donc est important pour
le succès économique de cette entreprise, et
le fait ne concerne qu’une seule entreprise (c.-à-d. pas un groupe d’entreprises) et
permet de ne tirer de conclusions que sur cette entreprise.
On est donc en plein dedans, la loi protège en priorité les intérêts économiques des entreprises au détriment des consommateurs.
Faudra-t-il un empoisonnement massif et des morts par centaines pour que les élites revoient leur copie ?
Des tonnes de microplastiques se retrouvent dans l’Arctique, zone inhabitée. Quelles sont les conséquences de cette pollution ? L’équipe de Tara Expéditions tente de trouver des réponses.
Comment des microplastiques sont-ils arrivés dans l’Arctique ?
L’expédition de recherche scientifique Tara a mis en évidence la présence de débris de plastique flottant jusque dans l’océan Arctique. Pourtant, cette zone est inhabitée. Selon Romain Troublé, directeur de la fondation Tara :
« Les microplastiques viennent de la terre, de nos rivières, de nos fleuves, ils flottent donc ils coulent avec l’eau dans la mer, ils se fragmentent avec le temps, avec les rayons du soleil et une fois qu’ils se retrouvent dans la mer ils se mettent à dériver comme les courants marins. »
Charriés par le Gulf Stream, le courant Atlantique nord, plusieurs centaines de tonnes de plastique arrivent dans les eaux de surface arctiques depuis l’Europe et les États-Unis. 300 milliards de micro-fragments de la taille d’un grain de riz qui pourraient bouleverser notre écosystème.
« Le microplastique interagit en permanence avec les microalgues, les virus, les bactéries dans la mer et finalement, il se fait coloniser par ces microalgues et ça fini par sentir la nourriture, c’est mangé par des petits organismes puis des plus gros et encore des plus gros et aujourd’hui, on a pas la réponse on ne sait pas à quel point c’est nocif, la recherche qui va se développer dans les années qui viennent va être de comprendre jusqu’où cette pollution affecte l’écosystème, affecte la chaîne alimentaire. Est-ce que ça va jusqu’à dans notre assiette ? »
Cela ne fait que quelques décennies que l’humanité utilise du plastique et la pollution générée est déjà un problème mondial jusque dans les zones les plus isolées. Les scientifiques de la fondation Tara analysent maintenant les effets des débris plastiques sur les océans.
C’est par nos comportement que nous ferons plier les industriels. Joli coup de gueule sur les aberrations dans l’utilisation du plastique.
Je publie l’info et son contraire afin que vous ayez les deux sons de cloche.
Il n’y a pas de fumée sans feu et les lobbies de l’industrie nous ont habitué à ce genre de pratiques avec par exemple le chanvre qui fut diabolisé il y a 75 ans. Il faut donc rester vigilent en débusquant les vrais infos, ne pas prendre pour du pain bénit tout ce qui est publié sur les réseaux sociaux, éviter de faire des commentaires sans même avoir pris la peine de lire un article et surtout se méfier des médias de masse qui se sont spécialisé dans la désinformation. La réflexion, l’esprit d’analyse et les recherches feront de nous des lanceurs d’alerte.
Stéphane Guibert
Antoine Krempf passe au crible des faits repérés dans les médias et les réseaux sociaux. Aujourd’hui, un plan secret pour interdire les huiles essentielles en vente libre.
Voilà pour commencer ce que nous disent les initiants de la pétition lancée sur Internet et déjà signée par des milliers d’internautes :
Voilà ensuite ce qu’on nous dit sur France Info :
Attention : scandale ! Une pétition massivement partagée sur internet affirme que les huiles essentielles vont être interdites à la vente libre. C’est le nouveau coup de poignard du lobby pharmaceutique avec la complicité du ministère de la Santé et de sa police, l’Agence française du médicament. D’après le décompte du site qui a publié la pétition, plus de 180 000 personnes l’ont déjà signée.
Il y aurait un plan caché pour interdire les huiles essentielles à la vente ? Pour l’affirmer, cette pétition s’appuie sur plusieurs arguments. Le premier, c’est que les autorités sanitaires veulent nous faire croire que les huiles essentielles sont un poison dangereux alors que ça n’a jamais tué personne. La preuve d’après le texte : déjà en 2007, 15 nouvelles huiles essentielles ont été interdites à la vente libre dont, nous dit-on, l’huile de sauge officinale. Donc demain on nous empêchera d’acheter de l’huile essentielle de lavande.
Sauf que ça n’est pas tout à fait vrai
Du côté de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), on est catégorique : aucun plan caché visant à interdire les huiles essentielles en vente libre. Ensuite, il est vrai que depuis 2007, 15 huiles essentielles sont désormais vendues uniquement sur prescription dans les pharmacies. Pourquoi ? Pour la sauge médicinale par exemple : elle contient un neurotoxique qui peut provoquer des convulsions.
Donc oui, même si c’est naturel, les huiles essentielles peuvent être nocives si elles sont mal conçues, mal encadrées ou mal utilisées. Rien que pour le département des Hauts de France, 140 intoxications en 2015 d’après le centre départemental antipoison cité dans la Voix du nord.
Classées en trois catégories
Autre argument de cette pétition : les autorités sanitaires ne veulent pas admettre que les huiles essentielles sont des médicaments. C’est faux. L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) le dit très clairement sur son site internet : « Les huiles essentielles peuvent être classées dans trois catégories : les cosmétiques, les biocides, c’est à dire les sprays assainissants, et les médicaments si les huiles sont présentées comme ayant des propriétés pour soigner ou prévenir des maladies humaines. » Le synthol par exemple est officiellement considéré comme un médicament. Il contient de l’huile essentielle de lavandin.
Le problème c’est lorsque des fabricants ou les vendeurs ne sont pas clairs sur cette répartition. Par exemple lorsqu’ils vendent de l’huile essentielle à usage cosmétique en vantant des bienfaits pour la santé. C’est dans ce genre de cas que l’Agence du médicament sévit.
Bref, ça fait quand même beaucoup de choses infondées pour cette pétition, qui a donc surtout réussi à recueillir des dizaines de milliers de signatures, et autant d’adresses mails données gracieusement par les signataires.
Le contrôle technique, une nouvelle manne financière pour l’État, une nouvelle épine dans le pied pour les plus démunis et ils sont de plus en plus nombreux.
Un pas de plus vers le totalitarisme. Le nouveau contrôle technique, une nouvelle arme de rentrée de TVA en réparation ou achat d’un nouveau véhicule, mais aussi une incitation à prendre des voitures en location. Vous êtes en plein cœur de la dictature des lobbies.
On consomme, on ferme les yeux, on empoisonne nos chères têtes blondes mais qu’importe il faut bien mourir un jour n’est-ce pas ?
Je ne sais pas moi, mais plus ça va en avant, plus je trouve que les gens qui adhèrent à ce système, ces parents et grands-parents qui savent que l’on mène leurs enfants droit à l’abattoir sans broncher, font preuve d’une santé mentale inquiétante. Ce système est malade, il n’y a qu’à observer et constater. Un enfant de 5 ans encore « vierge » (n’ayant pas encore été touché par le virus de l’argent) le comprendrait.
J’ai un message, un coup de gueule à transmettre à tous ces gens :
Qu’ils ne viennent pas me dire : « Je ne savais pas »
Car cela n’aura pas été faute que de les avertir.
Qu’ils ne viennent pas me dire : « Mais que puis-je faire tout seul de mon côté ? »
Car pour moi ces gens sont des défaitistes, des irresponsables, des collabos du système qui se dédouanent de leurs responsabilités en mettant en cause justement ce système qu’ils plébiscitent eux-même, tout en encourageant leurs progénitures à faire de même en les corrompant dès leur plus jeune âge et en leur faisant miroiter des cadeaux qu’elle ne recevront que si elles font exactement ce que le système attend d’elles.
Voilà en ultra concentré ce qu’est notre société aujourd’hui ; c’est du moins mon avis.
A cela s’ajoute :
On mise sur les générations futures pour notre pérennité alors que le système avec la complicité des parents (même involontaire), est en train de lobotomiser ne serais-ce qu’avec les nouvelles technologies (tablettes et smartphones que l’on met entre les mains d’enfants qui n’ont pas deux ans), la malbouffe (25% des adolescents en surpoids), les séries TV, jeux vidéos et réality shows obscènes, les vaccinations massives avec une concentration de métaux lourds ayant pour conséquence de diminuer drastiquement le quotient intellectuel etc …
De la part d’un peuple qui ne cesse de se regarder le nombril comme la cigale de la fable la cigale et la fourmi, je pense que lorsque l’hiver arrivera, les cigales que nous sommes auront un lourd tribu à payer.
L’humain doit se réveiller mais cela ne se fera pas sans une imminence claque qu’il recevra en pleine face !
Ce jour est proche et c’est ce qu’un textes anciens nome : l’apocalypse.
A l’approche des grandes vacances, réfléchissez à la manière de choisir votre hôtel cela peu vos faire économiser plusieurs nuitées.
Je vous parle d’une expérience que j’ai reproduite à plusieurs reprises : La réservation d’une chambre d’hôtel est très certainement moins coûteuse en passant directement par le standard de l’hôtel.
Trivago, ebooking etc… La stratégie est le même sur chaque plateforme où l’on vous propose plusieurs prix pour la même offre et le réflexe du consommateur va évidemment sur l’offre la plus avantageuse. A l’étape avant le clic fatidique on vous informe que soit il s’agit la dernière offre possible pour la date choisie, soit que quelqu’un d’autre est déjà sur la réservation ou autrement dit : Si vous ne vous dépêchez pas, l’offre va vous passer sous le nez.
Pour une offre que l’un de ces sites me proposait à 85 euros la nuit (tarif le plus avantageux) pour la même chambre, en passant directement par le standard de l’hôtel, la facture s’élevait à 50 euros la nuit. Cela représente une différence de 35 euros. Imaginez l’économie faite sur une période de 10 jours : 350 euros, le prix de votre billet d’avion chez un transporteur low cost.
Il s’agit là d’une expérience personnelle pour un hôtel dans lequel je me rends régulièrement depuis 20 ans mais afin de satisfaire ma curiosité j’ai renouvelé l’expérience dans plusieurs hôtels de la péninsule ibérique en m’adressant à des établissements 3-5 étoiles et la différence suivant l’hôtel peut passer du simple au double et ce, toujours pour l’offre la plus avantageuse.
Réfléchissez donc bien si vous devez partir en vacance à la manière dont vous voulez réserver votre hôtel. Passer un peu plus de temps pour dénicher la perle rare peu vos permettre de prolonger votre séjour de plusieurs nuitées.
Tout ceci sans vous parler des commentaires positifs qui sont souvent boostés en fonction de ce que paye l’hôtelier aux sites qui le propose en ligne mais là, c’est un autre débat sur lequel je reviendrai à l’occasion.
Les magasins Lidl en Suisse alémanique et en Suisse romande vendent depuis le 19 avril dernier des fleurs de cannabis CBD.
Une entreprise du canton de Thurgovie, The Botanicals, produit et fournit ces fleurs séchées à l’enseigne allemande. Le cannabis est cultivé dans des serres en partie automatisées et en indoor, sans ajout de substances chimiques ou synthétiques.
Les fleurs contiennent 0,8% de THC et plus de 20% de cannabidiol (CBD). Le cannabis CBD est en vente libre en Suisse, avec une limite à 1% de THC, et est vendu comme un substitut tabagique. 1,5g coûtent 18CHF, soit 15€ et les 3g à 17€ (ici et là).
« Apple contrattaque » a comme une odeur de bâillonner…
Ce lundi 12 février à 13h30, Attac était convoquée devant le tribunal de grande instance de Paris à la suite d’une assignation en référé déposée par Apple. La raison : empêcher de dénoncer l’évasion fiscale qu’organise la multinationale et, en particulier, interdire les futures actions dans les Apple Store, telles que celles menées le 2 décembre 2017. Ce procès a permis la tenue d’un rassemblement politique, syndical, associatif très large appelant à la création d’une « alliance pour la justice fiscale ». Le délibéré sera rendu le 23 février.
Avec la campagne #ApplePayeTesImpôts, Attac dénonce l’évasion fiscale massive pratiquée par la marque à la pomme, exige le versement définitif de l’amende de 13 milliards d’euros infligée par la Commission européenne et demande à Apple de payer sa juste part d’impôts. Le même jour, s’ouvrait le procès en appel de Jérôme Cahuzac pour blanchiment de fraude fiscale. A nouveau, si cet homme se retrouve devant les tribunaux c’est grâce au courage et au travail des journalistes et des lanceurs d’alerte. Mais plutôt que le procès d’un homme, c’est surtout le procès de l’évasion fiscale qu’il faut mener.
Pour Dominique Plihon, porte-parole d’Attac France : « Alors que nos actions sont systématiquement symboliques, à visage découvert, non-violentes et sans aucune dégradation matérielle, il est profondément scandaleux qu’Attac se retrouve sur le banc des accusés et non pas Apple qui continue à pratiquer une évasion fiscale massive. »
Avant le procès, un rassemblement de soutien à Attac s’est tenu face au TGI de Paris avec notamment Isabelle de Almeida (PCF), Clémentine Autain (Ensemble/France insoumise), Olivier Besancenot (NPA), Eric Beynel (Solidaires), Sophie Binet (CGT), Eric Coquerel (Parti de gauche/France insoumise), Robert Crémieux (MNCP), Susan George (présidente d’honneur d’Attac France), Yannick Jadot (EELV), Jean Lubin (DAL), Emmanuel Maurel (PS), Jean-Luc Mélenchon (France Insoumise), Emmanuel Poilane (CRID), Véronique Ponvert (FSU) et Miguel Urban (Podemos). Les intervenant.e.s ont rappelé leur soutien à Attac et dénoncé fermement la recrudescence des procédures bâillons intentées par des multinationales qui visent à museler la société civile.
« Alors que les associations, les lanceurs et les lanceuses d’alertes, les journalistes agissent dans l’intérêt général en révélant des scandales fiscaux, environnementaux, sanitaires, les procédures bâillons pour les faire taire constituent un véritable coup d’état démocratique » dénonce Aurélie Trouvé, porte-parole d’Attac France.
Les centaines de citoyen.ne.s, responsables associatifs, politiques et syndicaux, présents lors du rassemblement, ont participé à une action visuelle appelant à la création d’une large « alliance pour la justice fiscale ».
Pour Raphaël Pradeau, porte-parole d’Attac France : « face aux effets dévastateurs de l’évasion fiscale sur la démocratie et les finances publiques, l’action d’Attac est indispensable pour que cesse l’impunité dont jouissent les multinationales et les ultra-riches », et de conclure « les multinationales ne nous feront pas taire ! »